ce que je voudrais c'est qu'Inamora crève et qu'ensuite on voyent Azael aux comande etc... comme dans le premier tome

Heu... Inamora est en train de devenir un peux tout ce que je déteste... j'espère qu'elle va vite changer.

Bonne suite!!

Suite caniche!

Linvo Je préfère Inamora psychopathe plutôt qu'Inamora complètement cruche et naïve comme elle était dans RdC (Ressurgit des Cendres ). Elle n'a pas à maltraiter Miria de cette façon, je te l'accorde, mais je peut t'assurer le plus sincèrement du monde qu'elle va être extrêmement punie pour cela.

Chapitre 123 : Les conseils d’un ami. -+

Dans sa cabane, elle tournait en rond.
Inamora tournait en rond.

Ne sachant que faire.

Ne sachant que dire.

Elle faisait les cent pas en espérant qu’on est besoin d’elle. Mais en période de calme, on se fichait bien du Général en Chef.
Son titre la ravissait néanmoins : « Inamora Djamonkin, Général en Chef de la glorieuse Armée du Soleil Rouge ».
A cette idée, elle sourit, et à l’idée d’être assise sur le trône impérial, son sourire se mua en un rire.
Un rire assuré, qui l’assuré que tout irait bien. Mais en période de guerre, rien ne va, elle le savait, et surtout, ils le savaient.
Les « ils », ou plutôt ses parents, savaient qu’en temps de guerre, il était inutile d’avoir de l’assurance, ou plutôt de l’arrogance. L’ennemi était peut-être plus intelligent que toi, il était plus fourbe ou plus rusé, voir plus fort.
Mais quand elle y pensait, Inamora pouvait se permettre d’avoir de l’assurance, elle faisait face à des Kamals, des bêtes sauvages, rien de plus. Et puis elle était Général en Chef, elle avait droit de vie ou de mort sur les autres.

A cette pensée vint s’ajouter l’image de Miria, mais d’un secouement de tête, elle chassa l’immonde idée qui venait de germer dans son esprit.

-Non, je ne suis pas comme ça, murmura-t-elle.

Et pourtant, elle voulait être comme ça, en ce moment, elle désirait avoir complètement ce droit. Mais elle n’avait qu’un poste éphémère, et l’Armée du Soleil Rouge s’éteindra quand Datsu reviendra, un jour.

-Il reviendra…son armée ne peut être mise en déroute…et puis…mon père et ma mère s’y trouve…alors…elle ne peut être mise en déroute.

Sa gorge se serra à l’idée qu’il puisse arriver malheur à cette armée, où se trouvait trop d’être cher, ses parents en premier, mais aussi son amant, ou plutôt son fiancé, et ses amis.
Inamora venait tout juste de s’inquiéter à leur sujet, elle chercha des excuses, mais la honte lui fit baisser les yeux, à l’idée même qu’elle n’est pas adresser une pensée à ses parents depuis des jours.
L’idée même de son mariage avec l’homme qu’elle aimait, Alrik, lui était complètement sortie de l’esprit, à cette constatation, elle s’effondra sur le sol, devant un feu de bois, offrant chaleur et lumière au modeste logis.

-Je devrais…peut-être faire les préparatifs pour mon mariage…mais…je n’ai pas envie…alors je pourrais adresser une petite prière aux Hists, papa m’a toujours encourager à le faire…mais je n’ai pas envie et puis leur racine ne porte pas aussi loin.

Sur l’instant, elle se sentit pathétique, honteuse et répugnante, voir détestable.
Elle était détestable.

Ses pensées étaient tournées vers la guerre, et l’obtention de plus de pouvoir, elle aimait ça, le Pouvoir.
En Tamriel, elle était une femme ordinaire, dotée simplement d’une grande beauté et d’une poitrine attirante, au dire d’un certain Nordique.
Mais maintenant, à l’intérieur d’elle, elle se sentait affreuse et pathétique. De plus, une petite voix dans sa tête lui murmurait qu’elle était immonde, et qu’elle ne méritait pas tout ce pouvoir, encore moins le trône de l’Empereur.

Pourquoi le désirait-elle tant d’ailleurs ?

Ces jours-ci, elle s’imaginait de plus en plus être couronner « Impératrice Inamora Ier ».
Elle s’imaginait vivre dans le luxe, l’amour et le pouvoir. Elle s’imaginait apporter la paix en Tamriel, elle s’imaginait devenir une femme crainte au règne long et prospère.

A l’idée même d’être appelée « Impératrice », elle sourit, mais on vint perturber ses rêveries.

-Inamora, j’ai à te parler.

Sélérana, dont la tête dépassait de l’encadrement de la porte d’entrée, esquissa une légère moue de supplication en croisant le regard de la jeune femme.

-Entre, ordonna celle-ci, d’un ton calme.

L’atronach de bois ne se fit pas attendre, et pénétra dans la demeure de la Rouquine, toujours assise face à son feu.

-Ecoute, j’ai beaucoup réfléchi ces derniers temps et on m’a beaucoup parlé de l’absence d’un certain Datsu.

-Oui, il s’agit du Général Suprême.

-Je pensai qu’il s’agissait de toi, s’étonna-t-elle en haussant un sourcil.

Inamora lui fit signe d’ignorer le sujet, ce que l’atronach fit.

-Bon, alors je pensai : si ce Général Suprême est absent, alors il faudrait envoyer quelqu’un le rechercher.

-Pas le temps, je mobilise mes shinobis pour qu’ils surveillent le terrain.

-Oh mais je ne parlai pas de tes espions, je parlai de moi.

La Rouquine refusa d’un explicite signe de tête.

-Non, j’ai besoin de toi, je ne peux pas produire des atronach’s de bois aussi bien que tu le fais, alors tu restes ici.

-Voyons Inamora ! Je me déplace très vite sous terre, je suis artificiel je te rappel, et j’ai réussi à te suivre du Mont Ryuchôdô jusqu’ici en quelques jours à peine ! Avec Raijin et Fujin en plus !

La Général découvrira légèrement ses dents dans une mimique bestiale, agressive.

-Et pourquoi tu tiens tant à retrouver Datsu ? Je suis sûr qu’il s’en sort.

-Avec autant de retard, non je ne crois pas, les guerriers de cette armée s’inquiète, et moi aussi.

-Tu es trop empathique Sélérana, et surtout trop paranoïaque, Datsu va bien, inutile de s’affoler.

-Mais…

-IL VA BIEN !

Le feu devant elle ondula avec plus d’agressivité, et les poings de la Rouquine s’illuminèrent comme deux torches. Sélérana, en voyant cela recula d’un pas.

-Inamora…tu vas bien ?

Suite petit poney!

Connard... se stratège et le pire des enfoirés... j'arrive pas a croire que je me met a détesté Ina et son enfoiré de stratège.

Ce type me semble suspect... Il comprends beaucoup trop bien le mode de pensée d'Inamora, les interrogations qu'elle se pose...

OPTIN ! SI CA SE TROUVE C'EST UN PUTAIN D'ADEPTE DE KAYKALAK INFILTRÉ ! Et il a infecté Inamora avec une drogue soigneusement saupoudrée sur son riz au curry ! Cette drogue aurait pour but de minimiser les sentiments positifs d'Inamora et d'augmenter les négatifs !

Et tout le monde sait qu'Ina avait peur pour sa vie, celle de ses proches et tout et tout avant la guerre, hors la peur mène à la paranoïa qui mène à la folie qui mène à la haine qui mène à l'isolement qui mène à la dépression.

Et Inamora dépressive = super bonne occasion pour l'attaquer !

Vous verrez j'ai raison.

Comme ta face

Suite

Chapitre 124 : Sombre horizon.

Senryaku avait raison, elle le savait, elle lui faisait confiance.

Il était étrange, mais foncièrement bon, il l’aidait, elle y gagnait à l’écouter.
Elle ne l’adorait pas et n’avait pas une foi total en lui, mais elle devait reconnaître qu’il lui avait été plus utile que gênant, voir vital dans certaine situation.
Depuis le début de leur voyage, il avait été à ses côtés, la conseillant ou lui disant franchement ce qu’il pensait. Elle n’avait pas l’impression qu’il la manipulait, et encore moins qu’il tentait de la renverser.

Au contraire, il réaffirmait son poste de Général en Chef, il lui faisait oublier Alrik, ses parents et le reste.

Pour une fois, elle avait l’impression d’être autre chose qu’une simple chasseuse d’Ehlnofey.

Pour une fois, elle se sentait réellement puissante.

Cela faisait trois jours que le camp était calme, que les Kamals n’avaient pas attaqué. Inamora suspectait une attaque par le sol, comme à Mikawa, alors les mages Tsaesci’s avaient appliqué, sous le camp, un immense sceau de détection magique.
Mais elle n’était toujours pas rassuré, au vue des rapports de l’ancienne armée sous les ordres de Miria, l’attaque pourrait tout aussi bien venir du ciel. Malheureusement, pour que le sceau de détection soit applicable, il fallait qu’il soit placé sur une surface solide, donc impossible à placer au-dessus du camp.

Les rations commençaient à manquer, selon les calculs de Senryaku, ils ont encore une semaine de vivres, pour l’ensemble des samouraïs, alors elle avait donné l’ordre de rationner la nourriture, ainsi que l’eau, car aucune rivière ne se trouvait dans cette plaine gelé sans vie.
Pour la première fois depuis sa nomination, elle désirait l’arrivée de Datsu, et de ses ressources.

Une sorte de manque s’installa en elle, au fur et à mesure que cette journée de paix passée, Inamora regrettait le talent de son père en matière de gestion à grande échelle, et les parties d’échec qu’elle et sa mère pratiquaient qu’en l’ennuie les frappée.
Elle essayait de penser le plus souvent à ses parents, ainsi qu’à son fiancé, qu’elle oubliait le plus.
Pour se donner bonne conscience, elle imagina et réalisa plusieurs croquis de robe de mariage, plusieurs esquisses de bijoux qu’elle pourrait commander auprès du bijoutier de Salumburg, dont elle fréquentait beaucoup la boutique.

À chaque fois qu’elle s’imaginait devant l’autel de Mara, lors de son mariage, ses pensées dérivaient sur un couronnement impérial, et la proclamation du règne de l’impératrice Inamora Ier.
Elle se voyait bien impératrice, il était clair pour elle qu’elle en avait l’étoffe, avec un peu d’entraînement, bien sûr, elle ferait une parfaite impératrice : juste, droite, autoritaire et adulée.

Mais quand elle finissait enfin le croquis d’une robe de balle à dentelles, elle sentit une présence derrière elle. Feignant l’inconscience, elle posa son crayon sur la table basse derrière laquelle elle était assise, puis posa lentement la main au sol.
D’un bond, aidée par sa main, elle sauta sur le côté et évita de peu la lame de katana tentant de l’assassiner.
La jeune femme se releva rapidement, mais à peine était-elle debout qu’un puissant coup portait avec le tranchant de la main vers ses yeux l’aveugla et la paralysa sous la douleur.
Un hurlement déchirant s’échappa d’entre ses lèvres, elle tint son visage, les mains crispées de douleur, une voix lui parvint.

-Tais-toi sale putain, grommela une voix masculine qu’elle ne connaissait pas.

On lui asséna un coup de pied dans le ventre, elle tomba sur le flanc, son corps entier tremblait frénétiquement. Un deuxième coup de pied lui fut asséner, puis un autre, et encore un autre, visiblement, son agresseur tentait de la faire taire en lui coupant la respiration, et il avait réussi.
Un doigt écailleux lui caressa la joue, puis une main lui saisit sa chevelure rougeâtre, pour lui relever la tête, en tirant le plus possible. De nouveau, elle cria de douleur, toujours aveugle et vulnérable.

-Mais fermes là !

Son cou fut enserré, sa respiration coupée, son corps entier se tendit à l’extrême, le manque d’air provoquant chez elle de cruels soubresauts.

-Pitié, gémit-elle entre deux halètements.

-Tais-toi.

Elle entendit le tintement d’une lame, toujours aveuglée par le coup, Inamora sentit la froide lame de cet assassin contre son dos.

-Ce ne sera pas long, murmura-t-il.

Elle se mise à pleurer, résistant sous la douleur, la jeune femme se débattit furieusement, ce qui surprit l’assassin et lui fit lâcher prise.
Lourdement, Inamora tomba au sol, puis rampa dans une direction quelconque, qu’elle ne voyait pas. L’agresseur ricana, le plancher de bois de la maisonnette de la Rouquine grinça au fur et à mesure que les pieds de l’inconnu le touchaient, il se rapprochait, pas à pas, tel un prédateur.

Inamora était en état de peur panique.

-A L’AIDE ! A…

La main écailleuse de l’assassin lui couvrit la bouche, l’empêchant de crier, brutalement, il lui plaqua le visage contre le sol, puis lui fit une clé de bras pour l’immobiliser.
La Rouquine était à la merci de la Mort, et l’envie d’utiliser le Jukai Kôtan la démangeait, mais elle ne pouvait pas : sans contact visuel, elle ne pouvait définir exactement où serait créer tel ou tel tentacule, et elle pouvait très bien être transpercé par son propre épieu en essayant de tuer son assassin.

Chouette

A quand arrive mon homme-serpent?

Hum... j'attend toujours quelque chose...

Ceci dit, bonne suite.

Christo : Il viendra, ne t'en fais pas, il viendra

MAIS QUAAAAAAAAANNNNNNNDDDDD?

Sweet !