Continue à donner des leçons d'amalgame alors que tout ce que tu racontes repose sur ton strawman, ta xénophobie hypertrophiée et ton besoin de placer dans l'autre tout ce qui représente le mal

Continue à croire que je vais te répondre sérieusement alors que tu persistes encore et toujours dans une seule et même offense espèce de clown

Tu lècheras le sol en t'excusant pour ton péché avant que je te prenne au sérieux. Tu seras un sous-homme jusque-là en ce qui me concerne. Pas de rédemption sans repentir.

J'attends que tu montres l'exemple en t'excusant pour les tiens, déjà...

Mon seul tort est de répondre à un lâche de ton espèce, mon seul tort est au fond le même que celui de la France depuis trop longtemps déjà ; persister à donner des deuxièmes chances à ceux qui piétineraient la vérité à chaque occasion. T'es pris la main dans le sac depuis longtemps et tu continues à ramper pour t'en sortir sans l'admettre. Tu sais que t'es un mythomane, je sais que t'es un mythomane, l'affaire est pliée depuis longtemps. Il te suffirait d'être humble, d'arrêter, et de te repentir.

Si j'ai un tort, c'est d'avoir été tolérant. Et plus tu prouves que c'était un tort, plus tu prouves que je n'ai fait que donner du terrain à l'hypocrisie, plus je saurai à quoi m'en tenir à l'avenir, concernant la tolérance. Je ne suis pas de ceux dont la théorie résiste au réel. Si le réel démontre par vingt fois que la vérité recule si on persiste dans la voie du dialogue, je saurai vers qui me tourner quand sera proposée la voie de la violence

On a laissé à l'immigration l'occasion de montrer ce qu'elle faisait de la tolérance, et je t'ai laissé montrer ce que tu faisais de la mienne. Tu comprendras un jour quelle chance tu avais, et quelle chance tu as bafouée

En attendant, tu restes un clown, et tu restes blacklist

Nan mais cherche pas : donner des leçons d'humilité aux autres, ça te va pas.

Ce qui te débecte, c'est que tu es face à quelqu'un qui te résiste et à qui tu n'arrives pas à imposer ta doxa, tu n'arrives pas à faire le mec supérieur avec moi, ça te vexe, alors tu me BL et tu pars bouder ou alors tu invoques des strawmen imaginaires pour essayer de prendre le dessus.

Ca ne marche pas, tu te vexes encore un peu plus.

Et ça repart pour un tour de manège.

T'as juste gros de pas arriver à forcer les autres à penser la même chose que toi. Et comme les autres s'en balancent, tu peux pas t'en prendre à eux parce qu'ils t'ignorent.

La différence avec moi, c'est que justement, moi je ne t'ignore pas, parce que je pense que même ceux qui pensent comme toi ont le droit d'être écoutés, même s'ils se trompent. Je te réponds en t'expliquant que je ne suis pas d'accord avec tes idées nationalistes toutes pourries, et ça te vexe encore.

Quand tu t'aperçois que tu n'arrives pas à les justifier, parce qu'en fait, tu n'as aucun argument pour soutenir ta paranoïa des immigrés, tu te vexes encore un peu plus.

Finalement, on en arrive au point sempiternellement au point où arrive toujours un débat entre un gauchiste humaniste face à un frontiste : ça part en boudin.

Et pourtant, là, tu pleurniches que c'est moi qui te fait des strawmens, mais tu reviens t'adresser à moi sur mon topic avec tes divagations sur les droits des étrangers et des Français.

Alors tu vois, je commence à me dire qu'en plus du reste, t'es masochiste. T'aimes bien te faire humilier, apparemment, puisqu'à chaque fois tu pleurniches que je te maltraite, mais tu reviens quand même en redemander.

Ca fait dix ans que ça se passe toujours pareil : tu pleurniches, et puis tu reviens en remettre une couche et réclamer ta dose de fix.
La seule conclusion à laquelle on peut donc parvenir, c'est que t'aimes ça.

Remarque, si ça te donne l'impression d'exister, tant mieux pour toi...

Sauf que les autres n'ont pas à devoir supporter tes caprices. On s'en fout, en fait.

Mais à part çà, tu sais : je t'aime, Veyli, tu es le Veyli national du forum

Edo Christ

J'ai pas encore été crucifié, donc je ne suis pas digne d'être appelé ainsi.

Mas tu peux m'appeler Saint Boniface, si tu veux.

Et comme les autres s'en balancent,

non non...

Finalement, on en arrive au point sempiternellement au point où arrive toujours un débat entre un gauchiste humaniste face à un frontiste : ça part en boudin.

oui oui...