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La note des lecteurs

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Les avis les plus utiles

19/20
Jean-Luc_BideU
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Niveau 10
Posté le 14 nov. 2015 à 15:43

Final Fantasy VIII se pose dans la continuité de FFVII d'un point de vu technique. Les personnages et la mappemonde sont toujours en 3D alors que les décors des villes et des donjons sont en 3D précalculée. Le style se veut tout de même bien plus adulte, sérieux et réaliste que dans le précédent volet, le moteur du jeu ayant été grandement amélioré. On peut dire qu'avec ce FFVIII la Team FF est un peu arrivé à aboutir ce que FF6 avait déjà entamé, à savoir proposer aux fans un J-RPG profondément adulte et mature, réalisé avec style. Ainsi on retrouve un groupe de personnages qui pour la première fois dans la série, ne sont plus des sprites ou des polygones tout carrés, mais bien des personnages assurément adulte, carrément beaux et criant de réalisme.

Ce FF est clairement un tour de force pour une 32 bits. Et en passant outre les cinématiques en FMV, notamment la superbe introduction qui restera gravé à jamais dans la mémoire des joueurs, je pourrais cité nombre de points sur lesquel FFVIII excellait vraiment pour son époque en terme d'esthétique. Tout d'abord, et même si c'est presque devenu une marque de fabrique de la saga, le jeu possède une direction artistique carrément bluffante. Les 5 continents qui compose l'univers de ce FFVIII propose tous une diversité au niveau des environnements allant du style mythologique au style oriental en passant par un style européen et futuriste, conférant aux lieux une identité très forte, témoignant d'un travail architectural et artistique absolument énorme. Le gros point fort étant le chara design que nous a proposé Tetsuya Nomura pour son deuxième Final Fantasy, rendant les personnages plus réaliste et vivant que jamais. Enfin, il faut souligner que le tout est sublimé par des effets lumineux et des animations d'une finesse rarement atteinte pour l'époque.

Avant de passer au système de jeu, j'aimerais que l'on s'attarde sur le scénario qui constitue l'un des points fondamentaux de l'expérience FFVIII. Nojima a voulu plus que jamais creuser le relationnisme entre les personnages dans un FF, et en effet toute la trame de FFVIII nous propose à cet effet une ambiance bien plus singulière et mature qu'il n'est de coutume avec la série. Notre héros c'est Squall, jeune brun taciturne mais aussi cruellement associal. Zell, le type au caractère explosif. Irvine, le cow-boy refoulé. Quistis, une professeur de la BGU. Selphie, l’équivalent féminin de Zell. Seifer, le rival de Squall. Laguna, personnage aventureux, assez maladroit. Et enfin Linoa, qui fait un peu office d'héroïne aux côtés de Squall, puisque la relation qui va naître entre ces deux là est le moteur même de l'histoire. L’histoire d’amour entre les deux protagonistes se fait de façon aussi savoureuse qu’inéluctable, car même si le cliché n’est jamais très loin, cela est raconté de fort belle manière qu’on n’y prête plus guère d’attention. Là où réside le génie de FFVIII, c’est qu’il fait bien plus dans l’implicite que les autres opus. La relation Squall/Laguna en est une belle démonstration. Le mystère qui englobe Linoa est encore bien plus particulier, et le fait qu’il stimule autant notre imagination est assurément un point fort. Le jeu nous laisse penser ce que l’on veut, imaginer toutes les possibilités envisageables à propos des multiples sous-entendus de l’histoire.

Pour le gameplay je ne m'y attarderais pas trop vu que ce n'est pas là l'intérêt d'un jeu. Il faut juste savoir que le système de magie a été un peu remanié, plus besoin d'en acheter ou d'en apprendre, il vous suffit désormais d'en voler à vos adversaires ou d'en récupérer un peu partout. Les invocations (G-Force) ont aussi changé, vous n’avez plus besoin de points de magie pour pouvoir les appeler, cette fois, elles ont aussi des PV, et tant qu’elles en auront, vous pourrez les appeler. Elles peuvent aussi apprendre des capacités grâce à des points de compétence (PDC) que vous recevrez après les combats.

Ce huitième opus des Final Fantasy est de toute évidence une oeuvre qui divise, mais pleine d’audace, car elle tranche sur de nombreux points avec ses prédécesseurs. Vous pourrez tout à fait ne pas l’apprécier à cause de son ambiance assez particulière, mais si vous accrochez à cette aventure singulière, vous risquez de ne plus la lâcher. Avec ses multiples qualités et sa grande profondeur de jeu, Final Fantasy VIII risque bien de marquer votre vie de joueur. Il reste un chef d’oeuvre, difficile à saisir, quelques fois incompris ou renié, mais un chef d’oeuvre qui a marqué son époque et plus encore.

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19/20
dFL_
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Niveau 10
Posté le 09 févr. 2012 à 00:00

Traitez-moi de fanboy si l'envie vous prend. Mais pour moi ce FFVIII est l'un des meilleurs jeux de tous les temps, et de très loin le meilleur jeu de la Playstation. Ayant joué à un grand nombre de JRPGs ( FF, BoF, Tales Of.... ), aucun ne m'a marqué comme FFVIII, son histoire magistrale, la relation Squall / Linoa suivie de façon incroyable, les graphismes absolument somptueux pour l'époque... Aujourd'hui encore, je refais ce jeu au moins une fois par an.

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Tous les avis lecteurs (764)

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19/20
Jean-Luc_BideU
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Niveau 10
Posté le 14 nov. 2015 à 15:43

Final Fantasy VIII se pose dans la continuité de FFVII d'un point de vu technique. Les personnages et la mappemonde sont toujours en 3D alors que les décors des villes et des donjons sont en 3D précalculée. Le style se veut tout de même bien plus adulte, sérieux et réaliste que dans le précédent volet, le moteur du jeu ayant été grandement amélioré. On peut dire qu'avec ce FFVIII la Team FF est un peu arrivé à aboutir ce que FF6 avait déjà entamé, à savoir proposer aux fans un J-RPG profondément adulte et mature, réalisé avec style. Ainsi on retrouve un groupe de personnages qui pour la première fois dans la série, ne sont plus des sprites ou des polygones tout carrés, mais bien des personnages assurément adulte, carrément beaux et criant de réalisme.

Ce FF est clairement un tour de force pour une 32 bits. Et en passant outre les cinématiques en FMV, notamment la superbe introduction qui restera gravé à jamais dans la mémoire des joueurs, je pourrais cité nombre de points sur lesquel FFVIII excellait vraiment pour son époque en terme d'esthétique. Tout d'abord, et même si c'est presque devenu une marque de fabrique de la saga, le jeu possède une direction artistique carrément bluffante. Les 5 continents qui compose l'univers de ce FFVIII propose tous une diversité au niveau des environnements allant du style mythologique au style oriental en passant par un style européen et futuriste, conférant aux lieux une identité très forte, témoignant d'un travail architectural et artistique absolument énorme. Le gros point fort étant le chara design que nous a proposé Tetsuya Nomura pour son deuxième Final Fantasy, rendant les personnages plus réaliste et vivant que jamais. Enfin, il faut souligner que le tout est sublimé par des effets lumineux et des animations d'une finesse rarement atteinte pour l'époque.

Avant de passer au système de jeu, j'aimerais que l'on s'attarde sur le scénario qui constitue l'un des points fondamentaux de l'expérience FFVIII. Nojima a voulu plus que jamais creuser le relationnisme entre les personnages dans un FF, et en effet toute la trame de FFVIII nous propose à cet effet une ambiance bien plus singulière et mature qu'il n'est de coutume avec la série. Notre héros c'est Squall, jeune brun taciturne mais aussi cruellement associal. Zell, le type au caractère explosif. Irvine, le cow-boy refoulé. Quistis, une professeur de la BGU. Selphie, l’équivalent féminin de Zell. Seifer, le rival de Squall. Laguna, personnage aventureux, assez maladroit. Et enfin Linoa, qui fait un peu office d'héroïne aux côtés de Squall, puisque la relation qui va naître entre ces deux là est le moteur même de l'histoire. L’histoire d’amour entre les deux protagonistes se fait de façon aussi savoureuse qu’inéluctable, car même si le cliché n’est jamais très loin, cela est raconté de fort belle manière qu’on n’y prête plus guère d’attention. Là où réside le génie de FFVIII, c’est qu’il fait bien plus dans l’implicite que les autres opus. La relation Squall/Laguna en est une belle démonstration. Le mystère qui englobe Linoa est encore bien plus particulier, et le fait qu’il stimule autant notre imagination est assurément un point fort. Le jeu nous laisse penser ce que l’on veut, imaginer toutes les possibilités envisageables à propos des multiples sous-entendus de l’histoire.

Pour le gameplay je ne m'y attarderais pas trop vu que ce n'est pas là l'intérêt d'un jeu. Il faut juste savoir que le système de magie a été un peu remanié, plus besoin d'en acheter ou d'en apprendre, il vous suffit désormais d'en voler à vos adversaires ou d'en récupérer un peu partout. Les invocations (G-Force) ont aussi changé, vous n’avez plus besoin de points de magie pour pouvoir les appeler, cette fois, elles ont aussi des PV, et tant qu’elles en auront, vous pourrez les appeler. Elles peuvent aussi apprendre des capacités grâce à des points de compétence (PDC) que vous recevrez après les combats.

Ce huitième opus des Final Fantasy est de toute évidence une oeuvre qui divise, mais pleine d’audace, car elle tranche sur de nombreux points avec ses prédécesseurs. Vous pourrez tout à fait ne pas l’apprécier à cause de son ambiance assez particulière, mais si vous accrochez à cette aventure singulière, vous risquez de ne plus la lâcher. Avec ses multiples qualités et sa grande profondeur de jeu, Final Fantasy VIII risque bien de marquer votre vie de joueur. Il reste un chef d’oeuvre, difficile à saisir, quelques fois incompris ou renié, mais un chef d’oeuvre qui a marqué son époque et plus encore.

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19/20
dFL_
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Niveau 10
Posté le 09 févr. 2012 à 00:00

Traitez-moi de fanboy si l'envie vous prend. Mais pour moi ce FFVIII est l'un des meilleurs jeux de tous les temps, et de très loin le meilleur jeu de la Playstation. Ayant joué à un grand nombre de JRPGs ( FF, BoF, Tales Of.... ), aucun ne m'a marqué comme FFVIII, son histoire magistrale, la relation Squall / Linoa suivie de façon incroyable, les graphismes absolument somptueux pour l'époque... Aujourd'hui encore, je refais ce jeu au moins une fois par an.

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18/20
ChaoS93800
Alerte
Niveau 10
Posté le 17 juil. 2012 à 00:00

Huitième Opus de la série , Squaresoft n'en finit pas de nous étonner et nous offre une nouvelle fois un RPG incroyable et une expérience inoubliable. Le jeu est absolument magnifique , même aujourd'hui les décors sont magnifiques , véritable claque visuelle pour l'époque , aussi bien pour les graphismes que pour les cinématiques à couper le souffle.Final Fantasy VIII nous offre aussi des invocations qui sont un véritable régal pour les yeux , le jeu n'en finit pas de nous étonner.Le système de combat , est toujours aussi bon , mais commence cependant néanmoins à vieillir, et malheuresement il manque quelques options , rien de très grave ceci étant dit. Les personnages sont tous très charismatiques , et disposent tous d'un scénario qui leur est propre , la psychologie des personanges étant très bien étudiée,on s'attache facilement aux personnages. Encore une fois Nobuo Uematsu nous offre une bande son proche de la perfection ,chaque thème renforce d'autant plus l'immersion du jeu.Le jeu propose une durée de vie conséquente ,et de très bons moments ,ceci étant dit , le jeu propose moins de mini quêtes que Final Fantasy VII. Final Fantasy VIII est magnifique , on revient souvent sur le jeu tant l'ambiance qui y règne est excellente.

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10/20
LuckyTime
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Niveau 1
Posté le 26 mars 2018 à 21:55

FF8 est le 8e opus de la fameuse saga, sorti en 1999 sur PS1.

Scénario/Personnages : (3/12)
Aie ! Le scénario partait bien mais après la prison devient juste horrible. Entre une histoire d’une niaiserie juste parfaitement écoeurante (je déconseille avant de manger), des faits totalement inutiles voire inexpliqués (le renvoi de Quistis, la rebellion à la BGU, les pertes de mémoires dues au G-forces) ponctués d’un vide intersidéral ennuyant et long au possible. Du combat d’universités jusqu’à la Lune, il ne se passe rien à part une pseudo-révélation prévisible à des kilomètres. Je ne parle pas de la scène dans l’espace, c’était d’une niaiserie tellement affreuse que j’en pouvais plus, j’arrivais plus à respirer. Mon dieu, mais que c’est niais ! Après, le boss final n’a aucune personnalité, il sort de nulle part. Je passe les incalculables incohérences scénaristiques. Bref le scénario est presque pire encore que FF1 où il était inexistant, c’est pour dire.
Pour les personnages, ils sont creux, stéréotypés. On a un Squall introverti car ayant perdu ses parents jeune et ayant peur de s’attacher. Bonjour les clichés ! Il y a aussi Linoa la « princesse », Zell le rigolo totalement inutile dans le scénario soit dit en passant tout comme Selphie la gamine immature. Quistis l’institutrice fait partie également des protagonistes mais on remarquera surtout Irvine le dragueur, personnage juste affreusement vide de sens et d’intérêt.

Gameplay et level design : (5/12)
Le gameplay de FF8 change majoritairement avec son système de magie. Il n’y a plus de MP, désormais on vole les magies aux ennemis pour les stocker ou les lancer directement ce qui est un ajout fort plaisant. Les magies stockées pourront être associées après à des statistiques comme vigueur ou défense magique. Seulement, on se rend compte rapidement que ça ne change rien et que c’est inintéressant au possible. Sans rire, en quoi ça change le ressenti d’équiper une armure dans un FF précédent ou d’associer une magie à la défense ? Ca n’apporte absolument rien, c’est vide. Ensuite, les invocations ont été remplacées par les G-force (en fait c’est pareil). On peut grâce aux G-force accéder aux compétences et on peut même les invoquer. Mais les cinématiques durent une éternité, c’est pathétique. Ca l’est tellement qu’ils ont été obligés de rajouter la touche carré où on doit spam pour booster les dégats, vraiment passionnant ! Chaque personnage peut aussi débloquer une attaque puissante quand il a moins de vie, les Limit breaks. Puissante ? Non mais cheatée, oui. Quel est l’intérêt de nous mettre des attaques qui peuvent one shot ou two shot n’importe quel boss même le boss final ? Autant ne pas mettre de combat de boss, ça va plus vite parce que là le fun est égal à 0. Passons désormais au level design de ce jeu. On ne peut pas dire qu’il soit incroyable mais il est mieux que les précédents notamment le manoir d’Ultimecia assez sympa à explorer. On déplorera peut être l’ultra répétitivité de certaines rares zones. Enfin, terminons sur une bonne note, le Triple Triad sûrement l’un des meilleurs mini jeux de la saga.

Bande son : (5/8)
La bande son n’est pas exceptionnelle mais n’est pas mauvaise pour autant. Les thèmes principaux ne sont pas inoubliables. On retiendra en revanche « The Man with a machine gun » qui est juste mythique.

Durée de vie : (2/4)
Une durée de vie totalement artificielle, le jeu est long car lent, très lent. Malgré cela, les quêtes annexes sont très réussies et équilibrent largement la note.

Graphismes : (4/4)
Du point de vue graphique, le jeu est absolument irréprochable. C’est certainement l’un des meilleurs de la PS1. J’enlève un point à cause des collisions entre personnages pas très jolies. Les personnages sont vraiment très bien réalisés dans ce FF8 et beaucoup plus réalistes, le nombre de polygones étant largement supérieur à celui de FF7, là-dessus, rien à redire.

TOTAL : (19/40)

Conclusion :
J’ai donc été extrêmement déçu par ce FF, que j’ai trouvé niais, ennuyant, pathétique, lent et très déséquilibré. Je le mettrai même en dessous de FF4. Malgré tout, certains éléments empêchent le fiasco d’être total. Ma note finale est donc de 10/20 de justesse (9.5/20)

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12/20
Anonyme
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Aucun niveau
Posté le 02 mars 2001 à 00:00

FF8 est vraiment super beau au niveau des décors et les cinématiques sont à pleurer. MAIS les combats sont ultra-pixelisés et la carte du monde aussi (en plus d'être désespérément vide).

L'histoire est vraiment bidon et seul Squall et Edea ont du charisme sur l'ensemble des personnages. Les dialogues sont interminables et les mini-quêtes sont aussi débiles qu'inutiles.

Les combats aussi durent trop longtemps et il faut par conséquent invoquer tout le temps pour tuer le moindre insecte.

Les menus, eux, sont dignes d'un tableur Excel; ils sont vraiment trop complexes et trop froids. Il faut avouer par contre que les musiques sont magnifiques et envoutantes et donnent une âme à un jeu qui m'a énormement déçu.

Enfin, la difficulté devient excessive dans le quatrième CD(à partir d'Adel). En bref, FF7 reste encore le meilleur RPG de tout les temps en attends peut-être FF9...

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18/20
PLayJo
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Niveau 58
Posté le 26 oct. 2022 à 02:06

J'ai beaucoup aimé Final Fantasy 8 à sa sortie sur la première Playstation, c'était vraiment un super jeu.
Je me rappelle encore à quel point ses graphismes et ses scènes cinématiques me plaisaient à sortie.
L'apparence des personnages du 8,ses graphismes, et ses scènes cinématiques, étaient vraiment des choses que je préférais dans le 8 par rapport au 7.
L'histoire était aussi intéressante, même si elle ne valait vraiment pas celle du 7.
Je crois que j'ai aussi préféré le gameplay du 7.
Mais le 8 était quand même un très bon jeu.
J'espère vraiment que Final Fantasy 8 finira par avoir droit à un bon remake comme le 7, parce que j'aime beaucoup les jeux Final Fantasy .

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19/20
Nekocotier
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Niveau 10
Posté le 19 janv. 2017 à 23:19

Après deux excellent opus, arrive ff VIII, un ff avec des personnages réaliste, fini Cloud et compagnies qui ressemblais à des lego, en a là un des final fantasy les plus réaliste avec le XV, ce jeux est marquant dès çà cinématique d'introduction, qui reste dans la mémoire de nombreux joueurs, contrairement à ff VII les cinématique ont très bien vieillie

C'est aussi, l'un des final fantasy avec le 6 et le 9, qui à un développement des personnages les plus intéressants, personnellement, j'ai joué à ce final fantasy pour voir l'évolution de Squall qui est très asocial au début mais qui va changer petit à petit, l'évolution de la relation entre Squall et Linoa qui est juste incroyable, bien travaillé du bon boulot de la part de square encore une fois, bien sur les autres personnages qui vous accompagne tout au long de l'aventure sont aussi très intéressant bien que moins développer, et d'autres aussi, comme Laguna qui est très charismatique. C'est un final fantasy qui se joue principale pour ses personnages et les relation entre eux, attention le scénario reste très bien travaillé et est très plaisant à suivre.

Une direction artistique magnifique comme toujours, une OST excellente encore fois (gros coup chœur "The Man with the Machine Gun").

Le gameplay, gros changement par rapport au précédent, maintenant si vous voulez utiliser de la magie, il faut la voler à vos adversaire pour l'utiliser, mais ce n'est pas tout! Elle sert aussi à booster vos statistique, si vous êtes attentif au fonctionnement du gameplay dès le début, vous pouvez vous faire une équipe surpuissante très rapidement, le système d'invocation est très différent lui aussi, par exemple tant que votre Shiva à des pv vous pouvez l'utiliser à l'infini, et vous pouvez aussi leur apprendre divers capacité, augmenter leur stat, pouvoir appuyer sur carré pendant les cinématique permettant ainsi d'augment les dégâts, son défaut, c'est qu'il vous tend à utiliser vos invocation le plus souvent, ce qui n'est pas forcément les plus intéressant, j'ai même lu, que certaine personne ont du recommencer le jeux au CD 3 à cause d'un boss où il ne pouvait pas utiliser leur invocation, dommage, mais bon refaire ce jeux n'est pas une torture, c'est tout le contraire.

Bref un des meilleurs opus de cet incroyable saga, à faire pour tout fan de final fantasy et de rpg. C'est un 19 sans aucune hésitation.

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20/20
nowhereboy
Alerte
Niveau 8
Posté le 17 juin 2012 à 00:00

Pour moi c'est LE Final Fantasy ! Je l'ai eu la semaine se sa sortie et c'est le jeu que j'ai terminé le plus grand nombre de fois , malgré la ps2 puis la ps3 je ne me lasse pas de cette histoire , de ces personnages mythiques et charismatique , je mettrais 19,9 à FF7 et 20 à FF8. La bande son est énorme , le scénario prenant avec des rebondissements , la durée de vie environ 80 heures minimum ce jeu est un chef d'oeuvre qui fait que jouer à FF13 donne envie de vomir ...

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19/20
Keldryn
Alerte
Niveau 42
Posté le 08 déc. 2016 à 22:59

Ayant finit le jeu déjà 2 fois, j'ai attendu assez longtemps pour donner mon avis sur le Final Fantasy qui a le plus marqué mon enfance :noel:

Une histoire immersive, prenante, magnifique. Si il y a une chose qu'on ne peut reprocher à cet Opus, c'est bien évidement la qualité de son scénario: Le Duel entre 2 rivals de caractère diamétralement opposé, Squall Leonhart et Seifer Almasy.
Dès le début, j'ai beaucoup accroché à l'histoire, si bien que j’enchaînais que les heures passées dessus semblaient être des minutes.

Niveau musique, rien à redire comme d'hab, une OST sublime (je pense notamment à The Landing et Maybe I'm a Lion) :oui:

Le système de combat tour par tour classique mais efficace, rien vraiment à redire là dessus. Mais la nouveauté est que le niveau des ennemis s'adapte au niveau de votre équipe, ce que j'ai trouvé assez audacieux pour la petite touche de challenge.
Le système d'association est très ingénieux quoique un poil trop complexe. Il m'a fallu un certain temps pour tout comprendre (bon j'étais jeune à l'époque aussi),

Les graphisme sont très au dessus pour l'époque, il faut tout de même rappeler que le jeu est sorti sur PS1, à l'époque il ne fallait pas s'attendre à des graphismes incroyables. Et pourtant Square Enix à relever le pari avec brio, les personnages sont très dynamiques dans leur posture, ce qui confère un effet de réalisme assez surprenant :noel:

Pour résumer c'est pour moi mon FF préféré, peut être sur le coup de la nostalgie me diriez vous (quoique je l'ai refait il a 2 ans et j'ai pourtant eu le même ressenti)

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19/20
Kaaraj
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Niveau 10
Posté le 30 mai 2012 à 00:00

La majorité des joueurs de jeux vidéo ont découvert ce loisir par le biais de jeux simples, qui vous font sourire, vous amusent, et ne procurent rien d'autre que du plaisir immédiat. Et un jour, vous prenez votre première claque. Un jeu qui sort des carcans, vous offre de la peur, de la joie, de la tristesse, et vous amène même à réfléchir sur un scénario mature mais rempli d'émotions. Final Fantasy VIII fait indéniablement partie de ces jeux la, et il a été clairement le premier jeu vidéo à m'avoir marqué. Il fait suite à un septième épisode déjà adulé par la critique et les joueurs, mais comme le veut la traditionnelle série des Final fantasy, ce huitième épisode n'en est pas directement la suite. On incarne Squall Lionheart, un jeune étudiant dans une université formant des mercenaires idéalistes, qui va être confronté malgré lui à une puissante sorcière aux ambitions démesurées. Derrière cette trame aux reflets géopolitiques, se terre une histoire d'amour complexe entre notre héros, taiseux, pragmatique et solitaire, et la jeune Linoa, extravertie, souriante et courageuse. Sous des allures de romance à l'eau de rose, cette relation va peu à peu évoluer, sans jamais tomber dans les clichés habituels, et nous offrira sans doute quelques unes des plus belles émotions qu'il est possible d'avoir dans un jeu de rôle. Les personnages de cet opus sont réussis aussi bien sur le plan du design que du caractère. Entre le solitaire Squall, l'effronté Irvine, Le fanfaron Zell, la joyeuse mais irritante Selphie, ou le charismatique Laguna, il y en a pour tous les goûts. Graphiquement, le jeu est à l'époque ce qui se fait de mieux sur Playstation, aussi bien au niveau des cinématiques, des décors, ou des personnages. La bande-son n'est pas en reste, avec quelques thèmes somptueux (The man with the machine gun" est l'une des meilleurs musiques de combat de la série Final Fantasy). Le système de jeu a également le mérite d'être original; fini les classes, les magies qui consomment du mana, et les équipements! Les invocations, nommées G-forces, peuvent être affiliées à chaque personnage et procurent chacune différentes compétences. Les magies se volent sur les ennemis et dans des sources, et ont un nombre d'utilisation limitées selon les quantités obtenues, le stockage étant limité à 100. De plus, pour augmenter ses caractéristiques, il faut affilier des magies à celle-ci: certaines magies seront plus efficaces que d'autres, et la quantité de la magie aura aussi une influence positive. Il est possible de changer d'armes, mais celles-ci sont peu nombreuses et parfois complexes à fabriquer, puisque leurs composants sont en général des objets rares. Les combats se déroulent toujours avec un système de jauge ATB, qui permet au personnage d'utiliser un sort, une attaque ou une autre compétence une fois la jauge remplie. Il vous faudra donc de nombreuses heures pour pouvoir maitriser parfaitement ce système et améliorer ainsi vos protagonistes. La durée de vie n'est pas en reste, les quêtes annexes sont très nombreuses et parfois surprenantes (on pensera notamment à la quête des ovnis, ou aux G-forces étonnantes que l'on peu trouver à certains coins reculés de la carte…), et le scénario saura vous tenir en haleine jusqu'à un final haletant et bouleversant. Vous pouvez compter entre 30 et 40 heures pour finir le jeu, et plus du double, voir une centaine d'heures si vous voulez l'explorer de fond en comble. En bref, Final Fantasy VIII est un jeu incontournable, proche de la perfection lors de sa sortie, et qui aura fait le bonheur de nombreux joueurs de la Playstation à la fin des années 1990!

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19/20
Jean-Luc_XV
Alerte
Niveau 19
Posté le 08 oct. 2022 à 20:48

Final Fantasy VIII se pose dans la continuité de FFVII d'un point de vu technique. Les personnages et la mappemonde sont toujours en 3D alors que les décors des villes et des donjons sont en 3D précalculée. Le style se veut tout de même bien plus adulte, sérieux et réaliste que dans le précédent volet, le moteur du jeu ayant été grandement amélioré. On peut dire qu'avec ce FFVIII la Team FF est un peu arrivé à aboutir ce que FF6 avait déjà entamé, à savoir proposer aux fans un J-RPG profondément adulte et mature, réalisé avec style. Ainsi on retrouve un groupe de personnages qui pour la première fois dans la série, ne sont plus des sprites ou des polygones tout carrés, mais bien des personnages assurément adulte, carrément beaux et criant de réalisme.

Ce FF est clairement un tour de force pour une 32 bits. Et en passant outre les cinématiques en FMV, notamment la superbe introduction qui restera gravé à jamais dans la mémoire des joueurs, je pourrais cité nombre de points sur lesquel FFVIII excellait vraiment pour son époque en terme d'esthétique. Tout d'abord, et même si c'est presque devenu une marque de fabrique de la saga, le jeu possède une direction artistique carrément bluffante. Les 5 continents qui compose l'univers de ce FFVIII propose tous une diversité au niveau des environnements allant du style mythologique au style oriental en passant par un style européen et futuriste, conférant aux lieux une identité très forte, témoignant d'un travail architectural et artistique absolument énorme. Le gros point fort étant le chara design que nous a proposé Tetsuya Nomura pour son deuxième Final Fantasy, rendant les personnages plus réaliste et vivant que jamais.

Avant de passer au système de jeu, j'aimerais que l'on s'attarde sur le scénario qui constitue l'un des points fondamentaux de l'expérience FFVIII. Nojima a voulu plus que jamais creuser le relationnisme entre les personnages dans un FF, et en effet toute la trame de FFVIII nous propose à cet effet une ambiance bien plus singulière et mature qu'il n'est de coutume avec la série. Notre héros c'est Squall, jeune brun taciturne mais aussi cruellement associal. Zell, le type au caractère explosif. Irvine, le cow-boy refoulé. Quistis, une professeur de la BGU. Selphie, l’équivalent féminin de Zell. Seifer, le rival de Squall. Laguna, personnage aventureux, assez maladroit. Et enfin Linoa, qui fait un peu office d'héroïne aux côtés de Squall, puisque la relation qui va naître entre ces deux là est le moteur même de l'histoire. L’histoire d’amour entre les deux protagonistes se fait de façon aussi savoureuse qu’inéluctable, car même si le cliché n’est jamais très loin, cela est raconté de fort belle manière qu’on n’y prête plus guère d’attention.

Là où réside le génie de FFVIII, c’est qu’il fait bien plus dans l’implicite que les autres opus. La relation Squall/Laguna en est une belle démonstration. Le mystère qui englobe Linoa est encore bien plus particulier, et le fait qu’il stimule autant notre imagination est assurément un point fort. Le jeu nous laisse penser ce que l’on veut, imaginer toutes les possibilités envisageables à propos des multiples sous-entendus de l’histoire.

Pour le gameplay je ne m'y attarderais pas trop vu que ce n'est pas là l'intérêt d'un jeu. Il faut juste savoir que le système de magie a été un peu remanié, plus besoin d'en acheter ou d'en apprendre, il vous suffit désormais d'en voler à vos adversaires ou d'en récupérer un peu partout. Les invocations (G-Force) ont aussi changé, vous n’avez plus besoin de points de magie pour pouvoir les appeler, cette fois, elles ont aussi des PV, et tant qu’elles en auront, vous pourrez les appeler. Elles peuvent aussi apprendre des capacités grâce à des points de compétence (PDC) que vous recevrez après les combats.

Ce huitième opus des Final Fantasy est de toute évidence une oeuvre qui divise, mais pleine d’audace, car elle tranche sur de nombreux points avec ses prédécesseurs. Vous pourrez tout à fait ne pas l’apprécier à cause de son ambiance assez particulière, mais si vous accrochez à cette aventure singulière, vous risquez de ne plus la lâcher. Avec ses multiples qualités et sa grande profondeur de jeu, Final Fantasy VIII risque bien de marquer votre vie de joueur. Il reste un chef d’oeuvre, difficile à saisir, quelques fois incompris ou renié, mais un chef d’oeuvre qui a marqué son époque et plus encore.

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19/20
Gamstof
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Niveau 10
Posté le 13 sept. 2012 à 00:00

Sans doute l'un des cinq meilleurs Final Fantasy, et même davantage, mais il est difficile de se prononcer tant cette deuxième moitié des années quatre-vingt dix est prolifique pour le genre Rpg.
Ce FF mêle avec brio les thèmes de l'amour, de la guerre ainsi que du temps et accessoirement de la fraternité: Squall est un jeune étudiant à la BGU (une fac aux propriétés extraordinaires, un point fort indéniable du jeu: l'originalité) qui, partant pour la première fois dans une mission d'envergure afin de contrer l'ennemi (Galbadia), va apprendre ce que c'est que de compter sur autrui. Revenant de cette mission, après un repos mérité au moyen d'un bal pas forcément masqué, il aura pour cavalière une certaine Linoa qui ...
En bref, le thème du temps n'est initié qu'à partir de la fin du premier CD, et encore, mais c'est lui-même qui menacera le monde par un procédé assez classique mais efficace: un futur post-apocalyptyique. Votre mission, si vous l'acceptez, sera de contrecarrer ce pleutre qu'est le président de Galbadia ainsi qu'une vilaine sorcière, mais attention, les apparences sont souvent trompeuses !
Votre arsenal sera de taille, n'ayez crainte: les magies seront de la partie (à plusieurs niveaux, comme d'habitude) et pourront même s'équiper, ce qui augmentera vos compétences. Il en est de même pour les invocations, renommées pour l'occasion "G-Force", qui prendront une place un peu plus conséquente que dans FF VII par exemple.

On ne peut décidément pas se passer de Final Fantasy VIII, mais alors rien que pour la bande-son quoi ! Elle est sublime, éthérée, mystique. Fans, foncez ; non-fans de FF, testez, tâtez !

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19/20
Karasutengu
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Niveau 10
Posté le 24 déc. 2010 à 00:00

Ce jeu est tout bonnement excellent! Graphismes superbes, Histoire génial pleine d'émotions. Les personnages sont attachants. La bande-son est extraordinaire. Ce jeu est une réussite!
Très bon Final Fantasy, qui respecte l'esprit de la saga! Jeu que je conseille à tout fan de bons rpg.

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19/20
Pseudo supprimé
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Niveau 10
Posté le 27 mai 2013 à 00:00

Sortis en 1999, Final Fantasy VIII à eu la lourde tache de succéder à Final Fantasy VII , tache qu'il a su relevé avec brio , malgré le faites qu'on a moins parler de lui.

Tout commence lors d'une intro avec des images en noirs et blanc, puis, le menu ...

En commençant une nouvelle partie, vous aurait le droit à une cinématiques d'une qualité encore jamais vu pour l'époque, même pour Medievil, Tomb Raider ou autre jeux ayant des cinématiques magnifiques. De plus, les graphismes sont plus qu'excellent pour l'époque.

L'histoire commence avec Squall Leonhart qui est dans une sorte d'université militaire où on apprend à se battre et à maîtriser les G-Forces .
Plus tard, l'histoire prendre d'autre tournant avec une sorcière qui veut s'emparer de l'espace et du temps .
Bref, le scénario est plein de rebondissement et de surprise, de plus le Background est extrêmement riche, comme dans tout les Final Fantasy .

Le Gameplay n'est pas très innovant, à part les G-Forces, cela ressemble à d'autre Final Fantasy ...
Mais les combats ont l'air plus dynamiques qu'avant.

Rien à dire sur la Jouabilité ...

Les musiques sont tout simplement magnifiques, et colle toujours parfaitement avec le lieu .

La durée de vie est d'une centaine d'heure (sachant qu'on est obligé d'essayer les quêtes annexes, personnellement, je les est presque toutes faites, ce qui donne un peu moins de 200 heures).

Bref, ce jeu est INDISPENSABLE, surtout pour ceux qui aime les bons jeux .

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20/20
fananora
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Niveau 3
Posté le 09 mars 2012 à 00:00

Le meilleur des Final Fantasy pour moi!
J'adore l'histoire des seeds avec la sorcière.
Ont et surpris par la tournure que prend l'histoire, des moments intense.
Petit a petit Squall se dévoile et s'ouvre a ses amis.
Je le recommande fortement.

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