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Sophiakademie ptdr c'est mignon mais claqué comme mot-valise

Le 12 mars 2020 à 17:25:12 [-Monarch-] a écrit :
Alors j'espère qu'elle aura un peu d'importance cette école de karting parce que si c'était sa seule apparition c'est un peu triste. Et d'un côté je me dis... Ne serait-ce pas la porte de sortie idéale pour un Niki Kofler qui se mangerais un Safety Car a pleine vitesse à la fin de la saison 9 ?

OH OUI GREG IL LA SOREUH
Niki percuté par un des élèves de l'académie alors qu'il roule en karting pour un showrun en fin d'année, le kart fait des tonneaux, Niki tétraplégique

Le 12 mars 2020 à 17:26:08 DorotheaWierer a écrit :

Alors oui... et non Non parce que le nom est moyen, mais le symbole est magnifique Donc validé

Le 12 mars 2020 à 17:25:12 [-Monarch-] a écrit :
Sophiakademie ptdr c'est mignon mais claqué comme mot-valise

En vrai depuis que l'épisode est écrit j'ai de sérieux doutes sur le nom, mais très honnêtement à moins que j'ai loupé l'évidence y'avait pas réellement de nom plus stylé et plus personnalisé que ça

Ca arrive

JVC

Saison 7 : https://docs.google.com/document/d/1KZi5n0g1M9dJ-3vZO_PDAyQRutLPMqfoXFlNWozXvdM/edit?usp=sharing

2025 (S8), Chapitre 49 (n°311) : Perturbations

PARTIE 1

Mercredi 18 décembre 2024, Milton Keynes
Dernière journée sur le pont pour moi cette année. Au terme d’une année éreintante professionnellement, l’équipe nous a demandé une dernière faveur avant la nouvelle année ; ce mercredi froid de décembre est l’occasion pour nous d’obtenir un traditionnel premier aperçu sur l’année 2025 qui nous attend. Tout d’abord, sachez que nous accueillons une nouvelle tête dans le rôle de troisième pilote ; exit Thibaut Spratt, le jeune néerlandais étant parti en quête de gloire en LMP2, dites bonjour à Reiko Nagase. Reiko est une jeune pilote japonaise, couvée par Honda, et qui disputera la saison de F2 en espérant pouvoir accéder à la F1 grâce à ce soutien du célèbre constructeur japonais. Elle a déjà disputé la Super Formula l’an dernier, obtenant d’honnêtes résultats pour une pilote de vingt ans, bien que je n’accorde que peu de crédit aux résultats obtenus au Japon quand on évoque la Formule 1, étant donné les difficultés d’adaptation que rencontrent certains des ressortissants nippons en arrivant en Europe.

Christian, Rocky et le big boss Dietrich Mateschitz tiennent à remercier tous les employés pour les efforts consentis au cours de l’une des sinon la pire année de l’existence de Red Bull Racing. Le terme “disgusting” sorti de la bouche de Dietrich a jeté un grand blanc dans la salle de conférence où nous étions réunis ; j’ai parcouru rapidement la salle des yeux après ce mot et j’y ai vu des visages désemparés, des mecs qui fixaient leurs pompes et d’autres qui regardaient le boss avec des yeux vides. Pourtant, je ne crois pas que cela soit déplacé car la réalité est là : sur tous les employés de cette organisation, rares sont ceux qui ont été à la hauteur cette année et je ne fais certainement pas partie de ceux-là.

Pour en revenir purement et simplement à la F1 avec une vision plus globale, parlons de ce foutoir qu’est la saison 2025.
Comme vous le savez, les budgets seront plafonnés. En apparence, cela ne devrait pas bouleverser la hiérarchie, en revanche la très bonne idée venue des officiels pour rebattre les cartes par la même occasion est cette nouvelle réglementation technique. Un seul changement majeur mais pas des moindres, puisque la largeur de nos voitures va diminuer de vingt centimètres pour se limiter à 1,80 mètre. Fini les impressionnants paquebots auquel le supporter avait fini par s'habituer depuis 2017 et, si ça ne semble pas évoquer de réel bouleversement pour vous comme une nouvelle réglementation aérodynamique pourrait le faire, dites-vous que les ragots du paddock sont tout autres. Les ingénieurs ont dû adapter leurs concepts à cette nouvelle limite et, pour expliquer les choses simplement, comprenez qu'on ne peut pas prendre une Formule 1 et y appliquer une réduction à l'échelle. Tous les écoulements d'air sont à revoir et, pour nous pilotes, la principale différence réside dans la relative légèreté de ces voitures. Le nombre de têtes-à-queue réalisés par Sérgio et moi sur nos premières séances de simulateur est affolant et c'est un euphémisme que de le dire alors si vous envisagez d'arrêter de suivre la F1, je vous conseille d'y réfléchir à deux fois car on pourrait bien assister à quelques chamboulements.

Nous aurons également droit à un “nouveau manufacturier qui va dynamiter la compétition”, même si on sait pertinemment que le retour de Michelin n’est que le résultat du dernier appel d’offre de Liberty Media, et cela constitue une autre grosse inconnue mais, dans le fond, on se demande si l'énigme n'est pas plutôt la direction que prend ce sport. En effet, les patrons sont en train de mettre à profit l’hiver pour exposer leurs dernières trouvailles : fin du système Q1-Q2-Q3 actuel, révision du barème de points, récompense de la pole et/ou du meilleur tour, spécification des boîtes de vitesse, des rumeurs toutes plus ridicules les unes que les autres émergent pour 2026 et 2027 et on ne sait pas vraiment celles qu’on doit croire. Ce qui a donné naissance à tout ce joli merdier, c’est la déclaration du chef de la tribu, l’homme à la moustache Chase Carey disant que le format actuel de la F1 n’avait que trop peu évolué au cours des dernières années et que cela offrait une compétition peu intéressante. Pourtant, si l’on regarde bien, la saison 2022 a vu une bataille faire rage entre trois écuries se disputant la deuxième place tandis que les saisons 2023 et 2024 ont toutes les deux connu des courses historiques et un dénouement en apothéose avec trois candidats au sacre à l’amorce du dernier Grand Prix lors de ces deux années. Morale de l’histoire : ces imbéciles n’ont aucun fonctionnement logique et tout le monde commence petit à petit à s'en inquiéter.

Cet agacement, je ne suis pas le seul à le ressentir dans le paddock. Plusieurs pilotes avec lesquels j’ai échangé depuis le début de l’hiver m’ont fait part du même sentiment et ça commence même à faire jaser au sein du personnel des équipes, personnel qui a été drastiquement réduit par les caps budgétaires qui affectent presque exclusivement les petites mains de nos écuries de F1. Chez Red Bull, c’est simple, on a perdu environ cent de nos collègues pour passer de 720 à un peu moins de 620 - en gros ce qu’il y avait en 2008, d’après les dires de ceux qui étaient déjà là à l’époque - et ce en à peine deux ans. Le département aéro a été réduit en effectif, les gens en charge de la comptabilité et de la logistique s’emmerdent quand ils font une pause à la machine à café, pire encore la cadence de production de pièces a été drastiquement réduite et la frénétique course au développement sera bien plus lente à partir de cette année. C'est un souhait clair exprimé par Liberty qui veut réduire les chances d'une écurie "blockbuster" de combler un retard de développement éventuel ; la mesure est destinée à faire du pied aux petits constructeurs comme Dallara, Sauber ou Haas qui pourraient se retrouver avec une voiture bien née et un certain temps d'avance sur un gros bras comme Audi ou Renault qui aurait potentiellement raté sa nouvelle machine. Toujours est-il que le fait qu'une écurie comme la nôtre doive se séparer de cent personnes est peu plaisant et, au total, on estime qu'environ 550 hommes et femmes ont perdu leur emploi dans le monde de la F1 cet hiver. Certains iront en Endurance, d'autres en Indycar, d'autres en F2 avec l'espoir de rebondir, mais cette conséquence est loin d'être appréciée et j'ai même entendu, pour la première fois de ma carrière en sport automobile, le mot “grève”, même si je crois que c’était plus une plaisanterie qu’autre chose.

A l’abord de cette saison, l’incertitude est de mise : quid des écuries gros bras comme la nôtre avec la mise en place des restrictions budgétaires ? Quid de Sérgio, désormais en position de force au sein de l’écurie après sa saison passée ? Quid de son contrat qui expire en décembre ? Quid de mon rôle de star déchue ? 2025 sera une année pivot pour l’équipe, tout le monde le sait : Christian Horner est à deux doigts de reprendre du service sur les circuits, vraisemblablement lassé par son rôle plus “administratif”, tandis que Rocky reprendrait bien son métier d’ingénieur performance. Dans le même temps, je suis toujours frustré de cette saison 2024 de misère et Sérgio commence à trouver le temps long, toujours dans l’attente d’une foutue victoire en F1 après plus de cent vingt Grand Prix. Les nerfs sont tendus et il ne faudrait pas que le nouveau bolide soit mauvais, sinon l’éclatement pourrait être douloureux à plusieurs niveaux et notamment à mon niveau, puisque cette RB21 sera aussi le couperet sur ma réputation ; soit la voiture est rapide, soit elle ne l’est pas et, dans les deux cas, tout le monde le saura rapidement.

Malgré les coupes au sein du personnel des écuries, cette journée est l’occasion d’officiellement accueillir de nouvelles têtes. Rien de bien notable pour nous en revanche et le noyau dur reste le même. Richard restera mon ingénieur de piste alors que les noms comme Andrew, Mike, Dimitriu, Josh et Anton sont encore là. Les trois premiers, affectés à la performance de ma voiture, redoutent d'ailleurs un nouvel épisode comme ma colère du premier jour barcelonais de l’an dernier mais, de mon côté, je suis plutôt serein sur ce plan. Beaucoup d'écuries, à notre place, auraient coupé des têtes par dizaines mais, pour sa part, Red Bull a préféré faire confiance à des gens dont elle connaît la valeur intrinsèque. Ces gars étaient déjà là lors des années fastes, ils connaissent la recette et, en leur accordant cette confiance, je crois qu'on va dans la bonne direction. Ces gars savent comment Sérgio et moi fonctionnons et la réciproque est vraie alors on devrait pouvoir faire des progrès. Il n'y a jamais de certitude dans ce sport et ma nature pessimiste m'oblige à penser qu'il existe une possibilité de naufrage mais l'ambiance n'est pas réellement propice à cela : il faut regarder vers l'avant, même si tout le monde éprouve une certaine forme de scepticisme au vu de notre saison passée et au vu de la direction que prend notre sport.

En cette fin de mercredi, malgré le merdier apparent que je vous ai exposé et le climat assez tendu de cette journée formelle, l’ambiance est bon enfant et pour une seule raison. En effet, notre journée se termine par un ultime tournage promotionnel où Sérgio et moi nous échangeons des cadeaux de Noël sur le thème "Dirty Christmas". La règle était qu’on devait trouver trois petits cadeaux à offrir à l’autre pour se foutre de sa gueule et nous avons évidemment eu une inventivité phénoménale ; Sérgio m’a offert une Tamiya miniature en précisant que le moteur était “à monter soi-même avec précaution”, blague à laquelle j’ai explosé de rire car j'ai tout de suite compris la référence à mes coups de sang envers Honda. Il m’a ensuite offert une poterie en forme de calibri, référence au surnom d’Arturo Rafaga, et a enfin terminé en m’offrant un petit paquet “pot pourri” qui comprenait des sachets de thé, une boule anti-stress et un livre de yoga, afin que j’expulse les démons que j’ai en moi. Quel enfoiré !
A vrai dire, je ne me suis pas contenté de lui offrir le dernier tome de Winnie l'Ourson : je me suis défendu en lui offrant un maillot de Cruzeiro, club rival de l’Atlético Mineiro dont Sérgio est fan et qui a, pour l’anecdote, gagné 4-0 sur la pelouse de l’Atlético le mois dernier. Mon second cadeau pour lui était un trophée d’employé de l’année, accompagné d’une dédicace de mon complice Christian Horner qui a écrit sur le socle du trophée “au meilleur pilote numéro 2 que nous ayons jamais eu”, cadeau qui a réellement choqué Sérgio même si on rigole de ces fausses questions de statut en interne entre nous. Enfin, le troisième cadeau était un rétroviseur central amovible, à fixer sur son halo et qui lui permettra de me voir quand j’arriverai dans ses rétros au prochain Grand Prix du Mexique.

PREMIÈRE PARTIE JUSTE AU-DESSUS

2025 (S8), Chapitre 49 (n°311) : Perturbations

PARTIE 2

Le tournage exceptionnellement piquant s’est déroulé sous le regard amusé du grand patron, Dietrich Mateschitz. Je l’ai rencontré à quelques reprises dans ma carrière sans même forcément être un pilote Red Bull mais c’est depuis cette année que j’ai le plus souvent affaire à lui, évidemment. Le big boss nous rend encore visite sur quelques manches européennes et, dans de rares occasions comme aujourd’hui, il vient passer une tête à Milton Keynes. Il faut toutefois dire que, du haut de ses quatre-vingt ans, la présence de celui qui a pris le paddock par surprise à son arrivée en 2005 n’est plus vraiment un impératif. J’ai énormément de respect pour son travail, non seulement en tant qu’entrepreneur mais surtout en tant que propriétaire d’une écurie de F1 : qui aurait bien pu croire, à l’amorce du troisième millénaire, qu’un vendeur de canettes remporterait quatre doublés pilotes-constructeurs consécutifs ? Au terme du tournage, alors que Sérgio reste à discuter avec Kieran, de l’équipe communication, Dietrich vient me voir et nous commençons à discuter.

Dietrich : Prêt pour douze mois à bloc ?
Niki : Plus que jamais.
Dietrich : Et comment vous le sentez, ce cru 2025 ?
Niki : Mon père dit toujours que je n’ai pas hérité de son palais alors ne me posez pas de questions d’oenologie (rires). Tout dépendra de vos hommes, je n’aurai qu’un rôle mineur à jouer.
Dietrich : Ca c’est ce que vous dites...Mais je sais aussi bien que vous à quel point la réussite de l’année prochaine vous tient à coeur. Ne me faites pas croire que vous vous attendez à passer du bon temps, un type comme vous va continuer à travailler comme un forcené pour prendre tous les centièmes disponibles.
Niki : Je serai au rendez-vous, c’est mon métier.
Dietrich : J’espère bien !
Niki : Je ne vois pas pourquoi on échouerait, je crois que la nouvelle voiture va bien. La direction qui a été prise sur le développement est la bonne, cette fois. J'en suis certain.
Dietrich : Oui, je vous voyais discuter avec les aérodynamiciens tout à l’heure, je vous avouerai que je n’ai pas souvent vu de type aussi branché sur l’aspect aéro que vous.
Niki : Vous dites ça pour me faire plaisir…
Dietrich : Non, vous êtes un gars qui pense, c’est bien. J’apprécie que vous vous soyez engagé de la sorte pour l'écurie. C’est ce qu’on demande en général à un pilote numéro 1, mais pas jusque là. Qu’un pilote prenne en charge le développement à ce point, c’est probablement inédit. Et il faut dire que vous commencez à avoir un peu d’expérience aussi, ça change des poupons qu’Helmut avait l’habitude de ramener ici par le passé. Je me demande souvent pourquoi nous ne sommes pas venus vous chercher plus tôt !
Niki : Plus tôt ? J’aurai refusé. Je l’avais déjà fait quand j’étais plus jeune.
Dietrich : Oui, mais on parlait de vous faire venir chez Toro Rosso il y a de cela quelques années. Quand vous étiez en F2 ou chez Williams, vous aviez le profil ; autrichien, plutôt rapide, globalement sympathique pour les fans. Christian avait évoqué votre nom, j’y avais moi-même pensé, mais Helmut avait rétorqué que vous n’aviez pas “l’ADN Formule 1” parce que vous ne brisiez pas les organes reproducteurs des autres pilotes, à part ceux de Dan Ticktum. Il couvait Dan et il ne voulait pas voir son chemin entravé, alors vous signer aurait été complètement contraire à cela...Il avait prétexté que vous n’aviez pas la détermination pour atteindre les sommets, je crois que maintenant il regrette ce qu’il a dit (rires).
Niki : A l’époque il avait sûrement raison. Et étant donné que personne ne lit dans l’avenir...
Dietrich : En tout cas, j'espère sincèrement qu’on va faire mieux l’année prochaine, car vous méritez d’être plus haut que ça, vous et Sérgio. On a un des meilleurs duos qu’on n’ait jamais eu mais on pourrit à la cinquième place, ce n’est pas normal.
Niki : On n’est pas si excellents que ça, vous avez quand même connu des sacrés pilotes.
Dietrich : Vous êtes l’un des plus complets que j’ai croisé en vingt ans ici. Certains étaient rapides comme Verstappen, d’autres étaient adorables comme Ricciardo, mais un pilote rapide, bankable et avec une vraie expertise technique, je n’ai pas ça en répertoire.
Niki : Et Vettel ?
Dietrich : Vous voulez que je le taille pour votre égo, c’est ça ?
Niki : Non, je suis simplement curieux de savoir ce que vous pensez de lui. Peu de gens sont d’accord avec moi quand je leur expose le Vettel que j’ai connu en interne, il me tarde de savoir comment il était ici.
Dietrich : Un diamant brut, de la même catégorie que Verstappen en talent pur et, sur ce plan, ils font partie tous les deux des meilleurs de l’Histoire, bien loin devant certains comme vous très honnêtement. Techniquement, pas de doute, il comprenait ce qui se passait. Mais physiquement, il avait des lacunes. Il n’a jamais renvoyé l’image d’un athlète particulièrement affûté, à l’inverse de types comme Russell ou comme vous. Et humainement, il n’était pas toujours à la hauteur de son temps ici. Il n’avait pas le comportement approprié, il ne se remettait jamais en question, tout tournait autour de lui, il coupait court à toutes les discussions importantes quand elles ne prenaient pas la direction qu’il voulait.
Niki : Dans ce cas je ne figure pas très haut dans votre estime non plus !
Dietrich : J’ai eu écho de vos coups de sang, pour moi un bon nombre d’entre eux étaient justifiés. On verra ce qu’il adviendra en 2025.

J’apprécie beaucoup Dietrich, bien qu’il ait cette fâcheuse tendance à vous flatter inutilement. Je sais bien que je ne suis pas le premier qui jette un coup d’oeil aux simulations 3D des logiciels des ingénieurs aéro, je sais aussi que je ne suis pas le meilleur pilote de l’Histoire de Red Bull et le fait que Dietrich prétende le contraire peut avoir un côté agaçant mais, en-dehors de ça, on sent que c’est un gars qui aime la Formule 1 et qui aime ses pilotes. A partir du moment où vous ne mettez pas la voiture dans le mur à la moindre occasion et que vous ne dites pas en public que vous aimeriez rejoindre l’écurie rivale, vous pourrez compter sur le soutien de ce vétéran. C’est une qualité que trop peu de gens ont dans les paddocks modernes malheureusement, qualité que je retrouvais chez Arturo mais qui n’avait aucune valeur dans le sens où Arturo n’était qu’un pion placé dans la case de manager. Malgré des débuts toxiques, la collaboration avec l’équipe se passe bien et la saison à venir me donne réellement de l’espoir, à l’inverse de la précédente où je m’étais un peu demandé ce que je faisais là.

Vendredi 20 décembre 2024, Bennau
La coupure de Noël approche à grands pas ; entre deux articles sur les frasques de Liberty Media ou sur les inquiétudes vis-à-vis de Williams, je suis progressivement en train d’opérer la traditionnelle déconnexion de Noël. Pendant une quinzaine de jours, rien d’autre que ma famille, mes proches, ceux qui me permettent au quotidien de survivre ; sans eux, nul doute que j’aurai déjà vrillé. Avant d’en terminer pour de bon avec mes dossiers en cours, aujourd’hui est le dernier jour de travail dans bon nombre d’entreprises du monde et les dernières affaires de l’année 2024 sont en train de se conclure. D’ailleurs, à ce propos ; mon téléphone sonne et il s’agit de Sergueï. Sans tourner autour du pot, mon ami russe me met au pied du mur.

Sergueï : Bonjour Niki.
Niki : Priviet, camarade. Que me vaut cet appel à quelques jours de Noël ? Tu veux mon adresse pour m’envoyer une carte de voeux ?
Sergueï : Pas réellement, non.
Niki : Oh...Sergueï est un slave nerveux. Est-ce que tu essaies de me mettre une quelconque pression ?
Sergueï : Non, je ne t’appelle pas dans le but de te mettre la pression mais avec l’objectif d’obtenir une réponse ; mes amis attendent et ils ont horreur de ça. Est-ce “oui” ou est-ce “non” ?
Niki : C’est un oui pour moi. Je suis à bord.

FIN DE LA SAISON 7

Voilà, finito, une de plus.
Pour la première fois de la story, Niki a réellement vécu un calvaire cette année et, entre deux éclaircies, beaucoup ont douté de lui : il faudra qu'il montre à tout le monde de quel bois il se chauffe en 2025.

La question que tout le monde se pose c'est : qu'est-ce qui se cache derrière cette conversation entre Niki et Sergueï ? Vous avez une semaine pour tenter de deviner

Merci à ceux qui continuent à suivre même si l'activité s'essouffle un peu ces derniers temps par ici, en espérant que ça ne soit qu'un petit passage à vide.
Pour ceux qui auraient éventuellement du retard, vous avez une semaine pour le rattraper car le planning de la semaine d'intersaison est léger :
- La mise à jour stats demain
- Un petit point sur les changements de la saison, bien moins nombreux que sur les saisons 4, 5 et 6
- Le synopsis de la saison 8 en fin de semaine

Et je vous donne rendez-vous pour la saison 8, saison qui me plaît vraiment bien et qui démarrera samedi prochain

Go RICHARD

Tous ces potentiels changements dans le règlement sportif ça me fait peur Mais pour 2025, ya que le règlement technique qui change, c'est ça ?

Pour ce qui se trame entre Niki et Sergueï j'ai pas vraiment d'idée, mais je vais prono quand même. Sergueï veut créer sa propre équipe dans le sport auto, pour les catégories inférieures en monoplace et Niki est prêt à apporter son expérience au projet, à condition de pouvoir placer ses protégés de l'académie dans le futur (bordel, je trouve mon prono éclaté )

Reiko est une jeune pilote

Ça commence à faire beaucoup de femmes

mais Helmut avait rétorqué que vous n’aviez pas “l’ADN Formule 1” parce que vous ne brisiez pas les organes reproducteurs des autres pilotes

Sacré Helmut

Le 14 mars 2020 à 18:32:41 DorotheaWierer a écrit :
Tous ces potentiels changements dans le règlement sportif ça me fait peur Mais pour 2025, ya que le règlement technique qui change, c'est ça ?

Pour le moment oui

Pour ce qui se trame entre Niki et Sergueï j'ai pas vraiment d'idée, mais je vais prono quand même. Sergueï veut créer sa propre équipe dans le sport auto, pour les catégories inférieures en monoplace et Niki est prêt à apporter son expérience au projet, à condition de pouvoir placer ses protégés de l'académie dans le futur (bordel, je trouve mon prono éclaté )

Ouais je confirme il est éclaté
Mais bien tenté

Reiko est une jeune pilote

Ça commence à faire beaucoup de femmes

Pour toute réclamation : https://www.jeuxvideo.com/messages-prives/nouveau.php?all_dest=[-Monarch-]

Le mec dit oui sans connaître la raison wtf ça se trouve il vient de vendre son rein

Le 14 mars 2020 à 18:40:37 PapY_MoLoToV a écrit :
Le mec dit oui sans connaître la raison wtf ça se trouve il vient de vendre son rein

Ayaaaaa, nous on sait pas mais Niki il sait de quoi Sergueï parle

Le 14 mars 2020 à 18:40:37 PapY_MoLoToV a écrit :
Le mec dit oui sans connaître la raison wtf ça se trouve il vient de vendre son rein

Ptdr tu crois vraiment que Niki ne connaît pas le sujet de la discussion ?
Les seuls qui ne connaissent pas le sujet de la discussion c'est vous

Pourquoi je sens que c’est un truc de merde et Nolan nous fait juste croire à un truc de fou

Le 14 mars 2020 à 19:16:47 Pimpolofist a écrit :
Pourquoi je sens que c’est un truc de merde et Nolan nous fait juste croire à un truc de fou

T'as pas lu les règles de la story ou quoi ?

Je cite, règle 3 :
Si y'a Sergueï dans l'affaire, c'est que c'est pas un truc de merde

(La règle 1 étant "Si Niki peut être dans la sauce, il le sera certainement" et la règle 2 étant "Si un personnage est vivant, alors profite de lui car la saison prochaine il sera peut-être au paradis des hamsters" )

Le 14 mars 2020 à 19:21:32 Haryanto a écrit :

Le 14 mars 2020 à 19:16:47 Pimpolofist a écrit :
Pourquoi je sens que c’est un truc de merde et Nolan nous fait juste croire à un truc de fou

T'as pas lu les règles de la story ou quoi ?

Je cite, règle 3 :
Si y'a Sergueï dans l'affaire, c'est que c'est pas un truc de merde

(La règle 1 étant "Si Niki peut être dans la sauce, il le sera certainement" et la règle 2 étant "Si un personnage est vivant, alors profite de lui car la saison prochaine il sera peut-être au paradis des hamsters" )

Après c’est peut-être une compétition de bowling, c’est important le bowling pour les Russes

Putain j'avais totalement zappé que j'avais déjà fait un perso pour cette story

Je vais essayer réfléchir à la dernière conv parce que la je suis encore sous alcool donc c'est chaud

Hors-série - Bilan de la saison 2024

Rappel des classements finaux :

Duel des équipiers - Qualifications
Russell 14 - 9 de Vries
Verstappen 12 - 10 Ráfaga
Vandoorne 10 - 13 Ticktum
Kofler 11 - 11 Sette Câmara
Ricciardo 9 - 14 Leclerc
Ocon 14 - 9 Pöpfer
Zoranovic 18 - 5 Gelael
Gasly 14 - 9 Wighels
Pérez 13 - 10 Sigthorsson
Ghiotto 13 - 10 Schumacher
Zhou 14 - 9 Maini

Duel des équipiers - Course
Russell 12 - 5 de Vries
Verstappen 7 - 7 Ráfaga
Vandoorne 5 - 8 Ticktum
Kofler 5 - 7 Sette Câmara
Ricciardo 8 - 7 Leclerc
Ocon 13 - 6 Pöpfer
Zoranovic 7 - 2 Gelael
Gasly 9 - 7 Wighels
Pérez 10 - 6 Sigthorsson
Ghiotto 10 - 5 Schumacher
Zhou 9 - 4 Maini

Victoires
Max Verstappen - 5
Arturo Ráfaga - 4
Daniel Ricciardo - 4
Charles Leclerc - 3
Daniel Ticktum - 2
George Russell - 2
Niki Kofler - 2
Sergio Pérez - 1

Pole positions
Max Verstappen - 6
Charles Leclerc - 5
Arturo Ráfaga - 4
Daniel Ricciardo - 3
George Russell - 2
Niki Kofler - 1
Stoffel Vandoorne - 1
Pierre Gasly - 1

Podiums
Arturo Ráfaga - 12
Max Verstappen - 12
Daniel Ricciardo - 11
Charles Leclerc - 9
George Russell - 7
Daniel Ticktum - 4
Niki Kofler - 4
Sérgio Sette Câmara - 4
Nyck de Vries - 2
Stoffel Vandoorne - 2
Sergio Pérez - 1
Esteban Ocon - 1

Entrées dans les points
Charles Leclerc - 19
Arturo Ráfaga - 17
Daniel Ricciardo - 17
Sérgio Sette Camara - 17
Max Verstappen - 17
Nyck de Vries - 17
George Russell - 16
Daniel Ticktum - 16
Stoffel Vandoorne - 16
Heinrich Pöpfer - 16
Esteban Ocon - 13
Niki Kofler - 12
Pierre Gasly - 9
Nevil Wighels - 6
Sergio Pérez - 5
Sven Sigthorsson - 4
Guan Yu Zhou - 4
Luca Ghiotto - 4
Mick Schumacher - 3
Arjun Maini - 1
Vojislav Zoranovic - 1

Stats de Niki Kofler
Grand Prix : 99
Victoires : 10 (10,10%)
Pole positions : 9 (9,09%)
Podiums : 22 (22,22%)
Points : 616 (6,22pts/gp)
Meilleure saison : 2023, 2ème, 265 points
Abandons : 25 (25,25%)

StatsF1
StatsF1 https://docs.google.com/spreadsheets/d/1g5tG90vnvOj1RKpegqXWZUOYeRlif9OzlZt3T-bhh5E/edit?usp=sharing
StatsF1 pilotes https://docs.google.com/spreadsheets/d/16-n4Tuw1CKDMEz2xfCl1x284G1sZkyNQQZCzM_bG8ZI/edit?usp=sharing
StatsF1 écuries https://docs.google.com/spreadsheets/d/1fAduD0zFjRoYI2-aFujPmMIGlfemHEqaPLBpGegheK4/edit?usp=sharing
StatsF1 saisons https://docs.google.com/spreadsheets/d/1HEuRe9eHYTMDw2DSbi3plbn2hvKQi0IOBmRdrRojg10/edit?usp=sharing

Stats notables
- Max Verstappen franchit la barre des 200 GP (201) et devient le 23e pilote de l’Histoire à franchir cette marque, le seul de la grille 2025.
- Daniel Ticktum franchit la barre des 100 GP et devient le 80e membre du “club van 100” de la F1. Il fait partie des huit centenaires du plateau 2025.
- Avec 279 GP, Sergio Pérez entérine son record de Grand Prix sans pole avec 93 GP d’avance sur Romain Grosjean, deuxième dans cette triste statistique.
- Max Verstappen intègre le top 10 en nombre de victoires avec 28 succès (8e).
- Sergio Pérez établit un nouveau record de Grand Prix avant la première victoire avec 256, presque deux fois plus que l’ancien détenteur Mark Webber (130).
- Max Verstappen (21) et Stoffel Vandoorne (20) sont les 15e et 16e hommes de l’Histoire à atteindre 20 poles en carrière.
- Avec 124 tentatives, Charles Leclerc se place au deuxième rang de la plus longue attente avant la première pole, derrière Mark Webber (131).
- Les 101 Grand Prix avant le premier podium de Sérgio Sette Câmara constituent un nouveau record, effaçant la marque de Martin Brundle (91).
- Nyck de Vries est désormais 3e (ex-aequo avec Chris Amon) au classement du plus grand nombre de podiums sans jamais remporter de course (11).
- Daniel Ricciardo (2209) et Max Verstappen (2143) grimpent respectivement au 3e et 4e rang du classement en nombre de points, rejoignant au passage Vettel, Hamilton et Raikkonen dans le club très fermé des détenteurs de 2000 points en carrière.
- Charles Leclerc (16e) et Niki Kofler (19e) intègrent le top 20 en nombre de points marqués et y rejoignent Max Verstappen, Stoffel Vandoorne et Pierre Gasly parmi les pilotes en activité ayant inscrit le plus de points.
- Les treize entrées consécutives dans les points (série en cours) d’Heinrich Pöpfer constituent l’une des 28 plus longues séries de l’Histoire et la plus longue pour un rookie.
- Avec 39 GP avant d’inscrire ses premiers points en F1, Guan Yu Zhou est troisième dans cette statistique, derrière Nicola Larini (44) et Jonathan Palmer (42).
- Esteban Ocon (485) et Nyck de Vries (465) montent sur le podium du plus grand nombre de points sans victoire en F1, derrière Nico Hulkenberg (676).

Je pense qu'il va être question d'une nouvelle écurie dirigée par Serguei

Le 15 mars 2020 à 12:03:23 [-Monarch-] a écrit :
Je pense qu'il va être question d'une nouvelle écurie dirigée par Serguei

J'y ai pensé, mais pourquoi Niki s'engagerait dans un projet de nouvelle équipe alors qu'il est bien installé en F1 ?

Le 15 mars 2020 à 12:03:23 [-Monarch-] a écrit :
Je pense qu'il va être question d'une nouvelle écurie dirigée par Serguei

Y'a rien d'impossible, comme l'idée de Mouf, mais là où tu fais mieux que lui c'est que c'est largement plausible connaissant Sergueï et qu'il y aurait un réel intérêt narratif derrière tout ça
Ne pas oublier également certaines discussions pendant l'année entre Niki et Sergueï et également le lien Semigradov/Zoranovic

Le 15 mars 2020 à 12:37:33 Haryanto a écrit :

Le 15 mars 2020 à 12:03:23 [-Monarch-] a écrit :
Je pense qu'il va être question d'une nouvelle écurie dirigée par Serguei

Y'a rien d'impossible, comme l'idée de Mouf, mais là où tu fais mieux que lui c'est que c'est largement plausible connaissant Sergueï et qu'il y aurait un réel intérêt narratif derrière tout ça

Evidemment connaissant Sergueï, c'est la première chose à laquelle j'ai pensé, mais si je l'ai pas prono c'est juste que je vois pas ce que Niki vient foutre dans l'histoire dans ce cas-là. D'où mon prono moins ambitieux des formules de promotion où Niki pourrait amener son expérience pour aider l'équipe à se construire (là où il n'aiderait pas une équipe rivale à se construire en F1) et donc en échange pouvoir placer des pilotes