MErci 22h33, tu m'expliqueras ton pseudo un jour lol.
Sinon ton poème finalement, tu l'as retravaillé ou tu le laisses comme il est ?
Voila Mikeange Bon j ai pas apporte tellement de modifications mais j ai suivi tes conseils
Sombre dame
La Mort est cruelle,
J’entends son appel,
Je sens dans mon cou
Son souffle si doux.
Mon désir est si fort
De tenter mon corps,
Et d’offrir mon âme
A cette sombre dame,
Pour cesser de vivre,
Fermer le grand livre
De cette existence
Dépourvue de sens.
Oui oui oui je sais triple post,
Ah ! Tu me sauves !!
Pour mon pseudo, tout est ecrit dans la cdv
Bon je préfére comme ça, mais c'est vraiment personnel, te laisse pas trop faire par les critiques ^^
Je modifierais encore "son souffle si doux" lol
Mais bon, t'as pu voir que c'est pas le même genre de poème que ce que j'écris ou lit. Tu en as fait d'autres ?
Frères humains, me voilà jeté dans l’Abysse,
Tremblant de peur, regrettant mes immondices ;
Mon cœur saigne de la perte du fluide,
Je me meurs, broyé par l’ultime vide.
Je bois encore un verre d’eau salée,
J’invoque ma Douleur presque innée ;
Les ombres me saluent au bord du fleuve ;
Que les pendus secoués par le zéphyr me suivent.
Aucune âme ne pourra être sauvée
Par la miséricorde d’un Dieu suranné ;
Le gothique cimetière des peines…
Fermé par les immoraux croque-mitaines ;
Ils suivent le chemin ponctué d’ampoules,
Un vulgaire désert de visions anciennes.
Les tristes mânes qui reviennent grâce à la houle.
mikeangel Oui oui je sais, j ai essaye t inquiete mais j ai rien trouve Une ptite idee :peut: ?
Oui j en ai fait d autres. Heu celui la je sais plus si je l ai deja poste Je le repost, osef
Supercherie
L’amour est comme l’or
Inutile à la survie.
Il vous aveugle et vous endort,
Il anéantit votre vie.
L’amour est comme une explosion,
Il n’apporte que malheur et désespoir.
Son but premier est la destruction,
Un massacre qui se grave dans nos mémoires.
L’amour est plus terrible que la mort,
Lentement il vous ensorcelle d’un mauvais sort
Qui s’immisce peu à peu dans votre cœur.
L’amour est entouré d’un doux sentiment,
Comme un tendre chocolat fondant,
Dont il serait l’amertume, la liqueur.
Vladi Attention au nombre de syllabe, ce sera encore plus agreable a lire ^^ a part ca, c est un ptit peu decousu, mais avec quelques efforts je suis certaine que ca donnera un super truc. Si tu le retravailles repost le Et autre chose si tu as
Vaincra qui trouvera
Ralliez vous à ma cause renégats !
Et vous serez pardonnés pour tous vos dégâts,
Vous aurez toute la gloire que vous désirez,
O chefs de la liberté vous nous sauvez,
Liberté tu es notre idole tant vénérée,
Un souffle peut te rendre consolidée,
Tyrans préparez vos tombeaux, votre seule échappatoire,
Icare voulut cette liberté, mais sombre fut son histoire,
On ne s'arrêtera pas, nos fusils seront entre nos mains ,
Nous n'hésiterons pas, nous parviendrons à nos fins
PS : lisez au minimum deux fois le poème, il y a une figure de style peu utilisée je trouve ;-)
Grayef Dommage pour toi, et pour moi aussi d ailleurs , les figures de style c est pas mon fort, autant pour en placer que pour en trouver chez les autres
J aime bien le poeme, et c est chouette la reference
Par contre, ca ne se dit pas "rendre consolider"
Vers libres.
Lueur d'espoir:
Déjà les fleurs sont fanées et le coeur inondé
D'amères larmes de souffrance illimitées
Déjà les sentiments de joie se sont parés
D'un splendide costume gris larmoyé
Soudain, le temps s'arrête et s'apprête
Si la tristesse du moment lui accorde, à un moment de fête
Si la joie daigne se libérer de son beau manteau gris
Et si le ciel daigne se parer du plus pur des bleu
Alors, la gaieté fera son retour et l'esprit harmonieux
Déjà oubliera les souffrances du passé, la joie les aura fait trépasser
D'une lame aiguisée, elle aura permis un retour à la tranquilité
Et alors, le costume gris deviendra étincelant de couleurs
Et les tristesses pourtant si tenaces fuieront vifs comme l'éclair, de peur
De ne pouvoir revenir alors prendre possession de ce coeur
King C est leger
Par contre, n y aurait il pas un petit probleme avec ta rime en "gris" qui se retrouve toute seule ?
King: attention aux répétitions. quelques images mal choisies je trouve et quelques syntaxes un peu malheureuse. et varie la facon de commencer tes vers, sans quoi on tombe dans une forme de redondance même sans répétitions.
sinon merci pour les vers libres, ca fait du bien ^^
Merci d'avoir lu 22h33, je trouve tes conseils très constructifs, je vais le retravailler alors.
Ton poème sur l'amour est très bien et surtout très vrai...malheureusement !
J'en ai un autre :
"Osez" : ce mot renferme toute la politique de chaque révolution (Saint-Just)
La République ou la mort
Tel est le slogan trouvé par effort,
D'un gouvernement n'ayant que pour plaire
La licence de tout ce que l'on veut faire.
Mais une fois l'ennemi engagé,
Plus question de parler de liberté ;
C'est ainsi que des peuples de renom
Sont devenus des barbares sans nom !
Agitez tout ce beau monde !
Touchons le bois macabre de notre tombe !
Tremblant d'un pouvoir effrayant les ermites,
Car les morts vont de plus en plus vite !
Sans violence et sans armes,
Gardons en tête l'enlèvement des belles dames.
Et sachant maudire à jamais le despotisme éclairé,
Nous ferions mieux de ne pas nous égarer.
C'est ainsi que je vous invite céans.
Vous, citoyens, qui êtes si feignant,
A contribuer à cette Révolution
Qui supprimera toutes ces effroyables institutions.
Mais n'est-ce point trop utopiques,
Ces rêves d’adolescents forts épiques ?
Gardant en mémoire les conquêtes mères
Sauvées par la présence de nos confrères.
L'union pour cette glorieuse cause
Vaut mieux qu'un texte en prose,
Gagnant sans rancœur et sans rédemption
Cette victorieuse libération.
Pour finir ce bel ensemble sans convenances,
Je dirais qu'une seule chose avec aisance :
Faites l'amour et pas la guerre,
Même si les deux peuvent faire mal au derrière !
Merci 22h33,
J'aime bien ton poème mais un peu trop classique pour moi, je suis dans une phase ou j'apprécie plus fortement les poèmes en prose, les poèmes surréalistes
Sinon voici deux autres de mes poèmes en vers libre ( encore ):
Mouvement incertain de l’abyssale démence
Tourne sempiternellement dans un sens équivoque à celui d’une roue
Roulant sur une toupie tenant elle-même sur un fil
Qui au gré de la folie, peut choir.
Mais l’irascible mouvement tournera toujours, épris d’une démence dorénavant gargantuesque
Et les mêmes ritournelles, résonnent dans le cachot de la déraison
Ces ritournelles que vous avez pour la plupart oublié
Les échos de la falaise de vos illusions pour certain reparaissent, et enfermé dans sa prison
Rendent votre âme éperdue de folie.
Bruit sinueux avançant sur le fil du silence de manière hésitante
Semble pouvoir chuter à tout moment
Mais continue son funambulisme
Son bruit s’entremêle à mes larmes, à mes sourires
Il perce à jour mes sentiments
Et se dissipe silencieusement dans le néant
C’est alors que mon être lui-même funambule tombe et essaye de rattraper le bruit
Qui s’estompe et laisse place au chef d’orchestre, ovationné par mes émotions.
Vladi Ooh, tres bon choix de theme
Heu, je suis tres allergique aux repetitions alors ce n est peut etre que moi mais j ai eu l impression de voir apparaitre quelques mots plusieurs fois, de facon trop raproche.
Sinon la Touchons le bois macabre de notre tombe ! Je pense qu il serait mieux de mettre "nos tombes"
Je dirais qu'une seule chose avec aisance Et la plutot "je ne dirai qu une chose avec aisance"
Et jerry a la fin
joetim Je crois que je suis trop incompetante pour trouver des faiblesses a ton texte Mis a part le fait que, personnellement les vers libres ne sont pas trop mon truc, ca passe comme du chocolat dans la gorge si je puis dire..
Et voila mon tour Joetim j ecris que des textes un peu trop "classiques" l amour, la haine, la mort, ce sont mes themes de predilections. Ca fait certainement cliche, mais j assume !
Le temps
Dans la nuit noire brille un miroir,
La Lune l’éclair et lui confère
Un éclat sordide, un reflet morbide
Qui me renvoie mon visage si difforme, sans âge.
Les chênes morts, désincarnés, chantent mon trépas comme enchantés.
Ma main avance sur ma joue sèche, dont la peau est si revêche,
Mes grands yeux ciel soulignés de cernes sont maintenant si gris si ternes.
Oiseaux de nuit dans les branchages, ils crient tous leur folle rage
A la fille que j’ai été, à présent seule, désemparée
Devant l’image de ce miroir qui brillait dans la nuit noire.
Tu ne le prends pas mal quand même ! Mais ce ne sont pas les thèmes qui sont classiques, nous parlons tous des mêmes choses ! c'est la forme, ce qui ne m'empêche pas d'apprécier tes poèmes 22h33 ! Si il y a malentendu pardonne moi.
Quels sont les poètes que tu lis ( curiosité ) ?
Et mes poèmes ont sans doutes des choses a se reprocher !
22h33 je vais traiter ta précédentre poésie! La mort est un sujet compliqué que seul les plus grand écrivains peuvent traiter, il ne faut dévoiler tout de suite que tu parles de la mort, ce doit être la chute, regarde Rimbaud (qui n'est pas mon poète de réfèrence), il ne dévoile la mort qu'à la fin. de plus, le sujet de la mort que tu tartines pendant toute al poésie fait un peu adolescent en crise de... comment on dit déjà?
Joetim Non non pas du tout !
Je lis un peu de tout, j ai trois vieux volumes remplis de poesies de pleins de poetes differents
Pink Oui, c est normal il date de ma crise d adolescence Mais bon, je le trouve assez joli quand meme voila pourquoi je l ai poste
Heu.. En crise d identite ?
Tant mieux
Sinon un nouveau poème ( je ne m'arrête jamais )
Dans le noir perforant
Je suis en perdition
Ma lumière qui criait autrefois les hallalis dans mes bois consumés par l’amour
S’enfonce peu à peu dans un sommeil sans possible réveil
Ma folle flamme, ma folle femme.
Toi, la muse de mes pensées, en partant dans les méandres des limbes
Tu me fais chuter du haut de mes cieux idylliques, sur une ile : Icarie.
Dans les amas des larmes d’Aphrodite,
Un homme, tombé des nues, brûlé par l’onirisme, git.
A ses côtés je m’allonge.
Je renonce, sans ta harpe inspirante, l’existence m’est plus cruelle que son absence.
J’abandonne ce monde les paupières dans les paupières de l’homme au corps cisaillé de chaleur et aux ailes fondues.
joetim J aime vraiment beaucoup ce poeme la
Tu les ecris "au fur et a mesure" ? Moi tous ceux que je poste ca fait un moment que je les ai ecrit