Première partie du week-end britannique en page précédente

Le 14 octobre 2019 à 17:07:49 Soeprapto a écrit :

Le 14 octobre 2019 à 16:54:52 PapY_MoLoToV a écrit :
On veut du sang

POUR LA HORD... euh POUR KOFLER !!!!!!

Du sang et des larmes*
Très important les larmes

Tu as intérêt à ce que Vettel fasse une course de merde j'ai soif de sang là

PS : celle d'hier au Japon ne m'a pas assez satisfait

Le 14 octobre 2019 à 14:19:59 Soeprapto a écrit :

Sebastian : Tout ce bruit autour de nous vient de toi. Ne te place pas en victime, Niki.

La phrase la plus authentique de toute la saison

Première partie https://www.jeuxvideo.com/elektronomia/forums/message/998870988

2023 (S6), Chapitre 28 (n°236) : Monter dans les tours

Dimanche 25 juin 2023, Circuit de Silverstone, Silverstone
La tâche qui m’attend est importante mais j’accepte la mission que je me suis confié : repartir d’ici en tête du championnat et avoir vingt points d’avance sur Sebastian. Pour la première mission, celle-ci semble en bonne voie car George ne boxe pas dans notre catégorie ce week-end, en revanche pour la seconde, il faudrait que j’arrive à mettre une bonne claque à mon équipier, chose qui pourrait se révéler complexe au vu du niveau qu'il a affiché hier. Vu le déroulement du week-end, un doublé Audi est ce à quoi il faut s’attendre et il faudrait donc un succès pour que mes deux objectifs soient atteints.
La course du jour sera disputée sur le sec - chose rare dans ce pays - et les Audi sont les seules voitures en mediums, sacré privilège pour la fin de course. Ce soir, nous serons à la moitié de la saison et tout le monde commence à compter ses pions dans l’optique du championnat et ce choix pneumatique pourrait coûter un peu de terrain à Russell et Vandoorne, qui reste malgré tout à quinze points de la tête du championnat malgré une saison qui n’est pas dans l’éclat mais qui reste très solide de la part du belge.

De bon matin, je suis au circuit, en train d’observer la course des F3. C’est l’occasion pour moi d’assister à la piètre course de mon cousin, Andreas. Alors que les F3 en sont également à la moitié de leur saison - quatre meetings disputés sur huit -, Andy n’a que quatre points à se mettre sous la dent, dont deux hier. Il n’est pas au niveau et me fait presque regretter de l’avoir pistonné car je suis un partisan de l’effort et du mérite, tout le contraire de ce que dégage Andy au volant d’une monoplace.

En parlant d’effort et de mérite, me voilà désormais sur la grille, deuxième derrière Sebastian, avec l’ambition de gagner ce Grand Prix. Néanmoins, la réalité va se révéler bien différente de mon idyllique imagination : lorsque les feux s’éteignent, je me troue complètement, déjà relégué au quatrième rang avant même la première courbe pour finalement être sixième au premier freinage, à Village. J’ai été dévoré par Ticktum, par les Renault et par de Vries alors que George se trouve derrière moi malgré sa troisième ligne de départ. En étant en mediums, la remontée s’annonce d’ores et déjà difficile, mais il faut également ajouter à cela la ténacité de mes adversaires. Si je parviens à avoir la peau de Gasly dès le tour 3, de Vries se révèle être une autre affaire. Nyck est un pilote discret, que ça soit sur ou en-dehors des circuits, il n’est pas un grand dépasseur, a peur de la pluie, n’est pas le défenseur le plus rugueux, mais il est un pilote bougrement complet et toutes ces facettes additionnées font que je reste bloqué un bon moment derrière celui qui est mon ami en-dehors des circuits.

Finalement, après neuf tours de bagarre et trois tentatives de dépassement ratées, je finis par l’avoir dans l’ancien virage 1, grâce à une meilleure accélération à la sortie du virage précédent. Devant moi, Ticktum est à trois secondes, Vandoorne à quatre et Sebastian déjà à huit, le tout après seulement onze tours en piste.
Le but, avec les mediums, c’est d’attaquer en fin de course au détriment d’un premier relais plus lent. Je parviens avec peine à réduire l’écart mais je finis par revenir très près de Ticktum grâce à la chute brutale de performance des pneus de la Red Bull.
A cause de ce départ raté, je dois innover alors je décide, d’un commun accord avec Steven, de basculer sur le plan B et de retarder mon arrêt de trois tours, pour avoir encore plus de marge avec les pneus tendres que j’utiliserai pour les deux derniers tiers de la course. Je me retrouve à mener un petit tour, avant que Seb ne me dépasse lors de mon tour de rentrée - le bougre a déjà un arrêt d’avance sur moi - histoire de bien me faire mal.

Dans le second relais, ma journée assez insipide s’illumine lorsque Vandoorne, solide deuxième qui était en train de maintenir le contact au championnat, immobilise sa voiture dans Hangar Straight. Cet incident, en plus d’assurer un bon bilan comptable vis-à-vis de Stoffel, me permet de grimper sur le podium. Avec un Vettel extraterrestre, je le sais, je n’ai plus qu’un adversaire aujourd’hui : Ticktum. Je ne repartirai pas d’ici avec les deux objectifs accomplis en poche mais finir deuxième permettrait d’engranger trois unités de plus et, comme vous le savez, chaque point compte. Demandez à Prost, il en sait quelque chose…

Avec un Ticktum sur Red Bull et en mediums, l’écart fond. Les cinq secondes et demies qui nous séparaient après mon premier relais allongé sont devenues deux secondes en seulement neuf boucles. Au tour 35, je tente ma chance mais la défense de Dan est - comme toujours - impeccable et il parvient à maintenir la position, de même au tour suivant et encore lors de celui d'après. Lorsque la numéro 4 s’engouffre aux stands à la fin du tour 37, je passe à l’attaque mais, ayant des pneus usés, je sais que je vais perdre du temps sur lui et ressortir derrière. Je reste cramponné à ce fameux plan B, qui me fera rentrer au tour 40, c’est donc trois tours de souffrance puis - espérons - douze tours d’attaque et de bonheur.

En ressortant, je suis à plus de deux secondes de Daniel, qui est néanmoins la proie du redoutable chasseur que je suis. Une Audi, avec un avantage pneumatique de trois tours, ça n’a pas de prix et, en seulement deux tours, je suis de retour sous la seconde alors qu’il ne reste que dix boucles.
Vous l’aurez compris, quand vous êtes derrière Ticktum, le plus dur n’est pas d’y rester, c’est de passer devant. A six tours de la fin, j’ai déjà tenté par trois fois : d’abord Copse, puis Vale et enfin Brooklands, sans succès néanmoins. A la sortie de Maggots-Becketts-Chapel, bien blotti dans le diffuseur de la RB19, je me dis que c’est là que je dois y aller : Stowe. Ce droite, passé pied au plancher, se referme violemment et le pilote à l’extérieur peut passer s’il s’y prend bien. Je me décale donc à la gauche de Daniel et, avec le différentiel de vitesse et la trajectoire idéale de l’extérieur, je parviens à obtenir la seconde place pour laquelle j’ai tant sué.

L’écart avec Ticktum se creuse rapidement alors que j’enchaîne meilleur tour sur meilleur tour lors des cinq dernières boucles pour terminer à trente-trois secondes de Vettel. Le nombre fait mal, c'est clair, d'autant plus que Seb semblait seul au monde ce dimanche et presque seul sur l'ensemble du week-end. Après l'épisode de Spielberg, je crois que c'est une défaite que je dois assumer, même si mes dents serrées empêchent le son de sortir.

Dans le parc fermé, Daniel vient me féliciter ; il faut dire que notre bataille a été trépidante, certainement magnifique à observer à la télévision : tout est resté propre, certaines manoeuvres relevaient du génie, c’est pour ce genre de batailles qu’on aime ce qu’on fait. Après des luttes déloyales avec Vettel, je vous avoue qu’affronter un défenseur rugueux mais correct comme Dan est plaisant. J’avais pris la mauvaise habitude, au début de ma carrière en F1, de me faire battre par Dan mais, aujourd’hui, ma victoire est belle et incontestable. En plus de ça, dans un fairplay que je n’aurai jamais osé lui attribuer avant l’été dernier, il continue de me soutenir lorsque David Coulthard l’interviewe sur le podium en continuant de faire tourner ce surnom de “Kofnik la fusée” qui ne me déplaît pas, à vrai dire.

Classement final du Grand Prix :
1 Vettel (Audi)
2 Kofler (Audi)
3 Ticktum (Red Bull)
4 de Vries (McLaren)
5 Gasly (Renault)
6 Russell (McLaren)
7 Ricciardo (Ferrari)
8 Ocon (Sauber)
9 Zoranovic (Aston Martin)
10 Ráfaga (Sauber)

Championnat pilotes Championnat constructeurs

Ma course a été fortement compromise par cet envol raté que les gars ont réussi à expliquer par un embrayage mal calibré lors du départ. Un incident fâcheux et normalement facile à corriger si vous avez bien compris le problème. Mon rythme de course était correct, je crois, mais le fait de concéder autant de temps à Seb sur le premier relais et ma difficulté à dépasser les autres malgré ma stratégie décalée ont créé cet écart impressionnant, écart que je ne peux plus tolérer à l'avenir si je veux rester dans la lutte au championnat. Un championnat que je mène, malgré la course un peu ratée du jour...

Le 14 octobre 2019 à 17:15:03 PapY_MoLoToV a écrit :

Le 14 octobre 2019 à 17:07:49 Soeprapto a écrit :

Le 14 octobre 2019 à 16:54:52 PapY_MoLoToV a écrit :
On veut du sang

POUR LA HORD... euh POUR KOFLER !!!!!!

Du sang et des larmes*
Très important les larmes

Tu as intérêt à ce que Vettel fasse une course de merde j'ai soif de sang là

PS : celle d'hier au Japon ne m'a pas assez satisfait

Le 14 octobre 2019 à 20:40:03 Soeprapto a écrit :

ce surnom de “Kofnik la fusée” qui ne me déplaît pas, à vrai dire.

Ce bolchevique

Danke Seb

Le 14 octobre 2019 à 20:41:26 Soeprapto a écrit :

Le 14 octobre 2019 à 17:15:03 PapY_MoLoToV a écrit :

Le 14 octobre 2019 à 17:07:49 Soeprapto a écrit :

Le 14 octobre 2019 à 16:54:52 PapY_MoLoToV a écrit :
On veut du sang

POUR LA HORD... euh POUR KOFLER !!!!!!

Du sang et des larmes*
Très important les larmes

Tu as intérêt à ce que Vettel fasse une course de merde j'ai soif de sang là

PS : celle d'hier au Japon ne m'a pas assez satisfait

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Vengeance

Dan qui passe pour un gentil petit gars après toutes les crasses faites par Vettel, c'est assez inattendu

Sebastian : Tout ce bruit autour de nous vient de toi. Ne te place pas en victime, Niki.

Seb est une ordure, mais merci

Ce weekend m'a laissé un peu sur ma faim, mais c'est le jeu.

J'ai du mal à comprendre ce que tu veux faire d'Andy pour l'instant. Je sens qu'on va finir à reprocher à Niki de l'avoir pistonné.

J'ai du mal à comprendre ce que tu veux faire d'Andy pour l'instant. Je sens qu'on va finir à reprocher à Niki de l'avoir pistonné.

Je me suis longtemps posé la question aussi mais pas d'inquiétude, j'ai fini par trouver sa voie.

Direction Frankreich demain ; premier rendez-vous en milieu d'après-midi et deuxième partie vers 20h30/21h

premier rendez-vous en milieu d'après-midi

J'y serai normalement pour une fois

Saison 6 : https://docs.google.com/document/d/14S4TIfRErd2aBXG-2rcNoTqkQ6p8BGJ1ITnswlUhURs/edit?usp=sharing

2023 (S6), Chapitre 29 (n°237) : You’re just a kid

Mercredi 5 juillet 2023, Monaco

Si je te fais parler de l'amour, tu vas probablement me dire un sonnet. Mais tu n'as pas connu de femmes devant qui tu t'es senti vulnérable. Une femme qui t'ait étalé d'un simple regard. Comme si Dieu avait envoyé un ange sur Terre pour toi, pour t'arracher aux profondeurs de l'enfer. Mais tu ne sais pas ce que c'est que d'être son ange à elle. Et de savoir que l'amour que tu as pour elle est éternel, et survivra à tout, même au cancer. Et aux nuits passées assis dans une chambre d'hôpital pendant des mois, en lui tenant la main, parce que les médecins ont lu dans tes yeux que tu n'as pas l'intention de te plier aux heures de visite. Tu ignores ce que c'est que de perdre quelqu'un, parce que l'on ne connaît ça que quand on sait aimer plus que l'on ne s'aime soi-même. Je doute que tu aies jamais osé aimer à ce point.

Niki : Pourquoi est-ce que tu mets en pause ?
Karl : Quel as...
Niki : Robin Williams. Rien d’autre à dire.
Karl : J’ai la chair de poule…
Niki : J’ai envie de t’engueuler parce que t’as coupé en plein milieu d’une des meilleures scènes du film mais je ne peux pas t’en vouloir. Je ne crois pas.
Karl : ...
Niki : Un problème ?
Karl : Tu sais, l’autre jour j’ai rencontré une fille et, pour la première fois depuis la mort de Sophia, j’ai senti quelque chose.
Niki : Et qu’est-ce que tu as fait ?
Karl : Rien.
Niki : Comment ça, “rien” ?
Karl : J’ai ciré le bout de mes chaussures avec mes yeux et, quand je suis rentré chez moi, je me suis assis et j’ai chialé pendant une demi-heure.
Niki : Pourquoi ?
Karl : Aucune idée.
Niki : Et qu’est-ce que tu vas faire ?
Karl : Aucune idée.
Niki : Est-ce que je la connais ?
Karl : Non.
Niki : Est-ce que tu vas la revoir ?
Karl : Probablement.
Niki : Pourquoi ?
Karl : C’est la nouvelle employée à la banque.
Niki : Mon Dieu, tu as été chercher une fille de la Raiffeisen ! Je peux trouver son nom en dix minutes si tu me donnes le temps d’appeler mon père !
Karl : Niki, tu ne veux pas être sérieux, un peu…
Niki : Je porte tes couilles à ta place, dis-moi merci ! J’essaie de t'aider et de te montrer la marche à suivre.
Karl : You’re just a kid...You don’t have the faintest idea of what you’re talking about...

Jeudi 6 juillet 2023, Circuit Paul Ricard, Le Castellet
Alors que Karl m’accompagne dans le paddock français pour ce week-end, l’ambiance est pour le moins électrique chez Audi : en briefing de pré week-end, des gros clashs ont éclaté entre certains ingénieurs. Ca arrive rarement - encore plus quand ça a lieu avant même le début du week-end - mais, hier, ça a pété de partout. Quelque gars ont quitté la pièce furieux et il ne restait plus grand-monde autour de la table à la fin du briefing. Richard fait partie de ceux qui s’en sont allés en pleine réunion, frustré par “l’amateurisme évident” de certains collègues du département aéro, qui sont dans la tourmente après que l’introduction de notre nouveau diffuseur a été purement et simplement annulée. Alors que la majorité des équipes de pointe - sauf Renault et donc Audi - apportent de grosses améliorations pour ce Grand Prix, les gars ont tenté de justifier l’annulation de ce changement de diffuseur en disant que les performances en soufflerie se sont révélées catastrophiques, bien loin des simulations sur ordinateur qu’ils avaient réalisé. En gros, il y a un ou deux facteurs qui n’ont pas été pris en compte, qui modifient l’écoulement d’air et donc la stabilité de la voiture ou bien sa vitesse générale. On repart de zéro, ou plutôt de moins un, puisqu’on n’aura pas de nouveau diffuseur et que Red Bull, McLaren et Ferrari en tête de liste ont désormais un coup d’avance sur nous dans cette redoutable partie d’échecs.

Vendredi 7 juillet 2023, Circuit Paul Ricard, Le Castellet
“Your move, chief.”. J’ai délibérément voulu inclure cette phrase en version originale parce qu’elle m’a frappé ; en début de week-end, j’ai parlé cinéma avec Richard et je lui ai raconté que j'avais regardé Will Hunting avec Karl. A travers ces mots volés à Robin Williams, "Richie Mackie" m’a rappelé que je ne devais pas me lamenter sous prétexte qu’on encaisse un coup dans la course au développement. Peu importe son niveau, je dois amener cette voiture au plus haut possible et, sur ce point, ce bon vieux ingénieur écossais a raison : la balle est dans mon camp.
Cependant, pour ne rien arranger à nos problèmes, la voiture se révèle instable dans le troisième secteur, notamment dans le virage 12 qui se révèle cauchemardesque pour nous à cause du Mistral. En libres 1, les McLaren ont pris la poudre d’escampette et signé un une-deux avant que je ne vienne adoucir la facture en prenant le deuxième temps des libres 2, une performance un peu plus enthousiasmante que ma sixième place du matin. Néanmoins, les deux voitures semblent affectées par ces difficultés ce week-end et il ne faut pas espérer un doublé par quarante secondes d’avance dans un contexte pareil. Red Bull est bel et bien là, McLaren semble avoir la voiture numéro 1 du plateau, Renault est aussi redoutable que d’habitude et Ferrari semble pouvoir se mêler à la lutte. Retour à la case départ.

Samedi 8 juillet 2023, Circuit Paul Ricard, Le Castellet
En ce samedi matin, je suis de retour aux affaires et je ne parle pas d’être performant en piste. Dans la matinée, j’ai été coupé du monde pendant une heure, isolé dans mon motorhome pour ne faire fuiter aucune information à propos du dossier secret défense pour 2024. Andrea m’a appelé parce qu’il y a pas mal de problèmes ; ça bloque au stade des négociations et le conte de fées qui s’amorçait après ma rencontre avec Sergueï semble prendre une tournure quelque peu désagréable.

Bien loin de ces tracas, la piste a repris la parole en début d’après-midi pour la séance de qualifications. Sous un soleil de plomb, la Q1 a réservé une première surprise à l’habituel top 10 : Pierre Gasly, à la maison, a garé sa Renault dès les premières minutes pour un problème de puissance, laissant là échapper toute chance de bon résultat demain. C’est une place gratuite que je prend volontiers dans le contexte général du week-end.

Une fois arrivé en Q3, c’est Carlos Sainz qui est donc le grand bénéficiaire de cet incident, puisqu’il est l’heureux élu qui a le privilège de disputer la séance aux côtés des habituels cadors. Pour ma part, cette séance va faire mal au moral et j’en suis conscient : huitième en Q1 puis huitième en Q2, ce n’est pas ce à quoi je suis habitué depuis mars et, même si j’ai passé deux saisons à galérer à passer Q1 ou Q2, ça fait drôle de se retrouver à ce niveau quand on lutte pour gagner un championnat.
A l’issue du premier tour je suis sixième derrière les McLaren, les Red Bull et Vandoorne, juste devant Seb, néanmoins tout est bouleversé dans les dernières secondes de la séance. Je suis le dernier pilote en piste et, malgré un tour que j’estime correct, le résultat n’est pas à la portée de ce que je souhaite, puisqu’il s’agit uniquement du septième temps. Devançant Vandoorne mais battu par Vettel et Leclerc, je suis contraint de lâcher du lest et de l’admettre : c’est maintenant que je vais devoir montrer que je ne suis pas leader du championnat par hasard.

Grille de départ :
1 Russell (MCL) 2 Verstappen (RBR)
3 de Vries (MCL) 4 Ticktum (RBR)
5 Vettel (AUD) 6 Leclerc (FER)
7 Kofler (AUD) 8 Vandoorne (REN)
9 Ricciardo (FER) 10 Sainz (AMR)
11 Sette Câmara (WIL) 12 Zoranovic (AMR)
13 Ocon (SAU) 14 Ráfaga (SAU)
15 Pérez (HAA) 16 Bottas (WIL)
17 Maini (HAA) 18 Ghiotto (DAL)
19 Schumacher (DAL) 20 Zhou (CHR)
21 Günther (CHR) 22 Gasly (REN)

Niki : On dirait bien que c’est parti pour un week-end de merde…
Steven : Tout ça ne dépend que de ce que tu feras demain. Si tu pilotes comme une chèvre, effectivement, ça sera un week-end de merde. Par contre, si tu donnes tout et que tu fais le job, peut-être que tu pourras sauver quelque chose.
Niki : Je n’aime pas ça. On a commencé la saison comme des chefs et maintenant on va se faire bouffer comme des moins que rien. J’ai horreur de voir ça et d’être impuissant, à chaque fois que ça s’est produit les équipes concernées n’ont pas su rattraper le coup…
Steven : You’re just a kid…

gépalaref gros tas

Karl qui remonte vraiment la pente, ça fait plaisir J'ai pas pu profiter du couple parfait Karl-Sophia, donc j'espère que cette fille sera d'excellente facture (autant physiquement qu'au niveau de la personnalité), on veut pas d'une nouvelle meuf casse-couille dans cette story

Course insipide à venir, Niki P6, You're just a kid

Je prono la victoire de de Vries

Le 17 octobre 2019 à 17:34:34 Mouf67 a écrit :
gépalaref gros tas

Tu l'as forcément https://www.youtube.com/watch?v=ON6t__90dkI

Karl qui remonte vraiment la pente, ça fait plaisir J'ai pas pu profiter du couple parfait Karl-Sophia, donc j'espère que cette fille sera d'excellente facture (autant physiquement qu'au niveau de la personnalité), on veut pas d'une nouvelle meuf casse-couille dans cette story

Rien ne dit que la dame est dans sa poche

Rien ne dit que la dame est dans sa poche

Elle ou une autre, peu importe, on veut un Karl en couple avec une 8/10 physique et 10/10 personnalité Même si Sophia restera à jamais la meilleure femme dans sa vie

Sympa ce dialogue avec Karl.
Introduction de la banque, futurs problèmes judiciaires pour Niki ?

Niki : Je n’aime pas ça. On a commencé la saison comme des chefs et maintenant on va se faire bouffer comme des moins que rien. J’ai horreur de voir ça et d’être impuissant, à chaque fois que ça s’est produit les équipes concernées n’ont pas su rattraper le coup…

... Brawn ?

Le 17 octobre 2019 à 18:42:14 Barcelone97 a écrit :
Sympa ce dialogue avec Karl.
Introduction de la banque, futurs problèmes judiciaires pour Niki ?

Hein ?

Niki : Je n’aime pas ça. On a commencé la saison comme des chefs et maintenant on va se faire bouffer comme des moins que rien. J’ai horreur de voir ça et d’être impuissant, à chaque fois que ça s’est produit les équipes concernées n’ont pas su rattraper le coup…

... Brawn ?

D'où la réponse de Steven qui se fout de sa gueule.

Le 17 octobre 2019 à 18:47:16 Soeprapto a écrit :

Le 17 octobre 2019 à 18:42:14 Barcelone97 a écrit :
Sympa ce dialogue avec Karl.
Introduction de la banque, futurs problèmes judiciaires pour Niki ?

Hein ?

Niki : Je n’aime pas ça. On a commencé la saison comme des chefs et maintenant on va se faire bouffer comme des moins que rien. J’ai horreur de voir ça et d’être impuissant, à chaque fois que ça s’est produit les équipes concernées n’ont pas su rattraper le coup…

... Brawn ?

D'où la réponse de Steven qui se fout de sa gueule.

Ah ok.