SAISON 8 https://docs.google.com/document/d/1bPvF2aD5YsK_fK3k_Zg4C0gZm0by7p0CRLGPtagG5_4/edit?usp=sharing

2025 (S8), Chapitre 12 (n°323) : Défaillances

Vendredi 16 mai 2025, Circuit de Catalunya, Montmelo
En mettant les pieds en terre espagnole ce jeudi, j’ai dérogé à la règle : aucune visite du clan ennemi cette fois. Pas de Gabriella, pas même de Carmen, j’ai mis les choses au clair. Puisque je suis le grand méchant Niki, alors ce n’est même plus la peine de venir m’adresser la parole ; mon temps est trop précieux pour que je perde mon temps à ça. Les contacts avec le clan espagnol se limitent aux relèves de la garde des jumeaux et disons que je ne suis pas spécialement malheureux que ça se passe de la sorte.

Ce qui ne change pas, en revanche, c’est le harcèlement médiatique ; la World Run, les débuts des enfants en karting, mon agression ici-même l’an passé, les conclusions du week-end terrible de Bakou, tout y passe. Je vous en fais cadeau, pour cette fois.
Côté Red Bull, ce Grand Prix marque l’introduction de bon nombre de nouvelles pièces, car malgré la cadence de production réduite à Milton Keynes il y a des choses qui ne changent pas. On a reçu quelques petites pièces à Melbourne et en Turquie, mais ce retour en Europe continentale sonne les premières grosses cloches de la saison. Beaucoup d’équipes ont une stratégie R&D similaire puisque je crois que Sauber est la seule écurie qui a déjà introduit un gros package, c’était en Azerbaïdjan il y a deux semaines.

Pour les essais libres, Sérgio est embêté, au terme des FP1, car la voiture se révèle instable dans les longues courbes du tracé, notamment les longuissimes virages 3 et 4, qu’il ne peut même pas passer pied au plancher, contrairement à moi.

Sérgio : Tu as beaucoup plus de vitesse que moi dans le virage 3, c’est flagrant en milieu et en sortie de virage...Comment tu fais ?
Niki : La voiture semble ok alors j’utilise mon pied droit autant que possible.
Sérgio : Tu fais ça à chaque tour ?
Niki : Oui.
Sérgio : Alors c’est que tu dois perdre du temps ailleurs...On est dans les mêmes chronos pourtant tu dois bien gagner douze ou quinze centièmes ici.
Niki : Je ne sais pas, la voiture paraît confortable, je n’ai pas de problème spécial sur les autres virages.
Sérgio : Je vois ça...Tu serais donc plus lent que moi, des fois ?
Niki : Ca arrive même aux meilleurs…(rires)
Sérgio : C’est ma chance (rires) !
Niki : Prends-la, ta chance. Elle t’attend depuis un moment.
Sérgio : C’est un discours de faiblard, ça. Ca ne te ressemble pas. Un truc qui cloche ?
Niki : Non, rien, juste que je le sens moins bien que d’autres week-ends. Je te dis, ça arrive. Ne t’occupe pas de moi.
Sérgio : Ok. C’est toi qui vois. Si jamais il y a vraiment un truc et que tu veux en parler, ma porte est ouverte.

J’apprécie beaucoup la bienveillance et la discrétion de Sérgio. On se connaît depuis une douzaine d’années, on a piloté l’un contre l’autre dans pas mal de championnats mais on s’est toujours bien entendus. Hormis Vettel, il faut dire que je me suis toujours bien trouvé en termes de coéquipier mais, pour tout vous avouer, je ne pensais pas que mon lien avec Sérgio serait aussi solide. On se connaissait sans plus jusqu’à ce qu’on devienne équipiers mais il est vraiment quelqu’un sur qui on peut compter au sein d’une équipe. En revanche, je crois que ce n’est pas la peine de lui exposer le fait que je n’ai pas spécialement envie d’être ici. Mes deux derniers séjours en Espagne se sont mal passés et je redoute par-dessus tout une troisième vague. Je suis sur mes gardes, d’autant plus que je ne peux pas veiller sur Lena, qui reprend du service pour ORF à l’occasion du retour en Europe. Je crois que, par-dessus tout, c’est pour elle que j’ai peur, je ne sais pas pourquoi. Enfin bon, passons sur mes dérives un peu paranoïaques dès que je foule le sol espagnol et concentrons-nous sur le reste du week-end.

Dimanche 18 mai 2025, Circuit de Catalunya, Montmelo
Après une qualification médiocre dans le même style que celle de Bakou, j’ai été harcelé de questions de toutes parts, me demandant si j’avais perdu mon élan, tout un tas de conneries que je me suis contenté de gentiment balayer, préférant porter mon attention sur la perspective stratégique offerte à nous ; avec la véritable canicule qui s’abat sur la Catalogne en ce moment, les équipes se plaignent beaucoup de surchauffe dans les pneus et qui dit surchauffe dit problèmes ! Pour la plupart du plateau, on part sur une exploitation massive de la gomme prime, la plus lente, reste à voir si ma stratégie mediums-options-mediums tiendra debout ou si je passerai de nouveau pour un imbécile.

Grille de départ :
1 Russell (MCL) 2 Ráfaga (AUD)
3 de Vries (MCL) 4 Verstappen (AUD)
5 Leclerc (FER) 6 Ocon (FER)
7 Ticktum (REN) 8 Gasly (AMR)
9 Sette Câmara (RBR) 10 Wighels (SAU)
11 Zoranović (AMR) 12 Kofler (RBR)
13 Vandoorne (REN) 14 Popfer (SAU)
15 Norris (HAA) 16 Sigthórsson (HAA)
17 Ghiotto (DAL) 18 Antiochus (DAL)
19 Zhou (CHR) 20 Gelael (CHR)

A midi, je mange avec Lena à l’étage du bâtiment central des stands, là où les télévisions sont massées. J’ai pu discuter avec elle et avec ses acolytes d’ORF, qui m’ont arraché quelques petits scoops qu’Hausi et Wurzy se feront un plaisir de relayer pendant le direct. Après avoir pris congé de mes compatriotes et de ma petite amie, je me dirige vers l’ascenseur pour retourner dans le paddock et je tombe sur Ráfaga.

Niki : Tu t’es perdu ? Ou tu faisais tes affaires avec une journaliste ?
Arturo : Et toi ?
Niki : Moi j’ai déjà choisi la mienne. Laquelle est-ce que tu as pris ?
Arturo : La même que toi (rires).
Niki : Il ne vaudrait mieux pas pour ta tête. J’imagine que tu vas au même endroit que moi...
Arturo : Je crois.

Et là, image insensée : l’ascenseur se bloque. Moi qui croyais que ça n’arrivait que dans les séries et les films…

Niki : Rappelle-moi pourquoi on a pris l'ascenseur pour descendre de seulement trois étages ?
Arturo : Je ne vais pas te mentir, si tu n’avais pas été là j’aurai probablement pris les escaliers…
Niki : Vingt-six ans avant de découvrir les joies de l’ascenseur en panne, pas mal.
Arturo : Je ne savais pas que tu étais encore vierge.
Niki : Au moins tu n’as pas l’air claustrophobe, même si je ne sais pas si je préfère te voir paniquer ou faire des blagues...

Fort heureusement, avec deux VIP dans l’ascenseur, croyez-moi que le dépannage n’a pas été long. J’ai toutefois eu le temps de faire connaissance avec mon meilleur ennemi du paddock, je vous avoue qu’on s’est malgré tout bien marrés dans cet ascenseur en panne même s'il serait inapproprié de dévoiler les sujets que nous avons abordé. Libéré de cette cage, l’ours en moi ne va toutefois pas rugir en piste, du moins permettez-moi d’en douter.

A l’extinction des feux, je parviens à avoir la peau d’un Wighels qui est complètement passé à côté de son départ pour m’immiscer au onzième rang, jusqu’à ce qu’une touchette entre Ocon et de Vries ne vienne me propulser dans les points. Pour Esteban, c’est course terminée, tandis que Nyck continue avec un pneu à plat qui le force à rentrer aux stands dès le premier tour.

Au moment de remettre la machine en mode course, je me met en tête d’accrocher Zoranović en guise de strict minimum mais, avec nos médiums, Voji n’est pas réellement un indicateur fiable. Dès les premiers instants sous drapeau vert, Sérgio s’envole avec la septième place tandis que j’essaie tant bien que mal de trouver un moyen de me défaire du protégé de Sergueï quand, dès le onzième tour, la mécanique rend l’âme.

Niki : Plus de puissance, les gars. Plus rien.
Richard : Ouais, on confirme. Gare-toi, c’est course terminée. Désolé, mec.

Je me gare en bord de piste, juste après Europcar, le virage à droite en dévers qui amène à la chicane en fin de tour. L’avantage, c’est qu’il ne me faut pas longtemps pour rentrer aux stands et oublier cette course qui n’était pas partie pour être une grande démonstration de pilotage de ma part.

Journaliste : Niki, vous auriez préféré venir ici un peu plus tard, pas vrai ?
Niki : Ouais mais j’essaie de voir le positif, au moins j’ai tout mon temps pour préparer mes affaires avant de rentrer chez moi (rires). Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise, il fallait bien que ça me tombe dessus à un moment ou à un autre, c’est comme ça. Jusque là j’étais la Red Bull immunisée, j’espère qu’aujourd’hui Sérgio pourra être un bon porte-drapeau pour l’écurie.
Journaliste : La qualification n'était pas bonne mais vous étiez déjà remonté en fin de top 10 au moment de votre abandon. Y'avait-il un résultat quelconque à aller chercher aujourd'hui ?
Niki : Peut-être, ouais. J'étais bloqué derrière Voji et j'aurai peut-être payé ça en fin de course, mais je pense que j'avais de quoi me mêler à la lutte avec certains gars du top 7. La stratégie qu'on avait prévu aurait en tout cas pu très bien marcher et me propulser dans le top 5, je pense. Mais tant pis.
Journaliste : Après l’ascenseur, c’est votre voiture qui vous lâche...Vous avez pu manger sereinement ce midi ou votre couteau a fait défaut ?
Niki : (rires) Vous avez réfléchi à votre question pendant longtemps, non ?
Journaliste : Juste un petit peu…
Niki : (rires) Non, plus sérieusement, la mésaventure de l’ascenseur n’avait rien de dramatique comparée à cette casse moteur. On a pu prendre le départ, c’est tout qui m’importe.
Journaliste : C’est quand même une scène surréaliste...
Niki : Un peu, ouais. Je crois que le type qui s’occupe de l’entretien de cet ascenseur sue à grosses gouttes depuis ce midi, à mon avis il ne va pas oser venir travailler demain, il aura un peu peur du regard de ses collègues (rires). Je ne suis pas sûr que ça ait déjà eu lieu en F1, deux pilotes bloqués dans un ascenseur, c’est assez cocasse et probablement inédit, il faut inventer de nouvelles histoires tous les jours pour attirer de nouveaux spectateurs !
Journaliste : De quoi avez-vous parlé pendant ce temps ?
Niki : Ah, vous êtes déçus parce que, pour une fois, vous n’avez pas réussi à mettre votre micro au bon endroit, je vois...J’attend la permission d’Arturo pour vous divulguer les informations, je ne voudrais pas le mettre dans de sales draps !
Journaliste : A en juger votre sourire, ça n'a pas du être si terrible !
Niki : Non, ça n'a rien à voir, c'est juste que j'essaie de déterminer la probabilité que ce truc arrive. Je veux dire, de nos jours, un ascenseur en panne, c'est déjà plutôt rare. Qu'un pilote de F1 soit dedans, ça l'est encore plus. Que deux pilotes de F1 soient dedans, c'est assez improbable. Mais alors que deux pilotes de F1 qui ne s'apprécient pas soient dedans, c'est carrément incroyable (rires) !

Après cette apparition assez "décalée" en zone mixte, je reviens dans les hospitalités de l'écurie. Tranquillement installé à l'intérieur de l'Energy Station de Red Bull, je discute avec quelques uns des VIP du week-end, dont Marco Asensio, star du Real Madrid et de la sélection espagnole. Il est loin d'être le seul joueur célèbre dans les parages et c'est loin d'être la première fois qu'une star de la Liga vient assister au Grand Prix d'Espagne, mais le voir à cinq mètres de moi alors que j'étais en train de livrer mes premières impressions à Stephanie pour le compte des réseaux sociaux de l'écurie m'a donné un bon prétexte pour interrompre ce débrief inintéressant. J'étais en train de manier la langue de bois comme tout pilote le fait après un abandon et apercevoir Asensio et ses proches attablés dans l'Energy Station m'a donné une parfaite excuse. Stephanie ne pouvait pas passer à côté d'un coup de comm' aussi important et nous a donc pris en photo pour la diffuser sur nos comptes, je lui ai ensuite demandé de partir pour que je puisse faire connaissance avec l'ailier : le tour est joué, plus de micro sous le nez.

Après une dizaine de minutes à échanger avec mon confrère athlète, je décide toutefois de le laisser tranquille et je regarde le Grand Prix de mon côté, Grand Prix finalement remporté par un George Russell intraitable. Quinze tours de lutte avec Ráfaga et Ticktum n'ont pas eu raison de son résultat final et, dans les dix derniers tours, il s'est même envolé en laissant mon pire ennemi et son prédécesseur se tirer le bourre pour la deuxième place. C'est finalement l'uruguayen qui prendra le dessus pour empocher trois points supplémentaires mais, personnellement, mon intérêt n'est pas vraiment là ; à la quatrième place, on retrouve un discret mais très solide Sérgio Sette Câmara. Meilleur résultat de la saison pour lui, le même que celui qu'il aurait dû obtenir à Sakhir sans une casse moteur dans le dernier tour. C'est un petit soulagement que de le voir enfin aligner les astres, surtout avec une performance aussi convaincante.

Classement final du Grand Prix :
1 Russell (McLaren)
2 Ráfaga (Audi)
3 Ticktum (Renault)
4 Sette Câmara (Red Bull)
5 Verstappen (Audi)
6 Vandoorne (Renault)
7 Leclerc (Ferrari)
8 Norris (Haas)
9 Zoranović (Aston Martin)
10 Gasly (Aston Martin)
…
DNF Kofler (Red Bull)

Championnat pilotes Championnat constructeurs

Après les félicitations avec Sérgio, nous nous dirigeons sans trop attendre vers le débriefing. Là-bas, on m'y explique le problème qui a vraisemblablement touché mon propulseur Honda et on me reparle du résultat éventuel ; avec la chute de rythme de Leclerc en fin de course, on vient de passer à côté de huit ou dix unités au minimum. C'est frustrant mais c'est ainsi.
Une fois les dernières tâches accomplies en ce qui concerne mon rôle de pilote Red Bull, je retrouve Lena, qui a elle aussi accompli ses missions relatives au métier de journaliste ORF. Je salue donc les gars une dernière fois et nous commençons à traverser le paddock pour retourner à ma voiture et quitter la Catalogne.

Lena : Alors, Ráfaga ? Tu ne m'en as pas parlé. C'était bien, ce moment d'intimité privilégié avec lui ?
Niki : Disons que je m'attendais à pire.
Lena : Wow ! Tu es en train de sous-entendre des trucs...Est-ce qu'il embrasse bien ?
Niki : Madame, avez-vous mangé un clown ?
Lena : Non, plus sérieusement, sur quel plan est-ce que c'était moins pire que prévu ?
Niki : C'est un connard, il sait que je le pense, il sait pourquoi je le pense et il le comprend. Et vice-versa bien évidemment. On se déteste, on sait pourquoi et on le vit bien. J'ai hâte d'arriver au prochain Grand Prix et d'insulter ses ancêtres sur trois générations pour lui prouver que je le déteste toujours. Ca va croustiller.
Lena : Et tu ne vas pas me donner de détails sur ce dont vous avez parlé ?
Niki : Tu es tenue au "non-secret professionnel" alors non.
Lena : En une demie-heure avec lui, tu as bien dû arracher un scoop que je pourrai mettre à l'écrit pour le mettre en porte à faux...J'adorerai savoir si Ráfaga est plutôt du genre à collectionner des posters des Spice Girls ou s'il est plutôt du genre à tuer un type qui le regarde de travers quand il fait ses courses en Uruguay, tu vois...
Niki : Tu as vraiment besoin de moi pour savoir ça ?
Lena : De toute façon, ça se voit à sa tête qu'il était fan de Geri Horner. Il faudrait que tu en parles à Christian, à sa place je ne serai pas rassuré de savoir que Ráfaga fantasme sur ma femme...
Niki : Ha. Ha. Ha.
[...]
Lena : Uh oh, je crois qu’on a un problème…
Niki : Quel problème ?
Lena : Regarde ça, la notification vient de tomber à l'instant…

Rafaga qui sort une saloperie sur Niki ?

Red Bull se retire de la compétition

Mais c'est qu'elle sait être drôle madame Bon sinon en vrai, tu devais avoir vraiment aucune inspiration/motivation niveau écriture de GP pour nous pondre un épisode autant tourné autour d'un problème d'ascenseur, même si c'est vrai que la situation est extrêmement cocasse

Bonne chance pour trouver la nouvelle qui inquiète autant Lena (et donc bientôt Niki) parce que c'est assez improbable que vous trouviez

Papy : Rafaga qui sort une saloperie sur Niki ?

Au moment de trouver un scénario improbable, Papy il nous sort le scénario le plus probable

Le 15 avril 2020 à 00:00:27 DorotheaWierer a écrit :
Mais c'est qu'elle sait être drôle madame

J'ai tjrs pas compris pourquoi tu la trouvais rabat-joie

Bon sinon en vrai, tu devais avoir vraiment aucune inspiration/motivation niveau écriture de GP pour nous pondre un épisode autant tourné autour d'un problème d'ascenseur, même si c'est vrai que la situation est extrêmement cocasse

Boarf, un GP où Niki abandonne au bout de dix tours c'est pas le plus ouf Et puis faut dire que le problème d'ascenseur je suis un peu fier d'avoir trouvé un truc aussi burlesque, j'imagine tellement la scène en vrai avec Hulkenberg et Magnussen bordel

Bonne chance pour trouver la nouvelle qui inquiète autant Lena (et donc bientôt Niki) parce que c'est assez improbable que vous trouviez

Papy : Rafaga qui sort une saloperie sur Niki ?

Au moment de trouver un scénario improbable, Papy il nous sort le scénario le plus probable

Aaaaayaaaaaaaaaaaaa

J'ai tjrs pas compris pourquoi tu la trouvais rabat-joie

Je veux pas que tu fasses les 24h, je te trouve mieux avec les cheveux plus longs et de la barbe donc tu sais ce qu'il te reste à faire, tu respectes bien les consignes que je t'ai donné pour les interviews

Là comme ça sans réfléchir j'ai ces 3 exemples là, d'importance plus ou moins grande, qui me viennent en tête. Si je creuse, j'en retrouve sûrement d'autres, bref c'est peut-être pas rationnel, mais elle me casse souvent les couilles et le fait que j'ai toujours voulu que le couple ne se forme pas aide pas à me faire une bonne opinion d'elle

Même si évidement Lena >>>>>>> Gabi, la preuve
https://www.jeuxvideo.com/dorotheawierer/forums/message/1021602508

Oyez, oyez !

Après plus d'un an de service, ce beau topic prend sa retraite. Avec plus de 2900 posts, ce topic est le quatrième plus gros du forum derrière le blabla, le topic actu et une commu en or et il devance tous les topics de Grand Prix dans ce classement, ce qui est une sacrée performance alors merci à vous.
A partir de maintenant on va migrer sur le tout nouveau forum 2020, qui sera le théâtre de bien des aventures pour Niki Kofler et son entourage, croyez-moi.

Rendez-vous dès demain à 19h pour la suite des événements https://www.jeuxvideo.com/forums/42-3018293-62787179-1-0-1-0-story-l-autriche-au-sommet.htm

Section spoil
SpoilAfficherMasquerEn arrivant ici, NK était tout juste père de famille, il vivait avec Gabriella et il était un pilote globalement peu connu (à l'exception de son Grand Prix d'Autriche 2020, aucune grosse perf sous la dent)
Il quitte ce forum avec une vie privée bien différente puisqu'il a perdu sa soeur, qu'il a quitté Gabriella et qu'il a fait la rencontre de Lena, mais le plus édifiant c'est que, au fil des 148 pages ici, il a amassé 9 poles, 10 succès et 25 podiums ainsi qu'un titre de vice-champion du monde. Et il aura certainement une biographie différente au moment de quitter le forum 2020.