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Sujet : Mes poésies et les vôtres...

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John-Kafhey John-Kafhey
MP
Niveau 10
06 juin 2010 à 12:43:09

Poème en prose que j'ai écrit pour mon Bac Blanc de Français :ok:

Depuis le vaste océan, il est déjà possible d'admirer une esquisse de ce que sont les Titans de métal et de pierre. Chaque nouvelle fourmi se sent oppressée par leur taille et leur puissance. Chaque nouvelle fourmi doit s'adapter au rythme de leur nouvelle colonie.
Le jour, bruits et rythmes de la fourmilière s'entremêlent pour former une douce mélodie. Les fourmis monochromes se pressent et s'attardent à leur besogne, sous le regard des Titans.
Deux univers, joie et tristesse, cohabitent. L'un est mouvementé, l'autre paisible et vert coloré. Seule Gaïa est au contact avec ces insectes, qui retrouvent une part d'humanité. Les Titans n'y sont pas autorisés. Une mince frontière chapardée les empêche de traverser.
Lorsque Helios se couche, les Titans de fer s'habillent de mille et une couleur, jaune, rouge, blanc, montrant fièrement au reste du monde leur joie et leur beauté. Seule femme, la gardienne illumine gaiment sa couronne et enflamme son flambeau. Une gaieté gâchée par le triste souvenir de la perte soudaine de ses deux sœurs un sombre matin d'été. Les fourmis monochromes se diversifient aussi, se regroupent, s'agitent au rythme de la nuit.
Une journée vient de se terminer.
Quand vient la dame blanche, un luisant manteau blanc recouvre les Titans. Les fourmis tentent de se chauffer à la lueur d'une flamme. La Gardienne continue de veiller sur sa fourmilière, depuis la barque où elle est née.
Lorsque revient le printemps, les fleurs naissent à nouveau, les fourmis sortent et se préparent à l'été.
Une année vient de s'écouler dans cette ville que l'on nomme New-York.

kahyo kahyo
MP
Niveau 4
09 juin 2010 à 19:40:15

Ma recherche du bonheur contre l'envie d'etre de bonne humeur,
Mes regrets en retard contre des decisions a l'heure,
Ma haine injustifié contre un amour injustifiable,
Ma tristesse qui m'fait du bien contre un joie qui fait mal ,
Ma tete dans les étoiles contre deux pieds sur terre,
Mes grottes d'idées noirs contre une lampe d'idées claires,
Ma fierté mal placé contre une réconciliation,
Ma peur du ridicule contre une petite humiliation,
Tout les livres que j'ai lu contre un chargeur des munitions,
Mon avenir incertain contre un but une mission,
Chacun de mes mensonges contre une bonne conscience,
Les conséquences de mes erreurs contre de l'experience,
Ma peur de m'exprimer contre le courage de contredire,
Mes journée a rien faire contre du temps pour reflechir,
Ma méchancété gratuite contre une gentillesse qui paye,
Ma volonté que j'coche contre des defaults que j'raye ,

Echanger pour changer arranger engranger, j'devisse mes vices change mes devises je vise
la victoire face a moi meme la solution a mon probleme
jsui pas encore un homme car j'veu en etre un autre

L'absurdité d'la vie contre une raison pour que j'l'aime,
Ma misantropie contre une confiance en moi meme,
La philosophie contre l'amour de la sagesse,
Mes mauvaises habitudes contre de nouveaux reflexes
Mon verre à moitié vide contre un verre à moitié plein,
Mes efforts sportifs contre un esprit et un corps sain,
Ma timidité contre d'la sociabilité,
Mon orgeuil , ma pretention contre d'la simplicité,
Chacun de mes jugements précédés de préjugé,
Contre du respect envers tout ce qui m'est étranger,
La rondeur d'mon nombril contre celle du monde ou on vis,
Mes critiques mes moqueries contre un miroir qui reflechit,
L'inanité d'ma vanité contre la beauté d'l'humilité,
L'utilité d'la vérité contre celle de l'humanité,
Ma fainientise anéantis contre une envie pleine d'appetis,
Ma gourmandise qui mendit contre un estomac bien remplit,

Echanger pour changer arranger engranger , j'devisse mes vices change mes devises je vise
la victoire face a moi meme la solution a mon probleme
jsui pas encore un homme car j'veu en etre un autre

J' veux juste devenir ce que j'ai toujours voulu etre,
J'ai parlé à mon avenir il m'a dit que j'étais son maitre,
J'ai du temps à vivre je crois qu'je peux encore naitre,
Je prefere changer plutot qu'me jeter par la fenetre,
Chaque jour qui passe est là dans l'but de me rendre meilleur,
Les efforts s'entassent tout ca pour purifier mon coeur,
J'regarde mes defauts avec un petit air moqueur,
Puis je fais ce qu'il faut pour pouvoir regarder ailleur,
J'vais finir par étouffer chacune de mes faiblesses ,
Personne n'est parfait, alor j'le serai presque,
Dés que j'me sentirais bien j'le ferais autour de moi,
Pour changer le monde commence par te changer toi,
Je sais c'est ce que je fais mon esprit je le nettois,
J'manalyse pour comprendre qui je suis et pourquoi,
Le combat contre moi meme est deja sur la bonne voie,
Meme si c'est jusqu'a ma mort que je porterai cette croix

Extrait de http://kahyo-hh.skyrock.com/ ou http://www.youtube.com/watch?v=ZFjl3cc5mDs

Un_poil_sur_leQ Un_poil_sur_leQ
MP
Niveau 7
10 juin 2010 à 10:28:32

Jean_Dezert> Y a engagé et raciste. C'est pas la même chose ^^.

lepsycho_2009 lepsycho_2009
MP
Niveau 10
10 juin 2010 à 12:36:53

Bonjour à tous. Je viens d'écrire un poème et je souhaiterais avoir votre avis. Merci.

Apologie

Ta vaine carapace embaume la galaxie
Deuil des philosophes, cerceuil des esprits
Lorsqu'elle t'effleure tes pétales se libèrent
Nuée incolore, papillons éphémères.

Feu follet diffamant ou effets enflammés
Meurtre humide et liquide, toujours insipide
Tous t'abhorrent sans effort ni remord
D'aucun ne te ligature malgré les blessures.

Parfois inhibé, jamais annihilé
Les nuages menaçants de l'horizon du temps
Deviennent stériles face aux buées simulées
De ton écrin tant subjuguant qu'envoûtant.

Et c'est quand leurs vains assaults funestes ont cessé
Que s'érige l'immensité de ta puissance
Alors les mots assemblés peuvent signifier
Alors le livre exalte sa violence.

Un_poil_sur_leQ Un_poil_sur_leQ
MP
Niveau 7
10 juin 2010 à 15:08:03

Ah oui c'est vrai ^^.
Sauf que c'est pareil en pratique :) .

Fitz557 Fitz557
MP
Niveau 10
10 juin 2010 à 22:42:03

Je crois sincèrement que tu es à la limite de la légalité.
Et puisque je ne pouvais pas ne pas réagir, voilà ma réponse. Je comprendrai tout à fait qu'elle soit effacée, vu qu'elle est en lien (même si elle est en parfaite opposition) avec le post du dessus.

Maudite soit la France, si elle cache en son sein
D'aussi hideux scorpions, quand quelques heures plus tôt,
Elle demandait pardon pour tous ces innocents
Qu'elle avait envoyés dans ces ignobles camps.
L'oubli semble facile, pour qui n'a rien vécu ;
Mon cœur chaque fois se serre, lorsqu'il t'entend gémir.
Ce qu'ils ont fait aux uns, tu veux le faire aux autres.
Tu ne te souviens plus. Quand l'horreur et la mort
Sont des pensées abstraites, elles ne peuvent que renaître.
Sans honte tu le cries, inconscientes paroles,
De tous ces musulmans, tu ne veux que la mort.
À toi l'intolérant, qui ne chéris rien d'autre
Que ta chair et ta terre, je veux simplement dire
Que ce que tu aimes tant ne t'appartient null'ment,
Et le sol que tu foules de tes souliers indignes
Se révolte en lisant tes pensées haineuses,
Lui qui a trop souvent, à cause de tes semblables,
Été ivre de sang.

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
28 juin 2010 à 22:42:34

J'espère que cette fois messieurs Staline et Beria réunis me laisseront tranquille :(

1. Le poème qui commence avec l'ongle noir de la côte (au lieu de tourbilloner dans les escaliers).

La côte avec son ongle noir
Creuse la Terre
Comme un enfant le sable.
(C'est comme quand on ouvre un oeuf coque en tapotant le dessus et qu'ensuite la cuiller s'enfonce.)
Enfin : la mer n'est pas si raisonnable,
Et la Terre pas si souillon.
La nuit noire recouvre, j'erre,
Comme d'un beau garçon le brouillon,
Toujours à visage découvert,
Au cas où ici un regard
Accroché, doux, viendrait me voir.
La mer, la mer, la mer (la mer ?).

2. Y passerai l'hiver de dix neuf cent douze

Parfois, un matin de printemps égaré dans l'Histoire, je voudrais, sous un ciel bleu, dépasser le Saint-Gothard neigeux et descendre dans l'Italie en fleurs.

Depuis les plaines, depuis les plaintes, je m'éprendrais lentement des sommets légers pointillant en les ciels, comme les grappes de baudruches dans les parcs où jouent les enfants en la ville thermale où je suis.

La nymphe bleue, Amphydryade des fritures, se moque, de la fontaine Centrale (et un peu du cabinet noir).
Un nuage en négatif de photographie ricane en secouant ses épaules.

Je voudrais, passant l'hiver de 1912 à soiger ma hanche gauche, vir, à travers la fenêtre d'un bain saliveux à carrelges bleus blancs le dos long, rond, cambré des môôôôôôôntagnes que je vois déjà en malhûreuses petites collines, y siffleront des bergers en duralumin, ce sera quatre mil cent soixante. Au lieu de ça, maintenant, le bout des immeubles de la rue Saint-Christophe, où plusiers dames menuement cervelées arrosent leur mari car elles ont la vue basse.

Alors, je voudrais chausser mes bottes bleues, prendre le téléphérique, grimper en haut d'une montagne, y ramasser des cailloux. Je rêverais aux passants d'en bas - qui s'en moquent : ils jouent au casino.

(Ca va, comme ça ? J'ai pas dit arabe, hein :gni: )

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
28 juin 2010 à 22:46:50

Fitz557 : je trouve ce poème très très faible... "En son sein", "ivre de sang", "le sol que tu foules"... ça carbure à un cliché par ligne ! Quand au propos, je n'ai réussi à le déchiffrer :(

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
04 juillet 2010 à 22:27:57

Ce toit tranquille où marchent les colombes,
Entre les pins palpite, entre les tombes...

Personne ne poste ici :(

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
04 juillet 2010 à 23:36:26

Bon, comme j'ai du panache, je vais répondre aux accusations godwiniennes et fââââââscissss' de "Fitz 557" :(

Moralisateur doux, citoyen et jovial,
Intolérant drapé en grande tolérance,
Chaque homme un peu vivant qui vit encore en France,
T'emmerde un peu. Et chaque bouche avec ses mots

Doux qui détient le Bien, le Vrai, le Beau, le Mal,
Sans autre idée au fond d'un cerveau morne et pâle,
Comme un cendrier propre. Sais-tu que je t'admire
De défendre avec coeur tes petites manies ;
Dans d'autres temps tu eus fait l'objet de satires,
Tu es de ton époque, sorte de cul-béni

Laic. Si la démocratie vaut par son but,
Par une autre grandeur que celle de la gloire,
Elle n'est plus admirable quand elle est dérisoire -
Car c'est là dérision que de telle opinion
On fasse le credo, délicieux, sans danger.
Las ! car à des certitudes si joliment rangées,
On ne peut opposer qu'un très ancien amour :

Négligé, désolé, celui d'un très vieux mot,
Affadi par des lèvres lourdes de leurs mensonges,
Par trahison funeste et par oubli qui ronge :
Le prononçant, vraiment, j'oublie tout autre mot.

C'est le nom d'un Pays, d'un Etat, d'un moment,
Qui a vécu un jour, de minuit à midi ;
Qui mourra, c'est certain : tout reste tragédie.
La France, étoile morte, n'a plus beaucoup d'amants.

Bon. J'espère que le patriotisme n'est pas encore interdit sur les forums et que, par conséquent, mon texte ne sera pas censuré. Désolé si j'ai pu choquer des personnes par mes propos de la dernière fois ; le but n'était pas là.

Valter Valter
MP
Niveau 3
05 juillet 2010 à 17:59:43

C'est vraiment magnifique ... GG.

___________________________________
http://media.melty.fr/media--image-265106-article-ajust_650.jpg

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
06 juillet 2010 à 00:03:30

Merci. Heureusement la beauté et le talent dépassent les idéologies les plus stupides et les plus en vogue, comme l'anracisme qui m'a fait bannir de ce forum et obligé à changer de pseudonyme :(

Aumf Aumf
MP
Niveau 9
06 juillet 2010 à 03:38:26

Petit sonnet ecrit comme ca:

Appel d'amour

Regarde mes yeux, regarde mon coeur,
Observe mes pensees de l'interieur.
Ressent ce que j'ai ressenti pour toi,
Meme si cet amour n'est qu'autrefois.

Regarde la tristesse de mes larmes,
S'ecoulant sans cesse de ne pouvoir
Ne serait-ce qu'un instant te voir.
Mon esprit tout entier est en alarme.

Mon ame si froide fond a cote
De ce que j'appelle mon etre aime,
A lui seul mes nuages noirs s'effacent.

Mes peines s'evanouissent depuis
Ton arrivee, malgre le temps qui passe.
Regarde moi donc, mon amour, ma vie.

Desole pour le manque d'accent.

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
08 juillet 2010 à 02:17:25

On ne vint pas. Je me taisais,
Esperant bêtement qu'on vînt.
Il ne reste qu'un fond de vin.
Hélas, j'ai vécu en secret.

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
09 juillet 2010 à 23:37:25

Entre les branches, entre mes yeux
Que harcelaient des songes,
Le soir, qu'un halo de nuit longe
Etait en moi en eux.

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
10 juillet 2010 à 18:14:01

Mon suicide.

Tout cela me désespère,
Je sais bien que c'est fini.
Tout est allé de travers ;
J'ai vécu - ou pas. Tant pis.

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
11 juillet 2010 à 06:58:21

Soupir final

Et le monde s'éloigne,
Vite comme un avion
Dans un ciel de campagne.
Derniers mots, derniers pions.

Lestat8601 Lestat8601
MP
Niveau 10
16 juillet 2010 à 16:19:36

Dezert faisait des sonnets et bientôt fera des haïku :rire2: mais c'est toujours plaisant de te lire.

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
17 juillet 2010 à 00:08:19

Oui, je fais un peu de tout :hap:
J'ai même fait un long poème nationaliste (sans blague).
Allez, si c'est plaisant, en avant Guingamp.

Paysage vu d'un train.

Dans le wagonnet clair aux meubles bien cirés,
Nous avons bu des bières anglaises ;
Chacun assis tout droit, et vissé sur sa chaise.
Les rideaux étaient bien tirés.

Dehors, c'était le jour de quatorze heures quarante,
Un soleil froid sur des bois pâles.
Des rangs de grosses biches, de tendres animals
Regardaient notre marche lente.

Nous ne voyons rien de cela, ni les nuages
Blancs et légers, boules de toilettes
Tombées du lavabo où, sans cabotinage,
Un dieu mineur se lavait le cou et la tête ;
Ni les petits bouleaux, ni les oiseaux confus,
Ni les ombres du train, sur les côtés, infimes,
Celle, épaisse, des arbres touffus.
On jouait au whist, à la prime.

Dezert_again Dezert_again
MP
Niveau 6
19 juillet 2010 à 02:43:16

Le ciel orange et gris
Me tombe sur la tête ;
Je suis fou, je suis bête.
Ih ih, ah ah, ih ih !

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