Saison 6 : https://docs.google.com/document/d/14S4TIfRErd2aBXG-2rcNoTqkQ6p8BGJ1ITnswlUhURs/edit?usp=sharing

2023 (S6), Chapitre 45 (n°253) : Money time

La remise en question est nécessaire pour moi, alors que tout s’accélère depuis deux mois. D’abord prophète en Belgique, j’ai fait face à des désillusions consécutives et sur tous les fronts. A cause de cette saison, ma vie familiale est la maison de paille des Trois Petits Cochons et pourtant ma situation sportive est presque devenue précaire également. Sur les deux derniers Grand Prix, on dénombre trente-deux points concédés à Seb et douze à George : ce n’est pas bon. Pas bon du tout. 2023, pourtant placée sous le signe de la révélation, pourrait en fait être l’année de l’échec absolu…

Vendredi 20 octobre 2023, Circuit des Amériques, Elroy (TX)
Oublie tes états d’âme Niki, oublie tes états d’âme… C’est ce que je me suis martelé dans l’avion alors que j’entame les quatre semaines les plus importantes de ma vie. A l’aube de mon quart-de-centenaire, je dois donner un coup de collier dans ce putain de championnat pour ne pas me retrouver avec des regrets quand la saison sera finie. Dans le paddock, j’essaie d’être évasif au possible pour limiter les distractions inutiles et porter mon attention sur autre chose. Aujourd’hui en revanche, il faut prendre un moment pour s’informer des nouvelles du petit monde de la F1 car le plateau 2024 se remplit désormais à vitesse grand V. De Vries a finalement rempilé chez McLaren et le milieu de grille se remplit également : Vojislav a été confirmé chez Williams et le duo Ocon-Ráfaga a prolongé chez Sauber pour faire taire les rumeurs envoyant Arturo à mes côtés. Il n’y a plus que deux candidats crédibles pour faire équipe avec moi et tous deux sont des anciens de la maison : Gasly, pilote pendant deux ans pour Red Bull et qui cherche à maintenir sa carrière en vie après sa saison difficile où il a rapidement été en froid avec la direction de Renault, et Sette Câmara, passé par Toro Rosso jusqu’à la fin de l’existence de l’écurie. Ce volant représentant la dernière place parmi les top teams, Gasly fait tout son possible pour convaincre et semble en passe de griller la priorité au pauvre Sergio qui ne démériterait pas non plus.
En-dehors de mon équipier, il y a des incertitudes sur les pilotes Aston Martin, tandis que Williams, Haas et China ont encore un pilote à trouver puisque Zoranovic, Pérez et Zhou ont tous respectivement un contrat pour 2024. La plupart des doutes devraient être levés à la fin du week-end alors que deux gamins s’affrontent pour le titre de F2, un islandais et un gallois aux noms imprononçables.

De retour à la piste, le constat est frappant : Ferrari est sous stéroïdes et lutte pour les premières positions mais, surtout, le pack reste aussi compact qu’il ne l’était le vendredi à Suzuka. C’est quelque chose dont je me priverai bien d’un point de vue nerveux mais, au cas où je venais à l’emporter devant les deux Red Bull, les deux Renault et les deux Ferrari, je ne ferai pas la fine bouche...

Samedi 21 octobre 2023, Circuit des Amériques, Elroy (TX)
Il n’y a plus que trois courses à tenir. C’est difficile, c’est sûr, je suis à bout mentalement, mais il faut y aller car j’ai tout à perdre alors je dois mettre toutes les chances de mon côté pour perdre le moins possible. Même si cela me demande de puiser dans mes réserves mentales, je dois tout donner, jusqu’au bout, jusqu’à ce que ce championnat rende son verdict. Suzuka m’a mis un genou à terre, maintenant il en va de ma responsabilité de relever ce genou et - à la manière d’un Chuck Norris - de le mettre dans la gueule de mes deux adversaires. Les lignes droites de Mexico permettront de faire mal à GR mais, en attendant, les S d’Austin doivent frapper le moins fort possible et je dois m’assurer de triompher devant Sebastian.
Facilement déventées dans le dernier de ces virages, les Audi perdent du temps, alors il faut le récupérer ailleurs. Après une Q1 discrète, Q2 sonne le glas pour un Verstappen qui a immobilisé sa Red Bull en piste à la sortie du premier virage. Qualifié treizième, le batave laisse sa place dans le dernier tiers à celui qui pourrait être mon équipier l’an prochain : Sergio Sette Câmara.

Cinquième en Q2, c’est ma performance, mais il s’agit de la confirmer dans les douze dernières minutes : ça n’est pas gagné d’avance vu les écarts resserrés. Hormis Sergio, tout le monde est en mesure de signer cette foutue pole. Après un essai où je hisse ma numéro 8 au troisième rang, le second tour est l’essai où tout le monde va sortir son grand chrono, celui qui va décider l’ordre de la grille. A l’issue de cet essai, la facture est salée chez Audi ; sixième temps pour Sebastian, cinquième temps pour moi. Pas tout à fait ce qu’on avait imaginé. Je suis déçu, il n’y a pas vraiment d’autre mot ; la voiture n’est pas à son aise dans le secteur 1 mais ce n’est pas une raison suffisante pour expliquer mon incapacité à faire mieux. Le Japon m’a mis dans une mauvaise posture et ce n’est pas en signant des chronos à peine assez bons pour la cinquième place que je vais arranger la situation. Pour ne rien arranger à mes tracas, le poleman est un homme bien connu : George Russell.

Grille de départ :
1 Russell (MCL) 2 Ricciardo (FER)
3 Leclerc (FER) 4 Ticktum (RBR)
5 Kofler (AUD) 6 Vettel (AUD)
7 Vandoorne (REN) 8 de Vries (MCL)
9 Gasly (REN) 10 Sette Câmara (WIL)
11 Zoranovic (AMR) 12 Sainz (AMR)
13 Verstappen (RBR) 14 Bottas (WIL)
15 Ocon (SAU) 16 Ráfaga (SAU)
17 Maini (HAA) 18 Pérez (HAA)
19 Ghiotto (DAL) 20 Zhou (CHR)
21 Schumacher (DAL) 22 Gunther (CHR)

Première partie juste au-dessus

2023 (S6), Chapitre 46 (n°254) : Triumvirat

Dimanche 22 octobre 2023, Circuit des Amériques, Elroy (TX)
La diversion du matin émane du paddock de F2 où Nevil Wighels, le gallois, a remporté le championnat. Annoncé depuis plusieurs semaines chez Aston Martin, il a fini par être confirmé peu de temps après la course alors que Sigthorsson, son adversaire de l’année, semble bien parti pour décrocher un volant chez Haas ou Williams.
Revenons-en toutefois au vif du sujet : une fois que ces deux heures se seront écoulées, il ne restera que cinquante unités à prendre. On en parle peu mais, aujourd’hui, Audi a la possibilité de remporter sa première couronne constructeurs. La condition nécessaire est de marquer au moins vingt-trois points de plus que McLaren...Trop facile, hein ? Pas vrai ?
A vrai dire, je me moque de ce titre constructeur. Je suis un joueur d’équipe, c’est vrai, j’accorde de l’importance à la possibilité de voir mes collègues récompensés pour leur labeur mais, dans le contexte actuel, je ne suis pas certain qu’un trophée d'équipe suffise à mon bonheur. Personne n'a jamais félicité Barrichello pour ses six titres constructeurs, par exemple.

La nervosité est de mise dans le paddock car chaque point compte en F1 et, à trois courses de la fin, chaque point est même vital. C’est cette même nervosité qui va donner lieu à une image surréaliste : un drapeau rouge sur le COTA. Vous vous dites sûrement qu’il en a fallu une bonne pour mettre le tracé sens dessus dessous et c’est vrai ; deux incidents séparés et ça a tapé un peu de partout. Fort heureusement, aucun des trois prétendants au titre ne finit au tas même s’il s’en est fallu de peu pour que nos deux Audi ne franchissent pas le premier virage. Ticktum a pris son envol sur Leclerc et, derrière nous, Verstappen et de Vries se sont télescopés. Dans l’histoire, seules les deux Red Bull sont à pied alors que les mécanos Ferrari s’affairent pour remettre un aileron arrière sur la voiture de Charles. A la fin du premier tour, je suis troisième derrière Russell et Ricciardo, Seb est quatrième.

Concentré pendant l’interruption, je n’ai qu’une chose en tête : monter encore plus haut au second départ. C’est chose faite et avec brio alors que je prend les commandes après un envol fulgurant au deuxième départ.

Steven : Allez, c’est bien ça ! Continue comme ça !
Niki : Pas de distraction inutile, s’il te plaît.
Steven : Je t’écoute.
Niki : Informe-moi sur les écarts tous les quatre ou cinq tours, pas plus. J’ai besoin de toute ma concentration.
Steven : Bien reçu.

Moi, nerveux ? Un peu...Je ne saurai pas réellement expliquer ce départ mais, tout ce que je sais, c’est que j’ai réussi à détourner une situation défavorable en une situation hautement profitable. Je ne m’attarderai pas à dire “Si les choses restent en l’état” car, à l’heure actuelle, tout ce que j’ai à faire, c’est fermer ma gueule et piloter et c’est ce que je fais. Je suis à un stade où faire des comptes d’apothicaire relèverait d’une grande naïveté : tout ce que je dois faire, c’est gagner vingt-cinq points, c’est tout.

Ayant obtenu la meilleure place sur la grille, j’ai l’undercut sur Sebastian et cela pourrait avoir son importance dans cette course où les écarts peinent à se créer. Le groupe de six de tête est bien formé mais même Gasly, sixième, reste à portée de ma première place et, très honnêtement, ça ne fait qu’ajouter à ma nervosité. Je vous ai dit que j'étais nerveux aujourd'hui ? Je ne sais plus...

George est sur mes talons et ce bougre ne montre absolument aucun signe de faiblesse. Comme depuis trop longtemps déjà, GR est toujours là, au bon endroit au bon moment, et s’impose de plus en plus comme LA référence en matière de régularité. La course se déroule et ce qui devait arriver arriva : peu de temps avant les arrêts, Sebastian obtient la peau de DannyRic pour la troisième place et c’est l’heure du grand combat. Nous sommes les trois hommes de cette saison et aujourd’hui pourrait avoir lieu la grande explication, celle qui pourrait bien en assommer un ou en faire briller un autre. Il est important, dans de tels instants de ne pas baisser sa garde sous peine d’en payer le prix fort et, après les arrêts, nous assistons à un statu quo.

Après les arrêts aux stands, alors que nous sommes tous passés du composé tendre au medium, le trio de tête s'extrait ; il ne reste que deux courses après celle-ci et le type qui finira troisième aujourd'hui aura mal. Très mal. Parce qu'on ne parle pas uniquement d'un bonus ou d'un malus de dix points, on parle de confiance ; comme quand j'ai battu George aux Pays-Bas ou en Belgique, chaque lutte entre deux adversaires directs influe sur son état d'esprit. Je sais par exemple que mon dernier face-à-face avec Sebastian s'est terminé par une victoire de sa part à Monza et ça ne me réjouit pas. Je me dis que, parce qu'il m'a battu en Italie, je dois le battre aujourd'hui pour reprendre un ascendant psychologique. La F1 est faite de ces petits détails qui peuvent tout changer : les spectateurs verront le classement à l'issue de la course mais, ce que les spécialistes du paddock verront, c'est que le vainqueur du jour aura démontré une certaine classe et un certain talent que le deuxième n'avait pas réellement et que le troisième n'avait pas du tout.

Malheureusement et sans que je puisse trop l’expliquer, le grand cru va tourner au vinaigre de mon côté. Mon rythme en médiums sur la deuxième partie de course était certainement trop faible mais, en réalité, je ne sais pas si cela suffit à expliquer ma défaite : le troisième, aujourd'hui, c'est moi.
J’ai lutté ardemment, repoussant au moins cinq attaques de George et trois de Sebastian mais, à un moment, j’ai fini par céder. En franchissant la ligne, c’est la déception qui prime ; ce sont quinze points, c’est sûr, mais c’est moins que mes deux rivaux, qui continuent de m’en mettre dans la figure à deux manches du terme de la saison.

Classement final du Grand Prix :
1 Vettel (Audi)
2 Russell (McLaren)
3 Kofler (Audi)
4 Ricciardo (Ferrari)
5 Vandoorne (Renault)
6 Gasly (Renault)
7 Zoranovic (Aston Martin)
8 Sainz (Aston Martin)
9 de Vries (McLaren)
10 Sette Câmara (Williams)

Championnat pilotes Championnat constructeurs

Le podium est doublement amer pour moi ; à ma déception du résultat s’ajoute la joie de Seb qui, grâce à sa victoire - la troisième de rang - devient l’unique recordman du nombre de podiums en F1 avec 156, un de plus que Michael Schumacher. Avec un tel résultat, il prend ses distances avec moi et ça me met en délicatesse : je ne suis plus le leader dans ma propre équipe.
A peine descendu de la boite, je pars en furie vers mon motorhome, dévasté après cet échec. J’étais en tête et j’ai perdu des points d’une valeur inestimable, en plus d’avoir pris un gros coup en termes de confiance. Stefan m’a suivi tout du long et, quand je rentre dans mon motorhome, il est là pour assister à mon explosion. D’abord la tête entre mes mains, je finis par craquer.

Stefan : Pourquoi est-ce que tu pleures ?
Niki : J’ai la haine.
Stefan : Pourquoi ?
Niki : Parce que j’avais une seule tâche et que j’ai failli à cette tâche. Je ne mérite pas de piloter une des voitures les plus rapides au monde, je ne sais pas en faire bon usage. Je suis un désastre.
Stefan : Rien n’est perdu.
Niki : Tu sais aussi bien que moi que je n’ai plus aucune chance...Dix-neuf points en deux courses, ça n’arrivera pas. C'aurait pu s'il n'y en avait eu qu'un mais là il y en a deux, ça n'arrivera pas. Ils sont meilleurs que moi, c’est tout, c’est un fait. J’ai eu un trou d’air quand il ne fallait pas, maintenant c’est mort.
Stefan : Très bien, tu as raison. C’est foutu, on arrête tout. Rentre chez toi, enfile tes pantoufles et regarde la fin de la saison depuis ton canapé. Sérieusement, Niki, quel âge est-ce que tu as ?
Niki : Je suis suffisamment vieux pour être doté de raison et reconnaître que ça n’est plus possible.
Stefan : Niki...Tu rêves d’être tout en haut depuis que tu es gosse et tu en as l’opportunité...Elle est juste devant toi, il suffit que tu tendes le bras pour l’avoir mais tu prétends que c’est foutu, quel genre de mentalité est-ce que c’est ? Est-ce que tu as envie de baisser les armes comme un loser ? Est-ce que tu as réellement envie de rentrer chez toi et de te dire “Tant pis, je réessaierai plus tard” ?
Niki : Le mal est fait, de toute façon.
Stefan : Tu as tout plaqué pour mettre toutes tes chances de ton côté et tu es en train de me dire que ça n’a servi à rien...C’est ça que tu es en train de me dire, pas vrai ?
Niki : …
Stefan : Ta soeur est morte pour ce sport, Niki. Si tu baisses les bras, tu salis sa mémoire, comme tu salis celle de ton grand-père. Tu crois que c’est pour te voir baisser les bras qu'il t'a encouragé à faire du karting ? Tu crois que c’est pour ça que tu te martèles de toujours donner ton maximum pour faire honneur à ta soeur ? Tu crois vraiment que tu as le choix entre continuer et arrêter ? Ce n’est pas un échec qui doit te mettre à genoux, tu en as vu d’autres et tu en verras d’autres, certains seront même pires que celui-ci. Ce que tu as traversé pour en arriver là, il n’y en a pas un seul qui l’a traversé. A ta place, beaucoup de types auraient abandonné bien plus tôt parce que tu as été en enfer plusieurs fois, mais tu en es revenu plus fort à chaque fois. Alors ce n’est pas une petite déconvenue qui va te fusiller. Ce que tu vas faire, c’est que tu vas essuyer tes larmes, tu vas serrer les dents et la semaine prochaine tu vas leur montrer que tu n’es pas qu’une petite merde fragile. Si tu as cent pourcents à donner alors tu vas en donner cent dix et tu vas aller chercher ce titre.

Plateau 2024
Aston Martin : Wighels, ?
Audi : Verstappen, Vettel
China : Zhou, ?
Dallara : Ghiotto, Schumacher
Ferrari : Leclerc, Ricciardo
Haas : Pérez, ?
McLaren : de Vries, Russell
Red Bull : Kofler, ?
Renault : Ticktum, Vandoorne
Sauber : Ocon, Rafaga
Williams : Zoranovic, ?

Le retour de Niki Chokler au pire des moments Steven

Stefan m’a suivi tout du long et, quand je rentre dans mon motorhome, il est là pour assister à mon explosion. D’abord la tête entre mes mains, je finis par craquer.

Thibaut Pinot, sort de ce corps

La F2 qui se finit aux US, intéressant ce changement Sigthorsson qui se fait battre au dernier week-end, Nolan va te planquer avant que Papy ne débarque

2023 (S6), Chapitre 46 (n°254) : Triumvirat

Ce titre

Mais genre c'est ce qui ce gallois de medeux qui gagne contre Sigthorsson

C'EST INJUSTE VENGEANCE !

pourquoi tu fous le gallois chez Aston Martin c'est n'importe quoi, en fait tu fous 2 fois de suite une énorme douille a Sigthorsson

Évite de le mettre chez Haas je le prendrai mal, je préfère Williams à ces losers de Haas

personne :
absolument personne :
Papy : MAIS SIGTHORSSON HEU

(En réalité j'avais plutôt vu Sigthorsson qui coupait les liens avec Aston après la douille de 2022, ç'aurait été du candaulisme d'y rester, du coup j'ai développé la théorie d'une haine de Sven pour Aston )

Le 09 novembre 2019 à 20:20:28 Soeprapto a écrit :
personne :
absolument personne :
Papy : MAIS SIGTHORSSON HEU

(En réalité j'avais plutôt vu Sigthorsson qui coupait les liens avec Aston après la douille de 2022, ç'aurait été du candaulisme d'y rester, du coup j'ai développé la théorie d'une haine de Sven pour Aston )

C'est normal que je défende mon poulain

Du moment que tu le fous pas chez Haas

Il sera chez Haas C'est officiel ans réellement l'être

Stefan c'est la révélation.
George sera champion je pense, à moins que Niki ait le cul borde de nouilles sur les 2 prochaines courses.

Le 09 novembre 2019 à 20:50:44 Mouf67 a écrit :
Il sera chez Haas C'est officiel ans réellement l'être

Ce scandale

Le 09 novembre 2019 à 21:31:41 PapY_MoLoToV a écrit :

Le 09 novembre 2019 à 20:50:44 Mouf67 a écrit :
Il sera chez Haas C'est officiel ans réellement l'être

Ce scandale

Boah après tu sais, un nom ça se modifie rapidement, si jamais ça te plaît pas je peux le supprimer du casting

Le 09 novembre 2019 à 21:35:55 Soeprapto a écrit :

Le 09 novembre 2019 à 21:31:41 PapY_MoLoToV a écrit :

Le 09 novembre 2019 à 20:50:44 Mouf67 a écrit :
Il sera chez Haas C'est officiel ans réellement l'être

Ce scandale

Boah après tu sais, un nom ça se modifie rapidement, si jamais ça te plaît pas je peux le supprimer du casting

Nan c'est bon change rien

Mais voila ! MAIS C'ETAIT SUR EN FAIT ! C'ETAIT SUR !!!!

Je l'aurais tellement parié la victoire de Vettel au COTA... Bon par contre vite Russell champion parce que si c'est Niki mais bordel paye ton twist scénaristique digne d'Olive et Tom. Qu'il revienne fort l'année suivante avec l'équipe autrichienne et stop le caprice de starlette

Le 10 novembre 2019 à 21:25:59 [-Monarch-] a écrit :
Mais voila ! MAIS C'ETAIT SUR EN FAIT ! C'ETAIT SUR !!!!

NIQUE TA MERE NUMERICABLE, NIQUE TA MERE RIOT GAMES

Je l'aurais tellement parié la victoire de Vettel au COTA... Bon par contre vite Russell champion parce que si c'est Niki mais bordel paye ton twist scénaristique digne d'Olive et Tom. Qu'il revienne fort l'année suivante avec l'équipe autrichienne et stop le caprice de starlette

Olive et Tom wlh

Rendez-vous pour le GP du Mexique demain ; un seul épisode, posté vers 19h00/19h30.
La tension monte et l'étau se resserre sur Niki.

Le 10 novembre 2019 à 21:40:47 Soeprapto a écrit :

Olive et Tom wlh

Okay ça veut dire que ni Russell ni Vettel ne seront champion du monde cette année

Le 11 novembre 2019 à 09:17:11 [-Monarch-] a écrit :

Le 10 novembre 2019 à 21:40:47 Soeprapto a écrit :

Olive et Tom wlh

Okay ça veut dire que ni Russell ni Vettel ne seront champion du monde cette année

T'as vraiment cru que j'allais spoil deux mois de récit en un post ?

Le 11 novembre 2019 à 10:29:09 Soeprapto a écrit :

Le 11 novembre 2019 à 09:17:11 [-Monarch-] a écrit :

Le 10 novembre 2019 à 21:40:47 Soeprapto a écrit :

Olive et Tom wlh

Okay ça veut dire que ni Russell ni Vettel ne seront champion du monde cette année

T'as vraiment cru que j'allais spoil deux mois de récit en un post ?

Bah...

Devinette nouvelle page : que dit George Russell à Niki Kofler ?

Réponse : Allo Niki, trop facile avec l'Audi, t'aurais eu de la compétition si t'avais signé ici...A force de vouloir montrer ton zizi à Seby, je me suis faufilé en sneaky, maintenant pour me rattraper ça sent le roussi