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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Wales Interactive, connu pour des titres horrifiques tels que The Bunker ou Don't Knock Twice avait annoncé lors du Future Games Show la sortie pour juillet 2020 de Maid of Sker, un nouveau survival-horror s'inspirant du folklore gallois et plus précisément de l'histoire d'Elizabeth Williams, fantôme au cœur brisé qui hanterait la maison Sker. Pour se démarquer, le studio indépendant gallois a proposé une approche plutôt originale et ambitieuse des mécaniques de jeu de son nouveau titre. Le résultat fut très convaincant.
Control est un jeu fascinant. Aussi bien dans sa narration cryptique, son univers «Lynchien» ou ses gunfights démontrant une science absolue de l'action de la part de Remedy, le titre semble hors du temps. Plonger dans Control n'est pas chose aisée, mais le voyage s'avère excitant à plus d'un titre. Alors que les Finlandais nous avaient offert un premier DLC (The Foundation) particulièrement bien rythmé et créatif, le second contenu, AWE, fusionne définitivement les univers de Control et d'Alan Wake, déjà cité à plusieurs reprises dans le jeu de base. Mais est-ce suffisant pour tenter de percer les sombres mystères que recèle ce nouveau DLC ? La question est légitime...
Le 25 avril 2019 a marqué l'arrivée du deuxième jeu du studio Baroque Decay, Yuppie Psycho, conçu avec le même style graphique 2D que le très bon The Count Lucanor, sorti en 2016. Beaucoup attendaient de découvrir quelle nouvelle aventure étrange les développeurs comptaient nous offrir cette fois-ci, dans ce qui allait être une entreprise aux sombres secrets. Le résultat ne fut pas décevant.
Avez-vous envie de partir pour une aventure étrange ? À la recherche d'un trésor caché dans un mystérieux château ? Alors vous allez peut-être être intéressé(e) par The Count Lucanor, premier jeu du studio Baroque Decay que vous connaissez peut-être mieux pour avoir proposé en 2019 le très bon Yuppie Psycho. Un mélange astucieux d'aventure et de survival-horror vous attend dans cet univers peu accueillant qui ne pardonnera pas aux moins courageux d'entre vous.
Dernier né de Dontnod paru le 27 août, Tell Me Why reprend le flambeau de l’expérience narrative à choix multiples dont Life is Strange était l’étendard depuis 2015. Adepte des récits humains avec une touche de fantastique, le studio nous propose cette année de résoudre le mystère du passé de jumeaux au lien magique. L'histoire vaut-elle la peine d'être jouée ?
Les années ont passé, le nom original est revenu, mais le fond du manga/anime qui a marqué tout une génération est toujours là : Captain Tsubasa est de retour sur la scène vidéoludique avec un nouvel épisode sous-titré New Hero, qui entend bien se faire une petite place à l’ombre des mastodontes du football virtuel. Convaincant sur sa première prise en main malgré quelques réserves sur son potentiel dans la durée, ce nouvel opus parvient-il à se montrer sous son meilleur jour dans sa version finale ?
En 1988 sortait le premier Wasteland, et avec lui, les contours de ce qu'allaient devenir les premiers Fallout. En 2014, Wasteland 2 rappelait la franchise au bon souvenir des anciens et se dévoilait aux plus jeunes. Ce deuxième épisode tentait de marier esprit old school et modernité, et avait pour mérite de remettre presque au goût du jour le fameux C-RPG trop longtemps délaissé, ouvrant la brèche à des Obsidian, notamment, qui ont alors compris que le RPG PC à l'ancienne pouvait retrouver sa place dans la ludothèque des joueurs. Entre temps, d'autres outsiders se sont lancés dans ce registre, sont parvenus à réinventer son approche alors que dans le même temps, Wasteland 3 était bien fixé sur ses rails, pour donner aux fans ce qu'ils attendent, au risque de rester un peu trop campé sur ses acquis.
Sur la grande piste des simulations de courses, Slightly Mad Studios avait le champ libre pour cette deuxième partie d'année 2020. Une ouverture malgré la sortie prochaine de DiRT 5, qui a décidé d'assumer pleinement le genre arcade côté Codemasters. Cinq ans après le lancement de sa saga, le studio britannique sort Project CARS 3, mais a surpris avec sa volonté d'en faire un titre plus accessible tout en pensant à ses joueurs exigeants. Petit tour d'horizon pour voir si l'équilibre a été trouvé.
Seize ans plus tard Square Enix nous propose le remaster d’un épisode audacieux pour son époque : Final Fantasy Crystal Chronicles. Le titre disponible sur différents supports est une aubaine pour l’éditeur afin de faire découvrir ou redécouvrir l’univers onirique et enchanteur de ce dernier. Outre un lifting graphique et sonore réussi, le jeu dispose d’un panel de nouveautés des plus appréciées.
3 ans après l’entame de son développement, No Straight Roads débarque enfin dans nos contrées accompagné d’une promesse : celle de découvrir un monde bardé de références qu’il entend faire cohabiter pour créer son propre univers original. Dans un monde dominé par l’EDM, un groupe indépendant du nom de Bunk Bed Junction tente ici de renverser le pouvoir en place pour rétablir la voix du rock au sein de Vinyl City.
Le pari était risqué : en troquant une 2D minimaliste et plutôt lisible pour un univers tout en 3D bardé de couleurs, Risk of Rain avait toutes les chances de nous perdre en chemin. C’est en tout cas ce que nous pensions quand nous avons vu les premières images du jeu. Mais quelle erreur : grâce à ce changement de dimension, Risk of Rain 2 transcende son concept et atteint le sommet des meilleurs rogue-lite.
Exit The Golf Club, place à PGA Tour ! HB Studios change le nom de sa licence pour être un peu plus ancré dans le circuit officiel, et fêter sa nouvelle star en tête d'affiche sur la jaquette : Justin Thomas. Le studio est présent sur le créneau des simulations golfiques depuis 2014 et clôt sa décennie sur PC, PS4, Xbox One et un swing sur Nintendo Switch via PGA Tour 2K21. Parfait timing pour faire franchir un cap à la série ?
On peut facilement citer des licences qui mériteraient un retour digne de ce nom : Jak and Daxter, Alan Wake ou encore Splinter Cell par exemple. Eh bien aujourd’hui, c’est au tour de Battletoads. La série de Rare n’avait pas accueilli de nouvel opus depuis 26 ans et fait son comeback avec un jeu déjanté, jouable à plusieurs et multi-genre. Alors, est-ce que l’attente valait le coup ?
Il y a quelques semaines nous vous donnions un premier avis sur le jeu Spiritfarer. Enthousiastes face à l’audacieuse façon d’aborder le sujet tabou qu’est la mort, nous attendions avec impatience d’explorer tout le potentiel du titre. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que nous n’avons pas été déçu du voyage.
Après une exclusivité temporaire sur l’Apple Arcade, Inmost débarque sur Switch et PC accompagné de puzzles supplémentaires et d’ornements visuels. Développé par les Lituaniens de Hidden Layer Games, ce Puzzle Platformer narratif s’inscrit dans la droite lignée de titres comme Another World, Limbo ou encore Inside. Ces jeux se sont forgés une solide réputation au fil des années, Inmost parvient-il a dignement leur succéder ?
La limite entre mythologie et histoire se floute avec le dernier venu de Creative Assembly, un an après le très réussi Three Kingdoms. A Total War Saga : Troy vous propose de jouer le plus célèbre conflit de l’Age de bronze avec quelques notes fantastiques sans pour autant dénaturer d'aucune sorte l'essence de la franchise.
Si vous êtes friand de jeux exigeants au gameplay précis, riche et matinés d'une couche généreuse de RPG, nul doute que vous n'êtes pas passés à côté des Dark Souls, Sekiro et autres Bloodborne. Ces références de l'A-RPG ont fait bien des émules et Cold Symmetry, petite équipe de développement composée de vétérans de l'industrie, s'est attelé à rendre hommage à son amour pour les jeux de From Software avec Mortal Shell. Est-ce pour autant qu'il verse dans le plagiat ? Absolument pas.
Après une longue attente, la licence qui a souvent fait figure de proue pour Microsoft depuis les années 80 s'apprête à reprendre son envol, avec aux commandes le studio bordelais Asobo Studio. Le géant Microsoft Flight Simulator s'aligne enfin sur la piste et se prépare à entamer un nouveau vol, qui on l'espère l'emmènera loin et haut.
La Révolution française à la sauce anime. Avec un tel postulat, le Tactical-RPG du studio chinois Azure Flame avait de quoi attirer l’œil, surtout pour nous autres Français. Étonnamment, cette période pourtant phare de notre histoire n’a que rarement fait l’objet d’adaptations vidéoludiques. Alors la voir mélangée avec quelque chose d’aussi éloigné que l’univers anime avait de quoi rendre le projet d’autant plus intriguant. Mais la proposition est-elle à la hauteur de son originalité ? Pas sûr.
Low-kicks, crochets juteux et patates de forain, EA Sports revient dans l'octogone avec UFC 4. De quoi apprécier les arts martiaux mixtes et le cardio hors du commun des combattantes et combattants du circuit. Deux ans après la sortie du dernier opus plutôt convaincant, notre crainte reste la même pour les simulations sportives d'EA, celle que la licence reste sur ses acquis.