on m'annonce dans l'oreillette la disparition du territoire des Nagaoka , d'après ce qu'on m'a dit cela résulte d'une explosion....nucléaire

nice chap'

J'exige la suite à peu près immédiatement.

• installe son hamac pour attendre la suite*

Chapitre 40 : Semblable à la colère d’un Dieu.

Un déchainement sans pareille s’empara de la jeune femme qui s’enveloppa d’un voile de feu rouge, alors que sa main se levait vers un Samouraï. Une petite sphère de Baune-Molag apparut et fusa à la vitesse d’une flèche vers le crâne du Tsaesci qui en eut le crâne explosé sous la vitesse de la balle ardente.

-INAMORA !!! Hurla Elisabeth

La Brétonne était très amaigri et son visage était sale et terne, légèrement plus blanc qu’avant et de vilaines cernes étaient apparut sous les yeux de la Mère.
Rumélia était quasiment dans le même état qu’elle sauf qu’elle était encore plus mince et décharner qu’Elisabeth qui s’empressa, à la vu de sa fille totalement déchaîner, de se cacher derrière une colonne en évitant les boules de feu qu’Inamora faisait pleuvoir sur les Samouraïs tentant de l’arrêter et les politiciens prenant leur jambes à leur cou.

-Une Humaine !! Hurla un politicien

-Arrêtez-la !!

Inamora abattit sans pitié les politiciens ainsi que les Samouraïs arrivant en masse dans le salon, mais quand son regard croisa celui de Kintaro, qui était toujours assit sur sa queue, la jeune femme leva ses deux mains vers lui, doigt tendus, et déchaina sur le Tsaesci un puissant jet de Baune-Molag.

-MEURS !!! MEURS SALE CHIEN !!! Hurla Inamora en pleine frénésie

Une onde de choc la percuta de plein fouet et Inamora fit un vol plané dans la salle pour s’écraser contre une colonne, elle cracha du sang sous le choc et ouvrit difficilement les yeux, le souffle coupé et son dos lui faisant un mal de chien.

Kintaro se tenait debout, bras tendu vers elle, et la jeune femme remarqua que dans sa paume il y avait une sorte de trou qui se referma lentement.

-Tuez-là !! Hurla Kintaro ensuite

Il s’enfuit en saisissant Asuka par le bras, Inamora, toujours contre la colonne, vit arrivée une flopée de Samouraïs qui lui sautèrent dessus, armes au poing et rugissant de rage.
Mais en un tour de main, Miria les repoussa d’un tranchage horizontal au sabre et s’interposa entre les guerriers et Inamora.

-Ina !! Relève-toi !!

-POUSSE-TOI OU MEURS !!!

Les yeux de Miria s’écarquillèrent, à temps elle esquiva les deux jets de Baune-Molag qu’Inamora faisait pleuvoir sur les guerriers qui furent incinéré en poussant des cris atroces. Sauf que la folie meurtrière d’Inamora n’en fut que plus excité et sans attendre elle plaqua ses deux mains sur le sol.

Des flammes rouges se répandirent rapidement dans la pièce si bien que bientôt le feu recouvrit la moitié de la sale.

-Inamora ! Arrête !

Elisabeth abaissa les bras de sa fille, s’apprêtant à détruire les derniers Samouraïs encore vivant et agonissant à terre.
Au milieu des flammes, Mère et Fille se regardèrent pendant de longue secondes, comme si elles s’étaient quittées depuis des siècles et qu’elles se revoyaient par un heureux hasard.

-Maman. Lâcha Inamora, les larmes aux yeux

-Ma fille.

Elles se prirent dans leurs bras en pleurant, le cœur lourd et heureux.

-Ma fille ! Tu es en vie ! Hurla Elisabeth, folle de joie

-Maman ! Je suis si heureuse de te revoir ! Que ces chiens meurent tous !

Inamora se retourna et incendia un Samouraï agonissant.

-Je vais leur faire payer ! S’exclama-t-elle

-Inamora ! Nous devons aller sauver ton Père et les autres, ils sont tous retenu dans une espèce de prison sous ce palais !

Un déclic eut lieu dans l’esprit de Miria car celle-ci s’immobilisa un instant et attrapa le bras d’Inamora pour attirer son attention.

-Je sais où c’est ! Suivez-moi ! Hurla la jeune fille

-IL RAPPLIQUE !! Hurla Rumélia

Inamora et Miria tournèrent la tête vers une quinzaine de Samouraïs entrant dans le salon en feu, et brandirent leur Naginata vers le petit groupe de femmes.

-VOUS ALLEZ MOURIR BANDE DE CHIENNES ! Hurla un Samouraï

Miria et Inamora échangèrent un regard et la jeune femme écarta sa Mère ainsi que Rumélia, pourtant prête, semble-t-il, à se battre.

-Reculez-vous deux. Lâcha gentiment Miria

La Shinobi fonça en premier sur le groupe, et s’écarta suffisamment pour qu’Inamora abatte une colonne de Baune-Molag sur les Samouraïs, la Magicienne fonça ensuite dans le tas alors que Miria combattait furieusement les Samouraïs.
La Rouquine invoqua une épée de feu puis s’en servit pour décapiter un Tsaesci essayant de l’embrocher avec sa lance, Inamora tournoya ensuite sur elle-même et déclencha ainsi une petite tornade de flamme qui chassèrent les Samouraïs à l’extérieur du salon, laissant le champ libre à Elisabeth et Rumélia qui sortirent du salon, dont le plafond s’effondra à cause du Baune-Molag rongeant les colonnes.

-Par ici ! Prévint Miria en abattant le dernier Samouraï

Les quatre femmes coururent en direction d’une aile lugubre du palais, et empruntèrent un escalier les menant dans devant une porte de fer blindé et légèrement atteinte par la rouille.

-Merde ! La porte est bloquée ! Pourtant la dernière fois elle était ouverte. S’exclama Miria, rageuse

-Reculez !

Inamora posa ses mains sur les deux joints de la porte et fit rougeoyer ses paumes.

-Elles sont descendu par là ! Cria un guerrier

-Dépêche-toi Inamora ! S’exclama Elisabeth, l’air paniquée

-J’y suis presque !

L’acier des joints sous les paumes d’Inamora devint rouge et fondu légèrement, jusqu'à ce qu’Inamora insuffle du Baune-Molag faisant fondre beaucoup plus rapidement le métal. La Magicienne recula ensuite et pulvérisa la porte affaiblit avec une puissante boule de feu, la porte fit un vol planer dans la pièce, ou plutôt le couloir lugubre et glauque de ce qui sembler être une prison, et les quatre fuyards s’engouffrèrent à l’intérieur.

-Il faut descendre ! Averti Miria

Elles empruntèrent un escalier alors que les Samouraïs de Kintaro les poursuivaient, rugissant et agitant leur katana ou leur Naginata.
Les quatre comparses descendirent un autre étage et se retrouvèrent dans le dernier étage sous la surface de la prison, Rumélia repéra rapidement la cellule qu’elle occupa pendant de longues semaines et Miria se chargea de fermer la porte blindé de cette section de la prison.

Quand la porte fut scellée, la jeune fille rejoignit le groupe qui regardait une cellule vide.

-C’est là. Indiqua Elisabeth en désignant la cellule, vide

-Papa ! Hurla Inamora

-Ah !

Ce cri, Inamora le reconnut comme être celui de Yashakenne.

-Ou vous êtes ! Demanda brutalement la voix rauque et malade de Calaranil

-Je suis là ! Avertie Elisabeth

-Eli…sabeth. Fit une voix faible

Inamora en eut la gorge nouée en reconnaissant la voix de son Père, à peine audible et tremblante. Précipitamment la jeune femme tendit la main vers l’espace entre les barreaux de la cellule vide et sa main s’enfonça dans une « image », comme si elle plongeait la main dans de l’eau.

-Un sort d’illusion. Fit elle en sortant sa main de « l’image »

-Oui…ils ne vous voient pas de l’autre côté parce que l’illusion s’applique aussi de l’autre côté. Lança Elisabeth

Inamora hocha la tête et déglutit, puis brandit ses mains vers la cellule en ce concentrant.

-Que fais-tu ? Demanda Miria

-Je vais tenter d’annuler le sort d’illusion.

Deux sphères de magie bleutée/jaunâtre apparurent dans les paumes dans la jeune femme, qui ferma les yeux en ce concentrant.

Les Samouraïs vinrent bientôt frapper contre la porte blindée, ce qui déconcentra légèrement Inamora, mais la magicienne se concentra de nouveau et fit voleter les sphères de magie jusque vers l’illusion qui crépita au contacte des sphères.

-Encore un peux…

L’illusion clignota, et elles purent entrapercevoir le contenu de la vraie cellule…

-Ina…

-J’y suis presque.

Les sphères de magie augmentèrent de volume et l’image illusoire s’évanouit doucement, révélant un tableau infligeant pitié et tristesse à celui qui le voyait.

La cellule, qui était d’une taille assez imposante comparer à l’image illusoire, était jonchée des corps faible et sale de l’Unité de Salumburg et d’une quinzaine des marins de Memna. Ses braves hommes et femmes, autrefois en bonne santé et propre, pour certain, avait ici la peau sale et le regard fatigué ainsi que des tremblements au niveau des extrémités.

Inamora écarquilla les yeux et posa ses yeux sur Calaranil et Yashakenne, eux aussi en piteux état et serrait l’un contre l’autre.

-Ina…mora. Lâcha faiblement Yashakenne, le teint pâle et la peau sale

-Que mes ancêtres soient louées. Soupira Calaranil

Une cicatrice barrait maintenant la joue droite de l’Altmer et une autre sur sa tempe, ainsi qu’une multitude sur son corps, recouvert de vêtements en lambeaux.

Inamora posa ensuite les yeux sur Memna, la fière Rougegarde, qui tremblait comme une feuille morte dans un coin de la cellule et qui toussait de temps en temps. Inamora balaya ensuite son regard sur la cellule et baissa les yeux avant de serrer sa Mère dans ses bras.

-Je suis désolé. Sanglota-t-elle

-Chut…ce n’est pas ta faute, nous n’aurions pas dû nous enfoncer dans cette maudite forêt mais ton Père…

-Papa !

Inamora se retourna brusquement vers la cellule et chercha un Argonien, mais son regard s’arrêta sur Sheera’Shei. Celle-ci avait les écailles beaucoup plus sombres qu’autrefois, et ses yeux étaient injecter de sang tendit que ses pupilles étaient beaucoup plus petite qu’autrefois, si bien qu’elle avait un air assez monstrueux, de plus, elle était immobile et assise dans un coin.

-Sheera’Shei ! Appela Inamora

L’Argonienne ne répondit pas, et Elisabeth posa sa main sur l’épaule de sa fille.

-Inamora…ton Père est dans le même état.

La Brétonne indiqua un coin de la cellule où était couché le corps immobile d’un Argonien, qu’Inamora reconnut même s’il était de dos.

-Papa !

Le Père ne répondit rien.

-Papa ! C’est moi ! Inamora !

Aucune réponse, toujours, cela en devenait insupportable.

-Papa ! Je suis là ! C’est fini ! Je suis là ! Hurla Inamora, la voix remplis de désespoir et les yeux plein de larme

Le corps de l’Argonien resta immobile, une immobilité parfaite et insupportable à voir pour la jeune femme qui se retourna en enfouissant sa tête dans ses mains. Elisabeth la réconforta alors que des larmes envahissaient rapidement les yeux verts de la Brétonne.

-Ina…mora ?

Mère et fille écarquillèrent les yeux et regardèrent le Héro de Bordeciel se redressait difficilement sur ses coudes, le corps parcourut se spasmes et de courbatures. Le Père, dont les écailles étaient devenu sombre, lui donnant une peau brun-foncé et le beau plumage rouge sur son crâne avait lui aussi pâlie, perdant de son éclat.

Azaelle faisait pitié, autant par son état squelettique que par les énorme cernes sous ses yeux et ses yeux fatigué et injecter de sang.

-Papa ! S’exclama Inamora

-Inamora…je ne rêve pas. Lâcha Azaelle en plissant le regard

-Oui c’est moi ! Et Maman est là aussi !

Les yeux de l’Argonien s’écarquillèrent et, pousser par une montée d’adrénaline, Azaelle se leva l’air pataud et marcha péniblement vers les barreaux de la cellule où il s’effondra contre le métal des barreaux.

-Ma fille ! Que les Hists soient louées ! Ma fille est là ! S’exclama Azaelle, des larmes de joies aux yeux

Inamora ne tarda pas à faire fondre le verrou de la cellule et à entré dedans, elle sauta ensuite au cou de son Père qui la serra fort dans ses bras en ayant une quinte de toux.

-Doucement Ina…mora, je suis si heureux te de revoir ! S’exclama Azaelle

-Moi aussi !

-OUVREZ LA PORTE ! Hurla la voix rageuse d’un Samouraï

Azaelle tourna fébrilement la tête vers la porte puis posa son regard sur les autres rescapés.

-Encore un effort vous autres ! Nous serons bientôt en lieu sûr !

Que dire d'autre a part... LA SUITE, C'EST PRESQUE CRIMINEL QUE LE CHAPITRE S’ARRÊTE LA!!!!!

+ 555 LINVO !

Je veux la suite maintenant ! J'exige l'explosion totale de ce palais de merde !

Allez Iso, poste la suite pour me remonter le moral...

Je le ferais Vanille

(Habile utilisation de situation tient... )

-Kintaro est assez stupide pour m’avoir parlé d’une cachette en haut de la bâtisse, alors nous irons chercher la-bas.

Miria ricana puis hocha la tête, Inamora tourna ensuite son regard vers son Père.

-Va rejoindre les autres Papa, il devrait ressortir du côté d’un lac non loin d’ici, le palais est percher sur une colline alors tu n’auras qu’à suivre les remparts du côté du jardin.

-Inamora ! Je t’accompagne.

-Hors de question Papa ! Tu es bien trop faible pour affronter les Samouraïs qui nous barrerons la route ! Jusque là nous n’affrontions que du menu fretins mais plus nous monterons les étages plus je suis sûr que Kintaro aura posté ses troupes d’élites.

Azaelle allait répliquer mais Miria posa sa main sur son épaule, le stoppant ainsi.

-Elle à raison…Azaelle…n’oublis pas qu’Elisabeth serait furieuse contre vous si jamais vous mourrez.

-Tu connais déjà bien Elisabeth toi…en effet, je…suivrais les ordres de ma fille…mais n’espère pas pouvoir de commander à nouveau tu as compris Inamora !

-Oui Papa.

L’Argonien ricana puis suivit les instructions d’Inamora attentivement avant de courir en direction des jardins, Memna et Ra’Shavir le suivirent ensuite et il ne resta plus qu’Alrik, Miria et Inamora.

-Montons donc à l’étage faire un petit coucou à ce connard. Pesta Alrik en faisant craquer ses phalanges

-Tu as raison.

Ils s’élancèrent dans la cage d’escalier de la tour, gravirent les étages et quand ils furent au sixième étage, une grande pièce vide et poussiéreuse, un cortège de Samouraïs Tsupea en armure rouge et arborant des masques adaptés à leur museau reptilien.

L’un d’eux, armait d’un long No-Dachi, le katana-espadon des Tsaesci, planta la lame de son katana géant dans le sol et pointa du doigt les trois comparses avec sa deuxième main droite.

-Vous là, Kintaro-dono vous laisse la vie sauve si vous quittez ces lieux. Grommela le Samouraï

-Nous ne risquons pas de lui obéir. Pesta Miria en avançant

-Vous ne comprenez pas ?! L’affaire qui va suivre dans peux de temps vous dépasse complètement ! Acceptez l’offre de Kintaro-dono pour votre bien mais aussi pour le bien de votre âme.

Ils froncèrent les sourcils, mais Alrik ne se démonta pas et suivit Miria marchant d’un pas calme vers les Samouraïs, au nombre de dix.

-Nous ne risquons rien avec ce foutu débile. Fit Miria

-COMME VOUS VOUDREZ ! VOUS MOURREZ DE TOUTE FACON ALORS ABREGEONS VOS SOUFFRANCES !

D’une rapidité surprenante le Samouraï s’élança vers Miria et tenta de lui trancher la tête, sauf que la jeune fille esquiva en se baissant et laissa le champ libre à Alrik qui décrocha un puissant directe du droit dans le museau de l’Homme-Serpent qui en eut le museau fracturé, compte tenu du bruit immonde d’os brisé.

Sans attendre Inamora leva les bras et incinéra deux Samouraïs serpentant vivement jusqu'à Alrik et Miria, puis ils s’élancèrent, d’un même geste, à l’assaut des Samouraïs qui foncèrent eux aussi.

Alrik et Miria combattaient brutalement les Tsaescis alors qu’Inamora restait en retrait, brûlant les assaillants et donnant l’avantage à ses compagnons d’armes.

Sauf qu’une queue de serpent lui fouetta le flanc, arrachant à la jeune femme un cri de douleur avant qu’un autre coup ne la mette à genoux devant le chef des Samouraïs.

-Vous combattez toujours alors que nous vous mettons en garde ! S’exclama le Samouraï en levant son katana

Inamora bondit en avant et percuta le ventre du Samouraï avec son épaule avant de lui enfoncer son poing dans le torse, une explosion de flamme s’en suivit, déstabilisant le Samouraï, et la Rouquine asséna un puissant coup de pied dans le museau du guerrier qui tomba sur le dos.

La Magicienne invoqua ensuite une épée empreint de flamme mais le poing du Tsaesci rencontra brutalement sa joue et lui fit faire un petit vol plané, la jeune femme atterrit douloureusement sur le ventre mais fit un tonneau pour esquiver les coups de katana du guerrier complètement déchainer.

-Meurs ici ou là-bas ! Hurla l’Homme-Serpent à pleins poumons

-Je meurs quand je veux !

Inamora se releva et esquiva les coups d’épée avant de porter un coup transversale avec l’épée qu’elle eut de nouveau invoqué, elle enchaîna ensuite une série de coups brutaux et habile avant de tenter un coup d’estoc qui fut paré habilement par le Samouraï.
Une épreuve de force s’engagea entre elle et le Tsaesci, mais, étrangement, le Tsaesci n’utilisa pas toute sa puissance musculaire pour venir à bout de la jeune femme, il se contenta simplement de tenir en respect la Magicienne forçant comme un âne.

-Humaine, vous tenez tant que ça à mourir pour crever quelque temps plus tard ? Demanda l’Homme-Serpent

-Va chier ! Je meurs quand je veux !

Un petit sourire aiguaya le visage ferme et reptilien du Samouraï, puis son sourire se mua en une grimace de dégoût.

-Vous êtes étrange, soit…vous mourrez ici que vous le vouliez ou non !

-MIGUY !

L’Insecte, invoquer depuis peu, sauta à la gorge du Tsaesci et lui sectionna la tête d’un coup de mâchoire avant de recouvrir son corps de poison-huile.

-C’est bien Miguy. Ricana Inamora, à bout de souffle

Elle essuya la sueur sur son front et regarda sa main, dont la peau était légèrement plus blanche qu’avant.

-<< Je suis presque à court de magie moi… >> Pensa elle

D’un mouvement lent elle serra son poing et leva la tête vers Miria et Alrik, abattant le dernier Samouraï encore debout.

-Continuons ! S’exclama Miria en s’élançant vers les escaliers

-Tu ne le tueras pas Miria ! Je le ferrais ! S’exclama aussitôt Alrik en la suivant

Inamora les rejoignit, et quand ils eurent monté les derniers étages, deux plus précisément, ils débouchèrent sur le toit de la tour dominant toute la ville nimbée de flamme et de cris.

-Par les Hists ! La ville brûle ! S’exclama Inamora

-Elle brûle parce qu’il le veut…

Cette voix leur donna un léger frisson, leur tête se tournèrent ensuite vers une masse voûtait au bord du toit, le vide tout proche. La forme tremblotait et était prise de spasmes musculaires écœurant, mais le pire fut la peau semblable à de la terre sécher et craqueler.

-J’ai tenté de lutter…j’ai tenté…mais son pouvoir est réelle…j’ai froid et horriblement peur…j’ai peur Kaguya…j’ai peur…

Inamora déglutit, puis posa un pied en arrière pour reculer mais la forme tourna lentement la tête vers les trois comparses qui furent prit d’une mine dégoûté.

-Un Adepte…merde. Siffla Alrik entre ses dents

-Par les Hists.

-L’Approbateur me refait l’honneur de sa présence ?

Ils levèrent brusquement et en même temps vers l’être flottant dans le ciel tel un ange, un ange de la mort…
Leurs yeux s’écarquillèrent quand l’immense être, haut de deux mètre quatre-vingt dix et arborant une carrure imposante et muscler, se posa sur le toit avec la douceur d’un pétale de rose tombant sur l’eau.

Inamora serra les poings, et foudroya du regard la proie qu’elle était censé chasser.

-Kaykalak…

Suite !

• trucide Iso dans les pires souffrances pour s'être arrêté là*

• le ressuscite pour qu'il écrive la suite*

LA SUITE ! Illico presto expresso !

C'est une fin très surprenante qui peux mériter punition sans la suite!!

Tres bon chapitre!!

J'était invisible mais maintenant je réapparais !

Maintenant c'est la suite ou pore que la mort

Chapitre 42 : Une proie ou un chasseur ?

Les dominants de toute sa splendeur antique, ses yeux leur jetant un regard à la fois amusé et dédaigneux, Kaykalak afficha l’un de ces sourires malsain et machiavélique.

-Vous avez donc découvert ma stèle divinatrice ? Comme cela m’attriste et m’amuse, vous…petites choses putride et ignorante. Ricana Kaykalak en croisant les bras

-Ah ! Je savais bien que nous finirions par te retrouver ! Maintenant meurs et libère le Nirn de ton ombre malfaisante ! Hurla Inamora

Celle-ci tendit brusquement ses mains vers l’Ehlnofey et envoya vers lui deux volumineuses boules de Baune-Molag qui se heurtèrent à une sorte de barrière magique invisible enveloppant le Dieu déchu, le feu liquide fut ensuite littéralement aspiré par la barrière et un nouveau ricanement malsain émana de la bouche de l’Ehlnofey.

-Je dois reconnaitre que tu es plus puissante que la dernière fois, ton feu, pareille à de la lave, est encore plus féroce et dangereux qu’il y a six ans mais…

La masse derrière Kaykalak s’avança quelque peut et leva son immonde tête vers les trois comparses.

-Vous…allez…tous…mourir. Haleta la masse

-Mes Adeptes le sont aussi.

En un éclair la masse bondit sur les trois compagnons d’armes qui esquivèrent de peu l’attaque et reculèrent chacun pour être hors de porté d’un trois tentacules fouettant l’air devant eux, la masse émit ensuite un cri de douleur et son « corps » gonfla comme une bulle de savon avant de dégonfler subitement et instantanément.

-Je m’en doutais…c’est Kintaro. Grommela Miria en montant sa garde

Le Noble Nagaoka, autrefois normalement constituer physiologiquement, était maintenant affubler de trois tentacules sortant de son dos, deux au niveau des omoplates et une dans le milieu du dos, ainsi que d’une deuxième paire d’yeux et une queue de serpent à sonnette.

Il se tenait droit, la tête haute et une main sur le manche des quatre katana en os pendant à sa ceinture, le torse du Tsaesci était bardé de point de suture et un insigne, gravait à même la chair du pectoral droit, représentait une main à six doigts.

Kaykalak s’approcha du Tsaesci et tapota le crâne du nouvel Adepte, complètement stoïque et immobile.

-Voici la nouvelle version de ces serpents, une version plus rapide, précise et brutal qu’elle ne l’est déjà…la parfaite machine à tuer en somme. Ricana Kaykalak

-Espèce de monstre…déformer ainsi la Nature est un acte impardonnable ! S’exclama Inamora

-La Nature ? Héhé…ce terme est étranger à ces serpents, ils ne sont ni plus ni moins que des…

Brusquement Miria s’élança et porta un coup d’estoc vers le crâne de Kintaro, qui para l’attaque en dégainant de moitié un katana d’os.

-Bordel…il est fort. Siffla Miria en forçant sur son arme

Kintaro dégaina brusquement deux katanas et porta coups venant chacun de la droite et de la gauche, ayant pour but de trancher en deux la jeune fille, sauf que celle-ci recula et esquiva de ce fait l’attaque de l’Adepte qui rengaina ses épées, le visage inexpressif et les yeux vide de vie.

-Raah ! Sale chien de Kintaro…tu es bien plus habile au katana que je le croyais.

L’Adepte pencha la tête sur le côté.

-Kin…ta…ro ? Articula-t-il

Kaykalak fut prit d’un rire mauvais et lévita à quelque centimètre du sol, se posant en simple spectateur.

-Aller…attaque.

Avec une rapidité inouï, Kintaro dégaina ses katanas en os et fonça vers les trois comparses qui brandirent leur arme, Miria intercepta le Tsaesci et laissa le champ libre à Alrik pour que le Nordique abatte son No’Dachi sur l’Adepte qui para le katana géant avec son troisième katana.

D’un mouvement brusque les deux guerriers repoussèrent l’Adepte et Alrik enchaîna une série de coups puissant et destabilisant ayant pour but de faire reculer leur adversaire, mais celui-ci resta sur place et para le coup d’estoc que retenter Miria.
La jeune fille recula ensuite quand les deux bras gauche de Kintaro enchaînèrent des moulinets meurtriers qui blessèrent Miria et Alrik.

Les deux guerriers reculèrent et échangèrent un regard.

-Merde…ce connard est avantagé avec ses quatre bras, il m’énerve. S’énerva Alrik en serrant le manche de son arme

-Ina ! Tu fais quoi ! S’exclama Miria en se retournant

Inamora était immobile, entrain de tenir son poignet qui trembler furieusement alors qu’une sphère de Baune-Molag grandissait dans sa main droite.

-Tenez-le à distance ! Je vais utiliser mon sort !

-Je vois Roussette, Miria ! Prend le par la gauche j’ai une idée.

-D’accord.

Les deux guerriers s’élancèrent à nouveau et comme prévu Miria contourna l’Adepte sur la gauche alors qu’Alrik lui fonça droit dessus.

-Maintenant Miria !

-J’ai compris !

Pendant qu’Alrik faisait face au Tsaesci, Miria lui porta un coup dans le dos mais la cascabelle sur le bout de la queue de l’Homme-Serpent émit un affreux bruit qui vrilla les tympans des deux combattants.

-Ah ! Qu’elle merde ! Hurla Alrik en reculant

-Par les Huit !

Sans attendre les tentacules dans le dos du Tsaesci saisirent par le cou Miria et l’Adepte asséna un coup de sabre à Alrik qui eut le réflexe de bondir en arrière, mais, malheureusement, le coup fut porté et la lame d’os lui entailla profondément le coin de l’œil.

-Alrik ! Hurla Inamora

La sphère dans ses mains redoubla de volume, voyant qu’Inamora manquait de concentration et incapable de laisser son amant souffrir, elle stoppa son sort et accouru auprès d’Alrik se tenant le coin du visage en serrant les dents.

-Alrik ! Enlève ta main je vais te soigner ! S’écria Inamora en s’accroupissant auprès de son amant

Elle fit apparaître un sort de soin dans ses mains et l’appliqua sur la blessure du Nordique, mais le cri de Miria attira l’attention d’Inamora qui tourna brusquement la tête vers sa sœur entrain d’être étouffée par les tentacules immonde de l’Adepte.

-Miria !

-Inamora…laisse moi je m’en sortirais, va la sauver ! S’exclama Alrik

Elle hésita, mais voyant le regard de son amant, elle déglutit et hocha la tête avant d’accourir vers Kintaro qui brandit ses quatre épées en direction de la magicienne.

-LÂCHE MIRIA POURRITURE !!

Inamora lui asséna un jet de flamme que le Tsaesci esquiva en lâchant au passage qui tomba lourdement sur le sol en reprenant difficilement son souffle.

-Miria ! Tu vas bien !?

-Derrière toi idiote !

Miria bouscula la Rouquine, lui évitant ainsi d’être blesser par les coups de Kintaro.

-Miria !

La jeune fille fut sévèrement toucher au ventre et à l’épaule, assez en tout cas pour la faire choir à terre.

-Ahah ! Vous êtes faible en vérité ! S’exclama jovialement Kaykalak

-Toi la ferme !

Inamora joignit ses mains et posa ensuite ses paumes sur le sol du toit, une porte dimensionnelle apparut et Vinnévra, la redoutable Drémora au belle courbe, sortit de la porte, complètement nue…

-Mais merde je peux pas prendre mon bain tranquille ! Beugla la Drémora en brandissant son poing vers Inamora

-Occupe-toi de Kintaro pendant que je soigne Miria ! Ordonna Inamora en désignant Kintaro du doigt

Vachement puissant l'adepte quand même... J'imagine pas les autres.

Bon chapitre!!

Bonne suite et combat

Ce combat !

Cette suite !

Cette fic !

J'exige la suite maintenant !