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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Sorti en fin d’année dernière, Dragon Age : Origins a incontestablement marqué le retour du RPG à l’ancienne, épique, tactique et exigeant, comme on n’en avait plus vu depuis Baldur’s Gate II. Malgré l’excellente durée de vie du jeu de base, on est donc ravi d’accueillir sa première véritable extension, intitulée Awakening, les contenus téléchargeables déjà sortis ayant été de peu d’intérêt.
On reproche régulièrement aux jeux de rôle japonais de nous servir toujours plus ou moins la même recette. Les développeurs nippons seraient-ils en panne d'inspiration ? Certains titres sortent pourtant du lot mais les joueurs européens n'y ont pas toujours droit. On attend ainsi encore que l'incroyable Demon's Souls se montre sur notre continent... Dans ces conditions, on ne peut que se réjouir de voir enfin débarquer sur nos consoles HD un RPG original, exigeant et entièrement traduit en français.
Vous n'avez jamais remarqué que dans les jeux vidéo les personnages féminins se ressemblent quasiment tous ? Il faut bien avouer que mis à part quelques exceptions on retrouve toujours le même stéréotype de la jeune fille filiforme et pas très dégourdie qui attend sagement que son prince charmant vienne la tirer d'un mauvais pas. Les créateurs de Fat Princess ont pris un malin plaisir à détourner cette idée reçue en nous proposant d'aller sauver de délicieuses princesses toutes en rondeurs.
Le jeu vidéo a toujours noué des liens plus ou moins étroits avec le cinéma. Que ce soit au travers d'adaptations du 7ème vers le 10ème art et vice versa, ou encore l'emprunt de techniques comme le motion scan, les deux médias se sont toujours trouvés pour se relancer ou évoluer. Le réalisateur américain Steven Spielberg en est une parfaite illustration, en annonçant vouloir adapter le célèbre Halo sur grand écran, ou lorsqu'il crée lui-même un jeu en tant que concepteur : Boom Blox. Cependant, l'exemple le plus probant reste la série de jeux d'aventure et de point & click éditée et développée par la géniale compagnie de Georges Lucas : LucasArts. Maniac Mansion, Sam and Max : Hit The Road, Monkey Island ou encore Full Throttle, voilà des noms qui font vibrer certaines parties de notre encéphale. Celui qui nous intéresse aujourd'hui est bien moins connu même s'il se démarque pourtant au sein même des productions loufoques de LucasArts. ce jeu n'est autre que Loom, un ovni parmi tant d'autres.
Quelques mois à peine après la sortie de Number One Hits, Microsoft Games nous propose une nouvelle édition de son karaoké Lips comprenant une quarantaine de titres variés. Simple changement de tracklist ou révolution de gameplay ? Réponse dans ce test.
En 1991, Muriel Tramis, une des rares conceptrices de jeux françaises, crée une héroïne qui lui ressemble : Doralice Prunelier, une jeune métisse à la beauté solaire, assumant sa féminité et capable de tenir tête à n’importe qui sans le secours d’un prince charmant falot. Ses aventures, d’abord dépeintes dans le jeu Fascination, dégagent un parfum d’érotisme capiteux, qui se conjugue avec une bonne dose d’humour. En 1993, Doralice poursuit ses péripéties dans Lost in Time. Si la jeune femme n’a rien perdu de sa séduction, on ne peut hélas pas en dire autant de ses nouvelles aventures….
Lissez vos moustaches blondes, lustrez votre casque à pointes, enduisez votre corps d’athlète d’huile chaude (en fait, oubliez ça) car voici Heimdall, le héros scandinave ! Êtes-vous prêt à affronter Loki et sa horde de démons ?
Lissez vos moustaches blondes, lustrez votre casque à pointes, enduisez votre corps d’athlète d’huile chaude (en fait, oubliez ça) car voici Heimdall, le héros scandinave ! Êtes-vous prêt à affronter Loki et sa horde de démons ?
Véritable institution dans le monde du STR, la saga Tibérium vient aujourd'hui livrer son ultime bataille sur les écrans de nos PC. Avec ses grands airs de testament, ce nouveau volet entend en effet apporter une conclusion épique à la série et a choisi pour cela de modifier en profondeur le gameplay traditionnel de Command & Conquer. L'idée est volontaire et l'intention généreuse, mais les fans risquent probablement de grincer des dents en découvrant un système de jeu qui se révèle finalement très proche de celui d'un Dawn of War II. Remarquez, il y a tout de même bien pire comme référence.
Depuis plus de 10 ans maintenant, le nom Anno résonne dans la tête des amateurs de jeux de gestion comme un gage de qualité. Encouragés par une base de fans sans cesse grandissante, les développeurs se sont décidés à transposer leur saga sur d'autres supports. Après la Wii et la DS, nous retrouvons aujourd'hui Anno 1404 sur iPhone et iPod Touch dans une version tout de même bien différente.
En marge des titres d'action (Samurai Warriors) et d'infiltration (Tenchu) qui prennent habituellement pour cadre le Japon féodal, la série Way of the Samurai a toujours pris le parti de dépeindre la voie du samouraï comme une confrontation perpétuelle entre l'Homme et son destin. Ce troisième volet creuse encore davantage ce principe en nous livrant une aventure pouvant déboucher sur une bonne vingtaine de dénouements différents.
En marge des titres d'action (Samurai Warriors) et d'infiltration (Tenchu) qui prennent habituellement pour cadre le Japon féodal, la série Way of the Samurai a toujours pris le parti de dépeindre la voie du samouraï comme une confrontation perpétuelle entre l'Homme et son destin. Ce troisième volet creuse encore davantage ce principe en nous livrant une aventure pouvant déboucher sur une bonne vingtaine de dénouements différents.
Bien que la mode des compilations de mini-jeux soit sur le déclin, certains éditeurs s'entêtent encore à vouloir exploiter le filon sur Wii. C'est aujourd'hui le cas d'Ubisoft qui lance l'Académie des Rangers, une collection d'épreuves poussives sur le thème de l'armée. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que cette dernière n'est pas près de relancer le genre.
Inspiré par la référence des jeux de courses à items en multijoueur, j'ai nommé Mario Kart, Sonic & Sega All-Stars Racing compte s'imposer comme une vraie alternative à son père spirituel. Le hérisson bleu et toute la clique étaient les mieux placés pour se frotter à Mario sur son propre terrain et l'ayant bien compris, Sega a mis à contribution quasiment toutes ses licences !
En 2004, Electronic Arts avait tenté d'éduquer le grand public en proposant un jeu de rôle occidental basé sur Le Seigneur des Anneaux. Reprenant moult idées du RPG japonais, la formule, limitée mais très accessible, avait des ratés mais n'en restait pas moins intéressante. Percy Jackson semble lui aussi avoir adopté cette ligne de conduite mais cette fois, c'est sur Nintendo DS que le tout se déroule.
Si les jeux inspirés de le Seconde Guerre mondiale ne se comptent plus, ceux qui s'intéressent au premier conflit mondial ne courent pas franchement les rues. Toy Soldiers entre cependant dans cette catégorie et se présente sous la forme d'un tower defense assez original, dans lequel on contrôlera une petite armée de soldats de plomb.
Sorti en 1990, Strider avait rencontré un grand succès auprès des joueurs. A l'inverse, sa suite de 1993 a essuyé de très nombreuses critiques, au point d'être volontairement tombée dans l'oubli de l'éditeur. Ceci explique certainement pourquoi Capcom nous offre un nouveau Strider 2, sur Playstation cette fois. Dix ans après sa première apparition, Hiryu a-t-il toujours la forme ?
Après voir impressionné les joueurs PS3 avec son système de reconnaissance de cartes par caméra USB, Eye of Judgement revient sur PSP dans une version plus classique mais surtout beaucoup moins onéreuse. Et cette fois-ci, on adhère.
A la croisée des chemins d'un Evil Dead 3 : L'Armée des Ténèbres et de Dynasty Warriors, Undead Knights délaisse le héros propre sur lui pour nous balancer trois guerriers ayant soif de vengeance. Un parti-pris sympathique trouvant écho dans la possibilité de diriger une troupe de morts-vivants. Cependant, sous ses dehors décomplexés, Undead Knights tient-il la distance ?
En 1980, Roberta Williams inventa l’aventure graphique en créant Mystery House, un jeu inspiré des Dix Petits Nègres d’Agatha Christie. Huit ans plus tard, après bien des virées au royaume de Daventry (déjà 4 King Quest au compteur), Roberta Williams revint à ses premières amours, l’enquête interactive. En effet, The Colonel’s Bequest reprend les grandes lignes de Mystery House : une maison inquiétante, des cadavres à la pelle… Et pas mal de frissons en perspective.