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Metro : Last Light
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Test Metro : Last Light

Metro : Last Light : Monakh prend le métro

24 137 vues
Profil de Lespol,  Jeuxvideo.com
Lespol - Journaliste jeuxvideo.com

Trois ans après la sortie de Metro 2033, 4A Games revient avec une suite adoptant un principe similaire. Préparez-vous donc à un FPS narratif basé sur une ambiance prenante et un côté survival-horror marqué, tout en proposant un aspect couloir et scripté à la Call of Duty. Si cette formule fonctionnait en 2010, est-elle encore pertinente en 2013 ?

Metro : Last Light

A l'origine de Metro 2033, il y avait un livre. Celui-ci a connu une suite logiquement nommée Metro 2034 contant les aventures d'un héros inédit dans une nouvelle ville. 4A Games n'a toutefois pas choisi d'adapter cet épisode, préférant se concentrer sur le héros du premier opus : Artyom. Last Light s'affranchit donc des romans afin de narrer une histoire inédite, mais rassurez-vous, le scénario et les dialogues de Last Light ont été écrits par l'auteur des romans himself, à savoir Dmitri Gloukhovski. On y retrouve alors un Artyom dévasté par la fin de l'épisode précédent (la fin classique, pas l'alternative) et cherchant à se racheter une conscience tout en tentant de prévenir une guerre latente entre les différentes factions qui se sont installées dans le métro moscovite afin de fuir l'hiver nucléaire. Le Reich, les communistes, etc., tous sont encore là pour servir une intrigue souvent intéressante et au rythme bien dosé permettant d'en apprendre un peu plus sur l'univers passionnant de Metro à travers différents flashbacks et témoignages. D'ailleurs, chaque NPC croisé a quelque chose d'intéressant à dire, si bien qu'on passe finalement beaucoup d'heures à simplement écouter ce qui se raconte dans les tunnels crasseux des villes. Certains pourraient y voir un manque de dynamisme ou même une source d'ennui, mais en réalité il s'agit là de la principale force de ce jeu qui se veut clairement narratif et contemplatif. Notons que, comme dans le premier opus, tous les dialogues sont disponibles en français, anglais ou russe, mais nous vous conseillons fortement le dernier choix, nettement meilleur pour l'immersion.

L'immersion avant tout

Metro : Last Light
C'est un fait, Metro Last Light est beau !
Cette immersion passe aussi par une bande-son soignée et des graphismes franchement jolis. Certains plans en extérieur passent ainsi quasiment pour des artworks, si bien qu'il n'est pas rare de prendre une seconde ou deux (mais pas plus, les masques à gaz sont rares) pour s'arrêter et contempler les lieux. Cela est d'autant plus vrai que 4A Games a diversifié quelque peu ses environnements, emmenant le joueur des quartiers populaires de la ville à la Place Rouge en passant par une version souterraine et post-apocalyptique de Venise. Les tunnels ne sont d'ailleurs pas en reste et bénéficient d'une atmosphère étouffante magnifiée par des effets lumineux d'une qualité rarement égalée, voire jamais. Ceci a toutefois un prix et il faut disposer d'une machine de guerre pour pousser tous les paramètres graphiques à fond. Pour dire, la configuration optimum donnée par l'éditeur comprend une GeForce GTX 690, carte dont le prix se situe autour des 1.000 euros. Dans notre cas, nous avons testé la bête avec une GTX 580 et avons vu le nombre d'images par seconde chuter assez fréquemment jusqu'à atteindre parfois les 20 FPS. Comme son prédécesseur, Last Light ne semble donc pas être un monstre d'optimisation, bien qu'on puisse en profiter tout autant en choisissant les presets moyen ou bas. En effet, la perte de qualité est dans ce cas visible, mais pas rédhibitoire.

Metro 2033.5

Metro : Last Light
On retrouve le système de munitions de 2033.
Au niveau du gameplay, on retrouve quelque chose de très très proche de Metro 2033 avec ce que cela comprend de couloirs à explorer en prenant de temps à autre une porte dérobée afin de trouver de précieuses munitions ou autres filtres de masques à gaz. L'économie est alors la norme afin de ne pas mourir asphyxié ou tomber en rade contre un ennemi puissant. De là naît un côté survival magnifié par la lumière vacillante d'un briquet, mais malheureusement un peu limité par la présence de nombreux équipiers en début d'aventure. Notons que les balles sont à nouveau divisées en 2 catégories distinctes : les munitions pré-apocalypses, puissantes et rares, servant de monnaie et donc à l'amélioration (viseur, silencieux, pointeur lazer, etc.) et à l'achat d'armes, puis des balles artisanales pour chaque catégorie de pétoires. Notons à ce propos qu'on remarque simplement l'apparition d'une machine gun, ce qui constitue une nouveauté sympathique l'espace d'une séquence de jeu, mais ne bouleverse en rien l'expérience. 4A a donc choisi de ne pas changer sa formule, ce qui n'est pas problématique en soi et ne devrait pas choquer les fans outre mesure, mais il aurait au moins été de bon ton de corriger les quelques défauts du premier épisode.

Un gameplay perfectible

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Metro : Last Light
Last Light souffre ainsi des mêmes maux que son prédécesseur, à commencer par une IA pas terrible, surtout lorsqu'on choisit d'éviter l'affrontement direct et brutal en jouant la carte de l'infiltration. Les développeurs ont bien cherché à améliorer la chose en accordant notamment une importance toute particulière à la lumière et aux ombres, mais l'IA ne se montre malheureusement que peu réactive et pas spécialement intelligente. Il est donc souvent facile de franchir une salle via les chemins de traverse sans être repéré, ce qui limite l'intérêt. Et quand on choisit de bourriner, le résultat n'est pas non plus exceptionnel dans la mesure où les déplacements du héros sont souvent laborieux, qu'il n'est pas possible de se décaler pour tirer derrière un obstacle et que les armes manquent globalement de pêche. L'ensemble n'en reste pas moins acceptable en comparaison des combats contre les monstres mutants. Extrêmement brouillons, ceux-ci se montrent souvent frustrants, notamment contre certains boss qui font figure d'éponges à balles. Il aurait également été mieux de se priver de quelques phases de rail-shooting. Last Light n'en reste pas moins un très bon jeu qui devrait sans peine séduire les fans du premier opus et les occuper entre 10 et 12 heures, selon le mode de difficulté choisi. A ce propos, terminons d'ailleurs ce test sur un petit coup de gueule : le mode Ranger qui se distingue par l'absence totale de HUD est réservé aux joueurs ayant précommandé puis devrait par la suite être proposé sous forme de DLC. Pas très sympa...

Points forts

  • Immersion excellente
  • Très beau
  • Environnements variés
  • Scénario riche en révélations
  • Bande-son soignée
  • Durée de vie correcte (10 à 12 heures selon la difficulté)

Points faibles

  • IA à revoir
  • Combats contre les monstres brouillons
  • Certaines phases inintéressantes et frustrantes
  • Le mode Ranger réservé aux précommandes
  • Peu de nouveautés

Fort de graphismes à couper de souffle, d'un scénario accrocheur et d'une immersion exceptionnelle, Metro : Last Light devrait sans peine séduire les fans du premier opus et de l'univers de Dmitri Gloukhovski. Il aurait toutefois été de bon ton d'améliorer l'IA et d'apporter quelques modifications à une jouabilité déjà critiquée il y a 3 ans. Reste que le mélange entre FPS grand spectacle et survival-horror fonctionne toujours et devrait réserver des moments agréables aux joueurs cherchant une expérience enivrante plutôt qu'un gameplay léché.

Note de la rédaction

15
16.7

L'avis des lecteurs (386)

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