Le 06 janvier 2018 à 14:09:34 Lazarusse a écrit :
Et puis Sup, qu'est-ce qui te dit qu'il aurait dû être surpris en voyant la sentinelle? Enfin, si c'est vraiment la fille de la photo, ce que j n'assure pas au contraire , mais c'est évident qu'il s'attend à la croiser et qu'il ne sera pas surpris, il a justement attiré le Mélomane grâce à cete fille donc il s'attend à la croiser sur sa route. ..

Ca se tient, mais ça me semble quand même bien étrange, je veux dire, ok le Mutin est certainement la personne que nous connaissons le mieux parmi les archétypes, mais j'ai bien plus l'impression que c'est quelqu'un de plus difficile à voir qu'un membre de son Ordre, certes la Sentinelle c'est pas non plus la personne la plus simple à voir, mais toute "l'ambiance" -faute de meilleur mot- qui a été mise autour du personnage avec une photo ancienne et tout ça me laisse penser que c'est quelqu'un de plus difficile à trouver que ça, tu vois ce que je veux dire?
Mon opinion est quasiment entièrement basée sur le ressenti, donc bon forcément je suis pas très ferme dessus, mais voilà quoi, j'ai juste pas l'impression que ça puisse être elle quoi

Je lirai ton avis plus tard Jet, promis

"Mutin est certainement la personne que nous connaissons le mieux parmi les archétypes"

What. The . Fuck. Sup.

erreur, le moins bien je voulais dire, d'ailleurs c'est beaucoup plus logique en mettant moins, vu que tout le reste c'est du ressenti
Voyez, quand je disais que je suis le dernier à pouvoir parler de l'expression des autres

J'ai jamais dit que c'était évident que c'était la sentinelle sur la photo

Son visage s'était presque illuminé à la vue de cette grande blonde aux joues rougies, lorsqu'elle avait fait son arrivée à l'intérieur de l'habitacle.

On ne peut pas mettre ça forcement en relation avec la photo du Mélomane, mais une chose est sûre, sa présence le réjouit (pour des raisons qu'on ne peut que supputer pour l'instant)

Le seul truc qui me fait douter, c'est que la Sentinelle semble elle aussi déjà le connaître, même si c'est flou. Soit elle a déjà vu "l'agent 38" de loin durant une mission, soit elle a déjà eu affaire à un de ses alias.

Le 06 janvier 2018 à 20:35:47 Lazarusse a écrit :
Puis je te demander en quoi exactement? jusquà maintenant, dis-moi ce quI te fait penser dans le comportement du mutin qu'il agirait comme tu le décris?

Bah je me base sur les réactions humaines que je juge adéquat à la situation et surtout mon ressenti

Je viens de voir que c'est Kloon qui a le Mutin, et donc que tu as un avis approfondis ( en tout cas plus que nous ) sur ton personnage ça explique pas mal de chose à vrai dire

Aujourd'hui, la Poursuite a 101 ans !

EDIT : Merci pour ton excellente critique Jet, j'y répondrai après mes exams aussi.
N'hésitez surtout pas à débattre sur tel et tel aspects du récit, là y'a matière à le faire !

hb

Je pensais m'excuser pour mon manque d'activité aujourd'hui, mais je vois que c'est peut-être pas un moment propice pour se mettre à donf dans l'aventure pour tout le monde

Suite et fin :

Hannibal Commençons par le flashback nous relatant son enfance : d’abord la musique est très bien choisie, elle fout bien le bad tout en soulignant le côté « inexorable » du quotidien de Malthu. D’abord, et même si on verra plus tard que c’est bien pire, on comprend vite que ses parents n’ont nul pris soin de lui, malgré son affliction, il a du découvrir les modalités de sa maladie « sans l’aide de personne », je le vois bien impuissant sortir au soleil au début sans comprendre pourquoi il souffre tant.

J’ai bien aimé, à ce propos, la métaphore du couple maudit que forme le soleil avec la terre chaque nuit, et le fait que Malthu doive rentrer, ce qu’il vit comme une nouvelle mort à chaque fois, lorsque ses « parents » se séparent. D’ailleurs, j’ai bien aimé le rapport aux astres dans tout ce chapitre, qui rajoute un peu de poésie, mais pas que, j’y reviendrais. On peut remarquer dans le paragraphe suivant que le jeune Malthu n’a aucune activité « positive » pour lui : quand il n’est pas battu par ses parents, il s’épuise lui-même, n’ayant jamais le temps de reprendre des forces.

On apprend donc que ses parents sont esclavagistes et ne le traitent pas mieux que leurs esclaves, justement. Pourtant, dès qu’il peut sortir, il a la même curiosité que celle d’un enfant… Mais dans le milieu où il a été élevé, il ne connaît que la souffrance, sans arrêt, qui lui est infligée en permanence. Et c’est à cause de ça que sa curiosité ne s’exprime que d’une seule manière : en faisant souffrir, dans l’insensibilité la plus totale, des animaux ici, puis on sait quoi plus tard. Peut-être que c’est la « manière » qu’avait sa madeleine de Proust de souffrir qui la faisait tant ressortir du lot. La souffrance, par-dessus-tout, le fascine, même si celle des animaux a du mal à le satisfaire.

A cause de son enfance, il n’arrive plus à exister qu’à travers la souffrance qu’il inflige aux autres. D’ailleurs, il est comparé à un animal lorsqu’on parle de ses « griffes » expertes. D’ailleurs, remarque secondaire, mais dans ce passage on voit pas mal de termes et d’adverbes qui renvoient à l’habitude, pour montrer que l’événement de cette nuit n’est pas isolé et s’est répété des dizaines et des dizaines de fois. Et aussi pas mal de métaphores qui montrent le côté inévitable de ce qui lui arrive : les enclumes « tombées » du ciel, les comparaisons avec les astres qui se couchent et se lèvent, comme si sa maltraitance accompagnait naturellement ce phénomène et était inexorable, etc.

On apprend donc que son père comme sa mère le maltraitent, sans distinction, et j’aime bien la manière dont il est totalement distingué d’eux, tu les désignes par « ceux qui lui ont donné la vie » et même pas « ses parents » alors que c’est comme ça que tu avais désigné le soleil et la terre, comme si c’était pour encore plus élargir le gouffre qui sépare le Mélo de sa famille.

A partir de là, ils le laissent se maltraiter lui-même dans un sous-sol comme si leur cruauté était pas déjà assez exacerbée. Et encore une fois le rapport aux astres, avec la lumière de la lune qui s’immisce dans son sous-sol. Sa destinée est liée aux astres, par son rapport au soleil, forcément, mais je serais pas étonné que le Mélomane ait fini par se voir comme eux : comme une force de la nature inarrêtable (en effet, quoi de plus naturel et inévitable que les astres qui se lèvent et se couchent ? ).

Bref, ce passage était vraiment beau dans l’écriture, et on comprend que le Mélomane n’a jamais vécu dans la normalité ni dans l’amour (et c’est d’ailleurs pour ça que l’amour qu’il éprovue envers sa madeleine de Proust peut paraître tordu), qu’il a toujours vécu dans sa propre réalité, isolé du monde, si sa maladie n’était pas assez, et ça explique donc ce qu’il est devenu. Avec une évocation à la fin du passage, de ses parents comme premières victimes « humaines ». Très beau passage en tout cas !

Bon, le passage dans le présent est à prendre un peu plus « littéralement », mais c’est pas pour ça qu’il n’y a rien à dire dessus. D’abord, on remarque toujours sa proximité avec les ténèbres, normal, et ensuite on remarque que malgré son état, le Mélomane se considère au-dessus des autres, lorsqu’il veut aller en première classe. Par contre je retire ce que j’ai dit, sa première victime humaine est bien sa madeleine de Proust et non pas ses parents.

D’ailleurs, il a découvert au fil du temps que la souffrance humaine ne le contentait guère plus que celle animale, à l’exception de sa première victime. De plus, on peut voir qu’il considère ce qu’il fait comme un art (les comparaisons avec une toile sont habiles, et ils e considère comme un « esthète ») et qu’il exerce cet art avec génie (notamment en sculptant des instruments dans les os de ses victimes). Et maintenant, on a un passager de plus dans le Transsibérien ce qui fait que tout le monde, à l’exception des Assassins, a embarqué !

Le Génocidaire pour celui là je vais faire paragraphe par paragraphe :

La rencontre : dans ce pargraphe, on apprend quelques trucs sur Sun et la Milice , par exemple leur implication dans la guerre au profit du plus offrant. A cette époque, Sun est encore jeune et un peu moins endurci que maintenant, et on comprend que sa rencontre qu’il va faire va le changer à tout jamais (vu le contraste avec ce qu’il est maintenant). On entrevoit aussi qu’il pourrait avoir des limites dans ses exactions, en tout cas à l’époque (il est prêt à tout « ou presque »). Il rencontre donc cette femme qui le « rembarre » et sa provocation (et son assurance) lui plaît, donc il va tout faire pour la connaître davantage.

La nuit à Vladivostok : leur relation est donc actée, mais reste officieuse pour le moment, leur relation s’effectuant de nuit avec « la lune pour unique témoin ». On apprend que leur relation, dans leur début (et malgré quelques disputes), était fusionnelle, et qu’ils étaient complémentaires (j’aime bien la comparaison avec l’ouragan et le volcan) aussi bien intellectuellement que sentimentalement.

L’entrevue dans le bureau : On a un petit aperçu ici du Commandant avant qu’il ne devienne le Commandant (le « Alors comme ça, c'est vous qui baisez ma fille ? » m’a fait sourire, mais c’est tellement cru pour un père de demander ça comme ça devant l’intéressée en vrai). A ce moment là , Sun est encore proche de sa dulcinée et la situation le met carrément mal à l’aise, normal, mais on peut comprendre le potentiel que le futur Commandant voit en lui et les prémices de leur future « relation » qu’on a pu voir dans le présent.

Angarsk : Et là , c’est le drame. L’histoire d’amour s’est transformée en histoire d’amour/haine, voire une histoire de haine tout court. Leur relation est devenue carrément malsaine pour les deux, mais ils l’entretiennent en souvenir du moment où ça leur procurait du plaisir. Il la viole, elle s’en contente. J’ai horreur des histoires d’amour qui s’enlisent jusqu’à devenir destructrice, ce passage là m’a donc bien mis en bad si tu veux tout savoir

La mission finale : Bon ici leur relation est clairement à son crépuscule, et son « amante » se plaît à l’humilier en public, au point de faire naître une « noirceur indescriptible » chez Sun. Quand on voit comment ses relations intimes ont tourné, on peut comprendre le rapport au monde de Sun et son rapport aux autres. Tiens, on apprend le prénom du Génocidaire : Sarven. Et bon, pour moi le coup du lien Youtube a très bien marché, je me doutais qu’il lui coupait la parole, mais pas en allant jusque là donc c’était une bonne idée pour moi. J’aime bien le parallèle que tu fais avec leurs premières nuits passées ensemble, où déjà ils n’avaient que « la lune comme seul témoin », mais on se rend compte du gouffre qui sépare les deux époques. Et d’ailleurs, après il dit que « personne n’avait jamais aimé Nina », tu veux dire personne à part lui, ou alors il a déjà oublié l’amour qu’il lui portait à une époque révolue ?

En tout cas, c’était un bon passage qui permet de comprendre un peu plus d’où vient la noirceur dans le cœur du Génocidaire, compltement brisé, et qui m’a bien mis mal de par son déroulement. D’ailleurs, je ne sais pas du tout si c’est volontaire, mais comme leur relation ne pouvait s’exprimer que le jour et se devait de « mourir » la nuit, est-ce que je suis le seul à voir le parallèle avec le Mélomane durant son enfance ? Genre leur amour qui s’est effrité autant que la santé du Mélomane à son époque, au même rythme. Je sais pas, ça a fait tilt pour moi alors que c’est peut-être pas volontaire.

Minus et Cortex J’ai remarqué un truc dans ce passage, tu fais beaucoup plus « penser » le Fantassin qu’à l’accoutumée j’ai l’impression. Et par ce biais , on peut apprendre son réel objectif dans cette mission : le suaire d’Eden, ce qu’on pouvait déduire un peu en avance, mais bon, on voit que ce n’est pas seulement ses propriétés curatives qui l’intéressent, et on peut voir qu’il est prêt à tout pour atteindre l’artefact, même trahir Sun s’il le fallait, ce qui remet en cause la sodilité de leur duo ; et se servir du génocidaire comme d’un moyen pour l’atteindre.

J’aime bien la manière de communiquer des deux, assez pour comprendre l’essentiel. Et on voit une sorte d’inversion des forces ici : alors que sur les missions classiques c’est plutôt le Génocidaire qui a tendance à prendre les décisions pendant que le Fantassin exécute, ici c’est lui qui décide des modalités de la mission : ils ne s’occuperont de la Descendante que plus tard, mettant le suaire d’Eden en priorité numéro une.

Et le mélomane s’est déjà fait remarquer par les deux Miliciens, ça promet. Enfin, le choix de Sun est assez intéressant, et au-delà des répercussions directes qu’une éventuelle expédition au wagon numéro 6 aurait, je me demande comment le Fantassin réagirait en voyant son collègue se détourner du chemin convenu.

Bon, je crois que j’ai fini. C’était un excellent chapitre, avec des événements intéressants qui s’y déroulent et certaines parties particulièrement excellement écrites. Si je devais faire un seul reproche, et ce serait pour bidouiller, c’est que si le flashback du Mélomane semble avoir un lien avec le présent (il repense à ses parents sur le chemin de Kazan), celui du Génocidaire semble plus indépendant du moment présent, même si on peut comprendre que c’est pratique de lettre ça à ce moment, dans un moment plus calme.

ERRATUM :

D’ailleurs, je ne sais pas du tout si c’est volontaire, mais comme leur relation ne pouvait s’exprimer que le jour et se devait de « mourir » la nuit, est-ce que je suis le seul à voir le parallèle avec le Mélomane durant son enfance ?

Je voulais bien entendu dire l'inverse, leur amour s'exprime de nuit et meurt le jour.

Ah, et bonne année

Tout d'abord, bonne année à vous tous !
J'aurais un peu tardé (en raison d'exam à préparer) à livrer ma petite critique.

Pugiliste & Traqueuse :

J'apprécie grandement leurs interactions. C'est intéressant de voir comment le Pugiliste pense, et que même s'il rejoint la confrérie il espère aussi pouvoir faire passer ses idées. C'est quand même un peu prétentieux de sa part, il n'a personne de son côté et il souhaite quand même persuader les gens que sa vision de la société est la bonne sans, il me semble, se remettre de son côté perpétuellement en question. D'ailleurs en tant que lecteur on ne sait même pas vraiment comment il voit la société idéale (je perçois en tout cas plus clairement l'idéalisme de la traqueuse, par sa défense des valeurs de la confrérie, que celui du pugiliste tout du moins).
Finalement leur comportement à tous les deux nous empêchent un peu d'en savoir plus en fait. Il y a un effort de la traqueuse pour comprendre le Pugiliste mais le comportement de ce dernier la freine dans son dévoilement. Et avec ce chapitre je m'interroge maintenant beaucoup plus sur le cas de la Traqueuse, sur l'importance de ce 11 janvier, ses fantômes à elle, etc.

L'Ermite :

Intéressant d'en apprendre plus sur lui, de retomber dans sa jeunesse et de voir son ascension fulgurante et la crainte qu'elle inspire parmi les certains.
« sans maître à penser ni enseignant déterminé », ce qui me fait aussi penser à Golgoth dans une certaine mesure. Même si on ne peut pas encore juger de l'efficacité de celui-ci.
Sa déchéance reste assez mystérieuse, sans conteste quelle que chose de grave est arrivé, mais pourquoi ? Je n'arrive pas à saisir si ce qu'il a fait servait un intérêt personnel ou non.
De ce que je crois comprendre il aurait été responsable de la mort de deux membres de la confrérie qui étaient coupables de quelque crime que ce soit.
Je trouve que la justification de sa séparation du duo de la Traqueuse et du Pugiliste est très bonne, et je comprends qu'il agisse en ces termes dans ce cas. De plus ça le fait un peu moins passer pour un solitaire aigri qui n'aiment pas les gens. J'ai h^te de voir ce qu'il compte faire pour son épisode dans les archives.

Et j'ai hâte de voir le prochain chapitre du côté de ces personnages, je pense qu'on va en apprendre plus sur l'histoire que tu as mise en place autour du St Suaire.

Les Templiers :

J'aime bien les pensées de Jet, et de sentir qu'il est un peu contrarié, ce qui modifie légèrement son comportement habituel et l'amène à des réflexions qu'ils ne se permet pas d'ordinaire.
Et je le comprends, je trouve qu'une personne comme la Sentinelle est difficilement supportable. Et comme lui je suis rassuré de voir qu'elle est humaine et qu'elle puisse faiblir. Et heureux de voir qu'on considère enfin le Fantassin tel qu'il est : courtois (ça m'a fait rire de lire ça et j'étais content en même temps ).
L'introspection de la Sentinelle est fort intéressante, je commence à sincèrement croire qu'il s'agit là de la première victime de notre cher Mélomane. Corroboré par le fait que le Mutin la connaisse et qu'il aurait pu se procurer une photo d'elle. Après j'attends d'en apprendre plus sur leur première rencontre à tous les deux aussi. Et j'aime de moins en moins le Mutin, je pensais au début qu'il aurait un idéal à défendre, mais il ne semble vouloir servir que son propre intérêt, son idéal c'est lui, et ça, c'est moche.
« il disposait toutefois de chaussures que la jeune brune était presque sûre de n'avoir jamais vues auparavant. », j'ai bien ri
Je ne suis pas certain de comprendre à quoi rime toute la comédie du Mutin quand il arrive dans le train.
En revanche il me semble assez certain qu'il va essayer de diviser un peu le groupe. Mais ce ne serait logique que s'il a déjà des informations sur la mission, s'il sait des choses sur l'objet de la mission.

Le Mélomane :

Enfance traumatisante, mais aussi enfant traumatisant. C'est toujours intéressant d'en apprendre plus sur lui.
Chapitre ravissant, on est dans le descriptif, l'habitude, ce qui fait que tous ces actes ignobles (ceux de l'enfant comme ceux du père) perdent de leur substance pour se retrouver dans une sorte de logique absurde du : "c'est comme ça", "pourquoi ?" "parce que ça n'a jamais été autrement." Pas de passion, pas d'émotion, ni d'un côté ni de l'autre, juste le froid. Et tout ça en poésie, franchement, j'adore.

Le Génocidaire :

Bah c'est pas ce que j'appelle une relation saine ça Sun !
La progression est chouette, avec quelques extraits de sa vie, la haine qui vient s'insinuer dans le couple, jusqu'à l’apothéose. C'est pas beau (comme situation j'entends !). Après je dois dire que je ne sais pas trop quoi faire de ça, pour moi c'est quelque chose dont le Génocidaire s'est détaché, il semble tellement calme après le coup de feu, comme s'il s'était passé juste ce qu'il fallait qui se passe, que ça l'avait délivré.
Pour le coup de feu sonore, il a mis du temps a venir à cause de ma connexion en carton pâte. Je suis mitigé quant à son utilisation.

Le Fantassin :

Je ne m'attendais pas à ce genre de comportement de ma part, me saisissant du dossier pour l'étudier ! L'attention du Fantassin se ressert donc quelque peu sur un sujet précis. Il semble aussi qu'il y ait un léger décalage de longueur d'onde entre le duo. Mais je ne sais pas si c'est vraiment conséquent.

Et j'ajouterais que j'ai trouvé que les musiques allaient encore une fois très bien avec chaque scène.

Théorie lancée à la volee : et si le noir pour la vision d'aigle correspondait aux utilisateurs de vision d'aigle, et que la sentinelle la possédait?

Le 15 janvier 2018 à 15:47:47 Lazarusse a écrit :
Théorie lancée à la volee : et si le noir pour la vision d'aigle correspondait aux utilisateurs de vision d'aigle, et que la sentinelle la possédait?

Pas con, ça expliquerait pourquoi la Sentinelle ai deviné (?) Que la descendante l'utilise sur elle.

Le 15 janvier 2018 à 15:47:47 Lazarusse a écrit :
Théorie lancée à la volee : et si le noir pour la vision d'aigle correspondait aux utilisateurs de vision d'aigle, et que la sentinelle la possédait?

Premièrement, je suis pas trop d'accord avec toi Golgoth (donc je cite Laza, je suis un génie), c'est pas parce que tu es doté d'une capacité que tu peux déceler son fonctionnement, ça marche pas forcément comme ça, tu vois ce que je veux dire?
Si un psychologue croise un autre psychologue dans la rue, il va pas forcément remarquer que celui-ci est un psychologue, tu comprends? Ce que tu dis est pas foncièrement faux hein ça se trouve ça se passe comme ça , mais allez, supposons que ça se passe comme ça. Dans ce cas-là, comment expliquer que (si je ne m'abuse) la Descendante en croisant quelqu'un "avec les mêmes capacités qu'elle" ou quelque chose dans le genre, voit cette personne en bleu (en tout cas, clairement pas d'un noir sombre) ? Certes, on ne nous a pas dit noir sur blanc qu'il possédait la vision d'Aigle, mais je vois pas quelle autre capacité ils auraient en commun qui les rendraient un peu différents de tout le monde. Donc en partant de la supposition que le gars dont je parle était doté de la Vision d'Aigle:

-Premièrement, ça veut dire que oui, Visionneur d'Aigle reconnait Visionneur d'Aigle, vu qu'il avait dit qu'elle aussi possédait la capacité juste avant de mourir. Donc comme je le disais, ton idée, cher Golgoth, n'est pas forcément fausse
-Deuxièmement, cela veut dire que la Sentinelle est différente, car elle apparaît en noir, ce qui n'était pas le cas de notre homme. Après, peut-être qu'elle est à un niveau plus élevé de Vision ou quelque chose comme ça, les théories ici aussi pourraient aller bon train, mais personnellement je trouve que l'hypothèse la plus probable serait de dire que non, la Sentinelle n'a pas la Vision d'Aigle

Maintenant, au vu des derniers chapitres, je dirais que le Noir signifierait plutôt un fort refoulement de sa véritable idendité, comme si la vraie Sentinelle était tellement bien cachée que même une vision des plus perçantes ne peut voir au travers, mais que l'on sait que celle-ci se cherche encore et ne sait pas vraiment ce qu'elle veut, quoi. Ca vaut ce que ça vaut

Hayato, t'as parfaitement expliqué ce que je voulais dire y a quelques semaines de ça, mais moi j'ai moins de tact

Lire longtemps sur un PC déjà c'est pas trop cool, mais en soi ça ne me dérangerait si l'interface était ergonomique, et c'est vrai que même en zoomant, ça rend pas forcément très bien.Après j'ai pas de solutions particulières, désolé

Pour répondre à Kloon, une couleur noire pour les utilisateurs de la vision d'aigle me surprendrait.

Déjà, je vais définir comment j'imagine le fonctionnement de celle-ci.

La VA est lié au ressentie qu'on a de la personne plus qu'un véritable don. Elle peut être biaisée par un certains affect, même si elle est fiable la plupart du temps. Pour imager, je vais bien sûr citer le cas de Lucy, qui apparaissait bleue dans le 1, mais qui s'est révélée être un ennemi. Là encore, peut être qu'elle voulait du bien à Desmond, et du mal à la Confrérie, peut être que la nuance se joue là dessus, mais en tout cas la VA n'a pas permit ici d'identifier la menace directement.

Et histoire de bien me niquer, les informateurs brillent en blanc et les cibles en doré, alors que là il n'y a pas de relation lié a la personne possédant la VA

Après, quel serait l'intérêt de reconnaître les personnes ayant le même don? (Car à part se reconnaître entre mutant et créer l'avènement de la race supérieure... )

De plus, elle sent le regard de la Descendante, ce qui pour moi me fait plus penser à une relation proie/prédateur.

La proie pour se protéger apprend à se camoufler, le prédateur pour chasser apprend à distinguer la proie, et ce ainsi de suite, jusqu'à avoir deux espèces spécialisée dans le camouflage et le débusquage.

Ici, je pense que ça peut être ça, un "anti Vision d'Aigle". Une race opposé à celle-ci, antinomique, avec leurs propres capacités, qu'ils ont développé pour échapper à ceux ayant la VA (car oui, si ton sixième sens se met à sonner l'alerte pour te dire qu'un mec à la VA est en train de te mater, alors que tu ne l'as potentiellement pas encore repéré, ça peut avoir des avantages)

Moi je partirais plus sur cette théorie. Par contre, la couleur noire, ça ne les aide pas, ça les rends plus repérable pour ceux ayant la VA. Peut être qu'il faut plus le voir comme une manière qu'on les gens ayant la VA pour repérer les "Anti VA"

Et pour l'incofort de la lecture sur le forum, peut être éssayer le mode lecture. Je ne l'ai pas fait moi même car j'ai finit par m'habitué, mais peut être que ça rend véritablement plus agréable à lire.

Mode lecture?