Ton renne duquel je tomberais amoureux en hippie vegan

Rofl, rien d'aussi prononcé ...

C'est spécial car y aura des flashbacks dans le passé de certains persos.

C'est spécial car y aura des éléments notables avec les dates de chaque passage (qui ne seront pas forcément les mêmes).

Un des deux , j'en suis convaincu de source sûre Evian

Un petit

T'inquiète pas je pense pas qu'on a oublié le topic, juste qu'on a rien à dire là

On est tous sur ACO*

Yo,

Je vous prie de m'excuser pour le retard. Je suis en vacances mais ma copine est chez moi donc en dépit de toute ma bonne volonté, c'est assez compliqué de prendre plusieurs heures pour écrire un chapitre. J'ai écrit avant-hier, hier et je continue aujourd'hui mais voilà, ça prend du temps. Je maintiens que ça arrivera bientôt.

Bon week-end.

Fais toi désirer Françouille

OOOOOOOOOOKKK !

Voici le chapitre 5. Avant toute chose, je m'excuse pour le retard même si la plupart d'entre vous ne m'en veut pas. Avant de vous souhaiter une bonne lecture, sachez que ce chapitre est encore plus long que le 3ème puisqu'il fait plus de 13000 mots. Sachez d'autre part qu'il était - à l'origine - censé être un chapitre transitif qui serait plus court que les précédents mais ... Il n'en fut rien. J'espère que la quantité ET la qualité justifieront votre attente.

Un conseil : pour le lien rainymood, je vous suggère de cliquer une fois sur le haut parleur au moment de lancer la musique de sorte à diminuer légèrement les sons de pluie et d'orage (qui sont un peu trop forts autrement et gênent l'écoute du lien YT).

Sur ce, bonne lecture !

Arf, j'ai foiré la mise en page de l'annonce pour l'Ermite ...
J'ai toujours du mal avec le format de Respawn ; la prévisualisation n'est pas fidèle.

Pfiou on est gâté aujourd'hui je sais même pas par quoi commencer

Un autre fail ... plus gros.
Pour la partie du Mutin, je voulais mettre cette musique :
https://www.youtube.com/watch?v=jQ43rCEAQok

C'est le même morceau mais sans loop grossier et avec un remix qui monte plus progressivement en puissance (càd qu'il accompagne mieux la lecture). My bad ... Pour ceux qui n'ont pas encore lu le chapitre, j'espère qu'ils verront ce message et en tiendront compte.

ERRATUM :

Dans la partie du Fantassin, au lieu de lire :

"Il sentait déjà en lui comme une force herculéenne, ses muscles se présentant à sa vision en dépit de sa vision entravée alors qu'il n'avait jamais été aussi massif dans ses souvenirs"

Il faut lire :

"Il sentait déjà en lui comme une force herculéenne, ses muscles se présentant à sa vision en dépit de sa motricité limitée alors qu'il n'avait jamais été aussi massif dans ses souvenirs"

Autrement, la phrase n'est pas très claire.

Lu !

Grosse satisfaction pour ce Chapitre ; j'ai assez peu de réserves à émettre sur le tout, je reviendrai sur les détails par la suite (j'vais pas te bombarder de reproches non plus, cesse de faire la gueule ).
Des pistes qui s'étoffent concernant le passé de pas mal d'archétypes, des manœuvres extrêmes effectuées par deux d'entre eux, des photographies amenées intelligemment, etc.
On sent le taf, tant au niveau de la qualité que de la quantité. On sent que ça t'as pris du temps. Beaucoup de temps .

Argh !!

Merci beaucoup Malthus, au fait.

Une autre modification, qui a trait à un choix cette fois-ci :

Choix de la Descendante :
Quelle est ta réaction face au Fantassin ? Que fais-tu ?

De sorte à octroyer une plus grande liberté d'action à notre Bentley national.
Je voudrais pas qu'il soit limité dans une interaction aussi ... singulière.

BOOOOOOOOOOOON ! Nouveau chapitre

Les Assassins Bon on commence sur le point de vue de la traqueuse. Le fait qu’elle murmure une sorte de prière pour le ciel me fait penser à un antagonisme dans les principes de la Traqueuse : elle croit au destin et serait presque tentée de suivre la foi pour une quelconque existence divine, mais d’un autre côté, elle se méfie au plus haut point de ce que la Terre a connu de plus proche de dieux : les Isus et tout ce qui les entoure.

On enchaîne donc avec la découverte du choix de Loki, qui a finalement refusé de se joindre à eux. Je suis un peu surpris de ce choix, mais c’est plutôt bien justifié par la suite. Par contre, un détail me fait réagir : à deux reprises, on peut voir que le regard du Pugiliste se fait fuyant lors du monologue de l’Ermite…Est-ce uniquement dû à son inconfort qui pourrait être compréhensible dans cette situation, ou alors Golgoth en sait-il plus sur ce que raconte l’Ermite que ce qu’on pourrait croire de prime abord ? Un autre détail m’échappe, tu dis que Loki occulte ses mystérieuses visions, mais on apprend quelques lignes plus haut que la Traqueuse avait été mise au courant de la prophétie Isu, mais les deux ne vont pas de paire, en théorie ?

C’est aussi intéressant que Loki accepte de leur donner toutes les informations dont il dispose : d’un côté, il refuse de s’adjoindre à leur groupe, mais de l’autre, il s’emploie à leur faciliter grandement la tâche en leur donnant toutes les informations dont il dispose. Et je suis convaincu que S.M.S. signifie Super Mario Sunshine, enfin bon . Plus sérieusement, ça amène la véritable question : quels sont les véritables objectifs de l’Ermite ? Ils sont différents de ceux de la Traqueuse, manifestement, sinon il ne pourrait pas envisager leur réussite mutuelle.

On peut d’ailleurs se demander si l’Ermite ne s’engage pas dans cette aventure plus pour en apprendre plus sur lui-même qu’autre chose, comme une sorte de quête identitaire, en soit. Je suis pas sûr de comprendre cette phrase cependant : « la diversité que leur scission impliquait se mouvrait certainement en un avantage certain quand viendrait le moment de défendre ses convictions, face à d'autres et par les armes ». Est-ce qu’elle signifiait que c’était peut-être plus prudent pour les Assassins de ne pas être tous réunis, pour pouvoir prendre un éventuel ennemi par surprise ? Je dois avouer que j’ai pas trop trop cerné ce que tu voulais dire.

Quoiqu’il en soit, on passe à un échange entre Golgoth et Supa, qui décident de ne pas parler de la mission immédiatement. D’ailleurs le passage qui suit est intéressant : il souligne, comme j’avais pu le remarquer avant, les similarités entre le Pugiliste et l’Ermite, et la compatibilité qui aurait pu naître entre les deux, ce qui vient s’ajouter peut-être à une notion de liberté qu’ils partageraient. Ensuite, en plus d’en apprendre à peine plus sur l’enfance de la Traqueuse (par exemple qu’elle s’est mise en danger par le passé pour sortir des clous), une formule est intéressante : « ce qu'elle avait souhaité pour Golgoth, c'était qu'il puisse apprendre aux côtés d'un homme libre ». Ici, c’est paradoxal, Supa se bat évidemment pour défendre la liberté des hommes, mais manifestement, elle ne considère pas les Assassins comme des hommes libres (contrairement à ce qu’elle pense de Loki, donc).

J’ai particulièrement aimé le bref échange philosophique qui s’ensuit, autour de la notion de passions, qui nous démontre aussi la fermeté et la volonté de fer du Pugiliste-apparente en tout cas- vis-à-vis de ses objectifs. On passe alors au point de vue de ce dernier,et là on apprend encore quelque chose d’intéressant ; en effet, s’il se demande ce qu’il en est des membres « restants » de sa famille, c’est que certains membres de sa famille ont dû être décimés par quelqu’un ou par quelque chose, reste à savoir quoi, mais ce serait ce qui l’aurait poussé à se cacher à l’abri du monde, dans cette cave. J’ai hâte de voir ce que donnera l’association Maîtresse-Elève des deux du coup, et voir comment leur relation évoluera et si leurs dissonances de convictions ne prendront pas le pas sur leur alliance. Un mot sur le choix de Golgoth qui est intéressant : il décide de prendre totalement sur lui et, de se soumettre, d’une certaine manière, aux carcans de sa nouvelle famille en enfilant la tunique. Et très sympa le dessin !

L’Ermite Ce passage est un peu plus classique, servant surtout à redéfinir les pensées et les objectifs de l’Ermite, ainsi que les données dont il dispose, mais autant dire que ce n’est pas de trop et que ça arrive au moment idéal : avec le changement de perso, rien de mieux que de poser une bonne fois pour toutes les pensées du personnage à l’instant T.

D’ailleurs, j’en profite pour souligner et te féliciter sur la richesse du vocabulaire que tu utilises (oblast, khlyst…) qui manifeste des recherches que tu fais sans aucun doute pour l’écriture, c’est d’autant plus appréciable et immersif. On en apprend d’ailleurs légérement plus sur la vie de Raspoutine : rien de trépidant néanmoins, mais assez pour donner une direction à suivre d’abord pour l’Ermite mais aussi pour les Assassins qui disposent des mêmes informations.

Mais je pense que personne ne passera à côté de l’information LA PLUS importante de ce passage : Loki a connu Supa par le passé. Et manifestement durant son enfance, ou son adolescence, puisqu’il songe au fait qu’elle a bien grandi. Alors maintenant, reste à savoir les liens qui les unissaient à cette époque là. C’était probablement à l’époque où l’Ermite faisait encore partie de la confrérie des Assassins, mais on peut supposer qu’ils étaient liés d’une quelconque manière, Loki ne s’en serait pas rappelés sinon. Alors quoi, lien familial, autre chose ? Et dernière chose, on peut aussi se demander si un certain événement qui aurait poussé Loki à quitter les Assassins ne serait pas lié à Supa ? Je veux dire, les divergences idéologiques ont joué, avec le temps, c’est certain, mais il y a bien dû y avoir un élément déclencheur pour son départ. Que de questions, wouhou.

Le Samouraï J’avais donc raison pour les flashbacks Plus sérieusement, je pense pas que le fait que l’on commence le passage avec le père du Samouraï par « Gi » (qui pourrait se traduire par la droiture et la rigueur, grosso modo), ne soit un hasard : le père de Jet, comme on peut l’entrevoir dans le passage, était très strict avec son fils, peut-être trop (sérieux, le Samourai a 36 ans en 1917, donc 13 ans en 1894, et s’entraine avec un katana assez aiguisé pour tuer des hommes).

On voit même que l’entrainement le fait souffrir, au point d’en pleurer, mais qu’il s’y résout, sûrement sous la menace d’un père violent. On apprend aussi que Jet avait deux sœurs et une mère. Une réflexion toutefois : si Jet a 36 ans en janvier 1917, c’est qu’il est né, soit en 1880, soit tout début 1881, quoiqu’il en soit, il ne peut pas avoir « tout juste douze ans » en 1894, je me trompe ?

Sinon, la scène qui suit est assez déchirante : Jet pétrifié ne peut qu’assister au massacre de sa sœur et de sa mère, manquant peut-être d’énergie, mais aussi de courage (le «Yu » cité précédemment) pour faire quoi que ce soit. En tout cas, avec ce genre d’événément traumatisant pendant l’enfance, on peut comprendre la marginalisation dans laquelle Jet se complait dans le moment présent : ce pays, à cause de son ADN, n’est pas disposé et ne le sera jamais à l’accepter totalement.

Les Templiers Première observation, le train est parti, et à en croire la mention du lieu, la première escale se fera probablement à Kazan. Alors d’abord, comme le remarquent justement Jet et Bentley, la sollicitude de Deko est suspecte, et on peut donc imaginer qu’avec les informations que le Maître lui a donné, Bentley est tout simplement capitale à la réussite de la mission. A savoir en quoi, mais on ne pourra le découvrir que plus tard, à savoir avec qui Bentley sera au moment où elle pourra s’avérer la plus utile.

Ensuite, je dois saluer toute la réflexion dont ont fait preuve les joueurs pour le choix qu’ils ont effectué à ce chapitre, je ne sais pas de qui vient l’idée de surclasser un individu pour échanger sa place, mais c’est très très bien vu D’ailleurs on peut voir une première entrave à ses devoirs de Templiers imposée par les principes de Jet : là où la Sentinelle n’aurait pas hésité une seule seconde à déclasser une vieille, lui s’y refuse clairement, au risque de mettre en péril la mission, rappelons-le tout de même.

Et tiens, la couchette réservée, c’est intéressant, sans vouloir croire aux coïncidences, j’ai l’impression que le personnage qui l’a réservée influencera le récit par l’avenir, d’une quelconque façon. Mais ce qui m’amène d’ailleurs à une question : si un individu descend à Kazan par exemple, sa couchette restera inutilisable pour tout le reste du trajet ?

Plus sérieusement, ça tombe mal, y a justement une vieille dame dans le compartiment. Et l’échange qui suit montre un problème auquel les Templiers risquent de se frotter durant l’aventure : leur manque de coordination. Entre les principes du Samouraï, la rigueur/froideur et les méthodes contestables de la Sentinelle et la candeur et l’inexpérience de la Descendante, ça n’augure pas forcément quelque chose de bon. A voir si mon personnage se rajoute à un moment à l’équation, ce que ça donnera…

Toutefois, on peut voir que Bentley prend quand même une initiative dans ce passage, ce qui ne passera pas inaperçu aux yeux de la Sentinelle, à voir si elle a tendance à les valoriser ou à penser qu’il ne faudrait pas que Bentley prenne trop de décisions. D’autant qu’elle semble toujours plus disposée à donner des ordres, comme on peut voir avec le Samouraï. Enfin, dernière information notable, même si pas des plus surprenantes : les intentions de Jet envers Bentley sont pacifiques, c’est bon à savoir pour elle, même si elle va passer le voyage loin de lui.

Le Mutin Bon… Par quoi commencer. Ah, je sais, tout d’abord, j’aimerais tout particulièrement te féliciter ici pour la rigueur avec laquelle tu as retranscrit mon RP : le choix du personnage, ses motivations, les pensées qui lui traversent l’esprit… A part l epetit oubli dont je t’ai fait part en MP, tu as parfaitement bien géré ça, et c’était vraiment, vraiment très agréable à lire du coup.

Passons au passage en lui-même. Est-ce qu’on peut voir le bidon qui a fini de se consumer comme une allégorie de la patience du Mutin qui est elle aussi venue à son terme ? Ca a peut-être aucun rapport mais je trouvais l’image jolie.

Je crois qu’à travers ce passage (et je dois avouer que c’était aussi voulu de ma part en te fournissant le RP), on voit à quel point le Mutin jouait la comédie auprès des anarchistes, à quel point il les méprise désormais. Pire encore , à ses yeux, ce qu’il s’apprête à faire est NORMAL compte tenu des circonstances. Que, comme c’est lui qui leur a tout apporté, ils ne méritent pas de vivre sans lui (Un peu nombriliste le gugusse non ?).

On voit également que malgré les faibles attaches qu’il pouvait avoir avec le groupe des anarchistes, Lazarus est un éphémère (« Vova » était destiné à mourir COMME D’AUTRES AVANT LUI), ce n’est pas la première fois, et éventuellement pas la dernière, qu’il doit se détacher d’individus devenus trop encombrants.

J’ai bien apprécié que tu continues l’allégorie sur le théâtre, et on peut se rendre compte de toute la .. « fourberie » du personnage : il se décide à éliminer les Anarchistes de Vasilyevo comme ça, car c’est en son pouvoir (« pourquoi s’en priver ? »), non pas parce que c’est formellement nécessaire, bien que ça lui permette de ne pas laisser de traces derrière lui autant qu’il tourne cette page de sa vie. « A quoi bon se coller une étiquette lorsque celle-ci pouvait s'envoler au gré du vent ? » comme je disais donc, un éphémère, qui change d’étiquette comme bon lui semble. Ce qui rend d’autant plus difficile à cerner ses véritables convictions et intentions.

On peut aussi se demander quel était son but initial en s’acoquinant aux anarchistes, car même d’après lui, ce qu’ils auraient pu lui apporter venait en fait plus de lui-même que d’eux. J’ai pas grand-chose à dire de plus sur la mise en place de son plan , mis à part qu’on peut s’interroger sur la place ou même l’existence de sa morale, tant il ne se formalise pas de la mise en danger de civils dans l’exécution de son plan.

Putain, mais quel enfoiré, même pendant son échange avec la concierge On peut voir une autre facette du personnage : tant qu’il jouait la comédie, et qu’il était dans le personnage de Vova, il n’aurait eu aucun mal à se souvenir de la concierge rien qu’au son de sa voix, mais maintenant que Vova est derrière lui, il ne la considère guère plus qu’une inconnue de prime abord. Son échange et sa dureté aussi sont intéressants, mais malgré ça, il tente un dernier avertissement… Mais encore une fois, comme la concierge décide de ne pas l’entendre, il considère qu’elle mérite normalement le sort auquel elle se condamne.

Bref, excellent passage , encore une fois, j’ai du mal à exprimer à quel point j’adore ce perso et cette musique aussi

Le Mélomane Je ne saurais trop quoi dire sur le début du passage, si ce n’est que, malgré le discours posé et tranquille du Mélomane, malgré ce qu’il laisse transparaître à l’extérieur, c’est une lutte constante à l’intérieur de lui pour garder le contrôle. Cette lutte s’exprime d’autant plus au moment où il commence à se taillader la main : il s’inflige cette douleur pour se focaliser sur elle et pas sur une quelconque pulsion.

Mais au fond de lui, comme décrit dans le passage, il sait que la situation fragile de compromis dans laquelle il se trouvait ne pouvait plus durer, de par les intentions malsaines des villageois, et à un moment il ne peut plus jouer la comédie (dire qu’il joue et se contient de moins belle manière que le Mutin relèverait de l’euphémisme). Vient ensuite où surviennent simultanément l’explosion du bâtiment et celle de la furie de Malthu.

J’ai pas grand-chose à dire sur la scène de massacre, si ce n’est qu’elle est immersive et qu’on est bien dedans (ou comment dire deux fois la même chose en rajoutant des mots). Les cris, le sang, la panique des villageois puis les flammes, on a vraiment une vision presque des Enfers dans cette scène. Et j’aurai tendance à revoir mes jugements sur l’Endurance du Mélomane : le mec s’empare quand même d’une bûche allumée dans l’âtre et résiste à la douleur pour l’envoyer à la gueule de ses détracteurs ; s’il n’est pas endurant, il est au moins apte à ignorer la douleur quand il le veut vraiment.

Au fait, c’est à se demander dans quelle genre de famille le mec a grandi, ces derniers gardant quand même comme héritage des instruments de torture. Bon, on finit sur la position d’un objectif clair pour Malthu : il sera prêt à tout pour retrouver la femme qu’il aime, sa madeleine de Proust.

Le Fantassin Déjà , un détail m’interpelle : ça se passe dans l’extrême Orient de la Russie ? Donc forcément, c’est pas au QG de la Milice. On peut donc imaginer que la Milice a des cellules situées à travers le monde, si ce n’est pas qu’en Russie.

Sinon, la scène est très bien écrite, on ressent carrément l’oppression que ressent le personnage, on se sent mal pour lui. Il est donc au milieu de la Sibérie, manifestement, à opérer des opérations pour la Milice, mais à faire quoi exactement ? Et on peut voir aussi que Dodo a quand même une force incommensurable suite à ses expériences, que lui-même ne semble pas mesurer : il arrive quand même à déformer des attaches plutôt solides, sans même s’en rendre compte.

Bref, même si on en apprend pas énormément, c’est toujours un plaisir d’entrer dans la tête de ce cher Doarry !

Les Miliciens Pas grand-chose à dire non plus sur le début du passage, sauf que j’imagine bien le burlesque de la situation et que les répliques du Génocidaire ont su m’arracher un sourire. Et on voit que ce dernier se fait pas chier, il a décidé de voyager en première classe. A mon avis, ça doit être le genre de mec à apprécier le luxe sans se formaliser de toutes les conventions qui touchent à ce milieu.

Mais peu importe, on en apprend un peu plus sur cette fameuse mission ratée de Sunshine, et , comme il le dit lui-même, il ne se sent pas capable d’éprouver ni culpabilité ni remords, c’est plutôt de la colère envers ceux qui voudraient lui imputer la faute de l’échec de la mission, et qui en jouerait avec lui. Mais comme dit dans le texte, son insensibilité n’est pas dû à cete fameuse mission et date plus de son éducation.

Et on en arrive à ce qui pourrait mener à une première grosse scène d’action : la rencontre entre le Fantassin et les Templières. Même si cette dernière était prévisible étant donné les circonstances, j’ai hâte de voir ce que ça va pouvoir donner, et quelles conséquences elle pourrait avoir : il faut pas oublier qu’ à priori, tous ces individus vont être amenés à voyager ensemble pendant plusieurs jours voire semaines…

Bref, ce fut encore une fois un excellent chapitre, très bonne musique, j’apprécie de plus en plus mon perso, bravo à toi, l’attente vaut franchement le coup et on ressent la marque de ton grand investissement dans cette aventure

Voilà, j'ai pris mon temps mais j'ai lu ! Vraiment génial ce chapitre.

Assassins : Tu arrives parfaitement à vraiment la même vision que moi sur le Pugiliste et ça fait plaisir ( comment tu le fais réagir etc c'est exactement comme ça que je le vois faire )
et pendant leur débats Traqueuse / Pugiliste, je me suis surpris d'être plus d'accord avec la Traqueuse qu'avec le Pugiliste , tant mieux J'ai été surpris du choix de l'Ermite ( après y avoir réfléchis je trouve que c'est le plus RP à mon sens ) je pense qu'il pourrait bien s'entendre ave le Pugiliste

Templiers : J'ai bien aimé le flash back de notre Samourai ( l'ambiance musical était parfaite ) c'est vraiment quelque chose de personnel mais je me suis vraiment attaché aux Templiers ( surtout la Descendante avec son côté "pur" ) preuve de l'excellent travail fourni

Le Mutin : Alors la.. Je m'y attendait tellement pas à ce choix je le pensais moins bourrin, plus fin que TOUT FAIRE PETER !!!! J'aime beaucoup le fait qu'une action engrengé par un joueur est des répercutions chez d'autre perso ( l'explosion chez le Mélomane ) hâte de lire la suite

Le Mélomane : Lui aussi je le pensais plus fin, il est taré, certes mais je pensais qu'il n'aurait pas de pulsion ou il pète des cables... Interessant, je ne demande qu'à être surpris

Roméo et Juliette : AU MON DIEU !!!! On en apprend enfin ( ce n'est pas péjoratif ) plus sur le fantassin ! Il était quand même très en retrait ( normal me direz-vous avec le RP du perso ) et bin je le kiff déjà ! Une de mes grosses attentes, en savoir plus sur le fantassin !

Au prchain chpitre, ou celui d'après on risque d'avoir notre premier pvp ! Dieu sait que j'ai hâte !