Même si c'est assez connu, pour le divertissement https://www.youtube.com/watch?v=s_s1N6KuPk4

J'ai retrouvé l'étude sur les hypothèses de dissolution de l'euro réaliser par Sapir et murer pour le think tank respublica fonder par chevènement ;
Je trouve cette etude très intéressante qui montre qu'on peut très bien se passer de la monnaie unique ou même d'une monnaie commune pour faire sortir l'europe en particulier la france et les pays du sud de l'europe de la crise ainsi que de l'austérité .
http://www.fondation-res-publica.org/etude-euro/#.VKWK8GK9KK0

Même si c'est assez connu, pour le divertissement https://www.youtube.com/watch?v=s_s1N6KuPk4
Tu cites un film réalisé par des libertariens à moitié taré?
Cocasse pour un marxiste ...
http://rationalwiki.org/wiki/The_American_Dream_%28film%29

Le 01 janvier 2015 à 19:14:35 neocons a écrit :
Même si c'est assez connu, pour le divertissement https://www.youtube.com/watch?v=s_s1N6KuPk4
Tu cites un film réalisé par des libertariens à moitié taré?
Cocasse pour un marxiste ...
http://rationalwiki.org/wiki/The_American_Dream_%28film%29

J'ai simplement dit que c'était divertissant, mais bon

Regarder un ramassis d'anerie n'as rien de divertissant sauf quand c'est soral qui a au moins le mérite d'etre drole

C'était "la dictature de la bonne pensée humoristique", par néocons.

Il ya 40 ans (avril 1975) il y a eu la chute de de saïgon en 2015 il y aura la chute de la commission européenne

Dommage que le sud vietnam soit tombé, enfin quand on sait qu'aujourd'hui le vietnam s'allie avec les usa et que le vietnam a repris le système économique du sud on se demande qui a gagné

Le 02 janvier 2015 à 20:41:43 neocons a écrit :
Dommage que le sud vietnam soit tombé, enfin quand on sait qu'aujourd'hui le vietnam s'allie avec les usa et que le vietnam a repris le système économique du sud on se demande qui a gagné

C'est vrai que les relations entre le Vietnam et les usa ce sont détendue grâce a leur peur commune de la chine qui menace le Vietnam sur l'affaire des îles Spratly .
Ça m'étonne que les américains respecte leurs anciens ennemis aussi rapidement et facilement mais je pense que c'est bien et ça pourrait encourager les pays de la région a se réconcilier a condition que les américains et les chinois abandonnent leur politique impérialiste dans la région ce qui ne sera pas facile mais c'est réalisable.

Que pensez-vous des partis souverainiste qui ce disent de gauche comme le Mpep et le Pcrf

Mpep j'aime bien, ils sont affilés à ATTAC je crois et ont comme projet de politiser les citoyens

En revanche, le PRCF.. marxisme-léninisme.. rejette l'autogestion.. soutient la Corée du Nord.. Ça m'inspire moins

Sinon dans l'absolu, je me répète, je pense pas que s'intéresser aux partis politiques puisse être intéressant puisqu'on le sait, y'en a qui proposent vraiment de bonnes choses, et c'est pour ça qu'ils sont pas plus médiatisés (voire médiatisés tout court) que ça, au nom du bipartisme

Le 04 janvier 2015 à 21:28:00 [Raised_Fist] a écrit :
Mpep j'aime bien, ils sont affilés à ATTAC je crois et ont comme projet de politiser les citoyens

En revanche, le PRCF.. marxisme-léninisme.. rejette l'autogestion.. soutient la Corée du Nord.. Ça m'inspire moins

Sinon dans l'absolu, je me répète, je pense pas que s'intéresser aux partis politiques puisse être intéressant puisqu'on le sait, y'en a qui proposent vraiment de bonnes choses, et c'est pour ça qu'ils sont pas plus médiatisés (voire médiatisés tout court) que ça, au nom du bipartisme

Le PCRF soutient la Corée du Nord ils sont paranos

Le topic des nationalistes non assumés

Le 05 janvier 2015 à 12:28:24 MartinTyler a écrit :
Le topic des nationalistes non assumés

C'est le topic des patriotes non libéraux et même anti capitaliste.
Le patriotisme c'est aimé son pays sans détester les autres pays alors on est pas nationaliste contrairement a toi qui se met à genoux devant Zemmour pour haïr les autres selon leur origines ou religion .
Alors on assume d'être des souverainiste pas comme toi qui n'assume pas d'être un haineux mais quand moins haineux que les gars d'actu .

La gauche radicale et ses tabous, d'Aurélien Bernier, est un bon résumé de la situation pour la gauche souverainiste en France. Ce genre de lecture, avec les papiers de Lordons dans le Diplo ou ses bouquins et (trop rares) interventions radio ou télé, ça fait un bien fou

J'en profite pour partager cet article, tout simplement brillant, et en accès libre :
http://www.monde-diplomatatique.fr/2014/09/LORDON/50752

Voici l'extrait qui évoque l'importance de l'échelle nationale pour toute réalisation concrète et véritable d'un pouvoir de gauche :

Il reste la question de l’échelle territoriale pertinente où poser ce rapport de situation avec le capital. Nationale, européenne, autre ? Il est assez clair que le choc des souverainetés et l’engagement d’un rapport de puissances où la gauche trouve sa définition supposent, du côté qui conteste l’imperium du capital, une densité politique, densité d’interactions concrètes, de débats, de réunions, d’actions organisées, dont on voit mal que, reposant sur la communauté de langue, elle ne trouve son lieu privilégié dans l’espace national.

En juin dernier, la Coordination des intermittents et précaires d’Ile-de-France (CIP-IDF) envahit le chantier de la Philharmonie de Paris pour y rencontrer des travailleurs, évidemment clandestins pour bon nombre d’entre eux et venus d’une multitude de pays. A la peur que leur inflige leur condition ultraprécarisée s’ajoute l’impossibilité totale de se parler, de se comprendre, donc de se coordonner et de lutter. Et c’est une masse inconsistante et désemparée qui se trouve offerte au despotisme patronal, lequel sait très bien diviser linguistiquement pour mieux régner. C’est donc là un cas presque pur d’internationalisme prolétarien en situation. Et, de fait, un cas de totale impuissance.

Au risque de froisser la sensibilité des cadres altermondialistes, bi- ou trilingues, habitués des voyages et portés à penser que leurs capacités sont universellement partagées, l’action internationale, qui est tout à fait possible, et même tout à fait souhaitable, ne saurait avoir la même densité et, partant, la même extension, ni le même impact, que l’action d’abord nationale. Laquelle n’exclut certainement pas, au contraire, les vertus complémentaires de la contagion et le renfort de l’émulation transfrontière. Il ne se formera donc pas une gauche — qui serait d’emblée postnationale. Il se formera des gauches, localement ancrées et cependant hautement désireuses de se parler et de s’épauler.

Il n’y a que les postures d’universitaires, inconscients de la particularité de leur position sociale, pour ignorer à ce point les conditions concrètes de l’action concrète. Et pour renvoyer d’un mouvement de mépris tout ce qui s’élabore dans l’espace national, soit, en passant, la quasi-totalité des luttes effectives — et non rêvées — qui s’y mènent. C’est-à-dire pour poursuivre éternellement la chimère de l’« international », cet espace indéterminé et sans forme, quand la politique anticapitaliste ne peut être qu’inter/-/nationale.

Le 05 janvier 2015 à 12:46:13 frede69 a écrit :

Le 05 janvier 2015 à 12:28:24 MartinTyler a écrit :
Le topic des nationalistes non assumés

C'est le topic des patriotes non libéraux et même anti capitaliste.
Le patriotisme c'est aimé son pays sans détester les autres pays alors on est pas nationaliste contrairement a toi qui se met à genoux devant Zemmour pour haïr les autres selon leur origines ou religion .
Alors on assume d'être des souverainiste pas comme toi qui n'assume pas d'être un haineux mais quand même moins haineux que les gars d'actu .

Le 05 janvier 2015 à 15:11:29 viva_MUSE a écrit :
J'en profite pour partager cet article, tout simplement brillant, et en accès libre :
http://www.monde-diplomatatique.fr/2014/09/LORDON/50752

Voici l'extrait qui évoque l'importance de l'échelle nationale pour toute réalisation concrète et véritable d'un pouvoir de gauche :

Il reste la question de l’échelle territoriale pertinente où poser ce rapport de situation avec le capital. Nationale, européenne, autre ? Il est assez clair que le choc des souverainetés et l’engagement d’un rapport de puissances où la gauche trouve sa définition supposent, du côté qui conteste l’imperium du capital, une densité politique, densité d’interactions concrètes, de débats, de réunions, d’actions organisées, dont on voit mal que, reposant sur la communauté de langue, elle ne trouve son lieu privilégié dans l’espace national.

En juin dernier, la Coordination des intermittents et précaires d’Ile-de-France (CIP-IDF) envahit le chantier de la Philharmonie de Paris pour y rencontrer des travailleurs, évidemment clandestins pour bon nombre d’entre eux et venus d’une multitude de pays. A la peur que leur inflige leur condition ultraprécarisée s’ajoute l’impossibilité totale de se parler, de se comprendre, donc de se coordonner et de lutter. Et c’est une masse inconsistante et désemparée qui se trouve offerte au despotisme patronal, lequel sait très bien diviser linguistiquement pour mieux régner. C’est donc là un cas presque pur d’internationalisme prolétarien en situation. Et, de fait, un cas de totale impuissance.

Au risque de froisser la sensibilité des cadres altermondialistes, bi- ou trilingues, habitués des voyages et portés à penser que leurs capacités sont universellement partagées, l’action internationale, qui est tout à fait possible, et même tout à fait souhaitable, ne saurait avoir la même densité et, partant, la même extension, ni le même impact, que l’action d’abord nationale. Laquelle n’exclut certainement pas, au contraire, les vertus complémentaires de la contagion et le renfort de l’émulation transfrontière. Il ne se formera donc pas une gauche — qui serait d’emblée postnationale. Il se formera des gauches, localement ancrées et cependant hautement désireuses de se parler et de s’épauler.

Il n’y a que les postures d’universitaires, inconscients de la particularité de leur position sociale, pour ignorer à ce point les conditions concrètes de l’action concrète. Et pour renvoyer d’un mouvement de mépris tout ce qui s’élabore dans l’espace national, soit, en passant, la quasi-totalité des luttes effectives — et non rêvées — qui s’y mènent. C’est-à-dire pour poursuivre éternellement la chimère de l’« international », cet espace indéterminé et sans forme, quand la politique anticapitaliste ne peut être qu’inter/-/nationale.

Lordon

On parle pas beaucoup de la loi de 1973 qui a contraint la France a emprunté de l'argent sur les marchés financiers plutôt que d'emprunter a la banque de France a des taux plus avantageux ce qui est une atteinte a la souveraineté économique de la France.
http://m.leplus.nouvelobs.com/contribution/213182-dette-publique-et-loi-rothschild-le-silence-des-medias.html#http://l.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fleplus.nouvelobs.com%2Fcontribution%2F213182-dette-publique-et-loi-rothschild-le-silence-des-medias.html&h=2AQF3i6aw
Je prône la suppression de cette loi et vous ?