Chapitre 21 (n°377) : 500

---TOUR 171
Jakob : C’est parti pour les derniers arrêts aux stands ! Marcus Stevenson, leader de cette course, est le premier des leaders à plonger dans la gasoline alley...Il laisse en piste ses cinq compagnons d’échappée que sont Askew, VeeKay, Fittipaldi, Newgarden et Carpenter, ceux-là ont créé l’écart avec le reste des pilotes.
Rene : Il y a du CV dans ce groupe de 6...L'un de ces six va probablement l'emporter et peu importe de savoir duquel de ces six il s'agit, ça sera un beau vainqueur.

---TOUR 173
Jakob : Deux de moins en tête de course : arrêt pour le leader Askew mais également pour Ed Carpenter ! Rinus VeeKay, parti trente-deuxième, mène à vingt-sept tours de la fin !
Rene : La question est de savoir dans quel ordre on aura le quatuor Stevenson-Newgarden-Askew-Carpenter...Newgarden a été plutôt rapide sur son tour de sortie, peut-il la faire à l’envers à Askew ?
[...]
Jakob : On reprend de la vitesse du côté de la numéro 11, voilà Stevenson qui passe...Mais pas de Newgarden en vue, opération semble-t-il réussie chez Chip Ganassi !

---TOUR 175
Jakob : Rinus VeeKay est rentré aux stands à la fin du tour 174 pour laisser les commandes à Fittipaldi. Le brésilien est parti en première ligne mais c’est la première fois qu’il mène, comme quoi ! Du côté de VeeKay, on quitte la voie des stands à l’instant...Stevenson passe sans problème, il devrait en être de même pour Askew-
Rene : Voilà ! Entre Askew et Newgarden...Pas de changement pour l’instant dans le top 6, en attendant l’arrêt du leader provisoire.
[...]
Jakob : Un seul tour en tête pour Pietro Fittipaldi, qui laisse son compatriote Sette Câmara aux commandes...Overcut de plusieurs tours pour le pilote AJ Foyt sur certains, ça pourrait l’aider face à Newgarden par exemple !
Rene : Newgarden justement...Sera-t-il devant ou derrière le brésilien ? Ca va se jouer à peu de choses, Stevenson passe, idem pour Askew et VeeKay...Voilà Newgarden, qui dépasse Conor Daly à l’instant et qui enchaîne avec Fittipaldi !
Jakob : Seul changement dans le top 6 via ces arrêts aux stands : Newgarden quatrième provisoire !

---TOUR 176
Jakob : Un seul tour de parade pour Sérgio Sette Câmara...Kelly Lambarelli va faire son retour en tête de la course.
Rene : Dernier arrêt au tour 157 pour la pilote Belardi...Elle peut aller au bout si ses adversaires commencent à jouer aux auto-tamponneuses. Si ce n’est pas le cas elle devra ravitailler mais, pour l’instant, elle est la vraie leader de cette course ! Imaginez si Kelly Lambarelli va au bout et remporte cette course-
Jakob : Du calme Rene, il reste encore plus de vingt tours.
Rene : Rabat-joie...

---TOUR 177
Jakob : Attaque d’Angelo Fioretti pour prendre les commandes de cette course...Ca passe pour le rookie italien !
Rene : Ca ressemble plus à un dépassement de “gala” qu’autre chose. Fioretti a encore un arrêt à faire, il ne lutte pas contre Lambarelli pour le classement final à première vue. C’est d’ailleurs le seul pilote qui est en lutte avec les “vrais” leaders et qui a encore un arrêt de prévu ; O’Ward, McMullen, Carter et Haymond, qui sont entre la troisième et la sixième place, vont tenter d’aller au bout comme Lambarelli. Arrêt tour 160 pour Haymond, 158 pour Carter, 157 pour Lambarelli et O’Ward, 153 pour McMullen. Autant dire que Sarah Haymond est la favorite dans ce groupe. Sauf crashs imminents, ça va être compliqué pour les autres, à part peut-être pour Carter sur un coup de chance.

---TOUR 179
Jakob : C’en est terminé pour l’échappée belle d’Angelo Fioretti ; l’italien rentre aux stands à l’instant et il va laisser les leaders s’expliquer pour la victoire !
Rene : Les vingt derniers tours vont être époustouflants, ne bougez pas de votre canapé !

Classement après 180/200 tours :

---TOUR 186
Rene : Ca va commencer à être vraiment juste pour les leaders...McMullen est presque en roue libre, passé de la cinquième à la dixième place en cinq tours et les autres ne vont pas tarder à subir le même traitement...Cinq secondes d’avance pour Lambarelli sur O’Ward, huit sur Carter, quatorze sur Haymond, dix-huit sur Stevenson. Il n’y a que Lambarelli qui peut se permettre de vraiment lever le pied pour rallier l’arrivée...Et encore ! Quant à Haymond, pour l’instant c’est mal embarqué pour elle, elle va devoir calmer un peu le rythme si elle veut aller au bout. Pour moi, la victoire est pour Haymond ou Stevenson.
Jakob : Ah, ça y est, le pronostic de Rene ! Il est parti, à quinze tours de l’arrivée, nous allons voir si vous disiez vrai !

---TOUR 189
Rene : VEACH !
Jakob : Oh, Zach Veach dans le mur !
Rene : Crash similaire à tous ceux vus aujourd’hui, vraiment étrange, mais la grosse nouvelle c’est surtout le regroupement à venir ! Les carottes sont cuites pour notre trio de tête, en revanche Sarah Haymond, qui vient d’être passée par Stevenson, va pouvoir aller au bout je pense !
Jakob : Pace Car, les écarts vont être réduits à zéro, la pitlane est fermée ; les rêves de Lambarelli, O’Ward et Carter viennent de s’envoler !

Classement après 190/200 tours :

---TOUR 194
Jakob : Fin du tour 194, six tours restants ici à Indianapolis et nous allons reprendre la course dans quelques secondes...Lambarelli mène devant O’Ward et Carter mais les trois vont sans doute devoir repasser par les stands, on retrouve ensuite Stevenson, Haymond, Askew, VeeKay, Newgarden, Fittipaldi et Daly...Marcus Stevenson est le grandissime favori pour ce finish mais attention aux éventuelles surprises...C’est reparti !
Rene : Très bon restart de Patricio O’Ward à la deuxième place, il se porte à hauteur de Lambarelli et passe avant même la ligne de chronométrage ! On arrive au premier virage-
Jakob : C’est chaud entre les trois leaders, derrière Stevenson lève le pied, il sait qu’il a course gagnée s’il ne fait pas d’erreur et il n’en fait pas pour le moment ! O’Ward premier devant Carter et Lambarelli, le trio de tête lutte pour l’instant mais leurs tours sont comptés !

---TOUR 195
Jakob : Il restera cinq tours à parcourir quand les pilotes franchiront la ligne...Alors que Stevenson y va sur Lambarelli et ça passe ! Troisième place pour Stevenson, plus que deux obstacles mais combien de temps ceux-ci tiendront-ils ?! Marcus Stevenson, vingt-et-un ans, est en passe de remporter les 500 miles d’Indianapolis, regardez l’écart avec ses poursuivants !
Rene : Askew est le seul qui suit à peu près...Stevenson est maître de son destin désormais !

---TOUR 196
Jakob : Stevenson un peu perturbé par la voiture de Cameron Carter devant lui, l’australien lui donne de l’air turbulent et ça complique la tâche du pilote Juncos, évidemment Carter essaye de faire le jeu de son équipier O’Ward, les deux Steinbrenner résistent mais ça s’annonce compliqué !
Rene : O’WARD AUX STANDS !
Jakob : ET CARTER ÉGALEMENT ! C’en est fini pour les deux hommes, contraints de rentrer aux stands à quatre tours du but ! Que c’est dur pour eux !
Rene : Stevenson est en tête, il a l’Histoire au bout des pieds et des mains !

---TOUR 197
Jakob : Et c’en est fini également pour Kelly Lambarelli, qui rentre aux stands à trois petits tours de la fin de la course, quelle déception pour ceux qui avaient tenté ce pari : ça n’a pas fonctionné ! Marcus Stevenson est donc désormais suivi par Askew, Haymond, VeeKay, Newgarden, Fittipaldi, Sette Câmara, Milligan, Carpenter et Fioretti, trois tours à parcourir et presque deux secondes d’avance pour le pilote Juncos, ça sent très bon pour lui !
Rene : Stevenson a course gagnée, il doit juste ramener la machine à la maison et il remportera cette course, quelle démonstration de sa part...

---TOUR 200
Jakob : Dernier tour des 500 miles d’Indianapolis, Marcus Stevenson mène avec 2.5 secondes d’avance sur Oliver Askew, 3.5 sur Sarah Haymond, 4.2 sur VeeKay et 4.9 sur Newgarden ; dernier tour avant d’écrire l’Histoire pour ce gamin de New York et quelle histoire ! La voiture du team Juncos, tout petit constructeur, va créer la sensation dans quelques instants, l’équipe argentine va remporter les 500 miles d’Indianapolis pour la première fois de son existence et mettre fin à douze ans d’hégémonie du trio Andretti-Ganassi-Penske. Pour ce pilote issu d’une famille modeste, le pilotage a longtemps été une utopie mais c’est devenu réalité et, à vingt-et-un ans, il va devenir le plus jeune vainqueur et le premier afro-américain vainqueur de la course la plus célèbre au monde...MARCUS STEVENSON REMPORTE LES 500 MILES D’INDIANAPOLIS 2026 !
Rene : Vingt-et-un ans mais un talent immense et des épaules de géant pour résister à la pression, il a réalisé une course parfaite de A à Z. Rapide tout au long de la course, il n’a jamais semblé hors du coup et cette victoire est amplement méritée.

Marcus: YYYYYYYYYYEEEEEEEEEESSSSSSSSSS!!!!!
Team: Some people write history, but you’ve written a whole darn new book. You are incredible Marcus. You are a legend. YOU ARE AN INDY 500 WINNER!
Marcus: Oh my goodness me...I cannot believe it guys...I cannot believe it…YYYYYYYYEEEEEEEESSSSSSSS!!!
Team: None of us can. We all love you mate, we’re incredibly proud of what you’ve just done. You’re part of history now.
Marcus: I’m fricking crying, Jesus Christ...Thank you guys, thank you so much for making this all possible. I feel so so sooo grateful, this is the best day of my life. THANK YOU!'

Jakob : Énormément d’émotion à la radio pour Marcus Stevenson, à qui il va sûrement falloir du temps pour réaliser l’exacte portée de ce jour ! Le 24 mai 2026 restera gravé à jamais dans les annales pour plusieurs raisons ; première victoire de son équipe Juncos sur la course la plus célèbre du monde, première victoire de la carrière d’un futur grand qui devient le plus jeune vainqueur de l’Histoire des 500 miles, premier afro-américain vainqueur d’une course d’Indycar, c’est tout bonnement exceptionnel. Retenez bien ce nom car vous n’avez pas fini d’en entendre parler.
Rene : Oliver Askew n’aura pas démérité mais va devoir se contenter de la deuxième place, derrière lui c’est l’impressionnante rookie Sarah Haymond qui coupe la ligne à la troisième place ! Là encore, du talent à revendre puisque la protégée de Susie Wolff égale déjà le record de Danica Patrick pour le meilleur résultat d’une femme sur le Speedway et ce pour sa première participation.
Jakob : Rinus VeeKay termine quatrième après une incroyable remontée, il lui aura malheureusement manqué trois places mais cette quatrième place doit certainement le satisfaire, tandis que Josef Newgarden va terminer cinquième.

Résultats :
Championnat pilotes :

350 000 personnes en transe absolue après avoir vécu une cent-dixième édition très spéciale ici à Indianapolis, ça n’a pas de prix. La course en elle-même n’était peut-être pas un grand classique car il y a eu pas mal de temps morts en milieu de course et que les trois derniers tours étaient plats au possible, mais le résultat final agit comme un séisme sur l’Indiana ; les favoris - y compris moi - sont tombés comme des mouches, nous avons failli avoir droit à un vainqueur insolite comme Lambarelli ou Carter et le top 10 est parsemé de noms étonnants, mais au final c’est Marcus Stevenson qui remporte un succès dont la valeur dépasse le cadre de notre sport. A la manière d’un Lewis Hamilton vingt ans auparavant, Marcus vient de faire tomber une barrière sauf que cette barrière contenait les espoirs d’une grande partie de la population américaine : ce gamin de vingt-et-un ans vient de montrer que tout est possible pour ceux qui se donnent les moyens de réaliser leurs rêves les plus fous.

Pour moi, le bilan est terne. Arrivé ici en qualité de leader du championnat avec une marge de trente points, je repars d’ici avec le même déficit de trente points sur Oliver Askew, nouveau leader du championnat et l'un des vainqueurs moraux de cette course qu'il aurait aussi mérité de gagner. Milligan et Stevenson sont également devant moi au général ; les points doublés de cette course si particulière effacent une partie du travail réalisé depuis mars et ça fait un peu mal au moral.

Au moment de résumer mes débuts à Indy, on peut se l’avouer : ce n’était pas une réussite du tout. Je crois que je me suis laissé impressionner par l’ampleur de la chose et il n’y a rien eu de notable pour moi au cours de ces deux semaines ; des qualifications poussives avec une élimination évitée de peu, une erreur des plus ridicules en course et un abandon, ce n’est pas bon. Je ne pensais pas que je pourrai me laisser intimider par une course passé un certain âge mais ma première participation au “plus grand spectacle de la course automobile” a prouvé le contraire. Pendant que Stevenson savoure le lait dans la Victory Lane, je ronge mon frein tout comme le fait Bobby, qui vient me glisser deux mots pour essayer d’éponger la déception. Mais je sens bien qu’on est aussi déçu l’un que l’autre.

Le débriefing étant rapidement bouclé en raison du double abandon et du peu de tours parcourus, je peux ensuite retrouver mon père et mes enfants, tous trois incroyablement tristes mais aussi émerveillés d’avoir assisté à un spectacle aussi intense. L’épreuve est longue et elle comporte des temps morts mais elle est - dans certains instants - capable de vous faire monter à 180BPM et c’est ça qui vous fait vous lever de votre siège quand vous êtes spectateur et c’est ça qui vous permet de vous sentir incroyablement vivant quand vous êtes acteur. Je n’ai pas eu la chance de vivre les derniers tours, qui sont généralement d’une intensité folle, mais ce n’est que partie remise. J’ai le sentiment de ne pas en avoir tout à fait fini avec Indianapolis et j’essaierai, dans la mesure du possible, de revenir pour essayer de délivrer autre chose que mon effroyable performance de cette année. C’est exactement ce dont il est question au téléphone avec Lena, qui m’appelle depuis Monaco où elle a couvert le Grand Prix pour ÖRF. Il est vingt-trois heures passées là-bas mais elle n’a pas loupé une miette de ce qui se passait de ce côté de l’océan même si, selon elle, la tentation d’éteindre la télé était forte une fois que je me suis retrouvé à un tour.

Lena : Il y a encore du boulot avant que je puisse dire que je vis avec un vainqueur des 500 miles car ce n’était pas glorieux aujourd’hui...
Niki : Si tu savais à quel point j’ai honte, putain. Première fois de ma carrière que ça m’arrive.
Lena : Est-ce que le pauvre homme va bien, au moins ?
Niki : Oui, heureusement. Il est presque en meilleur état que moi.
Lena : C’est l’essentiel. Le fait que tu te sois transformé en Maldonado pour aujourd’hui n’est pas le plus important dans ce genre de situation…Pas trop épuisé ?
Niki : Si, un peu. Mais la journée n’est pas finie, c’est ça le pire.
Lena : Bon alors je ne t’embête pas plus longtemps, on se rappellera demain. Ne fais pas trop la fête ce soir !
Niki : Ce n'est pas à toi que la décision revient...Deux semaines à fond, que ça se termine bien ou mal, ça se fête, non ?
Lena : Alors quitte à aller boire un coup, tu boiras à ma santé.
Niki : Tu peux certainement compter sur moi pour ça !
Lena : Et tu auras même droit à un troisième verre, pour cette fois.
Niki : En quel honneur ?
Lena : A partir de maintenant je compte pour deux, Niki.

Ma Kelly
Mais bon c'est trop mignon pour Marcus en vrai

Le 16 août 2020 à 21:30:10 Haryanto a écrit :

Lena : Il y a encore du boulot avant que je puisse dire que je vis avec un vainqueur des 500 miles car ce n’était pas glorieux aujourd’hui...

Cette phrase de GOAT, digne d'un Marco

Le 16 août 2020 à 21:30:10 Haryanto a écrit :

Lena : A partir de maintenant je compte pour deux, Niki.

Oh non... Encore l'ajout d'un personnage inutile

Le 16 août 2020 à 21:56:42 [-Monarch-] a écrit :

Le 16 août 2020 à 21:30:10 Haryanto a écrit :

Lena : A partir de maintenant je compte pour deux, Niki.

Oh non... Encore l'ajout d'un personnage inutile

Vous avez trop d'affection pour les deux premiers, il faut bien que je rajoute un throwaway kid qui naît asthmatique, trisomique et sans bras et qui se fait kidnapper par la bande à Basile dirigée par Naïma

Le 16 août 2020 à 22:02:37 Haryanto a écrit :

Le 16 août 2020 à 21:56:42 [-Monarch-] a écrit :

Le 16 août 2020 à 21:30:10 Haryanto a écrit :

Lena : A partir de maintenant je compte pour deux, Niki.

Oh non... Encore l'ajout d'un personnage inutile

Mouf a trop d'affection pour les deux premiers, il faut bien que je rajoute un throwaway kid qui naît asthmatique, trisomique et sans bras et qui se fait kidnapper par la bande à Basile dirigée par Naïma

J'ai corrigé
Parce que moi franchement les deux gosses déjà j'en ai absolument rien à péter tellement ils apportent rien

Marcus

Bon par contre j'ai absolument rien compris à la fin de course Je croyais que tout le top 5 n'attendait qu'un crash pour faire un hold up. Pourquoi ça passe que pour Haymond ?

Lena : A partir de maintenant je compte pour deux, Niki.

Niki, 27 ans cette année, 4 gamins (ou +), quand ça choke pour les championnats, ça collectionne autre part

Vous avez trop d'affection pour les deux premiers, il faut bien que je rajoute un throwaway kid qui naît asthmatique, trisomique et sans bras et qui se fait kidnapper par la bande à Basile dirigée par Naïma

En espérant l'apparition en guest de "Mon Général"

Le 17 août 2020 à 01:07:56 Mouf67 a écrit :

Bon par contre j'ai absolument rien compris à la fin de course Je croyais que tout le top 5 n'attendait qu'un crash pour faire un hold up. Pourquoi ça passe que pour Haymond ?

Haymond avait assez d'essence pour finir la course car dernier arrêt tour 160 et bonne gestion, alors que les Carter, Lambarelli & co avaient ravitaillé quelques tours plus tôt donc ils avaient pas de quoi finir mais on parle là de pilosité dans une certaine zone anatomique pour savoir à quoi ça s'est joué

Lena : A partir de maintenant je compte pour deux, Niki.

Niki, 27 ans cette année, 4 gamins (ou +), quand ça choke pour les championnats, ça collectionne autre part

28 cette année*
3 gamins 0 titre, les priorités monsieur

Le 17 août 2020 à 01:12:03 Haryanto a écrit :

Le 17 août 2020 à 01:07:56 Mouf67 a écrit :

Bon par contre j'ai absolument rien compris à la fin de course Je croyais que tout le top 5 n'attendait qu'un crash pour faire un hold up. Pourquoi ça passe que pour Haymond ?

Haymond avait assez d'essence pour finir la course car dernier arrêt tour 160 et bonne gestion, alors que les Carter, Lambarelli & co avaient ravitaillé quelques tours plus tôt donc ils avaient pas de quoi finir mais on parle là de pilosité dans une certaine zone anatomique pour savoir à quoi ça s'est joué

En fait il leur fallait 2 Pace Car, pas 1

Lena : A partir de maintenant je compte pour deux, Niki.

Niki, 27 ans cette année, 4 gamins (ou +), quand ça choke pour les championnats, ça collectionne autre part

28 cette année*
3 gamins 0 titre, les priorités monsieur

Ah oui merde je suis resté en 2025
4 gamins (#AnnaForEver) et peut-être 1 titre dans quelques mois, en tout cas on te le souhaite Niki, ti un grand homme

Le 17 août 2020 à 01:22:38 Mouf67 a écrit :

Le 17 août 2020 à 01:12:03 Haryanto a écrit :

Le 17 août 2020 à 01:07:56 Mouf67 a écrit :

Bon par contre j'ai absolument rien compris à la fin de course Je croyais que tout le top 5 n'attendait qu'un crash pour faire un hold up. Pourquoi ça passe que pour Haymond ?

Haymond avait assez d'essence pour finir la course car dernier arrêt tour 160 et bonne gestion, alors que les Carter, Lambarelli & co avaient ravitaillé quelques tours plus tôt donc ils avaient pas de quoi finir mais on parle là de pilosité dans une certaine zone anatomique pour savoir à quoi ça s'est joué

En fait il leur fallait 2 Pace Car, pas 1

C'aurait été idéal, mais même un gros carton aurait suffi, là c'était juste une voiture à évacuer donc pas assez de tours de Pace Car pour qu'ils économisent assez

Lena : A partir de maintenant je compte pour deux, Niki.

Niki, 27 ans cette année, 4 gamins (ou +), quand ça choke pour les championnats, ça collectionne autre part

28 cette année*
3 gamins 0 titre, les priorités monsieur

Ah oui merde je suis resté en 2025
4 gamins (#AnnaForEver) et peut-être 1 titre dans quelques mois, en tout cas on te le souhaite Niki, ti un grand homme

Bordel j'imagine Paga qui lui parle en multilangue mais le problème c'est que Niki comprendra la majeure partie du coup

On continue les ovales dans l'épisode de demain avec la course de Fort Worth au Texas.
Du mieux pour Chokler ? Quelle suite pour Stevenson après sa victoire historique ?

Deux blocs mais je les publierai l'un après l'autre, entre 18h et 20h normalement je pense

J'ai pas lu les chapitres depuis ceux du 8 août (autour de cette date). Je vais me les garder quand je reprendrai le boulot

Le 18 août 2020 à 21:26:10 PapY_MoLoToV a écrit :
J'ai pas lu les chapitres depuis ceux du 8 août (autour de cette date). Je vais me les garder quand je reprendrai le boulot

Hop hop hop on me l'a déjà faite (2 fois) celle-là, attend pas d'avoir 10 épisodes de retard car sinon tu les rattraperas jamais

Le 18 août 2020 à 21:23:09 Haryanto a écrit :
On continue les ovales dans l'épisode de demain avec la course de Fort Worth au Texas.
Du mieux pour Chokler ? Quelle suite pour Stevenson après sa victoire historique ?

Deux blocs mais je les publierai l'un après l'autre, entre 18h et 20h normalement je pense

Euh oui mais y a du lourd dans les dernières phrases aussi, ça va pas être skipé hein ?

Le 19 août 2020 à 09:12:24 [-Monarch-] a écrit :

Le 18 août 2020 à 21:23:09 Haryanto a écrit :
On continue les ovales dans l'épisode de demain avec la course de Fort Worth au Texas.
Du mieux pour Chokler ? Quelle suite pour Stevenson après sa victoire historique ?

Deux blocs mais je les publierai l'un après l'autre, entre 18h et 20h normalement je pense

Euh oui mais y a du lourd dans les dernières phrases aussi, ça va pas être skipé hein ?

Si, comme tout événement digne de ce nom

Le Drive de la story : https://drive.google.com/drive/folders/15s1cvZ3CSg7mPSjYqTr4WoQKXJGFKgYl?usp=sharing

Chapitre 22 (n°378) : Proving your Worth

Samedi 30 mai 2026, Texas Motor Speedway, Fort Worth (TX)

Je suis actuellement en pleine bourre ; mon emploi du temps est chargé, les nouvelles fusent dans tous les sens, les sollicitations se multiplient : je suis le centre de l’attention, plus que jamais. La cadence est réellement infernale à ce stade de la saison et je n’ai qu’une hâte : rentrer chez moi, retrouver Lena et fêter cette nouvelle qu’elle m’a annoncé le week-end dernier. L’austérité de cette annonce au téléphone est un peu dommage mais, à vrai dire, je comprend parfaitement son choix quand on sait que, sinon, elle aurait attendu deux semaines de plus pour pouvoir me le dire de vive voix. On s’appelle tous les jours quand je suis aux Etats-Unis mais, à vrai dire, tout le temps que je ne serai pas rentré à ces côtés, je crois que je ne digérerai pas la nouvelle. Je ne suis pas malheureux pour autant, ne vous y méprenez pas - ce "truc" n'est pas là où il est par hasard - mais je trouve simplement difficile de pleinement célébrer la nouvelle quand 8000 kilomètres et un océan nous séparent, raison pour laquelle j'ai réellement envie de vacances.

Pour autant, le mot vacances n'est pas compatible avec les mois de mai et juin en Indycar. Après l’événement du week-end dernier, nous retournons à un cadre plus “intime” ; moins de télévisions, moins de spectateurs, moins de regards. Mais ce n'est pas une raison pour considérer le Texas 600 comme un rendez-vous tout à fait ordinaire ; l’anneau de vitesse texan se parcourt en une petite vingtaine de secondes et, au lieu d’être un réel ovale, sa ligne droite des stands comporte deux légères courbes sur la gauche qui s’enchaînent assez vite. En plus de ça, les deux enchaînements du virage 1-2 et du virage 3-4 sont extrêmement inclinées, plus de deux fois plus fort que ce qu’on trouve à Indianapolis. Je vous invite à aller voir sur YouTube un tour en caméra embarquée autour de ce tracé car, de l’intérieur d’une monoplace qui va à plus de 350km/h, c’est presque effrayant.
Le Texas accueille déjà son deuxième meeting et sa troisième course de la saison - seule la Californie accueille autant de courses - et c’est pour moi une occasion de me rattraper, sept jours après Indianapolis. La pub que je me suis fait était désastreuse et je ne suis toujours pas remis de l’humiliation de cet arrêt au stand raté. Mais à vrai dire, à l’abord de ce week-end, c’est plutôt mon non-rythme montré tout au long de la quinzaine là-bas qui m’inquiète.

Pourtant, il va falloir que je me remette en marche car je ne suis plus en tête du championnat et ça, les médias savent me le rappeler. Les gens pensaient que je bluffais quand j’étais modeste lors des premières courses mais les points doublés d’Indianapolis m’ont fait tomber de mon piédestal, alors que certains voyaient déjà le scénario de l’ancien pilote de F1 qui vient conquérir le titre en Indycar. Cette déception sur la grande scène a toutefois été vite oubliée d’un point de vue marketing car mes trois victoires en six courses avant cela ont permis à Bobby de finaliser un deal avec Chevrolet, blockbuster de l’industrie américaine, qui affiche son logo sur ma voiture depuis peu et qui va permettre à l’écurie de mettre du beurre dans les épinards, ce qui n’est pas spécialement une mauvaise nouvelle.

Mon père et les jumeaux ont quitté les États-Unis mardi, après que nous ayons fait le trajet jusqu’à Boston lundi. Nous sommes allés rendre visite à sa soeur Angelique, qui aurait été frustrée de savoir mon père en Amérique sans le voir. Mon père fait partie des personnes les plus sérieuses qui soit et, même s’il est doté d’un sens de l’humour, il agit la plupart du temps comme un vieux sage, sauf quand vous lui calez sa petite soeur dans les pattes. J’ai l’impression de ne pas avoir affaire à la même personne quand mon père est en compagnie d’Angie et les provocations entre les deux ne semblent jamais s’arrêter. Quant à mes enfants, ma tante a essayé de les corrompre en leur apprenant des conneries et, évidemment, à leur âge, ça a marché du tonnerre...Malgré tout, je ne lui en veux pas, d’autant plus qu’elle a fini par céder ; elle viendra dans le Wisconsin le week-end prochain pour me regarder piloter. Une prouesse quand on connait son désintérêt pour ce qui a des roues et qui va vite.

Le circuit de Fort Worth est donc le premier ovale sur lequel je vais piloter si l’on exclut le si particulier IMS et qui dit ovale dit nouveau format de qualification ; pas de groupes, pas de séance multiple, les choses sont cette fois très simples. L’ordre de passage est l’ordre inverse du championnat et chaque pilote bénéficie d’un seul essai : deux tours de chauffe suivis de deux tours chronos. Au vu de la nature du Texas Motor Speedway, on peut donc résumer votre qualification à un seul et unique effort de deux minutes entre le moment où vous sortez des stands et le moment où le drapeau à damiers vous est montré. C’est extrêmement court et, sur une distance pareille, briller se révèle compliqué et c’est plutôt échouer qui est facile.

La qualification suit son cours et je suis presque le dernier à passer. Ca me donne l’occasion d’observer la plupart du plateau, parmi eux Angelo Fioretti est allé fracasser sa voiture dans le mur à l’occasion de son run chronométré et s’est déjà assuré la dernière place de la grille. Chevalier et Ferrucci y sont également allés de leur problème ; au moment où je pointe mon nez en piste, c’est Alexander Rossi qui a le meilleur temps devant Herta et McMullen. La plupart des gros bras du championnat sont bien placés jusqu’ici : ceux situés entre la cinquième et la dixième place - mes poursuivants donc - figurent tous dans le top 10 du classement provisoire à l’exception de Pato O’Ward.

Lancé sur une piste où j’ai signé le neuvième puis le onzième chrono en essais libres, je me met en tête d’obtenir un résultat au moins dans ces eaux ; la pole est à 221,203mph de moyenne et, dès la fin de mon premier tour, je sais que je n’obtiendrai pas ma deuxième pole de l’année car mon tour est dans les 219mph. Néanmoins, alors que je rentre dans le virage 4, le train arrière se dérobe et je dois m’employer à un réflexe pour garder ma Rahal dans le sens de la marche. La vitesse est perdue - du moins en ce qui concerne la pole - et l’espoir également.

Niki : Fuuuck! Lost the back end in entry, nothing to do. Fuck that shit...
Heather : Copy.

Le verdict est sans appel ; me voici dix-neuvième sur vingt-trois. Seulement quatre pilotes ont fait pire. En rentrant dans la pitlane, je suis déçu et il n’y a que moi à pointer du doigt. J’avais demandé un réglage agressif pour essayer de dompter le Texas Motor Speedway mais ça m’a desservi car j’ai bien failli goûter aux barrières Safer. En fin de séance, les deux premiers du championnat Adam Milligan et Oliver Askew tuent le chrono pour composer la première ligne : ils sont en train de faire du dégât et, en termes de dégât, ma vingt-deuxième place pour le départ demain n’est pas du tout satisfaisante.

Grille de départ :

PARTIE 2

Dimanche 31 mai 2026, Texas Motor Speedway, Fort Worth (TX)

---AVANT-COURSE
Jakob : Bonsoir à tous. Bienvenue sur ÖRF Sport + à cette heure extrêmement tardive, vous nous rejoignez en direct du Texas Motor Speedway, théâtre de la huitième course de la saison d’Indycar. Vingt heures ici à Fort Worth, trois heures du matin à Vienne et je suis exceptionnellement seul dans la cabine des commentateurs car Rene Binder est retenu par ses obligations au Mans, j'en profite d'ailleurs pour souhaiter bonne chance à Rene et à Ligier lors de ces journées test. Une semaine après les 500 miles d’Indianapolis, l’Indycar termine son marathonesque mois de mai avec la huitième course de la saison sur l’ovale du Texas. Grille de poids lourds aujourd’hui avec huit des dix premiers du championnat en première partie de grille, ça promet !

---DÉPART
Jakob : C’est parti pour 248 tours ici au Texas ! Adam Milligan donne le coup d’envoi pour la première fois de l’année, envol globalement calme pour l’instant semble-t-il ! Bon départ de Daly qui a gagné deux places visiblement, cinquième place pour le pilote Juncos.

---TOUR 7
Jakob : Oh, une voiture à l’arrêt dans l’infield...Qui est-ce ? C’est Callum Ilott ! Le rookie anglais, ancien pensionnaire de F1, est à l’arrêt pour ce qui ressemble à un problème mécanique. Le Pace Car va évidemment être déployé le temps que l’on évacue la Carlin : premier abandon du jour.

---TOUR 14
Jakob : Premier restart du jour à Fort Worth, Milligan toujours en tête ! Askew, Rossi, Herta et McMullen suivent, pas trop de mouvement à première vue. On a l'air décidés à rester discrets du côté des vingt-quatre poursuivants de l'australien.

---TOUR 27
Jakob : Conor Daly aux stands...C’est étrange. L’américain était huitième, redescendu dans le classement après son bon départ. Et il s’extrait de sa voiture, on dirait que c’en est fini pour la 77 ! Dommage, après une belle qualification il pouvait espérer un bon résultat, mais il n’en sera rien.

---TOUR 60
Jakob : Entame de course très calme, très peu d’écarts créés pour le moment en tête de course et le premier arrêt parmi les leaders est à mettre à l’actif d’Adam Milligan ! Le pilote Penske rentre, suivi par Askew. Ils sont les premiers à rentrer et ça va donc permettre à Alexander Rossi de mener.

---TOUR 63
Jakob : Ca rentre chez Andretti ! Rossi et Herta sont aux stands, c’est donc Sarah Haymond qui va mener cette course ! La rookie du team Schmidt Peterson sort d’une troisième place aux 500 miles et elle a bien commencé sa course aujourd’hui, en se défaisant du trafic du milieu de peloton grâce aux retardataires. Après des débuts difficiles, peut-être a-t-elle donné le coup d'envoi d'une grande carrière en Indycar à Indianapolis.

---TOUR 68
Jakob : Très long relais de Sarah Haymond pour commencer cette course mais l’américaine finit par rentrer aux stands ; Santino Ferrucci va mener alors que...Ca passe pour Rossi ! Alexander Rossi se défait à l’instant d’Adam Milligan pour ce qui sera sans aucun doute la tête de la course une fois les arrêts passés !

---TOUR 72
Jakob : Périple terminé pour Santino Ferrucci et Pietro Fittipaldi, qui sont aux stands. On va donc retrouver nos conditions normales de course : Alexander Rossi a récupéré la tête de la course, il a deux secondes d’avance sur Milligan, qui est suivi de près par Herta, Askew et McMullen ! Haymond est sixième à sept secondes.

---TOUR 95
Jakob : Le changement de leader est inévitable alors que Jacob McMullen est à la poursuite d’Alexander Rossi...Énorme rythme du pilote AJ Foyt, il a semé ses trois compagnons en un rien de temps après les avoir dépassés, va-t-il faire de même avec Rossi ? Oui ! McMullen, nouveau leader de cette course ! La gestion pneumatique est au coeur de cette course, les autres sont sur la retenue mais pas lui vraisemblablement. La grosse cote Jacob McMullen va s'offrir un quart d'heure de gloire et peut-être plus si affinités.

---TOUR 97
Jakob : Leist aux stands, mais surtout : Adam Milligan aux stands ! Problèmes de blisters pour l’australien, il l’a indiqué à la radio et on lui a ordonné de rentrer. Il va falloir être inventif du côté des stratèges du team Penske car le rythme n'y est pas pour l'actuel second du championnat...

---TOUR 98
Jakob : Rentrée également pour Askew ! Il fait la course dans le bumper de Milligan depuis le début de ce second relais, ce n’est pas étonnant qu’il ait lui aussi des problèmes de pneus...Mais ça isole un peu plus McMullen et les leaders. Deux secondes d’avance sur Rossi déjà, trois secondes sur le duo Herta-Newgarden ! Newgarden est en pleine forme, comme McMullen pas de problèmes de pneus pour lui ! Idem pour Haymond qui est cinquième et qui maîtrise.

---TOUR 119
Jakob : Rossi et Herta aux stands...Les deux grands perdants de ce second relais, ce sont eux ! Rossi menait, Herta était dans le top 3, mais au moment de rentrer ce n’est plus la même affaire : avant de rentrer, ils étaient cinquième et sixième, largués par le top 4 McMullen-Newgarden-VeeKay-Haymond et en train d’être rattrapés par le quatuor Claman-Rahal-Karam-O’Ward qui complète ce top 10 atypique.

---TOUR 126
Jakob : Arrêt pour McMullen et c’est VeeKay qui va hériter de la tête de la course pour la première fois de la journée.[...]Et c’est derrière Newgarden ! Wow ! Quelle percée de Josef Newgarden, le vétéran du team Penske était à plusieurs secondes et, grâce à un arrêt plus rapide et une meilleure négociation des retardataires, le voilà en tête devant McMullen ! Parti huitième, le natif du Tennessee montre encore son expérience et sa roublardise.

---TOUR 128
Jakob : Deux tours et c’est fini pour VeeKay. Le champion en titre rentre, alors que Graham Rahal vient de reprendre la piste à cinq tours du nouveau leader Santino Ferrucci, on a vu les images il y a quelques instants de la numéro 15 qui a calé en repartant de son stand...Il a fallu un moment pour la faire repartir. Pour Rahal, Kopinski, Stroll et Leist, qui sont à cinq tours ou plus, la course est presque terminée. L’essentiel est de rester en piste pour grappiller les positions de ceux qui vont faire des erreurs ou abandonner.

---TOUR 129
Jakob : Arrêt de Ferrucci. Fittipaldi va prendre la tête, il est devant Newgarden qui deviendra très prochainement le leader.

---TOUR 130
Jakob : Ca y est, Pietro Fittipaldi plonge dans les stands, nous allons donc retrouver le classement normal de cette course ! Newgarden mène avec quatre secondes d’avance sur McMullen, Askew et Milligan, ces deux-là s’étant arrêtés il y a trente tours. Rosenqvist est cinquième à six secondes en s’étant arrêté il y a vingt tours, il devance Haymond, VeeKay, Rossi, Herta et Claman DeMelo.

---TOUR 173
Jakob : OH NON ! Crash de Jacob McMullen ! Noon ! Jacob McMullen s’est accroché avec Spencer Pigot en voulant lui prendre un tour, en tout cas c'est ce qui semble s'être passé à la vue des deux voitures ! Le pilote AJ Foyt vient de perdre une opportunité de décrocher un énorme résultat, quel dommage ! Le Pace Car va évidemment faire son apparition pour dégager les deux monoplaces détruites...L’avance exceptionnelle de quinze secondes bâtie par Newgarden pendant quarante tours va être réduite à néant : tout va être remis à zéro et ceux qui se sont déjà arrêtés comme Askew, Milligan ou Rosenqvist viennent de tout perdre !

---TOUR 177
Jakob : On réagit à l’ouverture de la pitlane, c’est on-ne-peut-plus logique...Newgarden, Haymond, VeeKay, O’Ward, Rossi, Claman DeMelo et Karam rentrent. Les autres sont restés en piste pour pouvoir se libérer du tour de retard, ils rentreront dans quelques tours et ils seront revenus dans le tour du leader entre deux.

---TOUR 185
Jakob : Ils sont onze à pouvoir prétendre à la tête de la course : Newgarden, Haymond, O’Ward, Rossi, VeeKay, Claman DeMelo, Karam, Herta, Ferrucci, Fittipaldi et Chevalier ! Voici le classement de cette course pour ceux qui sont dans le tour du leader et c’est reparti ici au Texas ! Un peu plus de soixante tours restants et un bon restart de Rossi, qui double O’Ward d’entrée de jeu.

---TOUR 198
Jakob : Il restera exactement cinquante tours après celui-ci, l’occasion de faire un point classement : Newgarden mène, une seconde d’avance sur Rossi. Karam, O’Ward et Claman DeMelo à trois secondes. Haymond à quatre secondes. VeeKay, Herta et Ferrucci à six secondes. Chevalier et Fittipaldi à dix secondes.

---TOUR 203
Jakob : C’est serré à l’instant, on lutte pour la quatrième place et il y a des différences de rythme...O’Ward roule à l’économie devant et ça regroupe tout le monde, du P4 au P10 tout le monde est dans la même image ici ! Alors que Chevalier y va sur Herta dans le virage 4...mais il y a contact !!! Colton Herta a tassé Paul Chevalier, gros impact et c’est terminé pour les deux hommes ! Après son abandon au GP d’Indianapolis et son forfait pour les 500 miles, Colton Herta ne verra de nouveau pas les damiers, quelle déception pour lui ! Le Pace Car va regrouper les pilotes à environ quarante tours de l’arrivée.
[...]
Jakob : Je ne saurai pas dire ce qui a traversé l'esprit de Colton Herta...Ce n'était pas la meilleure manoeuvre de l'Histoire, c'est clair. Il ne pourra s'en prendre qu'à lui-même, mais ce qui est dommage c'est qu'il a gâché la belle remontée de Paul Chevalier, qui partait de la dernière ligne et qui avait un beau résultat dans la mire.

---TOUR 209
Jakob : Pitlane ouverte et on s’y jette à l’instant...Les huit premiers sont aux stands, arrêt pour Newgarden, Rossi, Haymond, O’Ward, VeeKay, Claman DeMelo, Ferrucci et Karam. Comme tout à l’heure, les autres restent dehors pour gagner un tour avant de rentrer à leur tour.

---TOUR 214
Jakob : Fittipaldi, Stevenson et Rosenqvist se sont greffés à l’arrière des leaders ; on va donc avoir une bataille à onze pour les trente-quatre derniers tours de cette course alors que le restart est donné à la fin de ce tour 214 : c’est reparti ! Restart discipliné, rien à redire.

---TOUR 238
Jakob : Dix tours à parcourir...Pas beaucoup d’action en piste, Josef Newgarden s’est absolument envolé et mène avec quatre secondes d’avance sur un quatuor VeeKay-Rossi-Haymond-O’Ward, on retrouve un autre quatuor deux secondes plus loin avec Claman-Ferrucci-Karam-Stevenson, Rosenqvist à neuf secondes, Fittipaldi à quinze...Peu d’enjeux dans cette course semble-t-il.

---TOUR 248
Jakob : Malheureusement un finish sans réel piquant cette nuit au Texas : Josef Newgarden l’emporte après avoir dominé cette course de la tête et des épaules, il a mené les cent dix-neuf derniers tours et, à ce titre, il est un vainqueur méritant ! Premier podium mais également première victoire de 2026 pour le triple champion de la discipline, qui va effectuer un beau rapproché au championnat. Derrière lui, une belle deuxième place pour son rival Alexander Rossi, qui réalise aussi une bonne opération. Enfin, c’est la rookie Sarah Haymond qui va compléter le podium, nouvelle troisième place pour la pilote du team Schmidt Peterson sept jours après Indianapolis ! Énorme course pour elle, elle termine juste devant Rinus VeeKay tandis que c’est Patricio O’Ward qui ferme le top 5 avec un très beau résultat quand on sait que le mexicain partait dix-huitième. [...] Ce n’était pas la course la plus passionnante de la saison mais j’espère qu’elle vous aura malgré tout plu, en espérant également que vous ne vous êtes pas endormi ! L’Indycar sera de retour dans une semaine sur le mythique circuit de Road America avec, on le souhaite, un spectacle un peu meilleur pour le retour aux circuits routiers. Bonne nuit à tous.

Résultats :
Championnat pilotes :

Encore une bonne course de merde. Vous ne m’avez pas vu à la télé ? Normal, je n’étais nulle part.
Je faisais partie des bons élèves aujourd’hui en matières de pneumatiques - quelle surprise - et je n’ai pas eu autant de problèmes que les Milligan ou autres Rossi. Mais je suis resté coincé en début de course et j’ai accumulé un retard qui fait que, en sortant des stands après mon premier arrêt au tour 71, j’étais à un tour. Je faisais également partie des meilleurs élèves en matières de pilotes à un tour, puis j’ai perdu pieds vers la mi-course, juste avant que le Pace Car n’intervienne ; si celui-ci était sorti vingt tours plus tôt, j’aurai récupéré ce tour de retard comme l’ont fait Fittipaldi ou Chevalier par exemple. A la place, j’ai dû me battre pour un top 12 ou top 15, terminant au final treizième et donc deuxième parmi les pilotes retardataires. J’ai payé le prix fort pour ma qualification manquée et le bilan comptable n’est pas flatteur. Si Askew, Milligan et Stevenson - les trois leaders en arrivant ici - n’ont pas particulièrement brillé, ce n’est pas mon cas non plus. Résultat, Newgarden, Rossi et VeeKay, tous trois dans le top 5 du jour, sont revenus à proximité et le top 7 n’est séparé que par quarante unités. Dans ce top 7, je suis sixième, à une trentaine d’unités d’Oliver Askew. Ce n’est pas catastrophique, c’est sûr, mais après un mois de mai médiocre au possible il va falloir relancer la machine. Parmi les prétendants au titre, seuls Rosenqvist et le chat noir Herta ont fait pire que moi au cours des trente derniers jours et, alors qu’on ira à Road America le week-end prochain, il apparaît évident que je dois reprendre ma marche en avant si je veux prétendre à quoi que ce soit.

Upent cependant

mais ce qui est dommage c'est qu'il a gâché la belle remontée de Paul Chevalier, qui partait de la dernière ligne et qui avait un beau résultat dans la mire.
Patricio O’Ward qui ferme le top 5 avec un très beau résultat quand on sait que le mexicain partait dix-huitième.

Donc eux ils remontent, mais pas Niki ? Quel nul ce Kofler

Mais ptin mon comm il s'est jamais envoyé wtf...

Bref, je disais en somme que Kofler est méga naze sur les oval j'espère que ça va pas lui sucrer le championnat. Les lecteurs veulent des succès bon sang !