https://www.jeuxvideo.com/forums/42-19348-47112785-459-0-1-0-imperial-ou-sombrage.htm#post_857023785

J'étais également censé être un vulgaire loriste insensible à l'étincelle de la création, condamné à errer sans but dans les bibliothèques d'Apocrypha.

[4E 170, Le 13 Loredas, Ondepluie; Sud de la frontière Bosmero-Impériale]

La Lame Brétonne fonçait maintenant sur Celelian et ses compagnons, seul contre trois.

- Il n'a aucune chance face à nous; à quoi peut-il bien penser ? se dit Celelian, confiant, voire orgueilleux.

Contrairement à ce que souhaitait en général l'éducation Altmer, il avait toujours été meilleur épéiste que mage, malgré une excellente maîtrise de l'école de Destruction.
Quant à ses coéquipiers, Meridur et Eldaion, il n'avait aucun doute concernant leurs compétences.

Ils étaient des Traqueurs, des chasseurs de Lames à travers le Domaine Aldmeri, spécialement sélectionnés dans les rangs du Thalmor pour leur loyauté et leurs aptitudes au combat.
Comment une seule Lame, aussi expérimentée soit-elle, pensait-elle venir à bout d'eux ?

- Finissons-en ! lança Celelian à ses compagnons.

Alors qu'il prononçait ces paroles, certain de l'emporter aisément, le Bréton disparu instantanément.

- Un sort d'Illusion ! lança à son tour Meridur.

Alors que l'Altmer s'apprêtait à lancer un sort de détection, la silhouette évanescente se trouvait déjà derrière lui, comme une faucheuse venant réclamer son dû.

La lame se matérialisait à nouveau alors qu'elle transperçait l'elfe de part en part.

Meridur observait avec horreur le métal souillé de son propre sang, alors qu'il se retirait lentement.

- Par Auri-El, mais qu'est-ce qu.... Le sang dans sa bouche étouffa ses dernières paroles.

La Lame était de nouveau visible, le sang de Meridur coulait le long de son épée; son expression était celle d'un homme déterminé, prêt à emporter avec lui ses ennemis dans sa tombe.

- Maudite Lame. pensa Celelian, amer.

Il avait de toute évidence sous-estimé cet homme, et son orgueil lui avait fait oublier que les Lames étaient de prodigieux adversaires; même pour un Traqueur.

Il lança un rapide coup d'oeil à son équipier, et ils fondirent ensemble sur le Bréton.

Celelian frappa d'un coup puissant en direction de son buste, tandis qu'Eldaion lançait une boule de feu pour le distraire.
Le Bréton absorba le sort à l'aide son bouclier, et dévia le coup de Celelian d'une habileté surprenante.

D'un geste rapide, il retroussa ensuite la manche de son bras droit, et une arbalète dissimulée décocha trois carreaux en direction d'Eldaion.
La botte prenait de court l'Altmer, qui eut à peine le temps de présenter son épée en guise de bouclier de fortune.

La lame dévia le premier carreau; mais les deux autres se logèrent dans son torse à une vitesse telle qu'il en perdit l'équilibre.

Eldaion laissa échapper un râle de douleur, et il observait maintenant, confus, les deux tiges de bois fichées dans son corps.
Alors que Celelian se portait à son aide, l'homme se présentait déjà devant son compagnon, mis à genoux par la violence du choc.

Celelian se figea sur place, abasourdi par la rapidité et l'expérience de cette Lame; par le passé, il avait déjà combattu l'Ordre à maintes reprises, avec un succès avéré.
Mais cet homme là était bien différent : il était rapide, furtif, rusé, réactif; il semblait invulnérable.

Le Bréton se dressait devant Eldaion, tel un bourreau paré à délivrer la sentence.

Il plongea ensuite son regard métallique dans celui de Celelian :

- Votre arrogance vous perdra, Altmer. Si ce ne sont pas les Lames, d'autres se dresseront demain devant vous. dit-il calmement.

Il reporta ses yeux sur Eldaion, qui peinait à respirer à cause de sa blessure :

- Ce n'est qu'un juste retour, pour la mort de mes frères et soeurs d'armes. prononça t-il, solennellement.

Celelian comprit qu'il était trop tard; alors qu'il s'apprêtait à fondre sur le Bréton, un filet de sang macula subitement le sol.

Eldaion s'effondra dans un bruit sourd; un flot sombre continu s'échappait de sa gorge alors que son regard s'éteignait lentement.

La faucheuse se tournait maintenant vers Celelian :

- Mes dieux veillent sur moi, Altmer; pouvez-vous en dire autant ?

Putain, oui

J'arrive parfaitement à visualiser la scène de combat dans ma tête

Sinon, Celalian va être Dovahkiin tu disais ?

Non, mais il sera en contact avec Delphine, Fasendil, et peut-être le Dovahkiin.

Je voulais éviter d'en faire un personnage trop "cheaté", Celelian étant déjà un personnage particulièrement dangereux.

Pour la première fois de ma vie j'ai été du côté des Altmers
Sinon je me suis aussi très bidn visualisé la scene
Sweet ?

[4E 200, Sombreciel; village de Rivebois, en Bordeciel]

La nuit était déjà tombée, alors qu'il passait le poste de surveillance du village; les gardes avaient l'habitude des voyageurs de passage à cette heure tardive, aussi continuèrent-ils leur partie de cartes sans autre précaution qu'un furtif coup d'oeil.

Le nouvel arrivant sortit de sa poche un parchemin jauni par la pluie, et scruta ensuite le seul gîte du village, qui était l'Auberge du Géant Endormi; il plia la lettre, passa sur les vieilles marches de bois, et pénétra dans l'établissement.
La chaleur de l'endroit contrastait avec le climat frais de la province nordique, et il sentait tout doucement les caresses des flammes le revigorer.

Prudent et suspicieux, il préserva la capuche de son manteau rabattue sur son visage, conscient que cela était loin d'être matière à inquiéter qui que ce soit dans une auberge de passage.
Il regarda alentour, observa minutieusement les visages des clients : un barde, accoudé au comptoir, qui jouait une vieille ballade nordique, et quelques autres villageois.

Tout à coup, il aperçut au fond de la salle, le visage dur à moitié éclairé par le feu, une femme d'âge mûr; une Brétonne, plus exactement.
Le voyageur avança jusqu'au comptoir, et, de façon presque inaudible, sifflota une mélodie inconnue de tous; une ancienne chanson impériale, vieille de plusieurs siècles.

Personne ne réagit, tout le monde étant occupé à ses conversations sur la taille du poisson attrapé le matin même, ou sur la situation dans la province.
Après un court instant, néanmoins, la Brétonne du fond de l'auberge reprit la mélodie, sifflotant à son tour.

C'était son contact.

La vieille femme s'engouffra discrètement dans une pièce à l'arrière du bâtiment; le voyageur suivit peu après, refermant la porte après son passage.

La Brétonne le regardait d'un air méfiant, une main posée sur le pommeau de son épée; puis elle lança :

- Pourrais-je savoir comment un simple voyageur est capable de connaître une mélodie uniquement transmise au sein des Lames ?

Le voyageur ne répondit pas directement, et releva lentement sa capuche; elle dévoila un Altmer d'un certain âge, aux traits raffinés et réguliers, aux yeux d'un vert émeraude scintillant, et à la chevelure longue et claire, typique d'un Haut-Elfe.

- A mon grand désespoir, j'ai eu maintes fois l'occasion de croiser certains de vos compagnons. dit-il d'un ton solennel.

La Brétonne le dévisageait maintenant depuis plusieurs minutes, comme si elle tentait, en vain, de sonder l'âme de la personne en face d'elle.

- Je suppose que vous êtes donc le contact que je recherchais. dit-elle, en s'asseyant.

Elle désignait la chaise en face de la sienne.

- Il semblerait bien. répliqua t-il, en prenant également place.

Ils se regardèrent pendant un certain moment, tandis qu'une pluie torrentielle commençait à s'abattre sur les carreaux de la fenêtre.

La vieille femme brisa le silence pesant :

- J'ai beau être particulièrement douée dans la récolte d'informations, je ne sais toujours pas qui vous êtes.

Il hésita un bref instant avant de répondre :

- L'Aigle Noir, le Fratricide. Peu importe mon nom.

Ces paroles provoquèrent une violente réaction chez la Brétonne, qui repoussa brusquement sa chaise et se dressa d'un coup devant l'elfe, épée en main.

- L'Aigle Noir, n'est-ce pas ? Donnez-moi une seule bonne raison de ne pas vous trancher la gorge sur-le-champ, tueur de Lames.

L'Altmer ne cilla pas, et répondit posément :

- La guerre est terminée, Lame, et chacun de nous deux porte un lourd passé derrière lui. De plus, nous avons maintenant un ennemi commun, et vous aurez besoin de mon aide contre lui.

La Brétonne hésita un moment, pendant qu'elle scrutait le regard de son ancien ennemi; c'était le regard d'un homme sincère, froid et déterminé.
Elle se décida à ranger son arme, et reprit place.

- Appelez-moi Delphine. dit-elle sèchement.

- Très bien; et appelez-moi Celelian. répondit-il calmement.

Le 07 mai 2017 à 14:41:28 Krengaard a écrit :
Pour la première fois de ma vie j'ai été du côté des Altmers

Merci; c'est l'effet recherché

Merci de donner ce rôle à Delphine. C'est un personnage que j'apprécie et que je trouve trop durement jugé par la communauté des joueurs.

Mais une question me taraude : tu joueras sur PC ou console ? Car ton RP me semble nécessiter mods et console informatique. Par exemple, comment faire la quête d'infiltration de l'ambassade Thalmor sans être Dovahkiin ?

Le 07 mai 2017 à 15:39:53 RtasVadumee a écrit :
Mais une question me taraude : tu joueras sur PC ou console ? Car ton RP me semble nécessiter mods et console informatique. Par exemple, comment faire la quête d'infiltration de l'ambassade Thalmor sans être Dovahkiin ?

C'est en partie pour cela que je n'arrivais pas à situer mes écrits entre Fic et RP, et que je n'y arrive toujours pas.

Dans le futur, je compte bien détailler la quête du Dovahkiin; mais durant cette période, Celelian interviendra principalement à travers des lettres, des contacts, ou bien en personne sous un alias.

Mais comme il ne sera pas le Dovahkiin, ça ne devrait logiquement pas être lui qui infiltre l'ambassade, non ?

Mais comme il ne sera pas le Dovahkiin, ça ne devrait logiquement pas être lui qui infiltre l'ambassade, non ?

Oui, techniquement tu as raison mais je pensais que tu voulais faire toutes les quêtes ayant un rapport avec le Thalmor.

Bref, pour être honnête, je suis en train de jauger la situation pour voir ce qu'il serait possible de faire de mon côté

Le 07 mai 2017 à 15:51:22 RtasVadumee a écrit :
Oui, techniquement tu as raison mais je pensais que tu voulais faire toutes les quêtes ayant un rapport avec le Thalmor.

Bref, pour être honnête, je suis en train de jauger la situation pour voir ce qu'il serait possible de faire de mon côté

Et moi, il faudrait que j'établisse où mes écrits me mènent à la fin, parce que je n'en ai aucune idée

[Journal de Celelian Alkineus; Entrée du 15 Morndas, Soufflegivre; 4E 177]

Si quelqu'un m'avait dit un jour que je me résoudrais à poser mes pensées sur le papier, je n'aurais jamais cru cette personne; pourtant, ce soir, au coin du feu, je ressens l'étrange besoin de coucher les tréfonds de mon âme sur cette page vierge, comme si celle-ci m'invitait, d'une voix douce et rassurante, à tenter cette expérience singulière.
Durant la Grande Guerre (comme l'appellent maintenant les Impériaux), certains de mes compagnons s'adonnaient à cette activité, que je prenais encore à l'époque pour un aveu de faiblesse de leur part; je crois que je commence à comprendre que cela leur permettait d'expier une partie de l'horreur que nous côtoyions à cette période; du moins, pour une partie d'entre eux, je l'espère.

Voilà maintenant près de deux ans que la guerre s'est terminée avec la reprise de la Cité Impériale par l'armée de Titus Mede II, et la signature du Traité de l'Or Blanc entre l'Empire et le Domaine Aldmeri; suite à cela, l'Empire se retrouve plus affaibli que jamais face à son ancien ennemi, qui dissimule un poignard acéré derrière un sourire factice.
Pour accabler et humilier encore plus l'Empire, le Domaine a obtenu de larges territoires en Hammerfell, grâce au traité; les Rougegardes continuent néanmoins de soutenir le combat après cette trahison (mais Titus avait-il réellement le choix ?).

Pourtant, je ne retire aucune satisfaction de cette situation.

Deux ans que le conflit s'est achevé, et mes souvenirs de cette nuit de l'an 174 sont encore vivaces, douloureux comme une plaie destinée à ne jamais cicatriser.
Les clameurs durant l'assaut, le bruit des portes qui s'écrasent devant la violence des coups, les hurlements des soldats à l'agonie..

De jour en jour, mon esprit semble tenter d'obscurcir un peu plus ces mémoires; en vain.
Peut-être les Dieux, quels qu'ils soient, ont-ils jugé juste de m'imposer cela comme un fardeau, une punition pour mes actes; et je dois bien avouer que je le comprendrais.

Le regard monstrueux du Général Naarifin s'évertue à m'apparaître en songes, aussi vif qu'une marque au fer rouge; le regard qu'il avait lorsqu'il ordonna de massacrer les habitants de cette ville.
Chaque nuit, sans exception, je me retrouve à l'intérieur de ce manoir de la Place Talos; les corps ensanglantés de mes anciens compagnons ne cessent de me maudire, de m'accabler, et je suis incapable de prononcer un seul mot.
Alors que je parviens enfin à détourner le regard, j'aperçois dans les flammes cette femme et son enfant; elles m'observent, sans un mot, immobiles. Je tente de parler, d'implorer leurs pardons pour avoir été incapable de faire quoi que ce soit, mais je reste condamné au mutisme le plus complet, condamné à revivre, impuissant, cette nuit d'horreur.

Et chaque nuit, en poussant enfin la porte du manoir, j'assiste au massacre inéluctable de ces innocents; hommes, femmes, vieillards, enfants..
Je reste figé sur place, comme une statue de pierre, contraint à observer mes semblables s'offrir à ce bain de sang et de haine.

Je me réveille enfin, au milieu de la nuit, en sueur, apeuré et coupable.
Quel fidèle sujet je dois être pour la Princesse Vaermina; celle-ci doit festoyer tous les soirs, se vautrant dans la noirceur de mon âme.

Me voilà maintenant, moi, Celelian Alkineus, traître et apatride, activement recherché par ceux que je servais auparavant avec une loyauté indéfectible.
Comment ai-je pu croire leurs mensonges ? Comment ai-je pu suivre leurs ordres ? Comment ai-je pu me laisser duper aussi facilement ?
Pendant plus d'un siècle, j'ai servi leurs intérêts comme une vulgaire marionnette, persuadé que cette voie était noble et qu'elle signifiait le salut de mon peuple; comment ai-je pu être aussi naïf ?

J'accepte mon fardeau, j'accepte de porter avec moi ce lourd passé et d'être l'esclave impuissant de la Maîtresse des rêves; j'accepte cette malédiction car mes actes sont impardonnables.
Mais je jure sur ma vie qu'ils paieront; jusqu'à mon dernier souffle, je traquerai chacun d'eux; jusqu'à mon dernier soupir, je n'aurai de cesse de réclamer mon dû.

Que ce journal soit le témoin de ma promesse et de ma quête : je détruirai le Thalmor de mes mains.

Putain mais comment ça se fait que je sois le seul à commenter ça ?

Cet haut-elfe est le nouveau Lurtz gro-Lurkburtz de ce forum et le style interne de Naytoz nous le rend encore plus viscéral que ne l'était ce bon vieil orc.

ça me peine un peu de le dire étant donné à quel point j'aimais ce personnage mais Rosario di Spada n'était pas encore l'alter ego que j'attendais pour Lurtz. C'est Celelian Alkineus, cela me semble aujourd'hui une évidence.

(par contre, il faudra que je développe à mon tour la barbarie côté empire car ici, on a l'impression que les Thalmors sont les méchants haineux alors que l'Empire est la pauvre victime innocente. C'est tout à fait logique étant donné que Celelian a vécu le conflit du côté du Thalmor, mais il faudra que je montre pour ma part que la légion impériale n'a pas gardé les mains complètement propres dans ce conflit horrifique)

L'engouement est en effet assez discret, comme le faisait remarquer Volodio.

Mais peu importe, je me contente de plaisirs simples; je retire déjà une certaine satisfaction de pouvoir construire un personnage structuré; tant mieux si cela plaît à d'autres, mais ce n'est pas le but premier.

Cette humilité de prince

En tous cas, en tant que quasi-pape du RP avant ton envolée artistique, je confirme que jamais un RP ne m'avait autant emballé et que j'ai d'immenses espérances pour Celelian. Bien qu'il agisse dans l'ombre plutôt que sur le devant de la scène, je suis persuadé qu'il a le potentiel pour devenir une figure majeure de la quatrième ère et là où Lurtz aura presque tué l'Empire par son ego destructeur, je suis persuadé que Celelian détruira effectivement le Thalmor, par sa seule volonté inébranlable de rédemption.

Je te remercie de ton intérêt fidèle et sincère

Les bases psychologiques de Celelian sont posées actuellement, tout comme l'événement qui a provoqué sa désertion du Thalmor; néanmoins, je souhaite principalement améliorer deux choses primordiales selon moi :

- La première chose, c'est que je souhaite développer et détailler certaines des "tâches" accomplies par Celelian pour le compte du Thalmor; on a un bref aperçu avec son combat contre Vengarl (que je dois encore terminer, d'ailleurs), mais je parle d'autres choses que la traque des Lames; du genre intimidation ou assassinat d'un haut dignitaire.

- Et la seconde, c'est qu'il faudrait que je cesse un peu de m'éparpiller : le passage de la rencontre avec Delphine était important pour introduire son futur rôle dans Skyrim, mais il faudrait pour le moment que je me focalise sur son passé dans le Thalmor et des actes qu'il finira par regretter.

Les bases psychologiques de Celelian sont posées actuellement, tout comme l'événement qui a provoqué sa désertion du Thalmor; néanmoins, je souhaite principalement améliorer deux choses primordiales selon moi :

- La première chose, c'est que je souhaite développer et détailler certaines des "tâches" accomplies par Celelian pour le compte du Thalmor; on a un bref aperçu avec son combat contre Vengarl (que je dois encore terminer, d'ailleurs), mais je parle d'autres choses que la traque des Lames; du genre intimidation ou assassinat d'un haut dignitaire.

- Et la seconde, c'est qu'il faudrait que je cesse un peu de m'éparpiller : le passage de la rencontre avec Delphine était important pour introduire son futur rôle dans Skyrim, mais il faudrait pour le moment que je me focalise sur son passé dans le Thalmor et des actes qu'il finira par regretter.

Putain, des années à pisser des litres et des litres d'urine dans un violon pour tenter d'inculquer quelque chose à ce ramassis d'incapables et voilà que tu me montres enfin que tout cela n'aura pas été inutile C'est beau