Derniers tests de jeux vidéo - page 231

Il y a 19 ans, Rare fut à l'origine de l'un des chefs-d'œuvre de la Super Nintendo : Donkey Kong Country. Après avoir successivement été le héros d'un jeu en 3D, pilote de courses ou encore joueur de conga, le singe le plus connu du jeu vidéo est revenu à ses premières amours sur Wii en 2010 : la plate-forme pure et dure, en défilement 2D. Aujourd'hui, c'est au tour des joueurs 3DS d'en jouir, dans un portage pur et dur.

En 1944, le général américain George S. Patton fut l'acteur principal d'un stratagème visant à persuader le leadership du Troisième Reich que le débarquement allié se déroulerait dans le Pas-de-Calais. Une fois l'entourloupe exécutée, Patton retourna commander la fameuse 3e armée américaine. Cette dernière s'illustra à de nombreuses reprises pendant les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Legends of War permet de revivre ces événements.

L'air est lourd, les regards furtifs se croisent autour de la table. La fumée épaisse de cigares cubains envahit la pièce. Les jetons s'entassent les uns après les autres dans une bruit de cascade. Un des joueurs plante son couteau denté dans ses cartes qu'il vient de coucher, un autre essaie de contenir un lapin hystérique qui lui conjure de mettre tapis, le bras mécanique d'un troisième n'arrête pas de tapoter la table frénétiquement et le dernier ne peut s'empêcher de parier tout son argent car un virus aurait infiltré son système. Bienvenue à l'Inventaire, Gentlemen.

En 1944, le général américain George S. Patton fut l'acteur principal d'un stratagème visant à persuader le leadership du Troisième Reich que le débarquement allié se déroulerait dans le Pas-de-Calais. Une fois l'entourloupe exécutée, Patton retourna commander la fameuse 3e armée américaine. Cette dernière s'illustra à de nombreuses reprises pendant les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Legends of War permet de revivre ces événements.

Après le chef-d'œuvre Mega Man 2, beaucoup pensaient que la série ne pourrait jamais produire mieux, et que les épisodes suivants ne feraient que perdre en qualité. Voulant faire taire ces mauvaises langues, Capcom prit son temps pour développer Mega Man 3 et ainsi sortir le meilleur jeu possible. Et il semblerait que ce soit chose faite.

L'air est lourd, les regards furtifs se croisent autour de la table. La fumée épaisse de cigares cubains envahit la pièce. Les jetons s'entassent les uns après les autres dans une bruit de cascade. Un des joueurs plante son couteau denté dans ses cartes qu'il vient de coucher, un autre essaie de contenir un lapin hystérique qui lui conjure de mettre tapis, le bras mécanique d'un troisième n'arrête pas de tapoter la table frénétiquement et le dernier ne peut s'empêcher de parier tout son argent car un virus aurait infiltré son système. Bienvenue à l'Inventaire, Gentlemen.

Après le chef-d'œuvre Mega Man 2, beaucoup pensaient que la série ne pourrait jamais produire mieux, et que les épisodes suivants ne feraient que perdre en qualité. Voulant faire taire ces mauvaises langues, Capcom prit son temps pour développer Mega Man 3 et ainsi sortir le meilleur jeu possible. Et il semblerait que ce soit chose faite.

Agarest : Generations of War 2 est le genre de jeux qui, il y a quelques années, n'aurait jamais quitté le Japon. Et pour cause, la série de Compile Heart est connue pour ses systèmes de jeu retors, son dénuement technique et surtout pour jouer à fond la carte de l'érotisme, tout du moins dans ses diverses campagnes marketing. Pas vraiment ce qui plaît au grand public occidental donc, et pourtant Generations of War 2 est le troisième opus à nous parvenir. Peut-être une preuve que malgré toutes ses tares, la série a de quoi séduire.

Z, une lettre qui pourrait évoquer beaucoup de choses. La dernière lettre de l'alphabet, la profondeur dans un repère en 3D ou bien encore un sujet qui fait pouffer les garçons dans la cour de récréation. En l'occurrence, cette fameuse lettre est ici le nom d'un jeu de stratégie imaginé par le mythique studio anglais Bitmap Brothers.

Trois ans après la sortie de Metro 2033, 4A Games revient avec une suite adoptant un principe similaire. Préparez-vous donc à un FPS narratif basé sur une ambiance prenante et un côté survival-horror marqué, tout en proposant un aspect couloir et scripté à la Call of Duty. Si cette formule fonctionnait en 2010, est-elle encore pertinente en 2013 ?

Après s'être attiré les faveurs d'un public de fidèles sur DS, la branche des Pokémon Donjon Mystère investit pour la première fois le support 3DS dans un épisode complètement inédit. Ceux qui ne connaissent pas encore le principe du dungeon-RPG seront peut-être un peu surpris par ce titre au gameplay certes un peu austère mais qui se rattrape par sa dimension addictive et ses innombrables à-côtés.

Des squelettes, des zombies, des monstres abominables, des armes à feu et vous. Prenez le tout et mélangez-le, vous obtiendrez alors God Mode, une recette signée Old School Games. Un pur concentré d’action à la troisième personne qui épongera la soif de violence des amateurs du genre. Autopsie d’un titre déjanté.

Avec des trésors comme Fruit Ninja ou Jetpack Joyride, le studio Halfbrick est un peu considéré comme le roi du pétrole sur plate-forme mobile. La nouvelle production, Fish out of Water, a donc une certaine réputation à défendre. Après plusieurs jours de test, c'est l'heure du verdict.

Vous pouvez ranger vos mouchoirs, le naufrage de Black Hole Entertainment n'a pas entraîné la fin de Might & Magic Heroes VI. Le titre revient en effet des ténèbres par le biais d'un stand-alone qui joue la carte de l'obscurité. Celui-ci se concentre sur le destin des elfes noirs et des nécromanciens. Les ajouts méritent-ils le détour ou les quelques soucis techniques persistants vous empêcheront-ils de profiter pleinement de l'expérience ?

On le sait, le Québec est une terre d'asile pour les éditeurs de jeux vidéo. Motivés par des incitations fiscales, de nombreux acteurs du secteur s'y sont installés, d'Ubisoft à Electronic Arts en passant par Eidos. Au milieu de ces ogres, il faut désormais ajouter un Petit Poucet : Artifice Studio, jeune développeur indépendant dont le premier projet, Sang-Froid, n'a pas grand-chose à envier aux grosses productions.

Myst, c'est de l'onirisme à l'état pur. Ce sont deux frères qui ont donné forme à leur imagination en créant un univers d'une rare poésie dont nous devons écrire l'histoire. Simplement deux frangins qui ont initié une porte vers un autre monde dans le but de partager leurs propres rêves avec les autres. Myst, c'est tout bonnement un concentré d'imaginaire et de sensations brutes, un livre ouvert vers une destination inconnue et qui n'attend plus que vous. Suivez-moi, je vais vous y emmener...

Eternellement encensée par une kyrielle d'inconditionnels qui n'ont jamais pu se résoudre à la ranger au fond d'un placard après une vie trop courte mais fichtrement bien remplie, la Dreamcast fait encore parler d'elle en 2013 en accueillant un nouveau titre exclusif : le shoot'em up Sturmwind. Après plus de six longues années de développement et un an et demi de retard sur le planning d'origine, le petit studio Duranik s'est finalement décidé à mettre un terme à cette interminable attente. Sturmwind est enfin là et il ne risque pas de décevoir.

Sorti un an après Beat Hazard, le DLC Beat Hazard Ultra apporte un lot de nouveautés assez conséquent, à savoir l'apparition d'un mode online, d'un mode coopératif amélioré et de nouveaux modes de jeux. A cela s'ajoutent également de nouveaux ennemis et de nouvelles armes, de quoi enrichir l'expérience et diminuer, voire effacer, l'aspect répétitif que l'on pouvait reprocher au titre de base.

Myst, c'est de l'onirisme à l'état pur. Ce sont deux frères qui ont donné forme à leur imagination en créant un univers d'une rare poésie dont nous devons écrire l'histoire. Simplement deux frangins qui ont initié une porte vers un autre monde dans le but de partager leurs propres rêves avec les autres. Myst, c'est tout bonnement un concentré d'imaginaire et de sensations brutes, un livre ouvert vers une destination inconnue et qui n'attend plus que vous. Suivez-moi, je vais vous y emmener...

Après avoir été pompier, clown, ambulancier, bûcheron, matelot, gestionnaire d'aéroport, bref après avoir exercé à peu près tous les métiers du monde, voici qu'un nouveau "Simulator" propose une occupation inédite et originale, celle de policier. Si l'idée est sympathique, on se rend malheureusement compte qu'il est bien loin le temps de notre enfance où nous rêvions d'attraper les méchants et de faire le bien. Ici, des graphismes dignes d'un autre temps et des missions incroyablement soporifiques seront notre seul exutoire.