Chapitre en page précédente

Le 25 mars 2020 à 20:21:03 Pimpolofist a écrit :

Le 25 mars 2020 à 18:49:48 Haryanto a écrit :

Le 25 mars 2020 à 18:44:59 Pimpolofist a écrit :
Heureusement que Lena ne s’est pas barré car elle ne voulait pas croire Niki, sinon j’aurais arrêté la fic

Vivement que Gabriella fonce sur Niki avec la SC lors des essais de Barcelone

Les essais ?
Ils sont déjà passés

Lors du WE de Barcelone

Rien ne dit que Niki sera encore vivant à ce moment, c'est dans 3 mois quand même
D'ailleurs à ce stade de la story, si on suit le planning de Max, Niki devrait bientôt voir un espagnol qui va hésiter entre Garder calme et Deviene fou
(M'enfin d'après le planning de Max, Niki devrait avoir remporté 4 titres mondiaux )

Je suis pas sur que se comporter en énorme connard avec son agent soit une bonne idée pour sa carrière, il va peut être devoir se calmer cet abruti de Niki

J'espère qu'il va réfléchir et s'excuser ce batard

Le 26 mars 2020 à 11:23:27 PapY_MoLoToV a écrit :
Je suis pas sur que se comporter en énorme connard avec son agent soit une bonne idée pour sa carrière, il va peut être devoir se calmer cet abruti de Niki

J'espère qu'il va réfléchir et s'excuser ce batard

Son agent ? Quel agent ? Tu parles de la personne grassement payée et qui a refusé d'aider son client à négocier un contrat en WEC ?

Le 26 mars 2020 à 11:23:27 PapY_MoLoToV a écrit :
Je suis pas sur que se comporter en énorme connard avec son agent soit une bonne idée pour sa carrière, il va peut être devoir se calmer cet abruti de Niki

J'espère qu'il va réfléchir et s'excuser ce batard

Niki est un connard sur un bon nombre de points mais là non, c'est Andrea qui fout sa merde, on sait même pas pourquoi. Niki a décidé de faire les 24h, son employeur a donné son aval, les autres ont rien à dire je trouve

Le 26 mars 2020 à 11:56:44 DorotheaWierer a écrit :

Le 26 mars 2020 à 11:23:27 PapY_MoLoToV a écrit :
Je suis pas sur que se comporter en énorme connard avec son agent soit une bonne idée pour sa carrière, il va peut être devoir se calmer cet abruti de Niki

J'espère qu'il va réfléchir et s'excuser ce batard

Niki est un connard sur un bon nombre de points mais là non, c'est Andrea qui fout sa merde, on sait même pas pourquoi. Niki a décidé de faire les 24h, son employeur a donné son aval, les autres ont rien à dire je trouve

Ah, du coup j'ai eu raison de placer la phrase En réalité, je suis probablement un gros connard quand même, mais pas pour cette raison-là en tout cas. ?

Plutôt, oui En tout cas il m'a semblé extrêmement lucide en disant cette phrase

Oui enfin je trouve qu'il s'emporte carrément trop avec Andréa et je prend sa défense sur le fait que ça la fait peut être chier de bosser sur un domaine où elle n'y connait sans doute rien et que sa spécialité reste la F1

Le 26 mars 2020 à 11:59:41 DorotheaWierer a écrit :
Plutôt, oui En tout cas il m'a semblé extrêmement lucide en disant cette phrase

Ah, à la base j'avais mis ça pour le lol

Le 26 mars 2020 à 12:38:10 PapY_MoLoToV a écrit :
Oui enfin je trouve qu'il s'emporte carrément trop avec Andréa et je prend sa défense sur le fait que ça la fait peut être chier de bosser sur un domaine où elle n'y connait sans doute rien et que sa spécialité reste la F1

D'où Niki qui lui dit qu'elle aurait dû ne pas s'en charger du tout plutôt que de vouloir essayer

Le 26 mars 2020 à 12:58:40 Haryanto a écrit :

Le 26 mars 2020 à 11:59:41 DorotheaWierer a écrit :
Plutôt, oui En tout cas il m'a semblé extrêmement lucide en disant cette phrase

Ah, à la base j'avais mis ça pour le lol

Le 26 mars 2020 à 12:38:10 PapY_MoLoToV a écrit :
Oui enfin je trouve qu'il s'emporte carrément trop avec Andréa et je prend sa défense sur le fait que ça la fait peut être chier de bosser sur un domaine où elle n'y connait sans doute rien et que sa spécialité reste la F1

D'où Niki qui lui dit qu'elle aurait dû ne pas s'en charger du tout plutôt que de vouloir essayer

Bah oui mais il est pas obligé de gueuler comme un putois

Début du premier week-end de la saison demain

Direction Abu Dhabi, où les premières indications sur la hiérarchie tomberont.
Et avec, en exclusivité, une conférence de presse très...spéciale.
Le casting ? Niki Kofler, Lando Norris, Esteban Ocon, Arturo Rafaga et Max Verstappen

Rendez-vous entre 18h et 19h

SAISON 8 https://docs.google.com/document/d/1bPvF2aD5YsK_fK3k_Zg4C0gZm0by7p0CRLGPtagG5_4/edit?usp=sharing

2025 (S8), Chapitre 4 (n°315) : Apparences trompeuses

Jeudi 20 mars 2025, Circuit Yas Marina, île de Yas
Reprise de la saison ! Nouvelles voitures, nouveaux pilotes, nouveaux pneus, nouvelles intentions, nouvelles étiquettes et...nouvelles conférences de presse. Étonnamment, celle-ci a probablement été la plus amusante qu’il m’ait été donné de faire ces dernières années.
Avant de s’y pencher toutefois, sachez que mon problème contractuel avec SMP a été réglé juste à temps. D’après les types de la FIA qui s’occupent de cet aspect, j’étais le dernier pilote à faire homologuer son contrat pour les 24 Heures toutes catégories confondues, et il s’en est fallu de peu pour que je loupe cette opportunité mythique à cause d’une histoire d’obligations de présence au centre d’entraînement de l’équipe. Quelle connerie ç’aurait été, tout ça pour une mauvaise communication entre leur clan et le mien...
Chose promise chose dûe, voici donc cette extraordinaire conférence de presse :

Journaliste : Le point principal de discussion à l’amorce de ce Grand Prix est l’absence de Williams, l’écurie ayant annoncé qu’elle faisait tout ce qui était en son possible pour courir en Australie dans quelques semaines. Esteban, Niki, vous avez piloté pour Williams dans le passé, est-ce que vous avez quelque chose à dire à propos de la situation ?
Esteban : C’est terrible, bien évidemment. Williams est un bloc de près de cinquante ans d’histoire en F1 et savoir que l’équipe est en péril de la sorte ne fait plaisir à personne. C’est sûr que l’on ne peut pas se réjouir de la disparition d’une écurie mais, quand ça concerne un nom pareil, c’est encore pire. Maintenant, tout n’est pas fini, en ayant passé un an là-bas je peux vous dire qu’ils ne vont pas baisser les armes si facilement, ils vont tout faire pour être là et disputer la saison comme ils devraient être en mesure de le faire normalement.
Niki : Je n’ai pas grand chose à ajouter à ce qu’à dit Esteban, moi aussi je n’ai passé qu’un an là-bas alors je ne connais pas l’écurie en profondeur mais, comme toute écurie, elle est habitée par la passion. Les types là-bas sont des mordus de F1, Claire en première, et j’espère qu’on les verra sur la grille sous peu. Ce serait dommage que leur histoire avec la F1 se termine de la sorte, même si ça fait un petit moment que c’est dans les tuyaux et même si on n’a plus vu Williams se battre à l’avant depuis un bon nombre d’années, j’estime que ce serait une grosse perte pour tout le monde ici si l’écurie venait à disparaître complètement.
[...]
Journaliste : Niki, vous allez célébrer ce week-end votre centième Grand Prix, quel est votre avis vis-à-vis de ce nombre symbolique ?
Niki : C’est cool. Il y a dix ans je ne m’imaginais pas atteindre un Grand Prix alors me retrouver en face de vous et me dire que je vais franchir la barre des cent, c’est quelque chose de bien. J’aime bien ces “étapes”, la prochaine est fixée à deux cent !
Journaliste : Si vous deviez ne retenir qu’un seul des quatre-vingt-dix-neuf premiers, lequel choisireriez-vous ?
Niki : Aucun, c’est impossible, j’ai des souvenirs sur plein de circuits...Mon premier Grand Prix, mes premiers points à Bakou, mon premier podium, ma première pole, ma première victoire à Monza, mon étape à Spielberg tous les ans, c’est impossible de choisir, il m’est arrivé trop de bonnes choses pour n’en garder qu’une !
[...]
Journaliste : Question pour Lando et Niki. Cet hiver, nous avons vu circuler sur internet des photos de l’anniversaire de Nyck de Vries, cérémonie où vous étiez présents. En considérant que vous avez couru contre Nyck en Formule 2 il y a quelques années, est-ce que vous avez pris un petit “coup de vieux” en le voyant passer le cap des trente ans ?
Lando : Je ne crois pas que j’ai pris de coup de vieux en allant à son anniversaire. Nyck est un très bon ami à moi, on se connaît depuis une dizaine d’années quand je suis arrivé dans le junior team de McLaren, je tenais à être là en ce jour si spécial. Mais, personnellement, j’y allais pour une pyjama party, je commence à me demander si je n’ai pas le syndrôme de Peter Pan (rires).
James Allen : Et toi, Niki ?
Niki : Je n’aime pas les pyjama parties ! Non, plus sérieusement, c’est vrai qu’on a quelques pilotes qui commencent à avoir de la bouteille, Nyck se fait poser une prothèse de hanche la semaine prochaine, c’est vraiment triste (rires).
[...]
Journaliste : Niki, on avait pris l’habitude de vous voir toujours impeccablement coiffé, rasé de près, aujourd’hui vous débarquez avec une barbe assez épaisse et des cheveux mi-longs en bataille. Est-ce un signe ? Est-ce que quelque chose a changé dans votre attitude ? Est-ce une volonté d’effacer l’année dernière ?
Niki : Je suis heureux qu’on ait remarqué que je n’en avais plus grand-chose à faire de mon style. Vous aimez (rires) ? En fait je ne sais pas vraiment quoi répondre, franchement je ne me suis pas pris la tête au moment de prendre l’avion, je crois que ça se voit ! Ma petite amie préfère ce look un peu plus viking, elle n’aime pas quand je suis peigné comme un enfant de choeur alors j’ai exaucé son souhait, c’est une concession que j’ai fini par faire parce que je suis un homme exemplaire à l’écoute de sa dulcinée.
Max : Tu es en train de rendre des millions de femmes tristes avec ton discours, Niki. Tu as anéanti leurs espoirs de se marier avec toi...Je crois même que tu arriverais à rendre Arturo jaloux…(rire général dans la salle)
James Allen : Quelque chose à ajouter, Arturo ?
Arturo : Rien du tout (rires).
[...]
Journaliste : Question pour Niki. Nous avons appris au cours de l’hiver que vous alliez disputer les 24 Heures du Mans en juin. Qu’est-ce que cette course représente pour vous ? Qu’est-ce que cela a changé dans votre préparation ? Est-ce une volonté de diversifier vos activités, est-ce que l’Endurance est une discipline qui vous attire particulièrement ? Pensez-vous que cette course pourrait être un point central de votre carrière ?
Niki : Est-ce que j’ai le droit de répondre uniquement “Oui” et de demander la question suivante (rire général dans la salle) ? Non, plus sérieusement, c’est une bonne opportunité pour moi, Le Mans fait partie des courses qui m’a toujours fasciné, au même titre que Monaco ou Indianapolis. J’ai failli ne pas y participer en fait, parce qu’il manquait des détails dans mon contrat et qu’il s’en est fallu de peu, mais je suis très heureux que l’opportunité m’ait été donnée, j’espère que ça se passera bien, après je ne me dis pas “Si j’échoue ça sera dramatique”, je ne pense pas que ça le sera et, même si ça demande quelques aménagements dans mon emploi du temps, je prend ça comme un bonus plus que comme une grosse obligation de résultat.
[...]
Journaliste : Au cours de l’hiver, on a vu George Russell multiplier les messages sur les réseaux sociaux en militant contre l’abandon des animaux de compagnie, une initiative qui a été saluée par bon nombre de personnalités. J’aimerai poser une question à l’ensemble des pilotes : quel est votre animal totem ?
Lando : Ce n’est pas une question pour moi, tout le monde sait quel est mon animal…
Max : Ouais, la même chose ! Si on regarde la table, on a le saumon chez Haas, chez Audi on a le colibri et le lion, il en manque juste pour Esteban et Niki, ce n’est pas drôle...
James : Niki ?
Niki : Je ne sais pas…Je n’ai jamais vraiment réfléchi à la question…
Lando : On va trouver, ne t’en fais pas ! On a déjà un saumon, un lion et un colibri, on va en trouver un pour toi...
Max : L’an dernier c’était un agneau mais maintenant on dirait plutôt un ours…(rires)
Lando : Et il vient des montagnes, pour moi ça ne fait aucun doute.
James : Quelle est ta réponse, Niki ?
Niki : Disons l’ours, ça leur fera plaisir (rires).

Je dois dire que je savais à quoi m’attendre quand on m’a dit que Max et Lando seraient là, de même qu’Arturo. Le retour de Lando est une bonne chose car il était l’un de mes principaux concurrents quand j’étais jeune et, même si je ne l’apprécie pas plus que ça, force est de constater qu’il est assez drôle, quand il s’y met, au même titre que Max. Ce genre de conférences de presse fait plaisir car elle change de la routine, ça m’a permis d’éviter de parler pendant une demie-heure de ce que représente pour moi le nombre cent, par exemple.

Samedi 22 mars 2025, Circuit Yas Marina, île de Yas
Qui aurait pu croire qu’une conférence de presse buzzerait autant ? Au circuit, tout le monde m’a harcelé en me ressortant des anecdotes de la conférence, Lena aussi, et le point d’orgue est venu quand Lando a publié une photo sur son compte Instagram, photo où il était gamin et où il tient un ours en peluche dans la main, photo légendée “Moi et mon pote Niki, image colorisée, 2005”. Tout le monde m’a parlé de l’ours alors que c’est un animal auquel je ne m’identifie pas vraiment, mais soit. D’autres explications ont même émergé ; après la barbe et mes origines alpestres - bien que l’Autriche n’a jamais été un pays d’ours - j’ai entendu des trucs en lien avec une supposée puissance que je dégage, c’est flatteur d’une certaine façon. Luca Ghiotto s’est quant à lui foutu de moi en disant que j’étais plus un nounours qu’un ours quand il me voit avec les jumeaux. “Niki Bear” - je te hais, Lando - en prend un peu pour son grade mais, malgré tout, je m’amuse bien, il faut le dire.
Sur un ton plus sérieux, en libres hier, nous avons récolté toutes les données nécessaires pour le week-end, Sergio est entré dans le top 10 les deux fois tandis que j’ai terminé treizième puis sixième. Ce plateau est serré et je n’aime pas trop ça : une erreur en qualifs et vous êtes vingtième, c’est comme ça que je vois les choses. La qualif, justement, nous y voilà, alors que le format actuel vit peut-être sa dernière saison.

Personne ne sait à quoi s’attendre ce week-end, encore moins à l’amorce de cette qualif disputée dans la nuit émiratie. Les températures sont assez fraîches et beaucoup d’écuries craignent que les gommes Michelin n’atteignent jamais la température de fonctionnement. Et dès Q1, le ton est donné : c’est la pagaille. Alors que je ne suis pas encore sorti de mon box après quatre minutes, le red flag nous passe le bonjour à cause de la sortie de Vojislav, auteur d’un tête à queue dans le premier virage et qui est allé tapé dans les barrières. Voji n’est pas le seul à être parti à la faute mais il est le seul à en avoir été puni, c’est la triste loi de la réalité mais, avec autant d’incertitudes, je met ma main à couper qu’il vivra un Grand Prix galère demain.
Au terme de la séance, les Sauber et les China prennent la porte, tandis que les Dallara semblent sur un petit nuage.

Pour Q2, même si deux écuries ont perdu leurs deux voitures, tout le monde est nerveux car on sait qu’une équipe peut très bien placer ses voitures au premier et au dernier rang en même temps. Grâce à un bon chrono établi à mi-séance, je me classe sixième, un chrono agréablement satisfaisant. Sergio, de son côté, n’a jamais vraiment semblé dans la lutte et son onzième chrono semble presque bien payé, malheureusement. Sightorsson a connu des difficultés et signe le dernier chrono, derrière les deux Dallara certainement ravies d’un tel samedi, tandis qu’Esteban Ocon encaisse un premier gros couac pour ses débuts chez Ferrari et ne partira que douzième.

Dans le dernier tiers de la qualif, je n’ai pas grand-chose à perdre. Je prend pas mal de plaisir au volant de cette voiture et, même si elle se montre rapide, la loterie que constitue la hiérarchie en cette entame de saison m’amène à penser que toute erreur peut se rattraper demain même si s’en passer serait idéal. On ne peut plus dire “X et Y sont présents, il faut viser un top 8” car la réalité est qu’on ne sait pas ce qu’on peut viser, à l’heure actuelle. Malgré cet état d’esprit je-m’en-foutiste, c’est avec joie que je vous annonce que c’est le cinquième chrono que je signe au cours de cette séance, grâce à un deuxième tour qui m’a permis d’obtenir mieux que la septième place qui était la mienne après le premier run.

Grille de départ :
1 Russell (MCL) 2 Verstappen (AUD)
3 de Vries (MCL) 4 Leclerc (FER)
5 Kofler (RBR) 6 Rafaga (AUD)
7 Ticktum (REN) 8 Gasly (AMR)
9 Vandoorne (REN) 10 Norris (HAA)
11 Sette Câmara (RBR) 12 Ocon (FER)
13 Ghiotto (DAL) 14 Antiochus (DAL)
15 Sigthorsson (HAA) 16 Wighels (SAU)
17 Pöpfer (SAU) 18 Zoranovic (AMR)
19 Gelael (CHR) 20 Zhou (CHR)

Au sortir de cette qualification, je suis très heureux de ma performance mais je garde en tête une chose : personne ne sait ce qui peut se passer demain. Avec quatre voitures différentes dans le top 5 et sept écuries présentes en Q3, les choses vont être serrées demain en course, d’autant que les voitures sont compliquées à piloter. J'ai pensé à vous dire que l'incertitude règne autour du déroulement du Grand Prix de demain ? Je ne suis pas sûr...

Premier test du nouveau format de publication : rendez-vous demain (sensiblement dans les mêmes heures) pour le GP Ca vous donne 24h pour essayer de deviner les grandes lignes du GP : Qui gagnera ? Quelle écurie fera la meilleure impression ? Quelle place pour Niki ? Qui parmi les cadors repartira déçu des EAU ?

Le grizzly de Kitzbühel

Avant de s’y pencher toutefois, sachez que mon problème contractuel avec SMP a été réglé juste à temps.

Tout ça pour ça T'aimes bien créer des faux problèmes qui mènent à rien scénaristiquement en ce début de saison

En considérant que vous avez couru contre Nyck en Formule 2 il y a quelques années, est-ce que vous avez pris un petit “coup de vieux” en le voyant passer le cap des trente ans ?

Au bordel j'étais pas prêt, j'avais pas réalisé qu'il atteignait cet âge Faut dire qu'il fait pas 25 ans actuellement

Qui gagnera ? Quelle écurie fera la meilleure impression ? Quelle place pour Niki ? Qui parmi les cadors repartira déçu des EAU ?

Leclerc
Aston Martin à son échelle (top 5 pour Gasly, 9 ou 10 pour Voji après une remontée)
3ème
Le colibri

Le 27 mars 2020 à 19:20:48 DorotheaWierer a écrit :
Le grizzly de Kitzbühel

Mais Innsbruckois d'adoption, là-bas ils l'appellent Ti Blanc
(Ca fera un bon nom pour le club de baseball que Niki créera une fois à la retraite )

Avant de s’y pencher toutefois, sachez que mon problème contractuel avec SMP a été réglé juste à temps.

Tout ça pour ça T'aimes bien créer des faux problèmes qui mènent à rien scénaristiquement en ce début de saison

Totalement
SpoilAfficherMasquerContent de voir que rajouter cet élément à la dernière minute n'était pas trop grillé dans l'épisode précédent

En considérant que vous avez couru contre Nyck en Formule 2 il y a quelques années, est-ce que vous avez pris un petit “coup de vieux” en le voyant passer le cap des trente ans ?

Au bordel j'étais pas prêt, j'avais pas réalisé qu'il atteignait cet âge Faut dire qu'il fait pas 25 ans actuellement

Au moment de créer Niki il avait mon âge, soit 19 ans à l'époque. Hier j'ai écrit une phrase énoncant "Je suis dans ma vingt-neuvième année et...", autant dire que ça fait bizarre

Olala je m'étais arrêté fin décembre c'est pire que ce que je pensais.
Au moment où Niki s'est pris une droite dans la paddock pour être exact.

Mais tout ça pour dire que j'ai retrouvé mon rythme de croisière avec 5-6 épisodes vu qu'un mal de crâne m'empêchait de dormir.
Le GP de Monaco parfait.
La victoire de Niki.
Niki qui prend le contrôle de RB.
Joséphine qui part de la faconde plus gênante et bizarre qui soit. Useless ce perso'.
Lena qui résiste à Niki ca fait plaisir aussi.

Bref je lirai la suite qu plus vite.

Le 28 mars 2020 à 03:11:27 Barcelone97 a écrit :
Olala je m'étais arrêté fin décembre c'est pire que ce que je pensais.
Au moment où Niki s'est pris une droite dans la paddock pour être exact.

Ouais 30 ou 35 chapitres environ c'est ce qui me semblait

La victoire de Niki.
Niki qui prend le contrôle de RB.

De qui on parle ? Du surcoté autrichien ?

Joséphine qui part de la faconde plus gênante et bizarre qui soit. Useless ce perso'.

Ca a permis d'allumer un brasier uruguayen

Lena qui résiste à Niki ca fait plaisir aussi.

Bref je lirai la suite qu plus vite.

Y'a intérêt

Sigthorsson éclaté par Norris
Pöpfer de retour à sa place
Niki le Viking des montagnes

ça va être du lourd

Le 28 mars 2020 à 10:07:38 [-Monarch-] a écrit :
Sigthorsson éclaté par Norris
Pöpfer de retour à sa place
Niki le Viking des montagnes

ça va être du lourd

Je vais te fumer toi

SAISON 8 https://docs.google.com/document/d/1bPvF2aD5YsK_fK3k_Zg4C0gZm0by7p0CRLGPtagG5_4/edit?usp=sharing

2025 (S8), Chapitre 5 (n°316) : Rebattre les cartes

Dimanche 23 mars 2025, Circuit Yas Marina, île de Yas
Je n’avais plus été aussi excité pour une ouverture de saison depuis mon arrivée en 2020 mais force est de reconnaître que cette saison va être un sacré foutoir mais un foutoir dans lequel il sera possible de tirer son épingle du jeu. La qualification d’hier a donné le ton d’une saison qui s’annonce tendue et, je dois l’avouer, de l’intérieur, c’est un sentiment partagé entre l’excitation et la frustration : ça fait soixante-quinze-ans qu’on milite pour une compétition équitable entre les écuries mais, maintenant qu’elle pointe son nez, on en remarque déjà les premiers défauts : si les écuries à l’avant et celles à l’arrière restent des noms familiers, les écarts resserrés vont faire naître chez nous une immense frustration quand quelque chose ira de travers : prenez l’exemple de Vojislav. J’ai longuement discuté avec lui ce matin et il m’a dit qu’il n’avait aucun espoir pour cette course en partant de la dix-huitième place. L’Aston est correcte, elle titille ma Red Bull en performance pure mais, puisque les Dallara ou les Sauber ne sont que deux ou trois dixièmes plus lentes au tour, impossible pour lui d’espérer accrocher le même wagon que son équipier Gasly, qui part dix places plus haut. Ma remontée en Belgique en 2023, bien qu’une extrapolation de ce qu’une voiture très performante peut faire, ne risque pas d’être imitée cette saison alors qu’on ne sait même pas si un Rafaga, un Verstappen ou un Russell victime d’une défaillance le samedi pourra remonter dans les points le dimanche.

Richard : Ok, à vous la parole les gars. Sur quoi est-ce qu’on part ?
Gianpiero : On a fait un focus sur le top 8 ; parmi ceux-là, on a deux Audi, une Ferrari et une Renault, quatre pilotes qui semblent en difficulté sur les longs relais. D’après les simulations de vendredi, on se dirige vers une stratégie similaire aux McLaren, tandis que Gasly et Norris sont dans le même bateau. Sérgio fait la course contre les Dallara et Sigthorsson.
Niki : Qui ne part pas en options ?
Josh : Tout le top 10 est en options. On ne sait pas pour les autres mais on pense qu'il y aura peu d'options parmi ceux-là, Sérgio sera en mediums en tout cas.
Niki : Pourquoi pas les primes ?
Gianpiero : On veut voir ce qu’on peut faire avec les deux gommes les plus rapides pour aujourd’hui. Si ça ne fait pas on considérera l’option des primes pour Bahrein. Les primes semblent trop durs pour le départ, c’est risqué sachant que les adversaires principaux de Sergio sont tous derrière.
Richard : Est-ce qu’on privilégie le chrono ou la position en piste ?
Josh : On pense que l’undercut va bouchonner, comme Monaco les autres années. Normalement l’overcut permettra d’être en dehors du trafic et de gagner du temps et de préserver les gommes.
Joseph : Au bout de combien de tours est-ce qu’on tape dans la fenêtre critique des pneus mediums ?
Josh : Environ vingt-trois d’après les runs en essais. Il faudra voir avec le plein si c’est ça mais ça devrait être le cas.
Niki : Et les autres ?
Josh : McLaren tourne vers vingt…
Niki : Quoi ? Vous venez de dire qu’ils font partie des bons élèves…
Gianpiero : Oui, on espère secrètement pouvoir faire un arrêt de moins que la plupart du plateau.
Niki : C’est une bonne idée, j’aime bien.

Sur la grille, j’ai un peu de nervosité : il ne faut pas flinguer cette course, c’est un impératif, car nous semblons faire partie d’une caste de privilégiés capables de faire tenir les pneus correctement. Autour de moi sur la grille, Nyck est mon principal adversaire : sauf perturbations, il est mon rival pour ce qu’on considère être une deuxième place finale. Sur la grille, on s’aperçoit que Zoranovic, Wighels et Antiochus sont les seuls pilotes hors du top 10 à partir en options et cela en dit long : les Ocon, Sigthorsson ou autres Pöpfer vont tenter de ne faire que deux arrêts.

Alors que les feux s’éteignent, je prend un départ moyen, relégué au sixième rang par Rafaga, mais je ne m’affole pas. Les écarts sont ridicules, si vous ajoutez l’aspiration et le DRS aux faibles écarts de performance, vous obtenez une course très serrée et un festival de dépassements. Cinquième, quatrième, cinquième, sixième, cinquième, sixième, cinquième, quatrième, troisième, quatrième, après dix tours c’est presque si j’ignore à quelle place je suis ! Au tour 12, les premiers arrêts s’effectuent alors que Verstappen, Leclerc et Ticktum plongent aux stands et, au cours des tours suivants, beaucoup de pilotes changent de gommes au point où, au tour 15, le top 5 est composé de de Vries, moi, Norris, Sette Câmara et Ocon, les deux derniers étant en mediums.

Richard : Safety Car, rentre au stand ! Rentre au stand !
Niki : On devrait passer au plan B, non ?
Richard : Négatif, on reste sur le plan A.

Le plan B prévoyait de chausser des pneus primes et j’avoue que le pari me tentait bien : les pneus primes tiennent très longtemps, possiblement une trentaine de tours alors, avec quarante boucles à tenir, en espérant une nouvelle Safety Car, ça pourrait coller mais soit. Il est vrai que vous ne voulez surtout pas atteindre la “falaise”, le point critique où votre pneu perd une seconde au tour en deux boucles. Avec cet arrêt presque gratuit pour une majorité du peloton, le classement reste similaire, Russell et Verstappen s’immiscent dans le top 5 mais c’est tout, tandis que Vandoorne met pied à terre.
A la relance, Nyck gère son effort, à l’inverse du crétin des Alpes qui a failli perdre le train arrière et qui se retrouve troisième au premier virage derrière la Haas de Norris. Avec un Russell et un Verstappen sur le porte-bagages, je peux vous assurer que vous commencez à suer à grosses gouttes et qu’il faut savoir exactement où dépasser, sinon vous n’allez pas repasser deuxième et, au passage, vous tomberez peut-être au quatrième ou au cinquième rang si votre manoeuvre est vraiment ratée. Dans la ligne droite, malgré le léger déficit d’Honda face au bloc Renault qui équipe les américaines, je parviens à m’imposer devant Lando pour prendre la deuxième place. Lando est un audacieux, il a tenté ledit plan B et mon espoir est désormais qu’il retienne la meute pendant que je tente de recoller sur Nyck de Vries, qui semble avoir pris un petit matelas d’avance.

La course suit son cours et, après le retrait d’Antiochus, partie taper dans l’antépénultième virage et dont la suspension arrière-droit a décidé de se mettre en arrêt maladie, c’est malheureusement au tour de Sergio de s’immobiliser pour un problème d’électronique sur sa voiture. L’aubaine pour moi, c’est que la voiture de sécurité refait son apparition à cause de l’arrêt de l’autre Red Bull dans la ligne de départ/arrivée. Comme Nyck, je ne m’étais pas encore arrêté et cette nouvelle interruption au tour 31 est l’occasion idéale : vingt-quatre tours, les mediums peuvent les couvrir puisque la course est neutralisée pour deux ou trois boucles, alors on va jusqu’à la fin avec ce nouveau train à bande orange même si j’avais l’intention de finir avec les pneus à bande verte, plus tendres mais incapables de finir la course. Le classement est le suivant : 1 NOR 2 OCO 3 SIG 4 DEV 5 KOF 6 RUS 7 VER 8 RAF 9 GAS 10 LEC. Autant dire que c’est un véritable cauchemar pour les types de tête, notamment pour Russell dont la voiture aurait pu se retrouver au paradis s’il avait tenu un tour de plus sur son premier relais ! Voir Nyck aux avants-postes ne doit pas le réjouir, tandis que le trio des Audi et de Leclerc doit déjà être en fusion à l’idée d’une lutte pour la septième place.

Niki : Qui va au bout ?
Richard : Le top 4.
Niki : Sur quels pneus est-ce qu’ils roulent ?
Richard : Primes, sauf de Vries. Il est ton principal adversaire.

Dès la relance, j’observe devant moi un spécimen sauvage de hollandais volant. Nyck est clairement en forme aujourd’hui, certes bien aidé par les événements, mais sa gestion de course est impeccable et il s’offre un sandwich Haas dès les premiers instants. De mon côté, j’ai affaire à un trio fatal : Russell-Verstappen-Rafaga. Fort heureusement, Gasly m’épargne du carré d’as que Leclerc pourrait les aider à former.
George se défait de moi sans trop de problème et, alors que je me prépare malgré moi à laisser passer Verstappen, l’autre Audi de Rafaga surgit sur la gauche dans la seconde ligne droite du deuxième secteur et, au freinage, j’évite de peu le contact avec Arturo mais celui-ci ne fait aucun cadeau à son équipier, qui se retrouve dans les runoffs et de nouveau derrière moi.

Après avoir laissé filer le duo, puis un Verstappen revenu à la charge, je double Sigthorsson dont les pneus primes font pâle figure face à mes mediums, avant de faire de même sur Norris et Ocon. Alors que la fin de course approche et que Dan Ticktum fait un tête-à-queue fatal à sa Renault dans le premier partiel, les quatre fantastiques marquent un arrêt au stand qui me laisse avec une proie en ligne de mire : Nyck de Vries.

La McLaren est plus rapide, c’est certain, mais les pneus de Nyck montrent des signes de fatigue et j’imagine qu’il lui faut une grande maîtrise pour ne pas envoyer sa voiture en toupie. L’écart est de six secondes au moment où je prend la deuxième place à neuf tours de la fin et, même si celui-ci tombe dans les derniers tours à cause de cette usure des pneus dont je vous parlais, j’échoue à un peu plus d’une seconde de mon pote, qui remporte enfin son premier Grand Prix en F1.

Richard : C’est P2 pour nous Niki, tu as fait une belle impression, félicitations à toi.
Niki : Merci les gars, on a été chanceux mais il fallait répondre présent, c’était une belle course et c’est un beau début de saison. Génial.
Richard : Je crois que tu as fait peur à tous tes adversaires, comme l’ours (rires).
Niki : Ouais, l’ours gronde toujours. Il n’est pas mort.

Classement final du Grand Prix :
1 de Vries (McLaren)
2 Kofler (Red Bull)
3 Ocon (Ferrari)
4 Norris (Haas)
5 Russell (McLaren)
6 Rafaga (Audi)
7 Sigthorsson (Haas)
8 Verstappen (Audi)
9 Leclerc (Ferrari)
10 Ghiotto (Dallara)
…
DNF Sette Câmara (Red Bull)

Championnat pilotes Championnat constructeurs

Dans le parc fermé, je suis au septième ciel. Bien évidemment, j’ai vécu une course très chanceuse, presque parfaite, et cette deuxième place est magnifique surtout après les difficultés de l’an dernier mais je suis surtout heureux pour mon pote Nyck, enfin vainqueur d’un Grand Prix. Après quatre-vingt-huit échecs, la quatre-vingt-neuvième est la bonne pour lui et je suis tellement heureux qu’il arrive enfin à en claquer une.

Niki : Putain, quel crack ! Mon champion ! Depuis le temps que je te le disais, tu as fait les choses bien pour marquer le coup !
Nyck : Merci Niki. J’ai du mal à y croire pour l’instant...
Niki : Jusque là tout va bien, alors. T’étais au-dessus aujourd’hui, t’as tout géré, franchement bravo, personne n’aurait pu te dégager de là.
Nyck : Un tour de plus et tu m’avais.
Niki : Je pense que je te l’aurai laissée…
Nyck : Ne dis pas ça, on se bat en piste quand même !
Niki : C’était ton jour. Tu mérites d’en claquer une depuis des années, moralement je ne pouvais pas te la prendre...Ah, ils vont nous appeler. Prêt à être harcelé par tes groupies ?
Nyck : Je crois.

Ce podium est certainement l’un de mes préférés en F1. J’en ai fait quelques uns mais je crois pouvoir dire que je n’ai jamais été aussi content d’être là sans avoir gagné ! Nyck est un diamant qui a malheureusement été mal entretenu, il est arrivé en F1 sur le tard et par la petite porte, il a souvent servi de rampe de lancement à Russell, maintenant le voilà aux commandes, vainqueur de la course et premier leader du championnat !

Jenson Button : Niki, un mot sur la course de ton pote Nyck ?
Niki : Ce mec est un génie du pilotage, ça me dégoûte presque qu’il ait dû attendre aussi longtemps pour gagner, ça fait des années qu’il tourne autour et je suis ravi qu’il atteigne enfin le centre de la cible. Je suis deuxième mais heureux aujourd’hui.
Jenson : Tu pensais pouvoir gagner ?
Niki : Ouais, peut-être, mais honnêtement, ç’aurait presque été trop. La course s’est vraiment bien passée pour moi, tout était aligné, à la régulière je n’aurai vu le podium qu’en photo alors deuxième est déjà un bon résultat. En plus on a montré qu’on avait une voiture très souple face aux stratégies, c’est un atout dingue dans un plateau si resserré. Je pense qu’avec un peu d’animation il y aura d’autres résultats dans ce style cette saison et c’est cool.
Jenson : Pour ton centième Grand Prix, c’est l’idéal de finir avec un vingt-troisième podium en carrière ?
Niki : C’est assez bien, ouais. Si on m’avait tendu le scénario cet hiver, j’aurai signé direct, je suis content de commencer la saison comme ça, je crois qu’il va falloir forcer pour m’enlever mon sourire parce que je me sens revigoré après une course pareille ; des dépassements, de la stratégie favorable, une fin de course haletante à jouer les chasseurs, j’ai passé un super dimanche. Ca donne envie de faire le déplacement au Bahreïn le week-end prochain.

Au terme de ce week-end, le moral est au beau fixe : une deuxième place à mon actif, un avantage pneumatique confirmé par rapport aux cadors du championnat, la victoire de mon pote Nyck. J’ai l’impression de revivre grâce à ce dimanche de rêve et je n’ai qu’une hâte : voir si cela peut se confirmer au Bahreïn dans sept jours.