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Le 04 octobre 2019 à 20:21:37 Barcelone97 a écrit :
Cette qualif.
Allez je me prête au jeu :

1) Ticktum
2) Kofler
3) Verstappen
4) De Vries
5) Leclerc
6) Ocon
7) Pérez
8) Zoranovic
9) Sainz
10) Zhou

Noté

Les deux surprises supplémentaires viennent de deux pilotes

Canada 2011 incoming

1. Vandoorne
2. Ricciardo
3. Zoranovic
4. Ocon
5. Verstappen
6. de Vries
7. Schumacher
8. Vettel
9. Sainz
10. Zhou

Si j'en trouve 4 au total et 2 bien placés, je serai content

ABN : Russell, Rafa, Ticktum, Bottas, Gasly, Kofler, Maini et Günther

Leclerc abandonne pas mais se retrouve dernier à cause d'un fait de course juste avant l'interruption définitive

Car oui, la course ira pas à son terme et ne dépassera pas 75%, donc seulement la moitié des points de distribués

EDIT : j'avais pas regardé le prono de Barça, marrant de voir qu'on a tous les deux mis Sainz 9ème et Zhou 10ème

Le 04 octobre 2019 à 21:08:20 Mouf67 a écrit :

Les deux surprises supplémentaires viennent de deux pilotes

Ca aurait pu être un pilote et une écurie ou un pilote et la météo

En fait je pensais que tu voulais dire "Les deux éliminés supplémentaires sont..."

Parce que t'associes surprise et Sette Câmara, donc ça m'a embrouillé

Le 04 octobre 2019 à 21:30:10 Mouf67 a écrit :
En fait je pensais que tu voulais dire "Les deux éliminés supplémentaires sont..."

Parce que t'associes surprise et Sette Câmara, donc ça m'a embrouillé

Je prono la victoire de Rafaga

Première partie https://www.jeuxvideo.com/elektronomia/forums/message/997614924

2023 (S6), Chapitre 21 (n°229) : Le miracle de Montréal (1/2)

Dimanche 4 juin 2023, Circuit Gilles-Villeneuve, Montréal
Avant la course, je connais les enjeux. Il va pleuvoir tout l’après-midi à tel point que certains parkings ont été fermés car on craint qu’ils finissent la journée recouverts d’eau et l’accès au circuit a été rendu difficile pour pas mal de fans. Au briefing des pilotes, puisque personne ne s’inquiète vraiment de notre sort - à l’inverse de Suzuka il y a deux ans, ce qui est étrange quand on se souvient le bordel qu’il y avait eu au briefing - Felipe Massa nous demande de faire des gestes pour les fans, passer un peu plus de temps à signer des autographes, ne pas hésiter à utiliser les canons à t-shirts, les moyens sont déployés pour qu’ils puissent quand même profiter malgré leurs galères du jour.
Pour en revenir à l’aspect automobile de ce rendez-vous canadien, je pars quatorzième, Seb est sixième et George en pole. Il va falloir évacuer le plus rapidement possible les pilotes plus lents - je redoute déjà de passer quinze tours derrière Mick Schumacher - et s’assurer de ne pas laisser du carbone ici pour essayer de limiter au maximum les dégâts face à mes deux plus sérieux adversaires au championnat, qui ont déjà un petit matelas après mes récents déboires.

A l’extinction des feux, la situation est complexe car il y a un peloton de gros poissons à l’endroit où je suis : les Renault, Leclerc, de Vries et moi-même partons tous entre la cinquième et la septième ligne alors ma remontée dépend des autres.
Après seulement trois virages, alors que je n’ai dépassé personne, la course est neutralisée puisque Zhou, parti juste derrière moi, a foutu Maini au tas alors qu’Arjun voulait le dépasser dans l’enchaînement 4-5. Maini est dans le mur, Zhou est aux stands pour un drive-through et le peloton reste groupé.
Pour la reprise, Schumacher n’est que douzième, déjà effacé par Vandoorne alors, avec Nyck, on veut limiter la perte de temps ; il se place à gauche, je me place à droite de Mick, qui est obligé de s’effacer avant le freinage pour ne pas qu’il y ait accrochage, un geste plein de maturité qui est appréciable de sa part. Ca laisse donc Nyck côte à côte avec moi dans le premier enchaînement mais, ayant l’intérieur pour le 180° droite, je prend l’avantage et me retrouve P12, à deux secondes de Vandoorne. Je parviens à recoller tant bien que mal sur Stoffel, qui dépasse Bottas puis Zoranovic, alors que je me retrouve à buter sur Vojislav, qui résiste farouchement pendant que Gasly, tape au virage 9 et est contraint de s’immobiliser deux cent mètres plus loin, sans toutefois provoquer la sortie de la SC.

La course se déroule mais elle est difficile, les sorties sont nombreuses. Celle d’Ocon dans le premier virage me permet de grappiller une place et ruine par la même occasion une partie des espoirs de Sauber mais les premiers arrêts commencent à avoir lieu. Je fais partie des premiers à rentrer, accompagné par Charles Leclerc, qui était à l’agonie dans le dernier tour et qui est rentré juste devant moi. Lorsque la LED verte s’allume au-dessus de ma tête, je met les gaz, mais Ferrari relâche Charles juste après et, les stands Audi et Ferrari étant collés, l’accrochage est inévitable. Je m’encastre dans l’aileron arrière de Charles, mon aileron avant se retrouve fortement endommagé et je n’ai plus qu’à repasser aux stands.

Niki : P*****, c’est quoi ça ? On fait la course contre des amateurs ou quoi ?
Steven : Ferrari est coupable, ils ont fait un unsafe release, on transmet à la direction de course.
Niki : Oh, génial, ils vont payer 5 000 francs suisses à la FIA, justice sera rendue !
Steven : Ne sors pas de ta course, il reste du temps. Rentre au stand, rien n’est perdu.

Un tour plus tard, après mon second arrêt, je me retrouve donc quinzième, bien loin de là où je devrais être. L’erreur vient de Ferrari, je n’ai personne à blâmer - pas mon équipe ni Charles - sinon ces incompétents d’italiens alors je met la tête dans le guidon et entame ma remontée, qui est bien aidée par les conditions de course : pile au moment où j’obtiens la peau de Sergio Pérez, Daniel Ricciardo, qui était troisième, est contraint d’abandonner après la fin de vie de son moteur Ferrari. En cinq tours, la course des amateurs en rouge a pris fin et, après ce qui m’est arrivé, j’ai le mot “karma” au bord des lèvres. La voiture de sécurité sort pour évacuer la voiture de l’australien qui est arrêtée dans la ligne droite après l’épingle, ça me permet au moins de rattraper mon retard sur les autres.

A la reprise, au tour 31, j’ai Verstappen, Schumacher et Ocon devant moi, avec l’objectif bien ancré en tête de me défaire d’eux rapidement pour revenir en haut du classement, même si je n’ai aucun de mal à imaginer un raisonnement similaire dans la tête de Max. Dès la disparition de la voiture de sécurité, j’attaque mais pas pour longtemps, puisque les trois pilotes devant moi sont agités - ça n'étonne personne étant donné leur réputation - et finissent par se foutre au tas au virage 7. La Sauber d’Ocon quitte brièvement le sol, touchée par Verstappen, lui-même poussé par Schumacher qui a perdu le train avant en entrée de virage alors qu’il était à l’intérieur. L’incident est spectaculaire, les débris nombreux et, cette fois, c’est carrément le drapeau rouge qui est sorti. L’enchaînement d’incidents a conduit Felipe Massa à agiter ce red flag pour faire redescendre la pression.
Lorsque les survivants se positionnent sur la grille, le classement est le suivant : 1 RUS 2 TIC 3 VET 4 RAF 5 VAN 6 ZOR 7 DEV 8 BOT 9 SET 10 KOF 11 PER 12 SAI 13 GHI 14 ZHO 15 GUN 16 SCH. La suite de la course promet d’être dantesque alors qu’il reste encore 39 tours et que la course s’éternise.

La course ne continuera pas car un des pilotes est blessé

Première partie https://www.jeuxvideo.com/elektronomia/forums/message/997614924
Deuxième partie https://www.jeuxvideo.com/elektronomia/forums/message/997706620

2023 (S6), Chapitre 22 (n°230) : Le miracle de Montréal (2/2)

L’interruption est longue. La piste est jonchée de débris, il faut évacuer deux monoplaces et, en plus, Ocon a endommagé une barrière alors il faut du temps pour remettre ce virage 7 praticable Comme souvent, on annonce une interruption de X minutes, puis X+5, X+10, et ainsi de suite, c’est comme ça qu’on se retrouve tous dans nos voitures, préparés pour une interruption de trente minutes qui durera en fait plus du double. Certains sont sortis de leur voiture entre temps, ce n’est pas mon cas car je veux rester dans ma course, ainsi je suis encore complètement concentré au moment où on nous annonce finalement la reprise. Au deuxième départ, Bottas, parti devant moi, se troue et me permet de monter au neuvième rang. Devant moi, le bouchon est créé par le duo Zoranovic-de Vries, surtout par Vojislav en réalité. Je m’arme de patience - difficile quand vous savez que vos deux rivaux principaux s’échappent devant - et j’attend patiemment l’ouverture qui vient vers le tour 40, quand les deux se poussent au large et reprennent la piste derrière moi.
Alors que je suis septième et en train de discuter de la stratégie à adopter avec Steven, la course est de nouveau neutralisée : Seb s’est foutu dans le Mur des Champions, qui retrouve là sa symbolique, et Yann Ehrlacher fait son retour alors qu’il est au coude à coude avec Russell pour savoir qui a mené le plus de tours aujourd’hui. Dans mon cockpit, j’essaie de cacher ma joie mais que Seb soit out, c’est juste le scénario parfait pour moi, surtout quand c’est un abandon qui est entièrement de sa faute.

La majorité des pilotes s’engouffre dans les stands, malheureusement pas de “double stack” pour me faire gagner de place : je reste à la sixième place derrière Russell, Ticktum, l’inarrêtable Ráfaga, Vandoorne et Sette Câmara. Dès la reprise de la course, je passe à l’attaque sur Sergio, parti dix-septième et lui aussi auteur d’une course accomplie, qui se retrouve donc désormais relégué au sixième rang après ma manoeuvre dans l’enchaînement initial. Il reste un tiers de cette course dingue, débutée il y a environ deux heures et demi, les tours s’égrainent et je finis par trouver l’ouverture sur Vandoorne à vingt tours de la fin pour me retrouver quatrième, au pied d’un podium que Ráfaga tient fermement pour l’instant.

Seulement quatre tours plus tard, une énième voiture de sécurité fait son apparition car la McLaren de George Russell, qui avait été infaillible et dominateur tout au long du week-end, a donné son dernier souffle dans la cinquante-quatrième boucle, sous le pont de la Concorde. Je me retrouve donc sur le podium avec Ráfaga devant moi. Après ma qualif d’hier et l’accrochage aux stands, c’était inespéré, mais m’y voilà, en train de faire une sacrée bonne opération en l’absence de mes deux plus coriaces adversaires, qui doivent sûrement regarder nerveusement la fin de la course pour faire leurs comptes.

La nervosité s’empare de tous ; on est épuisés, la concentration n’est plus là, il y a certains pilotes qui ont sérieusement besoin d’aller purger leur vessie - j’en fais partie -, en bref, le contexte n’est pas idéal alors qu’il reste treize tours à boucler dans cette course chaotique. Quatre voitures de sécurité, un drapeau rouge, une course qui dépassera les trois heures dont deux heures et demies passées en train de piloter - étant donné que la fameuse limite des deux heures a été abolie - et un marathon incroyable pour nous, pilotes. A la fin du tour 57, alors que la voiture de sécurité s’engouffre à nouveau dans les puits, Ráfaga ne flanche pas devant le restart de Ticktum et, avec tout le culot qu’on attribue déjà à l’uruguayen, il se jette à l’intérieur pour prendre la tête et réussit sa manoeuvre !
Je suis bouche bée dans mon cockpit, ce mec sorti de nulle part est vraiment en train de mener avec une Sauber, image qui remonte à très longtemps j’imagine ! (1)
La lutte entre le top 5 est féroce, je vois Vandoorne et Sette Câmara dans mes rétros, Ticktum et Ráfaga devant moi et je ne sais pas quelle attitude adopter.
A dix tours du but, je passe à l’attaque dans la ligne droite qui mène à la chicane finale sauf que Dan fait de même. On se retrouve à trois de front et, une fois arrivé au freinage, la Red Bull se met en retrait pour ne pas mal finir mais la Sauber me tient tête. Ráfaga est sur la gauche, moi sur la droite, finalement Arturo escalade le vibreur et part en équerre, ruinant un week-end sensationnel où il aurait pu accrocher un podium mémorable au volant d’une Sauber. En ayant voulu trop en faire, le pauvre a perdu gros.

Après avoir donc hérité du leadership à la fin du tour 60, je finis par prendre mes distances vis à vis de Ticktum et Vandoorne, qui ne me reverront qu’après les damiers. Parti quatorzième, je remporte mon premier Grand Prix au Canada, un circuit que j’apprécie, après une course d’anthologie qui n’est pas sans rappeler l’édition 2011, où Button avait vécu une course encore plus chaotique que moi. Malgré tout, ma capacité à faire mon chemin dans le peloton par deux fois sans jamais faire d’erreur a certainement fait la différence et c’est un pur plaisir que de franchir la ligne en vainqueur après une course qui n’avait pas très bien commencé.

Niki : YYYYYYYYEEEEEEESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS ! P*****, c’était quoi cette course ? Bon sang, je n’ai plus rien, j’ai tout donné, je suis fini, quelle course ! Wow ! YES !
Steven : C’était absolument incroyable. Personne n’arrive à y croire dans le garage, tu l’as fait Niki ! De P14 à P1, rien ne peut te stopper, quelle course ! Félicitations, c’était une démonstration de pilotage, d’endurance, de dépassement, de mental, de tout, t’es un champion mec ! Le champagne du podium aura bon goût, c’est sûr.

Classement final du Grand Prix :
1 Kofler (Audi)
2 Ticktum (Red Bull)
3 Vandoorne (Renault)
4 Sette Câmara (Williams)
5 Ráfaga (Sauber)
6 de Vries (McLaren)
7 Bottas (Williams)
8 Zoranovic (Aston Martin)
9 Sainz (Aston Martin)
10 Pérez (Haas)
…
DNF Vettel (Audi)

Championnat pilotes Championnat constructeurs

Le podium a une saveur inestimable pour moi. Le déroulement de la course, sa longueur, les abandons, ce que j’ai enduré pendant trois heures ; tout était monstrueux à vivre de l’intérieur alors terminer le week-end sur la plus haute marche en reprenant les commandes du championnat, c’est la meilleure chose qui puisse m’arriver. J’ai adoré cette course car, au-delà du fait qu’elle s’inscrit dans la grande Histoire de notre sport, elle me permet de reprendre la tête du championnat pour douze points sur Seb avant ma course préférée dans l’année : le Grand Prix d’Autriche.

(1) : Depuis le Grand Prix d’Espagne 2013 et les deux tours menés par Esteban Gutiérrez.

D'ou c'est Ferrari qui fait un unsafe release alors que l'Audi vient s'encastrer dans l'aileron arrière ?

Le 04 octobre 2019 à 20:21:37 Barcelone97 a écrit :
Cette qualif.
Allez je me prête au jeu :

1) Ticktum
2) Kofler
3) Verstappen
4) De Vries
5) Leclerc
6) Ocon
7) Pérez
8) Zoranovic
9) Sainz
10) Zhou

6 noms dont le top 2 dans le désordre et 2 pilotes bien placés, ça reste très honnête vu la course

Le 04 octobre 2019 à 21:08:20 Mouf67 a écrit :

1. Vandoorne
2. Ricciardo
3. Zoranovic
4. Ocon
5. Verstappen
6. de Vries
7. Schumacher
8. Vettel
9. Sainz
10. Zhou

Si j'en trouve 4 au total et 2 bien placés, je serai content

Heureusement que t'as trouvé ton résultat exact ; 4 dont 2 bien placés

ABN : Russell, Rafa, Ticktum, Bottas, Gasly, Kofler, Maini et Günther

3/8 et t'as vu 3 mecs du top 5 dehors

Leclerc abandonne pas mais se retrouve dernier à cause d'un fait de course juste avant l'interruption définitive

Y'avait une forme d'idée

Car oui, la course ira pas à son terme et ne dépassera pas 75%, donc seulement la moitié des points de distribués

Non

Le 04 octobre 2019 à 23:24:51 [-Monarch-] a écrit :
Je prono la victoire de Rafaga

Mine de rien c'était pas un mauvais prono

Le 05 octobre 2019 à 16:02:07 [-Monarch-] a écrit :
D'ou c'est Ferrari qui fait un unsafe release alors que l'Audi vient s'encastrer dans l'aileron arrière ?

Bah c'est très largement Ferrari qui fait un unsafe release...Audi relâche Kofler qui revient sur la ligne rapide, Ferrari relâche Leclerc alors que Kofler est en train de passer...Tu serais pas un peu aveuglé par les rouges à tout hasard ?

Le 05 octobre 2019 à 16:05:26 Soeprapto a écrit :

Le 05 octobre 2019 à 16:02:07 [-Monarch-] a écrit :
D'ou c'est Ferrari qui fait un unsafe release alors que l'Audi vient s'encastrer dans l'aileron arrière ?

Bah c'est très largement Ferrari qui fait un unsafe release...Audi relâche Kofler qui revient sur la ligne rapide, Ferrari relâche Leclerc alors que Kofler est en train de passer...Tu serais pas un peu aveuglé par les rouges à tout hasard ?

Ah le stand Ferrari est devant celui d'Audi...Sorry je le voyais pas comme ça en fait

Le 05 octobre 2019 à 16:06:54 [-Monarch-] a écrit :

Le 05 octobre 2019 à 16:05:26 Soeprapto a écrit :

Le 05 octobre 2019 à 16:02:07 [-Monarch-] a écrit :
D'ou c'est Ferrari qui fait un unsafe release alors que l'Audi vient s'encastrer dans l'aileron arrière ?

Bah c'est très largement Ferrari qui fait un unsafe release...Audi relâche Kofler qui revient sur la ligne rapide, Ferrari relâche Leclerc alors que Kofler est en train de passer...Tu serais pas un peu aveuglé par les rouges à tout hasard ?

Ah le stand Ferrari est devant celui d'Audi...Sorry je le voyais pas comme ça en fait

Bah il est plus loin dans la pitlane, vu qu'Audi a fini devant eux l'an dernier

Rafaga

Je suis bouche bée dans mon cockpit, ce mec sorti de nulle part est vraiment en train de mener avec une Sauber, image qui remonte à très longtemps j’imagine ! (1)

(1) : Depuis le Grand Prix d’Espagne 2013 et les deux tours menés par Esteban Gutiérrez.

C'est à modifier ça on oublie l'ami Giovinazzi :

Le 05 octobre 2019 à 17:19:17 Pimpolofist a écrit :
Rafaga

Je suis bouche bée dans mon cockpit, ce mec sorti de nulle part est vraiment en train de mener avec une Sauber, image qui remonte à très longtemps j’imagine ! (1)

(1) : Depuis le Grand Prix d’Espagne 2013 et les deux tours menés par Esteban Gutiérrez.

C'est à modifier ça on oublie l'ami Giovinazzi :

Doublement faux :
- Alfa Romeo =/= Sauber
- C'étaient Ericsson et Leclerc chez Sauber en 2019

A la reprise, au tour 31, j’ai Verstappen, Schumacher et Ocon devant moi

Il était déjà out Ocon.
Il a fait l'exploit d'abandonner 2 fois.

Jolie course en tout cas, je suis fier de mon pronostic.

Le 05 octobre 2019 à 18:01:30 Barcelone97 a écrit :

A la reprise, au tour 31, j’ai Verstappen, Schumacher et Ocon devant moi

Il était déjà out Ocon.
Il a fait l'exploit d'abandonner 2 fois.

Jolie course en tout cas, je suis fier de mon pronostic.

Sortie ne veut pas automatiquement dire abandon, je me doutais que ça prêterait à confusion

Le 05 octobre 2019 à 18:10:35 Soeprapto a écrit :

Le 05 octobre 2019 à 18:01:30 Barcelone97 a écrit :

A la reprise, au tour 31, j’ai Verstappen, Schumacher et Ocon devant moi

Il était déjà out Ocon.
Il a fait l'exploit d'abandonner 2 fois.

Jolie course en tout cas, je suis fier de mon pronostic.

Sortie ne veut pas automatiquement dire abandon, je me doutais que ça prêterait à confusion

Toujours la pour relever ce genre de choses.

Jolie victoire de Niki en tout cas, mais j'étais pas loin avec Ticktum.

Tellement prévisible cette victoire que j'avais refusé de la pronostiquer Mais belle course

Niki qui ne fait même pas un doigt d'honneur envers le stand Ferrarire en repartant après son deuxième arrêt

Heureusement que t'as trouvé ton résultat exact ; 4 dont 2 bien placés

Le top 10 est impronostiquable, donc 4 et 2 c'est bien GG à Barça pour son 6 et 2

3/8 et t'as vu 3 mecs du top 5 dehors

Rafaga le chokeur, Ticktum le fou furieux et Niki "théorie du complot" Kofler qui finissent dans le top 5 de la course la plus difficile depuis 2 ans, elle est belle cette image Bixente

Le 05 octobre 2019 à 18:10:35 Soeprapto a écrit :

Le 05 octobre 2019 à 18:01:30 Barcelone97 a écrit :

A la reprise, au tour 31, j’ai Verstappen, Schumacher et Ocon devant moi

Il était déjà out Ocon.
Il a fait l'exploit d'abandonner 2 fois.

Jolie course en tout cas, je suis fier de mon pronostic.

Sortie ne veut pas automatiquement dire abandon, je me doutais que ça prêterait à confusion

Ya pas de confusion possible quand on sait lire