Le 03 avril 2022 à 00:55:54 :
Davos :

https://www.youtube.com/watch?v=B6d1RLHeglI
"Le cobide est critique parce que c'est ce qui convaint les gens à accepter la surveillance biométrique totale. Si on veut arrêter cette pandémie, on ne doit pas seulement surveiller les gens, mais aussi ce qui se passe sous leur peau"

J'ai envie de dire quelque chose mais je n'ai aucune envie de me faire ddb

Le 03 avril 2022 à 14:47:55 :
Non mais en fait on a perdu la partie.

Préparez vous.

2023 n'aura pas lieu.

8 jours, certainement un fake pseudo mais c'est bien imité j'avoue

Le 03 avril 2022 à 17:47:53 :

Le 03 avril 2022 à 14:47:55 :
Non mais en fait on a perdu la partie.

Préparez vous.

2023 n'aura pas lieu.

8 jours, certainement un fake pseudo mais c'est bien imité j'avoue

Coucou Hannormal

Le 05 avril 2022 à 14:52:55 :

Le 05 avril 2022 à 14:39:44 Sars-KIauss22 a écrit :

Le 03 avril 2022 à 17:47:53 :

Le 03 avril 2022 à 14:47:55 :
Non mais en fait on a perdu la partie.

Préparez vous.

2023 n'aura pas lieu.

8 jours, certainement un fake pseudo mais c'est bien imité j'avoue

Coucou Hannormal

il fut banni
il ne l'est plus
c'est pour sa qu'il était pas présent

Hannormal qui se mange des ddb depuis quelques mois, + qu'en 14 ans de JVC ptdrr

C'est vrai que c'est pas comme si je faisais des pseudos à la chaine.

Coronavirus: «Dès que le pic de la vague actuelle sera passé, on pourra lever les dernières mesures»

Depuis le 1er avril, les Régions ont repris la gestion de l’épidémie de coronavirus. Du moins ce qu’il en reste. La ministre wallonne de la Santé Christie Morreale reste inquiète de la faible vaccination au niveau mondial et craint un « effet boomerang ». En attendant, elle s’attaque à ses autres dossiers.

Christie Morreale reste vigilante: «Le taux de reproduction du virus est toujours supérieur à 1. On recense une vingtaine de décès par jour. On ne peut pas dire que le virus n’existe plus.»
Christie Morreale reste vigilante: «Le taux de reproduction du virus est toujours supérieur à 1. On recense une vingtaine de décès par jour. On ne peut pas dire que le virus n’existe plus.» -

Sur les trois années qu’elle vient de passer à gérer la Santé des Wallons, Christie Morreale (PS) en a passé deux à tenter de les protéger du coronavirus. La page de la pandémie n’est pas encore tout à fait tournée mais la ministre wallonne se veut rassurante, sans toutefois cacher que le scénario du pire avec un nouveau variant plus dangereux est toujours envisagé.

L’Espagne considère qu’il faut gérer le covid comme la grippe. Vous êtes dans le même état d’esprit ?

Tant mieux pour celui qui considère que le covid, c’est fini. Mais la réalité est qu’on ne le sait pas. On peut imaginer que durant les mois à venir, nous allons pouvoir être tranquilles grâce à l’effet de saisonnalité. A la rentrée, on espère aussi que le virus va s’essouffler, notamment grâce à la bonne protection de la population.

Qu’attend-on pour désactiver le baromètre et supprimer le masque partout ?

Que le pic de la vague que nous connaissons actuellement soit passé. Le taux de reproduction du virus est toujours supérieur à 1. On recense une vingtaine de décès par jour. On ne peut pas dire que le virus n’existe plus. Après, on a vu que sept pays européens ont atteint le pic. Quand cela redescendra chez nous, on l’espère ce printemps, nous pourrons lever les dernières mesures.

Quel niveau de vigilance doit-on conserver ?

On réfléchit toujours à la manière dont on va continuer à tester. On doit continuer à surveiller les variants qui pourraient surgir. On doit aussi être interpellé par le fait que de nombreux pays ne sont pas protégés du covid. Les dons bilatéraux de vaccins n’ont plus beaucoup de succès. Or, il est important de convaincre toutes les populations de l’importance de se protéger pour éviter la résurgence de variants qui pourraient naître sur d’autres continents et nous revenir comme un boomerang. On ne peut pas baisser la garde. Comme le dit l’OMS, personne ne sera protégé tant que tout le monde ne sera pas protégé.

Vous êtes inquiète ?

Oui parce qu’on constate un phénomène d’arrêt de la vaccination à l’échelle mondiale. Beaucoup de pays ne souhaitent plus recevoir de vaccins. Ils ne sont pas demandeur alors que le taux de vaccination est extrêmement faible.

Que faire ? Jeter les doses à la poubelle ?

Il faut surtout comprendre où ça bloque. Pourquoi les citoyens n’en veulent pas. On comprend qu’en Iran, ils refusent ce qui est américain donc le Pfizer. En Ukraine, le taux très bas s’explique par la réticence à l’égard de ce qui est russe, comme le vaccin Spoutnik. D’ailleurs, ceux qui arrivent ici sont enclins à se faire vacciner.

Neuf centres sont encore ouverts. Ils tournent à vide ?

Il y a quand même encore 2.000 personnes qui viennent chercher leur troisième dose chaque semaine. Les primo vaccinations sont sporadiques, on ne fait plus que des rappels. Il est vrai que les médecins, infirmiers et logisticiens se tournaient les pouces à la fin quand les 30 centres étaient ouverts. On a donc limité les créneaux au samedi et un jour par semaine. On va également mettre en place une phase de test pour vacciner dans les pharmacies et chez les généralistes.

Et pour la suite ?

Cinq scénarios ont été établis. Le plus probable est qu’en septembre, on commence à vacciner les populations à risques. Une étude récente venue d’Israël montre que la seconde dose de rappel est efficace pour réduire les hospitalisations. Elle permet d’éviter les formes sévères et les décès mais les vaccins ne sont pas à la hauteur des attentes au niveau des contaminations ou recontaminations. Cela n’est pas grave quand on est face à un variant comme omicron qui au final nous donne des anticorps sans saturer les hôpitaux ni handicaper la vie en société. On verra lors de la prochaine conférence interministérielle si on doit demander l’avis du Conseil supérieur de la santé sur cette 4e dose. On suivra les avis des scientifiques mais il ne faudra pas vacciner trop tôt.

Vacciner tout le monde ?

Cela dépend des scénarios. Avec omicron, l’important sera de protéger les plus fragiles dans les centres résidentiels, les maisons de repos, le personnel de soins, les seniors, etc. Pour la population générale, on verra, on s’adaptera. Le scénario catastrophe où il faut revacciner en un minimum de temps existe. On espère juste ne pas devoir le ressortir.

Les Régions pourront gérer seules cette fois ?

J’ai toujours vu Frank Vandenbroucke (ministre fédéral de la Santé, NDLR) comme le pilote et moi sa copilote. Nous étions en contact permanent car tout est intrinsèquement lié. Les Régions appliquent les décisions qui sont prises au fédéral. C’est un système efficace mais puisqu’on n’est plus en période pandémique, nous devons mettre en place différentes choses comme le renforcement des services de tracing de l’Aviq. On est passé de 3 personnes en mars 2020 à 28 médecins, infirmièr.es et diplômés en santé publique qui peuvent gérer le tracing. Un marché-cadre peut aussi être actionné à tout moment pour augmenter de manière plus souple la recherche des cas contacts et une cellule de veille continue à exister.

La vaccination obligatoire, on laisse tomber ?

Le travail n’a pas servi à rien car le débat pourrait revenir en cas de résurgence de l’épidémie. Après, on voit qu’aucun pays européen n’a finalement pris cette décision. Quant aux soignants, on voit que cela est bancal au niveau juridique. Si le fédéral juge que cette obligation est nécessaire, il devra en assumer l’assise juridique. N’ouvrons pas la voie à des discriminations.

Ni à un retour du CST alors ?

Personne dans la majorité n’a dit qu’il ne reviendrait jamais. Il ressort d’une évaluation du commissariat corona que le CST a permis d’augmenter le taux de vaccination de 5 % entre son annonce et sa mise en place. Cela a aussi été un outil de réduction des risques, notamment durant la vague delta. Le problème du CST est qu’une partie de son bénéfice a été supprimée par le non-respect des gestes barrières. Omicron a aussi remis en cause l’efficacité vaccinale sur la transmission, il faut pouvoir l’admettre. On a donc enlevé le CST dès que la situation l’a permis. Tous les pays de l’Union européenne ont utilisé cet outil. Il n’était pas magique mais il n’était pas non plus hypocrite comme on a pu l’entendre. On doit encore analyser l’impact du CST sur le plan éthique au parlement wallon. Je sais qu’il a pu cristalliser les relations entre vaccinés et non-vaccinés. Personne n’a envie de prendre ce genre de mesure difficile mais il était nécessaire à ce moment-là. Il faut parfois prendre ses responsabilités, comme quand j’ai dû fermer les maisons de repos le 11 mars 2020. La date est gravée en moi car cela a été la décision la plus difficile de toute cette crise.

Des maisons de repos secouées aussi par le scandale Orpéa. Qu’ont donné les audits menés par l’Aviq ?

Les premières enquêtes menées juste après les révélations ont été un peu biaisées car le groupe s’attendait à ces inspections. On a laissé passer du temps et l’Aviq est repassée trois semaines plus tard de manière inopinée. Des établissements ont été mis sous surveillance rapprochée mais on n’a pas à ce stade d’éléments qui nécessitent un transfert d’informations vers le Parquet. Néanmoins, ce scandale montre qu’au-delà des normes d’encadrement qui sont du ressort de la Région, il y a lieu de travailler sur le bien-être des résidents que ce soit au niveau des activités et bien évidemment de la nourriture.

La réforme des soins de première ligne, c’est le prochain gros chantier ?

Absolument. Un questionnaire sera lancé le mois prochain à destination des professionnels de la première ligne et des groupes de travail participatifs seront organisés au mois de juin. On doit décloisonner le secteur médical pour mieux répondre au besoin du patient. La pandémie nous a sans doute fait gagner 5 à 10 ans. Elle a montré la corrélation entre le succès des campagnes de prévention comme la vaccination et le suivi médical des personnes en amont. Cette réforme est très importante à mes yeux, je veux pouvoir céder mon mandat en ayant réformé l’organisation de la première ligne.

Le 05 avril 2022 à 14:39:44 :

Le 03 avril 2022 à 17:47:53 :

Le 03 avril 2022 à 14:47:55 :
Non mais en fait on a perdu la partie.

Préparez vous.

2023 n'aura pas lieu.

8 jours, certainement un fake pseudo mais c'est bien imité j'avoue

Coucou Hannormal

Je ne suis pas Hannormal

Vers un bel été? Probablement, mais “la fin du Covid, ce n’est malheureusement pas pour demain”

Le pic de la dernière vague Covid-19 du variant BA.2 est en vue, a affirmé le biostatisticien Geert Molenberghs sur HLN LIVE. “En termes de nombre d’infections, le pic a déjà été atteint”, a-t-il déclaré. Selon Molenberghs, nous pourrions profiter du printemps et de l’été sans prendre trop de mesures. De son côté, Yves Van Laethem considère lui aussi que les prochains mois seront normalement dépourvus de quasiment toutes mesures. Cependant, il reste quand même prudent pour la suite. “La fin du Covid ce n’est malheureusement pas pour demain.”

Bonne nouvelle: le nombre de nouvelles infections dans notre pays est de nouveau en baisse, selon les chiffres les plus récents de l’institut de santé Sciensano. De même, en ce qui concerne le nombre d’admissions à l’hôpital, la tendance à la hausse semble s’inverser lentement, mais ces chiffres ont, comme toujours, un peu de retard.

“Le pic de la vague BA.2 semble être en vue et, en termes d’infections, nous l’avons déjà atteint”, déclare M. Molenberghs. “Nous avons pu faire face sans trop de mesures cette fois-ci, grâce à notre immunité que nous avons construite par le biais de vaccinations, de rappels et d’infections éventuelles, de sorte que la maladie n’entraîne plus nécessairement quelque chose de grave et que moins de patients doivent être hospitalisés. De plus, de nombreuses personnes continuent à rester prudentes.”

“On a l’impression que petit à petit on arrive au sommet de notre vague BA.2, même si c’est encore un peu trop tôt pour en être sûr”, déclare Yves Van Laethem en regard aux contaminations. “Au niveau des autres marqueurs classiques que l’on suit, les hospitalisations continuent un petit peu à augmenter et on observe un petit crochet vers le haut au niveau des soins intensifs, mais j’ai l’impression qu’on aura la même situation qu’on a connu avec le BA.1; c'est-à-dire un crochet extrêmement court et peu important.”, a-t-il ajouté.

Printemps et été

Selon M. Molenberghs, “le printemps et l’été pourraient se dérouler sans trop de mesures. Pour l’automne, cependant, cela dépendra de beaucoup de choses. Les conditions météorologiques changeantes et l’augmentation des contacts rendent cette période plus difficile. Espérons que cette fois-ci, ce ne sera pas aussi grave que l’hiver dernier.”

Il faudra attendre le prochain Codeco, après les vacances de Pâques, pour connaître le sort réservé aux mesures sanitaires. Néanmoins, Yves Van Laethem nous donne déjà sa prévision: “Ces mesures vont fortement être influencées par le fait que, justement, on aura, ou pas, une diminution du nombre de cas et pas d’impact sur les hospitalisations dans les semaines qui viennent. Si on est dans le bon sens, on peut espérer que les dernières mesures qui existent encore soient levées. Peut-être pas immédiatement, mais dans les semaines qui vont suivre.”
Rester sur le qui-vive face à un variant très contagieux

“Le problème d’un nouveau variant très contagieux, c’est qu’on ne sait jamais s’il va apparaître ou pas. C’est une loterie. Il peut apparaître n’importe où, plus spécifiquement dans les pays qui ont un taux de vaccination relativement faible et dans lesquels le virus circule encore de manière totalement libre en se multipliant tant qu’il le veut. Donc oui, je pense qu’il faut le craindre, il faut surveiller son apparition éventuelle par le réseau des laboratoires qui existent et qui devront rester pendant les mois voir les années qui viennent sur le qui-vive, de manière à repérer, où que ce soit, un nouveau variant qui puisse être plus agressif et au plus tôt permettre de donner le signal d’une vaccination ou d’une modification des vaccins.” annonce Van Laethem.

Vers une quatrième dose pour tout le monde?

On le sait, plus le temps s'écoule, moins l’efficacité des vaccins ou simplement de nos défenses restent efficaces. C’est pour cette raison qu’il y aura probablement une nouvelle salve de vaccination d’ici l’automne.

“Concernant la vaccination par un deuxième boost ou une quatrième dose pour la population non immunodéprimée, il existe une perception globale que devront être revaccinés quasi avec certitude, ne fut-ce que par précaution, les personnes les plus fragiles. C'est-à-dire les personnes de plus de 65 ans et probablement les personnes avec des facteurs de comorbidités. Pourquoi? Parce que l’on craint, sans avoir la certitude, de voir se répéter à nouveau, dès l’automne, des schémas que l’on a connus en 2020 et en 2021 avec des vagues virales. Par précaution, je pense que cette année-ci, on va recommander cette vaccination automnale assez précoce de ces personnes”, explique Yves Van Laethem.

Est-ce que cela veut pour autant dire que toutes les autres personnes, plus jeunes, en bonne santé ainsi que les enfants, devront être vaccinées? Le spécialiste des maladies infectieuses ne le pense pas. “C’est loin d’être certain parce qu’au vu des caractéristiques actuelles de ce qui circule, il n’y a pas de raison de penser qu’ils aient une baisse de leur protection concernant les formes sévères déjà rares dans le groupe en question. De plus, on le sait, le vaccin protège malheureusement mal contre la transmission et donc il est fort probable que, sous réserve de nouveaux vaccins qui protègent mieux contre la transmission, d’un nouveau variant exigeant un moyen supplémentaire de protection, le reste de la population ne devra pas être couvert à l’automne.”

La fin du Covid? Malheureusement pas pour tout de suite

Lorsqu'on pose la question de la fin du Covid, Yves Van Laethem est assez catégorique quant à un espoir à court terme. “La fin du Covid, ce n’est malheureusement pas pour demain. On ne sait pas quand, mais je pense qu’on en a encore pour de très nombreux mois ou années avant de mieux voir la fin du tunnel. Il est encore trop tôt pour se prononcer. C’est encore une sorte d’année de transition. 2020 a été l’année de l’invasion, 2021 celle de la résistance grâce entre autres à la vaccination, pour 2022 il faudra voir comment nos lignes de défenses parviennent à tenir devant l’ennemi et on pourra peut-être mieux voir les choses à partir de 2023.

Le 05 avril 2022 à 14:52:55 :

Le 05 avril 2022 à 14:39:44 Sars-KIauss22 a écrit :

Le 03 avril 2022 à 17:47:53 :

Le 03 avril 2022 à 14:47:55 :
Non mais en fait on a perdu la partie.

Préparez vous.

2023 n'aura pas lieu.

8 jours, certainement un fake pseudo mais c'est bien imité j'avoue

Coucou Hannormal

il fut banni
il ne l'est plus
c'est pour sa qu'il était pas présent

Hannormal qui se mange des ddb depuis quelques mois, + qu'en 14 ans de JVC ptdrr

T'es le seul à remarquer ça.
Coïncidence ?

C'est évident qu'il est le GA !

Rho bordel

Le 05 avril 2022 à 21:10:31 :

Le 05 avril 2022 à 18:42:14 --hannormal-- a écrit :

Le 05 avril 2022 à 14:52:55 :

Le 05 avril 2022 à 14:39:44 Sars-KIauss22 a écrit :

Le 03 avril 2022 à 17:47:53 :

> Le 03 avril 2022 à 14:47:55 :

> Non mais en fait on a perdu la partie.

>

> Préparez vous.

>

> 2023 n'aura pas lieu.

8 jours, certainement un fake pseudo mais c'est bien imité j'avoue

Coucou Hannormal

il fut banni
il ne l'est plus
c'est pour sa qu'il était pas présent

Hannormal qui se mange des ddb depuis quelques mois, + qu'en 14 ans de JVC ptdrr

T'es le seul à remarquer ça.
Coïncidence ?

C'est l'indien pâle qui m'a MP ton bannissement.
Mais oui, j'ai déjà réussi à te faire ban également une fois.

Mon kiff serait de réussir un ban def d'un des habitués.
J'avais réussi en 2020 avec MaureenLouys mais il a fait ouin ouin à l'administration et il est revenu

Il avoue ddb à foison et vouloir faire tomber les autres pseudos. Donc les ddb de Duke, Hannormal, ML et Courgette c'est toi

Ainsi que mon premier compte aussi j'imagine

Le 05 avril 2022 à 21:28:16 :

Le 05 avril 2022 à 21:23:56 RajuGurung4 a écrit :

Le 05 avril 2022 à 21:10:31 :

Le 05 avril 2022 à 18:42:14 --hannormal-- a écrit :

Le 05 avril 2022 à 14:52:55 :

> Le 05 avril 2022 à 14:39:44 Sars-KIauss22 a écrit :

> > Le 03 avril 2022 à 17:47:53 :

> > > Le 03 avril 2022 à 14:47:55 :

> > > Non mais en fait on a perdu la partie.

> > >

> > > Préparez vous.

> > >

> > > 2023 n'aura pas lieu.

> >

> > 8 jours, certainement un fake pseudo mais c'est bien imité j'avoue

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> Coucou Hannormal

il fut banni
il ne l'est plus
c'est pour sa qu'il était pas présent

Hannormal qui se mange des ddb depuis quelques mois, + qu'en 14 ans de JVC ptdrr

T'es le seul à remarquer ça.
Coïncidence ?

C'est l'indien pâle qui m'a MP ton bannissement.
Mais oui, j'ai déjà réussi à te faire ban également une fois.

Mon kiff serait de réussir un ban def d'un des habitués.
J'avais réussi en 2020 avec MaureenLouys mais il a fait ouin ouin à l'administration et il est revenu

Il avoue ddb à foison et vouloir faire tomber les autres pseudos. Donc les ddb de Duke, Hannormal, ML et Courgette c'est toi

Ainsi que mon premier compte aussi j'imagine

je me souviens pas de tout, j'ai un cerveau digne de oeufs brouillés en préparation en ce moment

Mais oui, j'ai déjà réussi à ban Duke 1x. Et une seconde fois en ayant boost, donc ça compte pas vraiment.
Et j'ai déjà fait ban dans la même journées les 2 comptes principaux de Caledon 30jours, j'en suis très fier de cet exploit.

Avec tout les bans, logique que tu ne t'en souvienne pas

Merci d'arreter de te faire passer pour moi, Faustatix

Peut-on attraper deux fois Omicron ? Yves Van Laethem répond

Alors que tous les voyants de l’épidémie étaient au rouge fin mars, la situation semble s’améliorer en ce début de semaine.

Selon les derniers chiffres publiés par Sciensano, les nouvelles contaminations sont à la baisse, une première depuis quelques semaines. Et depuis quelques semaines, un nouveau phénomène est observé sur le terrain, les cas de réinfection au variant Omicron. Plusieurs spécialistes rapportent en effet des cas rapprochés de réinfection avec les deux variants BA.1 et BA.2, tous deux issus de la lignée Omicron. "C’est tout à fait possible, indique l’infectiologue Yves Van Laethem. Il est de plus en plus décrit que l’immunité n’est que partielle et qu’on peut être infecté par un BA.1 puis un BA.2 en l’espace d’un mois ou deux. Dans l’immense majorité des cas, il s’agit de deux infections banales."

D’ailleurs, les agences sanitaires se montrent assez rassurantes par rapport au risque de contamination à deux reprises. "L’immunité liée à l’infection n’est pas suffisante pour empêcher malgré tout une petite infection par la suite, c’est souvent local et sur les voies respiratoires. Si cela peut donner des symptômes, ce n’est jamais un torrent inflammatoire. D’ailleurs, si on n’avait pas tout ce passif avec le Covid-19, on serait indifférents et on se dirait qu’on a eu trois rhumes en l’espace de quelque temps et basta", explique-t-il.

Coronavirus: pourquoi le variant BA.2 pourrait stopper le déconfinement

Même si les contaminations sont en légère baisse, les hospitalisations restent dans le rouge et poussent les experts à envisager de resserrer à nouveau la vis. Côté politique, on attend de voir l’évolution d’ici le prochain Codeco fixé au 22 avril.

La situation dans les soins intensifs reste relativement stable et gérable (185 patients) mais on conserve toujours 3.000 personnes hospitalisées.

Un retour au code orange pour le baromètre covid ? L’alerte lancée dans les colonnes du quotidien flamand De Morgen par l’infectiologue Erika Vlieghe et le virologue de la KUL Marc Van Ranst a pu en étonner certains. Il faut y voir un dernier coup de semonce des experts du Gems, ceux qui conseillent depuis deux ans le gouvernement dans sa lutte contre le virus. Le groupe sera dissous d’ici la fin de cette semaine mais il a laissé un dernier rapport sur la table du commissariat corona à destination des membres du Comité de concertation. Ce rapport n’est pas public, mais on nous confirme à plusieurs sources qu’il incite les autorités à envisager de repasser au code orange lors de la prochaine réunion du 22 avril prochain. Du moins si la situation sanitaire ne s’améliore pas d’ici là.

1. Quelle est la situation actuelle ?

Le dernier rapport du laboratoire de surveillance génomique de la KULeuven est formel : le variant BA.2 d’Omicron représente aujourd’hui 95 % des nouvelles infections diagnostiquées en Belgique. Plus transmissible encore que la souche originale, ce sous-variant est à l’origine de la remontée des contaminations observée ces dernières semaines mais qui tend à décélérer. Le dernier rapport épidémiologique de Sciensano note une baisse des infections de 7 % sur une semaine, le pic semble passé.

Une tendance qui ne s’observe pas encore dans les hôpitaux où la hausse des admissions continue (+4 %) même si elle semble ralentir. « La situation dans les hôpitaux fluctue beaucoup d’une région à l’autre, d’un établissement à l’autre et parfois d’un jour à l’autre », explique Marcel Vander Auwera, président du comité « Hospital and Surge capacity ». « La remontée des admissions observée en Flandre la semaine dernière s’est calmée mais cela commence à démarrer en Wallonie du côté de Namur et du Luxembourg où l’on observe parfois des hausses de 40 à 50 % sur une semaine. La situation dans les soins intensifs reste relativement stable et gérable (185 patients) mais on conserve toujours 3.000 personnes hospitalisées. Parmi celles-ci, environ la moitié a le covid mais n’est pas hospitalisée pour cette raison. Mais dans les faits, pour le personnel hospitalier, cela ne change rien. Ces patients exigent toujours un isolement et des précautions particulières avec la difficulté qu’on ne peut pas les rassembler comme dans les soins intensifs puisqu’on ne peut pas mettre une femme enceinte avec un opéré du genou. Ils viennent donc s’ajouter à la charge habituelle de chaque service et cela complexifie la logistique. »

2. Est-ce inquiétant ?

Cela dépend des points de vue. Le virologue et porte-parole interfédéral Steven Van Gucht (Sciensano) se range plutôt du côté des optimistes. « La tendance est plutôt porteuse d’espoir et c’est assez logique. Les vacances de Pâques devraient contribuer à calmer la remontée des chiffres et donner de l’espace aux hôpitaux. Évidemment, si on se rend compte après les congés, dans la perspective du Comité de concertation du 22 avril, que cela continue à monter, il faudra réévaluer la situation. »

Marcel Vander Auwera se montre, lui, plus prudent. « Les hôpitaux font face à une conjonction de situations qui peut les mettre en difficulté », dit-il. « Ils ont à traiter la remontée des covid et l’arrivée de la grippe, des pathologies qui touchent aussi le personnel. Or, celui-ci est déjà en effectif réduit en raison des vacances scolaires. On pourrait se dire que c’est l’histoire de deux semaines mais dans quelle mesure le retour des vacances, notamment au ski, et la reprise scolaire ne vont à nouveau relancer les contaminations ? »

Par ailleurs, les experts gardent aussi à l’œil la baisse d’efficacité des vaccins et son impact potentiel sur les plus de 65 ans vaccinés depuis plus de 6 mois. La question d’une 4e dose pour ce public sera d’ailleurs analysée par les ministres de la Santé dans les prochains jours.

3. Qu’en disent les politiques ?

Pas grand-chose… Plusieurs ministres se refusent à commenter pour l’instant, estimant qu’il est trop tôt pour se prononcer sur ce qu’il faudra décider le 22 avril. C’est notamment le cas du côté du ministre-président wallon Elio Di Rupo. D’autres n’envisagent guère le code orange. Le vice-Premier Ecolo Georges Gilkinet s’avance un peu, estimant qu’il ne voit aucune raison de ressortir le CST des oubliettes. Il compte toutefois profiter du prochain Codeco pour inviter ses collègues à travailler sur la question de l’immunité conservée après l’infection. Il a d’ailleurs demandé au KCE (Centre fédéral d’expertise des soins de santé) qu’une étude sur l’immunité « naturelle » soit réalisée. « On en parle beaucoup mais le sujet n’est pas suffisamment documenté. »

Toujours plus prudent, le ministre fédéral de la Santé Frank Vandenbroucke mettait en garde ce week-end dans une interview à Sudinfo : « On ne doit pas oublier qu’il y a toujours ce virus qui circule. Dans certains hôpitaux, ça devient compliqué. Ce n’est pas une raison pour repasser au code orange demain, mais il faut être prudent. Et si la situation se dégrade fortement, le code orange reviendrait sur la table. »

4. Que changerait le retour à l’orange ?

On le rappelle, le passage d’une couleur à l’autre n’a rien d’automatique. Si les ministres décident de remonter d’un cran le niveau d’alerte en passant du jaune à l’orange, ils pourront puiser dans une série de mesures possibles, comme le retour du masque en intérieur, des jauges maximales dans certains lieux et même le Covid Safe Ticket. Ce dernier a toutefois très peu de chance de réussir son come-back dans les prochaines semaines. Les débats sur son utilité n’ont toujours pas eu lieu dans les travées parlementaires et il a été jugé illégal en Wallonie. Il faudrait par ailleurs que toutes les entités fédérées votent de nouveaux textes pour encadrer son utilisation, ce qui est loin d’être acquis.

Ce qui semble par contre certain, c’est que le prochain Codeco ne devrait pas envoyer le baromètre-covid aux orties. La plupart des experts plaident d’ailleurs pour que sa durée de vie prévue jusqu’au 30 juin soit allongée jusqu’à la fin de l’année, les craintes portant surtout sur une reprise de l’épidémie à l’automne.

Le 07 avril 2022 à 11:10:07 :
Toujours sur scène Vandenbroucke ?

Coucou Prostatix

Prêts à remettre la muselière et à la quatrième dose pour avoir accès aux lieux publics les kheys ?

Covid-19 : des femmes accusent le vaccin, "l'ablation de l'utérus, c'est la seule solution qui se présentait à moi"
https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/covid-19-des-femmes-accusent-le-vaccin-l-ablation-de-l-uterus-c-est-la-seule-solution-qui-se-presentait-a-moi-2518184.html

Le 07 avril 2022 à 12:17:02 :
Covid-19 : des femmes accusent le vaccin, "l'ablation de l'utérus, c'est la seule solution qui se présentait à moi"
https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/covid-19-des-femmes-accusent-le-vaccin-l-ablation-de-l-uterus-c-est-la-seule-solution-qui-se-presentait-a-moi-2518184.html

Fake! C'est à cause des Kinder

https://www.7sur7.be/belgique/un-comite-de-concertation-annonce-le-code-orange-le-cst-et-le-masque-bientot-de-retour~a7fb0e42/
Les virolox veulent un retour du CST et du masque pour le codecon fin du mois