Merci beaucoup pour ces précieux conseils Eireth ! Je n'ai pas trop de vocabulaire je l'avoue.. Et je pensais laisser complètement tomber avant de lire ton message.. Je vais travailler et re-travailler ce petit texte (Qui est pour moi un peu ridicule mais qui me tient à coeur..)

Enfin voilà, merci !

Bonne continuation !

Toujours un plaisir de pouvoir aider!
C'est vrai que ce forum n'est pas tres actif, bonne chance a toi!

Mais t'es peut-être trop gentil avec moi

C'est vraiment, mais vraiment mauvais comme texte il faut l'avouer..

Je viens à peine de commencer à écrire.. Je suppose qu'à force de lire, d'écrire, et de retravailler, on y gagne en maturité et on arrive à faire de belles choses..

J'ai écrit un autre truc mais tout aussi pourri..

Enfin toutes les critiques sont les bienvenues

Voilà le texte :

Dans ce monde où les idéaux sont le sexe, l'argent et le pouvoir,

Je suis pitoyable à voir..

Pessimiste à cette heure..

J'aimerais tant une vie différente des autres..

Peut-être une vie de hors-la-loi..

Je n'ai pas encore trouvé ma voie..

Ne pas vivre dans l'anonymat,

Qu'il m'arrive quelque chose, n'importe quoi

Mon adolescence n'a pas été des plus banales

J'ai vraiment eu du mal..

Mais je ne regrette rien

Mon passé, je le trouve plutôt bien..

Ce qui m'inquiète c'est l'avenir,

J'essaie de me reprendre en main doucement..

Je ne tiens pas à décevoir mes parents..

Qui espèrent que je vive comme tous ces gens

Qui ne se soucient pas du but de notre existence

Personne ne peut le deviner, pas même la science

Peut-être que c'est tout simplement se reproduire

Pour moi, ce serait à mourir de rire

Que ce soit si insignifiant

C'est plutôt aberrant..

Avoir un travail banal pour gagner sa vie,

Ce n'est pas ça dont j'ai envie

Je veux vivre des aventures

Ne pas être enfermé dans une clôture

Certains ne recherchent que l'amour,

Je trouve ça vraiment trop lourd

Je ne ferai plus jamais confiance

Dans mes amourettes, ce n'était que déviances

Je ne veux pas finir célibataire,

Mais trouver une fille très peu ordinaire,

Assez parlé de sentiments

Sur ce sujet, trop souvent on ment

J'en suis à un stade où je dois oublier tout ça

Tenter de ne plus être pris d'autant de tracas,

Tiraillé entre bien et mal

Je délire encore parfois

Dans tout hôpital, je m'installe !

Des envies de meurtre,

Des envies d'aimer, peut-être,

Un schizophrène, ça peut faire peur

Tout ça ne sont que des leurres..

Hallucinations et voix étant mon quotidien..

Avec la peur au ventre, je suis comme un chien..

Survivre, telle est ma devise..

Passant par plein de phases,

Je me sens plutôt naze..

On pourrait me définir tel un fou

De toute façon je m'en fous.

Si fier d'être différent,

Parfois je mens,

Il ne vaut mieux pas parler de ma maladie

Parce que, depuis, quelques potes me nient..

J'écris pour m'exorciser,

Je sais très bien qu'on va me juger,

J'aimerais mieux m'exprimer,

Pour expliquer mon passé et ma façon de penser,

Mais ça, c'est chacun son histoire,

Personne ne peut comprendre..

ToxicBelgian je le trouve plus fluide que le précédent. Oui, ca viendra à force de lire et d'écrire. Mais surtout garde la spontanéité de ton style, j'aime bien cet aspect là.

Innocent'âm

Je sens les mots, les souffrances
Je sens les joies, les pleurs
Je m'enferme dans ce monde
Où les rêves ne sont pas éphémères.

Je te vois papa
Je t'aime
Je pleure
Et tu repars.

La nuit, les anges ne dansent plus
Les rêves n'existent plus
Les joies disparaissent
Et les ténèbres m'enveloppe.

Je sens ta chaleur
Je ressens ton plaisir
Mon enfance a disparu
Dans les abysses des innocences perdues.

toxic, c'est pas si pourri

ToxicBelgian moi je te conseillerais d'écrire en prose, sa passerais mieux à mon avis.
Après je pense que ton style est apprécié par certains, en tout les cas moi je te reproche de ne pas suffisamment tourner tes phrases.Par exemple :

"Ce qui m'inquiète c'est l'avenir, "
Je l'aurais plutôt écrit comme ça :
" Ma seule inquiétude réside en l'avenir".

Je trouve que tu es un peu trop "terre à terre" à mon gout.
C'est pour cela que je te conseil la prose (bien sur écrit d'abord en vers, pour les rimes, et remet en proses après ).

De même attention il peut arriver qu'il soit dur de te suivre
Comme par exemple ici :

"Je n'ai pas encore trouvé ma voie..
Ne pas vivre dans l'anonymat,"

Il faut donc que tu vois un peu pour plus liaisons afin que ton poème soit plus fluide. Et n'hésite pas a placer quelques anaphores, pour que l'on est pas a cherché de quoi tu parles.

Après dans la forme, peut être que tes vers sont trop courts,a mon avis il y a trop de passage a la ligne. Pour cela regoupe deux vers ensemble, cherche a bien placé ta césure ainsi tu pourra diviser tes vers en deux de manière a faire rimer la première partie avec la seconde du prochain vers. De cette manière:

A - césure - B
A - césure - B
Ou tu peux faire en diagonale
A - césure - B
B - césure - A

Après sa ne reste qu'une idée, ça tu n'es pas obligé de prendre ce style.

Et encore une petite critique, si tu commence dans un style de rime, fait bien attention a ce qu'il y en est partout ( Après ça c'est plus d'un coté "scolaire", tu n'es donc pas obligé de le faire, mais j'aime bien l'irrégularité de temps en temps).

Après tout ces aperçus reste les miens, s'est donc a débattre. Ne te précipite donc pas sur ce que j'ai dit, je n'ai pas la science infuse, attends donc d'avoir un peu plus d'avis

Toxic-
ToperHarley-

"Ce qui m'inquiète c'est l'avenir, "
Je l'aurais plutôt écrit comme ça :
" Ma seule inquiétude réside en l'avenir

Oula!! certes non!
Ca fait beaucoup trop pompeux, pas tres expressif, et pas fluide du tout, ca semble etre la juste pour etre la. La tournure poestique ca n'est pas correctement tourner une phrase, c'est la tourner pour l'expression d'un ressenti (etc...).
Garde un style depouillé, je pense, ca convient mieux a ce que tu dis.

Par contre je suis d'accord pour dire qu'on a du mal a suivre et que parfois tes phrases ne sont pas liées. Ca aussi c'est a travailler, le texte doit exprimer une chose et l'ensemble doit contribuer sa comprehension.

Ensuite, c'est vrai que tu pourrais adopter la prose, mais ca ferait perdre de la musicalité. Si tu fais ca, travaille davantage le rythme.
Parce que, et c'est justement dit, tu as tendance a trop rester sur les rimes, et ce, au detriment du sens.

Et puis pourquoi pas te lancer dans les figure de style, (surtout les images pour commencer).
Voila, c'etait quelques petits conseils.

Bien, il n'y a pas beaucoup de monde alors j'en profite pour vous faire part d'un de mes anciens poeme, tout droit sortit d'un tirroir poussierreux.

C'est sur la nature et l'inhumanisme, et ca annonce mon reveil face a ces injustices contre lesquelles ma lutte sera furieuse, et ca je le pense toujours, mon reveil est meme deja entamé.

J'ai bien conscience de certains de ses défauts ( j'ai pourtant du mal a le retoucher), mais je le pense tout de meme présentable.
Dites moi ce que vous en pensez. Et n'hesitez pas a critiquer!

Il s'intitule Le rouge d'or.

A l'heure ou je dors,
s'écoule le rouge d'or.
Le sang est une monnaie
notre monde s'y noie,
l'origine disparait.
D'un aveugle interet
la puissance est la voie
volonté désignée
révèlant ta faiblesse.
L'illusoire progrés
n'est qu'un instant d'ivresse.

De l'homme ou la nature
il ne faut pas de choix,
c'est elle qui t'acceuillit
que veux tu la soumettre?
Tu n'en es qu'un des fruits
ne t'en cherche pas maitre,
c'est elle qui t'a ceuilli
n'oublie pas petit etre.
Tu n'es qu'une jeune pousse
et dejà tu pourris.

Tu as souillé la vie,
ressens-tu sa douleur?
La sève est ta boisson.

Prends garde etre trompé et trompeur,
toi qui fais ton possible
pour répandre le malheur,
ta semance est horrible.
Vois etre miserable, ce que tu as construit
ayant pour fondation ce que tu as détruit.
Prend garde, sors de ta torpeur
car la mienne prend fin.
Je ne dormirais pas eternellement
à mon réveil humain, avance prudement.

Tu t'etoufferas dans ton vin
il est temps de payer tes erreurs.

Cœur Brisé

Je me morfond de ne guère te voir,
Même si, l'envie de te revoir,
Déchaine en moi une passion,
Qui ne seras point arrêter par la raison...

J'ai envie de t'étreindre,
De crier ma désolation,
Ma seul envie, est celle de me plaindre,
De n'être qu'un de tes fidèles pion...

Ce qui m'anime à présent,
C'est l'envie de te haïr,
Celle de te faire souffrir,
Piètre idiot que je suis, incapable d'éprouver la moindre once de sentiments...

Las de chercher des excuses,
Je ne considère que ce ne sont plus que des ruses,
Cesse de me faire larmoyer,
S'en est déjà assez...

Bien malgré moi, je sais,
Qu'au grand dam, jamais tu ne pourras m'aimer,
Au lieu de m'apitoyer, je devrais me demander,
Pourquoi suis-je alors, entrain de t'admirer...

Henry Machiavelli.

Quelqu'un aurait un poème avec une critique de dieu ?

@ The-Gamer57.

Le ressenti :
On éprouve de la compassion pour l’auteur, et un fond de tristesse. Je pense donc que c'était l'effet recherché, et il est atteint.

La forme :
Le vers est bien adapté pour ce poème.

La ponctuation :
La ponctuation est bien présente mais fautive malheureusement. Attention il y a peut être trop de virgules et évites les points de suspension.

Le style :
Rien à dire. On sent la présence d’un langage soutenu, mais il est maintenu tout au long du poème et passe bien avec le thème.

Orthographe :
Rien a dire, c'est bien écrit, bravo.

Fluidité :
On accroche quelque fois dû au niveau de la langue, mais dans l’ensemble le poème se lit bien.

Le thème :
Trop banal à mon gout. Un amour déçu, souvent présent dans les poèmes. Mais ce n'est pas très grave, c'est un thème comme un autre.

La tournure/fond :

C'est un poème qui a la base ne devait pas être adressé pour nous à mon avis. Et c'est le ressenti qu'on a tout au long du poème. C’est donc un peu léger. C’est juste une envie écrite sur papier et qui n'est pas très imagé.
Cependant c'est un écrit direct, pas de tournage autour du pot. Et ce n'est pas toujours déplaisant. Ici donc, un point positif tout comme un point négatif, tout dépendra de ton lecteur.

A revoir ( les passages entre **) :

"Qui ne seras *point* arrêter par la raison..."

Peut être retourner la phrase. Le "point" fait plutôt étrange dans ta phrase. Un "pas" ferais bizarre, je te conseil donc de le remplacer pas « jamais »

" *Piètre idiot que je suis, incapable d'éprouver la moindre once de sentiments...* "

Vers trop long ! Tente sois de retourné ton vers dans un autre sens pour réduire sa longueur. Ou n’hésite pas à mettre un peu d’irrégularité dans ton poème afin de sortir du coté un peu scolaire en découpant ton vers et en faisant un passage à la ligne.
.Je te conseil quand même de choisir l’irrégularité et de couper ton vers à la virgule, et de modifier légèrement la deuxième partie pour la raccourcir d’une ou deux syllabes.
Ou tu peux changer toute la strophe pour avoir des vers de la même longueur que celui-ci mais à mon avis cela casserais pour le coup vraiment trop le rythme.

" Je *ne* considère que ce *ne sont* plus que des ruses, "

Attention ta phrase est mal tournée (une faute d’étourderie peut être ). Je te conseil donc de supprimer simplement le « ne ». Cependant attention ! dans ce vers on ne saisit pas très bien qui sont les ruses. Fais donc attention ici il y a un petit manque de compréhension.

• Puis les points de suspensions.*

Et enfin je trouve que les points de suspensions n’ont pas leur place où ils sont. Ainsi donc je te conseil dans les trois « premiers » vers (où ils sont présent) de les remplacer par des points. Et dans ton dernier vers de les remplacer par un point d’interrogation. Cependant je trouve qu’ils peuvent passer dans le dernier vers, mais pas dans les autres. Car sinon tu mets en place une exagération trop poussée, à mon avis. Je trouve qu’on ressent assez le fond du poème pour supprimer la présence de ces points de suspensions.

Globalement, ton poème se lit bien car il a une forme qui colle bien au thème et a ta façon d'écrire. Il faut simplement que tu revois un peu la ponctuation (pas seulement les points de suspension).

@ Eireth.

Bonjour à toi ! J'ai lu ton poème, et même si tu n'ose pas y retoucher je te met quand même des conseils ( que tu n'est pas obligé de suivre !).
Parlons tout d'abord du ressenti.
Quand on lit ton poème on ressens une petite poussée de colère. Une envie de révolte et celle de rejoindre l’auteur. On le comprend et on peut s’identifier à lui.

De plus la forme en vers est bien choisit, elle correspond bien à ta façon d’écrire. Et permet de développer un certain style de dénonciation.

Cependant on remarque une ponctuation assez présente mais parfois oubliée.

Une chose de bien par contre, c'est le style établit. En effet, le style est intelligemment choisit, le discours entre l’auteur et ce « tu » est très bien choisit pour ce poème ! Bravo pour ce choix.

Mais un petit tort dans tout ça, tu fais trop fautes. Mais ce ne sont pas souvent de grandes fautes. Ce sont souvent des erreurs/manque d’accents. Ce n’est donc pas très grave, mais bon essaye de ne pas les négliger ;)

Et d'ailleurs, il est parfois un peu dur de te suivre. De temps en temps on butte, et on dois essayer de comprendre ce que tu veux imager, ou ce que tu veux nous dire. Fais donc attention, ce qui est clair dans ta tête ne l’ai pas toujours pour tes lecteurs.

Le thème lui est moderne, et peu exploité. Il est donc agréable de voir un poème qui en parle. Et ça donne envie de le lire.

La tournure est pas mal ! Souvent imagée, tes vers, et le poème se lise comme une BD, on y découvre des images, les unes après les autres, elles même misent dans une image : Le rouge d’or. Vraiment très bien pour la tournure, et pareil pour le fond. La visée dénonciatrice de ton texte, qui est souvent rare, donne un vrai plaisir à le lire !

A revoir :

« *l'origine disparait.* »
Attention, une petite maladresse ici, on ne voit pas très bien de quelle origine tu parle, est-ce celle du monde ? de la monnaie ? Du sang ? De la personne ?
On ne sait pas très bien. A revoir donc, soit en ajoutant un petit mot pour mieux nous faire comprendre, soit en rajoutant un vers. Il y a d’autre moyens, à toi de trouver le meilleur, à mon avis ils seront tous aussi valables les uns que les autres.

« *D'un aveugle interet
la puissance est la voie
volonté désignée
révèlant ta faiblesse.* »
Attention, ici aussi, il y a un soucis de compréhension. Certainement dû au manque de ponctuation dont je parlais plus haut. Ici on ne comprend pas de quoi la puissance est la voie, et de plus la « volonté désignée » on ne saisit pas très bien de quoi il s'agit ou du moins ce qu’elle désigne. Essaye donc déjà de replacer un peu de ponctuation, et d’éclaircir un peu cette strophe.

"que veux tu la soumettre?"

La tournure de phrase est assez maladroite je trouve. Peut être est-ce moi qui ne suis pas habitué à l’entendre, mais je trouve que ce n’est ni très clair ni très beau. A toi donc de choisir si tu veux la modifié ou pas, mais je te le conseil.

« *La sève est ta boisson*. »

Attention, encore une fois il y a incompréhension. Pourquoi parles-tu de la sève, il n’as jamais été question d’une métaphore avec un arbre. Et puis on ne comprends pas bien ce que ça essaye de dire. Rajoute donc des vers pour nous expliquer ce bout de métaphore tristement incompris.

« à mon réveil humain, *avance prudement.* »
Ici une petite maladresse. Quand tu dis "avance", t’adresses-tu à quelqu’un ? Si oui, je te conseil de rajouter un « toi ». Sinon si tu parlais de quelque chose qui s’avance on ne saisit pas ce que c’est. Peut être est-ce ton réveil, mais ce n’est pas très clair.

« ta semance est horrible*.* »
Je te conseillerais un point d’exclamation ici, afin d’intensifier le ton !

• Les fautes d’orthographes*

« A l'heure *ou* je dors » -> A l'heure *où* je dors,
D'un aveugle *interet* -> D'un aveugle intérêt

• Révèlant* ta faiblesse. -> Révélant ta faiblesse

L'illusoire *progrés* -> L'illusoire progrès
C’est elle qui *t'acceuillit* -> c'est elle qui t'accueillit
c'est elle qui t'a *ceuilli* -> c'est elle qui t'a cueilli
n'oublie pas petit *etre*. -> n'oublie pas petit être.
et *dejà* tu pourris -> et déjà tu pourris
Prends garde *etre* trompé et trompeur, -> Prends garde être trompé et trompeur
ta *semance* est horrible. -> Ta semence est horrible.
Vois *etre miserable*, ce que tu as construit -> Vois être misérable, ce que tu as construit
Je ne dormirais pas *eternellement* -> Je ne dormirais pas éternellement
à mon réveil humain, avance *prudement.* -> à mon réveil humain, avance prudemment.
Tu *t'etoufferas* dans ton vin -> Tu t'étoufferas dans ton vin

En résumé :
C'est un réel plaisir de te lire ! Il te faut juste retirer ces maudites fautes d'orthographes, et nous rajouter un peu de ponctuation. Et le tour sera joué ! Il faut aussi que tu essaye de te pencher sur les quelques incompréhensions ou maladresses de ton poème, parce que c'est triste de ne pas toujours pouvoir suivre dans ce très beau texte.

Voilà, bonne chance à toi.

Merci infiniement pour tes conseils, si j'ai du mal a retoucher les mots, il est absolument vrai que corriger l'orthographe et ponctuer davantage ne fera pas de mal.

Quand aux phrases qui peuvent sembler peut comprehensibles.

"l'origine disparait" ---> j'ai longtemps buté sur ce vers. Pour moi il s'agit de dire que l'homme par sa facon de renier son origine naturelle et sa quete infinie de pouvoir me parait critiquable voir reprehensible.
Je concois que ca puisse etre mal explicité.

"la puissance est la voie ... " Ici, tu as justement remarqué le manque de ponctuation.
Ces vers tentent de montrer le caractère pathetique de l'homme, cherchant la puissance " voie = voie de la vie"
Et le paradoxe "volonté désignée" signifie que cette volonté de pouvoir est tellement commune que chaque humain la desire. Ca n'est donc, par la, plus une volonté.
Et tous ces faits revelent la faiblesse de l'homme.

Mais la encore, c'est vrai que ca n'est peut etre pas explicite.

Pour "la seve est ta boisson" il s'agit la de continuer sur le champ lexical du liquide.
Cette phrase aussi signifie, que l'homme, detruisant la nature, se nourrit de sa mort, de son sang, de sa sève.

"A mon reveil humain avance prudement"

Ici je m'adresse a l' "humain" soit l'etre humain dans son vice.

Bref, ton commentaire m'a apporté beaucoup, je le prendrais en compte, merci encore.

Si meme avec les petites explications que je t'ai fournis le texte ne parait toujours pas clair, signale le moi, cela voudra dire que j'ai des phrases a changer pour de bon.

Je t'en prie, mais attends aussi d'avoir d'autre avis ( même si y'as pas grand monde ici) car comme je le dis toujours je n'ai pas la science infuse.

Bref, j'ai lu ce que tu as posté, et oui ton poème devient beaucoup plus compréhensible ! Mais c'est dommage qu'on ait besoin d'un commentaire pour le comprendre . Il faudrait qu'a sa "simple" lecture on le comprenne.

Alors, je n'ai pas pu trop me re-pencher sur ton poème, car je prépare ma rentrée ( eh oui ! Je suis a la réunion )

En tout les cas, voila donc quelques conseils.

Pour le passage "l'origine disparait" tu peux tout simplement mettre
"L’origine de ses êtres." ou quelque chose dans le genre.

Ensuite pour "la puissance est la voie ... "
Je te conseil : la puissance est « pour lui » la voie
Ou alors :la puissance est « a son sens »

Pour la sève. ça reste compliqué, en fait il faudrait juste que tu précise que c'est la sève du même sujet que tout à l'heure essaye donc:
« Sa » sève est ta boisson
Mais je trouve qu'ici le pronom "sa" fait un peu bizarre, essaye de voir

Et enfin pour la dernière ligne, juste deux virgules a rajouter a mon avis :

à mon réveil, humain, avance prudemment.

Après bien sur c'est à retravailler, c'est juste pour te donner un peu le ton. C'est toi l'auteur et l'artiste

Et bien merci encore, je vais me pencher sur tes propositions afin d'ameliorer le tout.
Ton avis me semble juste, et cette petite mise au point va, sans doute, me permettre d'enfin me lancer dans la réecriture (correction plutot) de mon texte.
Merci encore.
Et bonne rentrée

J'aimerais avoir des avis sur une petite poésie. J'écris des nouvelles d'habitude et c'est ma 1ere:

A tes parents.

Tu fais leur bonheur au début, à tes parents,
Tu les amuses tout le temps,
Ils sont les seuls que tu connais,
Eux qui te font vivre et manger,
Tu fais leur bonheur, à tes parents,
Quand arrivent tes premières dents,
Toutes les premières fois,
C’est à eux que tu les dois.
Tu fais leur bonheur, à tes parents,
Quand ils te voient souriant,
Et souvent pour pas grand-chose,
Tu vois la vie en rose.

Tu fais toujours leur bonheur, à tes parents,
Même si t’en a plus trop le temps,
Les copains et les copines ont remplacé,
Toutes ces choses avec lesquelles tu jouais.
Tu fais leur bonheur, à tes parents,
Toi qui va en les évitant,
Ce ne sont plus tes seuls confidents,
A qui tu raconte tes tourments,
Tu fais leur bonheur, à tes parents,
Même si maintenant,
Après quelques déceptions,
Arrive le moment de quitter le cocon

Tu fais encore leur bonheur, à tes parents,
Qui croyaient à tes talents,
Contrairement à toi qui, après avoir raté ton bac,
Finis caissier chez Attac,
Tu fais encore leur bonheur, à tes parents,
Qui avaient des espoirs pour toi tellement grands,
Que, quand tu a tout réduit à néant,
Ils t’aimaient toujours autant,
Tu fais leur bonheur à tes parents,
Qui te laissent aujourd’hui indépendant,
Toi qui en a plus rien à foutre,
Et qui finis au bout de la route.

Tu faisais leur bonheur, à tes parents,
Jusqu’à ce que, en partant,
Tu remplace le tout par des pleurs,
Vu qu’est arrivée ton heure,
Tu faisais leur bonheur, à tes parents,
Qui se regardent en se demandant,
Pourquoi leur cher et tendre enfant,
Est parti avant ses parents,
Tu faisais leur bonheur, à tes parents,
Ils t’aimaient tellement,
C’est vrai que c’est quand même con,
De mourir bourré au volant.

@ Phaninx désolé en ce moment je suis un peu débordé.
Je te promet de me pencher sur ton poème et de te donner un commentaire d'ici vendredi.

En attendant ne sois pas découragé, il y a bien du monde qui lit ton poème, même si ils sont peu a te commenter.
En esperant que tu sois toujours là

Ah..Merci ça me rassure je désespérais un peu...Merci