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Sujet : [Story] L'Autriche au sommet

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DorotheaWierer DorotheaWierer
MP
Niveau 17
05 juillet 2020 à 23:36:39

:mac: Chapitre 1 (n°357) : Afterlife :mac:

Musique d’ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=f4kqIruQcvQ

https://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1477872204-webber2.png

Difficile de mieux commencer une saison :bave: Mais bon quelle tristesse derrière :-(

Lena :malade: De plus en plus insupportable cette meuf :hum:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
05 juillet 2020 à 23:48:23

Lena :malade: De plus en plus insupportable cette meuf :hum:

C'est à cause de CE moment précis du récit que j'ai choisi de faire quelques ajustements pour la "sécuriser" dans le récit, j'avais prévu de longue date qu'elle prenne très cher à la transition S8-S9 et je voulais pas qu'elle ait la même cote de popularité que Gabi au sortir de l'intrigue :hap:
Et quand j'ai vu que tu pouvais pas la blairer day one comme un enculé je me suis dit que ça le ferait jamais si j'essayais pas de faire passer la pilule autrement :rire:

Sweetromain064 Sweetromain064
MP
Niveau 10
06 juillet 2020 à 10:17:45

Franchement, l'épisode + musique d'ambiance est incroyable, et je dois m'incliner sur le fait que j'ai lâché une larme bordel :snif:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
06 juillet 2020 à 12:10:26

Le 06 juillet 2020 à 10:17:45 Sweetromain064 a écrit :
Franchement, l'épisode + musique d'ambiance est incroyable, et je dois m'incliner sur le fait que j'ai lâché une larme bordel :snif:

YES YES YES :fete:
(Pas moi mais au moins maintenant je suis plus le seul à avoir chialé sa race pendant cette story :hap: )

DorotheaWierer DorotheaWierer
MP
Niveau 17
06 juillet 2020 à 16:30:53

Le 05 juillet 2020 à 23:48:23 Haryanto a écrit :

Lena :malade: De plus en plus insupportable cette meuf :hum:

C'est à cause de CE moment précis du récit que j'ai choisi de faire quelques ajustements pour la "sécuriser" dans le récit, j'avais prévu de longue date qu'elle prenne très cher à la transition S8-S9 et je voulais pas qu'elle ait la même cote de popularité que Gabi au sortir de l'intrigue :hap:

Si ça peut te rassurer, on est TRES TRES loin de Gabi en terme de cote de popularité. J'aime pas particulièrement Lena, mais je la déteste pas pour autant. Elle m'énerve par moment, comme hier, mais ça reste un perso assez correct et de bonne compagnie pour Niki :oui:

Et quand j'ai vu que tu pouvais pas la blairer day one comme un enculé je me suis dit que ça le ferait jamais si j'essayais pas de faire passer la pilule autrement :rire:

C'est pas que je peux pas la blairer, c'est que j'ai eu du mal à digérer que l'histoire Niki + Julia-Anna soit mort née, du coup c'est celle qui arrive derrière qui a pris ma colère :hap:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
06 juillet 2020 à 21:28:29

Le 06 juillet 2020 à 16:30:53 DorotheaWierer a écrit :

Le 05 juillet 2020 à 23:48:23 Haryanto a écrit :

Lena :malade: De plus en plus insupportable cette meuf :hum:

C'est à cause de CE moment précis du récit que j'ai choisi de faire quelques ajustements pour la "sécuriser" dans le récit, j'avais prévu de longue date qu'elle prenne très cher à la transition S8-S9 et je voulais pas qu'elle ait la même cote de popularité que Gabi au sortir de l'intrigue :hap:

Si ça peut te rassurer, on est TRES TRES loin de Gabi en terme de cote de popularité. J'aime pas particulièrement Lena, mais je la déteste pas pour autant. Elle m'énerve par moment, comme hier, mais ça reste un perso assez correct et de bonne compagnie pour Niki :oui:

Ouais mais dans le scénario de base elle était assez basse en termes de popularité donc là elle embrouillait Niki pour le coup d'envoi de la S9 mais c'était déjà la goutte de trop :oui:
Y'avait 2-3 éléments quand Niki s'embrouille avec Honda où elle était plus chiante que ce qu'elle n'a été au final :hap:

Et quand j'ai vu que tu pouvais pas la blairer day one comme un enculé je me suis dit que ça le ferait jamais si j'essayais pas de faire passer la pilule autrement :rire:

C'est pas que je peux pas la blairer, c'est que j'ai eu du mal à digérer que l'histoire Niki + Julia-Anna soit mort née, du coup c'est celle qui arrive derrière qui a pris ma colère :hap:

Celle qui arrive derrière c'est Josephine pourtant https://image.noelshack.com/fichiers/2018/35/1/1535361925-vigneron.png
(L'épisode arrive dans 15-20 minutes)

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
06 juillet 2020 à 21:44:14

Le Drive de la story : https://drive.google.com/drive/folders/15s1cvZ3CSg7mPSjYqTr4WoQKXJGFKgYl?usp=sharing

:mac: Chapitre 2 (n°358) : Blood ties :mac:

Samedi 29 novembre 2025, Innsbruck
Même si je n’ai pas réellement la tête à la fête, il faut que je me change les idées. Ma mère ne mérite pas que je gâche son anniversaire à cause de ce qui se passe, même si ce qui se passe n’est pas facile à vivre et pour cause : Karl n’a plus donné de nouvelles depuis deux jours.
Il n’a de cesse de refuser mes appels, m’envoie des messages pour me dire d’arrêter de lui en envoyer, ne m’ouvre pas la porte quand je vais toquer chez lui. Hier, Johanna a débuté son traitement conduisant à l’expulsion de l’embryon et, avant de rentrer dans un champ lexical peu plaisant et peu élégant, il faut savoir que ça ne se passe pas super bien mais que ce n’est pas spécialement inquiétant pour le moment. Ce qui inquiète, en revanche, c’est que lorsque j’ai envoyé un message à Karl pour lui dire que ce processus important allait débuter, il n’a même pas répondu. Depuis deux jours, il se mure dans le silence et il laisse sa copine seule dans la mouise, ce qui est peu louable.

Je pensais pouvoir compter sur un allié pour aller récupérer Karl mais c’est plutôt un handicap que j’ai dégoté ; le vieux Walter me fait la misère depuis que je l’ai appelé jeudi soir pour l’informer de la situation. Il a pris la défense de son gosse - et avant que vous ne vous exclamiez que c’est normal de la part d'un parent, ça ne l’est pas quand ledit parent est cet infâme tas de merde - et j’en ai pris pour mon grade, comme si c’était de ma faute. D’un côté oui, c’est de ma faute car j’ai essayé de faire oublier à Karl ses angoisses mais, de l’autre, je ne suis pas convaincu d’être à blâmer si Johanna se retrouve seule sur un lit d’hôpital, à sangloter en regardant par la fenêtre en attendant que celui qu’elle aime revienne. C’est peut-être en partie de ma faute si le projet s’est matérialisé mais ça n’est certainement pas à moi qu’il faut imputer l’attitude de Karl, qui fait du mal à une femme qu’il aime alors qu’il s’était juré de ne jamais le faire. Je ne reconnais pas mon pote, sur le coup, et c’est horriblement navrant de constater cela.

Ce soir, nous sommes donc à la fête d’anniversaire de ma mère, où beaucoup de connaissances sont évidemment présentes. Des amis de mes parents, la famille de mon père, mon oncle Christian. Seule la branche abrutie de la famille de ma mère manque ; ses parents ainsi que sa soeur et ses deux frères aînés doivent sûrement être en train de boire une bouteille de champagne qui coûte cinq chiffres tout en parlant des bienfaits d’avoir des gens compétents en ressources humaines au sein d’une entreprise pour en maximiser les bénéfices. Si l’un d’eux pouvait s’étouffer avec un toast au passage, ça serait une ex-cel-len-te nouvelle. Mais ce n’est donc pas d’eux qu’il est question - ils ne méritent pas que je m’attarde sur leur cas - mais bien de mes proches, ceux qui comptent vraiment. Lena, les jumeaux et moi sommes évidemment de la partie pour cette soirée qui, après les événements récents, permet de penser un peu à autre chose.

Au cours de la soirée, tout le monde prend de mes nouvelles car la famille est bien informée et sait que je m’envolerai pour les États-Unis au printemps ; au quotidien, je parle rarement de ma famille au sens large mais elle joue pourtant un rôle crucial. Si l’on prend l’exemple de Chiara, Dario et Gina, mes cousins et cousines, je leur dois une fière chandelle ; même s’ils n’ont pas une importance notable dans ma vie et que je n’ai pas une relation très fusionnelle avec aucun d’entre eux, je suis content d’être de leur famille et je sais que je peux compter sur eux. Du côté de mon père, ce sont les seuls cousins que j’ai car ma seconde tante, Angelique, a décidé de vivre vieille fille. Je ne lui en tiens pas spécialement rigueur, d’autant plus qu’il semblerait qu’elle soit la seule personne ravie de ma migration à venir ; arrivée de Boston hier matin, elle trépigne d’impatience de me voir débarquer dans son pays d’adoption. En revanche, elle pourrait bien avoir des problèmes si elle continue de m’appeler “Johann Junior”. On ne prendra pas le café ensemble tous les jours mais j’espère quand même pouvoir lui accorder du temps car, depuis qu’elle a elle-même déserté l’Europe, on a progressivement perdu contact et ça m’attriste. Je suis sûr que vous adoreriez que je vous raconte deux ou trois des anecdotes au sujet de la folle qui me sert de tante mais j’aurai l’occasion de vous en parler plus tard, à n’en pas douter.

Parmi les gens présents ce soir, il y a également des amis de mes parents qui ont environ le même âge qu’eux et qui ont tous cette même phrase générique : “Oh, tes enfants ont déjà cinq ans ! Ce que le temps passe vite ! Je me souviens de toi au même âge comme si c’était hier !”. Même si la phrase est niaise au possible, il faut reconnaître qu’ils n’ont pas tort en disant que le temps passe vite ; en voyant la tête de ces deux gamins, j’ai l’impression de voir Sophia et moi au même âge et cette impression n’est en rien arrangée par le fait que Lena a insisté pour qu’on habille Adi avec un pantalon vert. Pourquoi a-t-elle insisté, me direz-vous ? Elle a tout simplement été marquée par les photos soigneusement dévoilées par ma mère où, gamin, je portais un pantalon vert à chaque réunion de famille. Ne me demandez pas pourquoi car personne n’a de réelle explication à apporter à cela, mais j’étais le garçon au pantalon vert et Sophia était la gamine qui avait tous les accessoires mauves, à chaque fois. Ces couleurs nous ont suivi un bon bout de temps, d’ailleurs ; jusqu’à mes seize ou dix-sept ans, mon identité graphique et mon casque comportaient du vert, tandis que le mauve est toujours resté associé à Sophia. C’était la couleur de son casque et de son numéro 19 porté en F1 également. J’ai toutefois refusé que Lena dégote un accessoire mauve pour Iz : je vois déjà trop de ressemblances entre elles, je n’ai pas besoin de pousser ça trop loin. Ca ne serait pas une bonne idée dans un rassemblement de famille. Ma mère nous avait toujours dit que, le jour où Sophia et moi aurions des enfants, elle ferait des “X years challenge” ; c’était son projet, elle avait juré d’habiller mon fils avec l’une de mes tenues d’enfance et de le prendre en photo au même endroit et avec le même angle que la photo originale, pour avoir des photos type “portrait craché”. Mais elle n’a jamais eu la force de le faire avec Isabel car, un jour, elle lui a mis une des robes de Sophia et elle a compris qu’on avait bien affaire à deux copies conformes.

Les deux juniors vont bientôt avoir cinq ans et, même si la petite est une teigne, je ne peux pas sous-estimer l’importance qu’ils ont à mes yeux. Les événements récents m’ont permis de replacer cela au premier plan de mon esprit ; j’ai énormément de chance de les avoir. Bien qu’Isabel traverse une période ingérable en plus d’être presque impolie, elle reste ma fille et, même si elle m'en fait affreusement baver, je me dis que ça ne contribue qu’à mon amélioration en tant que père ; c’est elle qui m’a fait apprendre la définition du mot “sévérité”, après tout. Et même si leur naissance m’a fait devenir un père, pour tous ceux présents ce soir je suis encore un gamin malgré ma paternité, ma barbe, mon mètre quatre-vingt et mes vingt-sept ans. Il y a des choses qui ne changeront décidément jamais. Parmi ceux convaincus de cette idée, ma mère, pour qui j’avais spécialement préparé un discours façon “petit garçon sage”, chose que je ne suis plus depuis au moins quinze ans si ce n’est plus mais qui lui a fait plaisir. Niki l’enfant est un personnage de moins en moins important dans ma vie, certes ça signifie que je mûris, mais ça veut aussi dire que je perd peu à peu cette âme d’enfant ; cette soirée a été l’occasion de me rendre compte que, dans quelques mois, je vais laisser ma famille au sens large sur le bord de la route et traverser l’Océan Atlantique. Je suis très attaché à mon pays, il n’a pas été facile de le quitter pour des raisons logistiques et pécunières et, parfois, je me prend d’envie de retourner vivre dans mon Tyrol. A une échelle plus grande, je suis un fier européen ; quand je prend des vacances, c’est le plus souvent sur le vieux continent car je l’aime beaucoup : de la Finlande au Portugal, de la France à l’Estonie, j’ai visité la plupart des pays d’Europe et je suis très attaché à la culture européenne avec laquelle j’ai grandi. Ca peut sembler difficile à assimiler pour certains, mais me dire que je vais tourner le dos à tout ça me fout un peu le blues. Mais c’est pour une bonne cause car je m’en vais à la conquête de l’Amérique.

L’Amérique, parlons-en un peu, d’ailleurs. Dévions de ma nostalgie et de mes états d’âme de père, de fils et d’ami et revenons-en à NK30, puisque c’est mon nouvel alias. Je suis attendu dans l’Indiana lors de la deuxième semaine de décembre, que je passerai en intégralité à Brownsburg, au sein de l’usine de Rahal Letterman Racing - c’est probablement la dernière fois que vous lisez ce nom en toutes lettres car ça me fatigue déjà de le dire en entier. Bobby m’a réquisitionné pour que je fasse connaissance avec l’équipe, pour que je fasse une première opération marketing et pour que je découvre enfin, pour de vrai, ce qu’une Indycar vaut quand vous avez son volant entre les mains. J'ai déjà été mis en contact avec ma future équipe d'ingénieurs, ceux-ci ayant pris quelques uns de leurs après-midis pour m'expliquer les fondamentaux du comportement des monoplaces américaines. Car hormis un showrun de sponsoring à Mid-Ohio en 2022, où j'avais parcouru sept ou huit tours à bord de l'Andretti d'Alexander Rossi, je n'ai jamais mis mon popotin dans une Dallara d'Indycar.
Au cours de cette semaine, je vais également devoir gérer un dossier et je serai accompagné pour cela d’un certain Sérgio ; mon pote brésilien va faire le même transfert que moi, de la F1 et Red Bull à l’Indycar, où il pilotera pour Ed Carpenter Racing, structure un peu moins compétitive que RLR. Je suis heureux que Sérgio ait trouvé un si joli point de chute et, au moins, ça me fera une attache dans ce championnat, même si celles-ci ne risquent pas de manquer au vu du nombre de mes anciens adversaires qui évoluent désormais là-bas. Pour en revenir à Sérgio, nous avons décidé de louer une maison à Indianapolis et c’est seulement la deuxième fois de ma vie que je ferai colocation avec un pilote, la première fois ayant été avec Sophia à Monaco. Quand la nouvelle est tombée dans le courant de la semaine dernière, j’ai immédiatement appelé Sérgio car je savais qu’il ne serait pas réticent à l’idée de cohabiter avec moi ; ça permettra d’être moins seuls quand on sera loin de nos familles. La bonne entente entre nous, développée notamment au cours des deux saisons en tant que coéquipiers, fait qu’on sera capable de se soutenir si besoin ; si nous sommes amenés à passer du temps dans nos usines respectives, ça permettra de se tenir compagnie le soir en regardant une stupide émission de télé ou en jouant à un jeu, ça permettra aussi d’avoir un partenaire d’entraînement, détail non négligeable étant donné que Stefan ne fera - évidemment - pas le voyage avec moi en Amérique. Quand l’un ou l’autre recevra des amis ou de la famille, la maison que nous avons dégoté sera assez grande pour les accueillir ; tout est réglé comme du papier à musique. Ce projet me permet de me projeter - merci, Niki Goethe - un peu mieux vers ce qui m’attend ; même si ça représente un petit déchirement notamment vis-à-vis de mes parents, je suis sûr de ce que je fais : je vais traverser l’Océan pour faire étalage de mes talents en Indycar. Et je suis plus que prêt pour relever ce challenge.

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
06 juillet 2020 à 21:46:56

Episode qui sert à rien du tout :bave: Mais un peu kiffant quand même, je lui trouve un côté intéressant :noel:
 
Concernant l'intrigue Karl/Johanna, j'ai pas voulu arrêter le récit donc les nouvelles arriveront au compte-goutte dans les prochains épisodes, car en fait j'ai pas trouvé assez de matière pour faire comme je fais d'habitude, où il y a 2-3 épisodes entièrement dédiés à l'histoire. :oui: Là ça sera saupoudré dans les prochains épisodes, pour alléger la note et pour permettre de parler d'autre chose. A la base y'avait 12 ou 13 chapitres entre les damiers au Brésil et les essais du premier GP d'Indycar, au final il y en a seulement 8 parce que je trouvais pas les chapitres assez intéressants :p)

DorotheaWierer DorotheaWierer
MP
Niveau 17
07 juillet 2020 à 00:01:55

Cool de voir Sergio en Indycar :cool: D'ailleurs impatient de voir le plateau et de voir qui sont les anciens de la F1 et potentiellement de la F2 qui sont de la partie :p)

C’était la couleur de son casque et de son numéro 19 porté en F1 également.

Son numéro 19 ? 19 comme Anthoine ? Putain... https://image.noelshack.com/fichiers/2016/43/1477863491-holtz.png

Lena a insisté pour qu’on habille Adi
J’ai toutefois refusé que Lena dégote un accessoire mauve pour Iz

Ce genre de surnom :malade:

Elektronomia Elektronomia
MP
Niveau 10
07 juillet 2020 à 00:06:20

Le 07 juillet 2020 à 00:01:55 DorotheaWierer a écrit :
Cool de voir Sergio en Indycar :cool: D'ailleurs impatient de voir le plateau et de voir qui sont les anciens de la F1 et potentiellement de la F2 qui sont de la partie :p)

Vendredi et/ou Samedi :p)

C’était la couleur de son casque et de son numéro 19 porté en F1 également.

Son numéro 19 ? 19 comme Anthoine ? Putain... https://image.noelshack.com/fichiers/2016/43/1477863491-holtz.png

Oui oui c'est le death note du autore :)
Mais c'est aussi mon faute pour écrire trop à le droite de le frise chronologique

Lena a insisté pour qu’on habille Adi
J’ai toutefois refusé que Lena dégote un accessoire mauve pour Iz

Ce genre de surnom :malade:

Faut éviter les répétitions monsieur :)

DorotheaWierer DorotheaWierer
MP
Niveau 17
07 juillet 2020 à 00:17:30

Faut éviter les répétitions monsieur :)

Appelle les "la chieuse" et "Bernardo" alors :(

Elektronomia Elektronomia
MP
Niveau 10
07 juillet 2020 à 00:23:30

Le 07 juillet 2020 à 00:17:30 DorotheaWierer a écrit :

Faut éviter les répétitions monsieur :)

Appelle les "la chieuse" et "Bernardo" alors :(

Bernardo ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/35/1/1535361925-vigneron.png

DorotheaWierer DorotheaWierer
MP
Niveau 17
07 juillet 2020 à 00:41:58

Le 07 juillet 2020 à 00:23:30 Elektronomia a écrit :

Le 07 juillet 2020 à 00:17:30 DorotheaWierer a écrit :

Faut éviter les répétitions monsieur :)

Appelle les "la chieuse" et "Bernardo" alors :(

Bernardo ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/35/1/1535361925-vigneron.png

https://fr.wikipedia.org/org/wiki/Bernardo_(personnage)

Etant donné qu'il est pas très bavard :hap:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
07 juillet 2020 à 09:47:39

Bordel :rire:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
07 juillet 2020 à 22:21:01

Niki débarque chez les Yankees dans l'épisode de demain ; rendez-vous en début de soirée (inch'Allah comme on dit dans l'Indiana) pour voir ce qui découlera de cette première visite chez sa nouvelle écurie RLR :oui:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
08 juillet 2020 à 18:56:04

Le Drive de la story : https://drive.google.com/drive/folders/15s1cvZ3CSg7mPSjYqTr4WoQKXJGFKgYl?usp=sharing

:mac: Chapitre 3 (n°359) : New Kid on the Block :mac:

Lundi 8 décembre 2025, Brownsburg (IN)
M’y voici. Je suis désormais un pilote d’Indycar et un employé de Rahal Letterman Racing. J’ai posé mes valises dans l’Indiana vendredi et, après une nuit à l’hôtel, j’ai été rejoint par Sérgio alors qu’on a récupéré les clés de notre super palace ce samedi. Je vous avouerai que la soirée du vendredi a été longuissime car je ne connaissais personne à Indianapolis mais, après l’arrivée de Sérgio et la prise de possession des lieux, ça s’est tout de suite amélioré car j’avais un pote à moins de dix mètres pour discuter de tout et de rien.

Avant que l’on ne rentre dans le vif du sujet, permettez-moi de faire un point sur la situation en Europe ; après avoir boudé pendant une semaine - putain, une semaine - et après avoir compris que ça ne servait à rien d’agir de la sorte, Karl est revenu la queue entre les jambes et a présenté ses excuses à Johanna, excuses qu’elle a accepté d’emblée. Quel veinard ! Je ne pensais pas qu’il existait quelqu’un sur Terre capable de pardonner quelque chose de pareil mais, maintenant, je suis en train de me demander s’il existe une deuxième personne comme ça ou si Karl a trouvé la seule. C’est surhumain d’accepter qu’il revienne mais je ne peux qu’applaudir son geste ; maintenant, ils vont pouvoir se reconstruire à deux. La solidité de Johanna m’épate car, en la regardant, on est loin de se douter qu’elle est capable de tout gérer sans craquer. Honnêtement, je lui tire mon chapeau pour son contrôle de la situation. On échange beaucoup ces dernières semaines, elle me demande des conseils sur tout un tas de choses et, à travers cette épreuve, j’apprend à la connaître ; pas de doute, mon meilleur pote est chanceux. Il en a trouvé une bonne. Maintenant, c’est à lui de s’assurer de la garder.

Revenons-en aux US, puisque c’est le sujet principal du jour. Aujourd’hui, j’ai rendez-vous pour mon premier vrai jour de travail chez RLR ; au cours de la semaine, je vais rencontrer quelques uns des trois cent employés de l’équipe, je vais sauter dans le simulateur et découvrir le comportement de ces bolides et je vais également réaliser ma vidéo de présentation pour les réseaux sociaux du championnat, championnat qui se régale déjà de voir débarquer un pilote de renommée comme moi.

Polo de l’équipe sur les épaules, cheveux peignés comme un ailier droit - retour à un style capillaire plus familier et moins “bestial” - et barbe taillée comme un acteur de cinéma, je prend la direction de Brownsburg en ce lundi matin. Arrivé sur le site, je suis accueilli en personne par le patron, Robert “Bobby” Rahal, qui me servira de guide et qui fera les présentations avec les personnages clés de l’équipe. Bobby m’emmène tout d’abord dans la partie ingénierie du site, où je fais déjà la rencontre de deux personnes d’importance capitale.

Bobby : Niki, je te présente tes deux nouveaux meilleurs amis : Maurice “Moe” Copeland et Heather Bellini.
Moe : Salut Niki, je suis ton cerveau.
Heather : Et moi je suis tes yeux.
Bobby : Ils ont l’air de deux clowns, mais ce sont des gens extrêmement intelligents, ne t’en fais pas. Comme je te l’avais dit avant que tu arrives, Moe sera ton stratège et Heather sera ta spotteuse, si jamais tu n’avais toujours pas compris après ce qu’ils viennent de te dire. Heather est la seule spotteuse du championnat alors ne la casse pas, il n’y en a pas d’autre pour la remplacer. Ils seront tous les deux à tes petits soins parce que, sans eux, tu finiras dernier ou même entre quatre planches. Alors évite de froisser Moe en lui disant qu’il a la carrure d’un barreau de prison et ne demande pas non plus à Heather si elle s’est coiffée avec son grille-pain ce matin, même si tout le monde ici se fait les mêmes réflexions.

Tu parles d’une présentation ! On dirait un concours de punchlines continuel. Pour ne pas faire perdre trop de temps au big boss, on laisse rapidement nos deux acolytes pour que Bobby puisse me présenter à un maximum de personnes qu’il estime importantissimes. Parmi eux, la troisième personne vitale pour mon éventuelle réussite : Tyler Paterson, mécanicien en chef en charge de ma voiture cette année. Enfin, je fais enfin la rencontre en personne de mon équipier Graham Rahal, fils du patron mais pas pour autant déméritant. Graham est un type assez extraverti, on a déjà pas mal sociabilisé par écran interposé sur les réseaux sociaux et aussi lors de réunions d'équipe en visioconférence. Le courant passe bien, ça m’a l’air d’être un chouette type. Après ces premières présentations, je retourne donc dans l’aile ingénierie, où une quarantaine d’ingénieurs sont employés à temps plein. Rapidement, je me rend compte que l’organisation et la méthodologie est bien différente de celle que je connaissais de par ma culture très européenne du sport auto : les types ne tournent pas autour du pot ici. Soit ils savent et ils répondent à ta question, soit ils te disent qui peut te répondre et ils te laissent aller voir la personne. En F1, c’est peut-être un vice, mais les mecs vont à tout prix vouloir montrer qu’ils ont un cerveau, quitte à raconter n’importe quoi sur quelque chose qu’ils ignorent. Ici, je navigue de bureau en bureau pour avoir des réponses à mes premières questions et, alors que la première pause de la matinée intervient, j’en profite pour aller faire connaissance avec Heather et Moe. Bobby m’a pitché : on ne parle pas de ses vacances ou de musique à moins d’être en pause. Il y a une pause toutes les heures pour faire ça mais, en échange d’autant de pauses, il faut être concentré tout le reste du temps. Je serai amené à beaucoup échanger avec ces deux personnes alors autant savoir à qui j’ai affaire, notamment pour Heather qui sera mon lien principal quand je serai dans la voiture.

Par la suite, après avoir été serrer la main de tous les employés de l’usine, c’est l’heure du grand saut : Graham vient de sortir du simulateur, c’est à moi d’y embarquer. Les gars m’expliquent rapidement “au cas où” mais il n’y a aucune différence fondamentale dans la structure et l’allure du simulateur : ce que j’ignore, c’est le comportement de cette voiture.
Le simulateur m’emmène à Birmingham - pas la ville d’Angleterre, celle d’Alabama - où se situe le premier circuit routier non-urbain de la saison. Mon apprentissage des ovales viendra par la suite mais, pour l’instant, je veux avoir plusieurs formes de virages différentes pour comprendre au mieux la maniabilité, la force de freinage disponible, et caetera. Le Grand Prix d’Alabama sera la troisième course de la saison et elle arrivera rapidement, à la mi-avril pour être exact, alors autant se familiariser avec l’iconique Barber Motorsports Park dès maintenant.

L’adaptation requiert un peu de temps mais, fondamentalement, je ne suis pas pessimiste. Alors oui, c’est sûr, ces bolides ne correspondent pas à mon style de pilotage ; esthète confirmé et adepte des corrections de volant infinitésimales, je me retrouve à donner des grands coups de cerceau en virage, que ça soit en entrée ou en sortie, pour maintenir la voiture dans la bonne direction. D’un côté, ça complique les choses car je ne suis pas habitué à ce pilotage mais, de l’autre, ça me donne l’impression d’être incroyablement vivant. Au bout de quatre ou cinq boucles, je ressens déjà une certaine compréhension ; après tout, c’est une monoplace malgré tout. Quelques sorties larges, blocages de roue et tête-à-queues plus tard, je commence à me sentir à l’aise avec ce châssis Dallara, que je commence tout doucement à solliciter alors que mon rythme augmente naturellement. Je finis par sortir de mon baquet au bout d’une quarantaine de tours soit un peu moins de la moitié de la distance de la course sur ce circuit et je sors par la droite de la pièce, où la salle télémétrique du simulateur est située.

Niki : Ces bêtes sont difficiles à dompter !
Gerald : Ne fais pas genre...Tu as à peine transpiré.
Niki : J’ai transpiré un peu, quand même. Qu’est-ce que ça donne ? Est-ce que je dois faire mes valises ?
Gerald : Pour aller où ? Tu restes ici, mon garçon ! Tu as géré.
Niki : Vraiment ? Fais voir, qu’est-ce que ça vaut concrètement ?
Gerald : 1.08:8312 pour ton meilleur tour.
Niki : Et ?
Gerald : Graham a fait un 1.09:0773.
Niki : Quoi ?!
Gerald : Tu as géré, je te dis. Pas mal, le rookie.

Doux Jésus ! Un quart de seconde plus vite que Graham sur le même circuit, le même jour, dans les mêmes conditions, pour mon premier roulage. Que se passe-t-il ? Graham est un pilote d’expérience, il connaît ces voitures depuis plus de quinze ans et a remporté une grosse poignée de courses avec, pourtant un autrichien un peu innocent arrive et lui colle plus de deux dixièmes dans la figure...Je ne sais pas l’expliquer mais je m’en réjouis, c’est sûr !

Jeudi 11 décembre 2025, Brownsburg (IN)
Si je voulais arriver en Indy par la petite porte, c’est raté. Non seulement j’arrive avec quelques trophées gagnés en F1 dans mes valises, mais toute l’usine sait désormais ce qui s’est passé lundi. Les ingénieurs ont eu du mal à en croire leurs yeux et le pauvre Graham, qui a pris un petit coup à sa réputation, m’a félicité. Graham n’est pas dans l’optique de piloter pour tout gagner et, à près de trente-sept ans, il se fiche de terminer cinquième ou quinzième ; il pilote pour le plaisir et il en a la possibilité car son père est le propriétaire. Voir mes chronos, ça ne signifie pas grand-chose pour lui et il est même plutôt ravi de voir que j’ai un bon rythme car je pourrai peut-être apporter quelque chose à l’entreprise familiale si ça se confirme. Malgré tout, je n’ai pas envie de m’enflammer pour un chrono ; dans le simulateur, n’importe qui peut être rapide. C’est en piste qu’on verra ce que ça vaut.

Mine de rien, ces chronos m’ont aidé à sociabiliser avec pas mal de gars ici ; je ne suis pas seulement le nouveau pilote, je suis considéré comme une sorte d’alien et même les types que je ne connaissais pas sont venus me voir pour me féliciter, l’occasion de faire rapidement connaissance avec tout le monde. Ces hommes et ces femmes m’ont tous l’air très sympathique et l’ambiance de travail est assez détendue ; je crois bien que je n’ai jamais entendu autant de blagues dans l’usine d’une équipe de sport auto. Ca aide énormément de savoir que, quand je viens ici, ça va bien se passer, car ce n’est évidemment pas facile pour moi de quitter mes proches pour venir dans l’Indiana.
Ce jeudi, il est prévu que je retourne dans le simulateur mais, avant que j’y grimpe, j’échange avec les ingénieurs les plus importants pour ma voiture ; Chris, Ryan et Steve sont les trois ingénieurs en charge de la performance sur ma numéro 30 et ils travaillent dans le même bureau qu’Heather et Moe, qui est d’ailleurs le seul qui manque à l’appel alors que la journée commence dans dix minutes. Les autres semblent réglés comme des horloges.
Je profite donc d’être moi aussi en avance pour faire connaissance avec ces quatre ingénieurs et notamment avec Heather qui, comme son nom de famille le suggère, a des origines italiennes. J’ai demandé brièvement d’où chacun venait et elle a directement parlé de ses origines, même si elle est née dans le Tennessee. Elle parle couramment italien de par ses visites régulières en Toscane pour rendre visite à des cousins éloignés et c’est parce qu’elle a commencé à me parler en italien qu’on a continué à parler tous les deux, en délaissant les trois autres qui se sont mis à parler de NBA. Si on m’avait dit que, parmi les Yankees, je trouverai une italophone, je pense que je n’y aurai pas cru ! Parler italien ici permet de changer un peu de l’anglais américain composé essentiellement de “Yeah” - “affirmatif” -, de “Yuno” - “vous comprenez” - et de “Goodie” - “bien joué/merci”. Alors que la discussion se recentre sur ma culture du sport américain, ridicule comparée à celle de natifs comme eux, Moe débarque dans le bureau et mes quatre compères coupent court à la discussion.

Heather : Hey Moe !
Steve : Hey Moe !
Chris : Hey Moe !
Ryan : Hey Moe !
(tous les quatre en choeur) : Well, nyuck nyuck nyuck nyuck !
Niki : Qu’est-ce que c’est que ce merdier ?
Moe : Ces crétins font la blague à chaque fois que je suis le dernier arrivé...J’essaie de ne jamais être le dernier mais je suivais un camion sur la route ce matin, je savais que j’aurai droit à cet accueil...J’imagine qu’ils s’en donnent à coeur joie si ça permet de t’inclure dans leur délire, vu que tu viens d’arriver.
Niki : Je n’ai pas compris la blague…
Heather : C’est une chanson absolument ringarde des 80s, peu de gens la connaissent mais, par chance, on la connaît par coeur ! Ca s’appelle The Curly Shuffle, c’est notre chanson à tous ici.
Moe : C’est sûrement à cause de cette chanson qu’il y a une si bonne ambiance ici, je suis sûr que Ryan l’écoute tous les soirs avant de se coucher…
Ryan : Et au réveil le matin, aussi !
Heather : Taisez-vous et écoutez le chef d’oeuvre, plutôt.

Au même moment, la chanson se lance sur le portable d’Heather. Les quatre trouble-fêtes commencent à remuer la tête et à taper par terre avec leurs pieds pour suivre le tempo. Alors que le refrain arrive, je me laisse moi aussi emporter par le rythme effréné de cette chanson pourtant pas fantastique si l’on s’en tient au plan purement musical. Je ne pensais pas me retrouver à écouter ce genre de musique en arrivant ici, encore moins sur mon lieu de travail, mais soit : vaut mieux ça qu’une chanson dépressive sur des airs de piano, j’imagine.
Mine de rien, je me demande quand même où j’ai atterri ; je ne saurai pas vous dire exactement mais, étrangement, même si ces gens semblent un peu barges, je crois que c’est un endroit assez sympa.

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
08 juillet 2020 à 18:58:16

 
Hey Moe
Hey Moe
Hey Moe
Hey Moe
Well, nyuck nyuck nyuck nyuck

:bave:
 
J'ai écrit cet épisode l'été dernier, quand Carlos Sainz a commencé à répandre "Smooth operator" dans le paddock de F1. Le lien est tout trouvé, je pense :hap:
https://www.youtube.com/watch?v=1FOUvkQfl2k Ce chef d'oeuvre :cimer: (en vrai non)
 
Première entrée en matière plutôt agréable pour Niki, qui semble se plaire dans sa nouvelle équipe et aussi un peu au volant de sa nouvelle monoplace, mais est-ce que ça perdurera ? Réponses à venir prochainement :oui:

Rosberg67 Rosberg67
MP
Niveau 17
09 juillet 2020 à 10:27:27

Mais WTF, c'est quoi ces fous ? :rire:

https://www.youtube.com/watch?v=1FOUvkQfl2k Ce chef d'oeuvre :cimer: (en vrai non)

En vrai c'est bien de la merde, mais pour le délire c'est drôle :hap:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
09 juillet 2020 à 11:46:13

Le 09 juillet 2020 à 10:27:27 Rosberg67 a écrit :

https://www.youtube.com/watch?v=1FOUvkQfl2k Ce chef d'oeuvre :cimer: (en vrai non)

En vrai c'est bien de la merde, mais pour le délire c'est drôle :hap:

Ouais voilà c'était l'idée :hap:

PapY_MoLoToV PapY_MoLoToV
MP
Niveau 59
09 juillet 2020 à 11:50:53

Le 09 juillet 2020 à 10:27:27 Rosberg67 a écrit :
Mais WTF, c'est quoi ces fous ? :rire:

https://www.youtube.com/watch?v=1FOUvkQfl2k Ce chef d'oeuvre :cimer: (en vrai non)

En vrai c'est bien de la merde, mais pour le délire c'est drôle :hap:

Je suis d'accord :noel:

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