Le 17 mars 2022 à 20:23:30 :

Le 17 mars 2022 à 10:30:38 :
Avec tout ce qu'on sait à l'heure d'aujourd'hui, Omicron est inoffensif et n'a tué personne en dessous de 60 ans, l'inéfficacité totale des vaccins hormis les personnes à risques ou très agées ( et encore...)

Véran qui annonce lui même que le rebond épidémique est SIMILAIRE aux pays qui ont conservé toutes les restrictions, pass vaccinal et compagnie, donc ça prouve bien que tout leur cirque est INUTILE.

A quel putain de moment tu peux encore oser imposer quoi que ce soit ?

Et proner la néccéssité d'une 4ème dose ou d'un pass ?

Alors que tout le monde sait que c'est inutile, ça n'a plus AUCUN SENS

Hong Kong, qui n'a pas vacciné avec un vaccin Arn et qui avait une très faible "immunité naturelle" (vu la politique zéro covid) fait face à une vague OMICRON qui pulvérise les records de mortalité

t'en conclus quoi ?

Qu'on devrait cibler la vaccination sur les personnes à risque et c'est tout

Les médias français qui commencent à parler de la "deuxième dose de rappel" au lieux de la 4ème, petits filous

Dc le vaccin est utile maintenant ?

Le 19 mars 2022 à 14:46:15 :
Dc le vaccin est utile maintenant ?

Toujours pas ( hormis pour les vieux )

Par contre le pic de décès à Hong Kong, je serais curieux de voir la tranche d'âge des personnes en question

Le 19 mars 2022 à 14:46:15 :
Dc le vaccin est utile maintenant ?

Il ne l'a jamais été

On est en train de se taper une petite vaguounette d'Omicron furtif, 25% d'augmentation des contaminations avec 9055 cas par jour, 17% d'augmentation des hospits avec 169 entrées par jour, par contre on n'a que 170 personnes aux soins intensifs donc rien de bien inquiétant, c'est juste la souche Omicron d'origine qui se fait grand remplacer par une autre souche d'Omicron

Le 19 mars 2022 à 15:41:24 :
On est en train de se taper une petite vaguounette d'Omicron furtif, 25% d'augmentation des contaminations avec 9000 cas par jour, 17% d'augmentation des hospits avec 166 entrées par jour, par contre on n'a que 170 personnes aux soins intensifs donc rien de bien inquiétant, c'est juste la souche Omicron d'origine qui se fait grand remplacer par une autre souche d'Omicron

Le Combicron en Belgique, le BA2 en France

En dépit des variants, cette maladie reste négligeable

Le 21 mars 2022 à 16:47:05 :
En dépit des variants, cette maladie reste négligeable

Clairement, près de 18 millions de décès, c’est négligeable

Coronavirus: Frank Vandenbroucke se dit "inquiet"

Le ministre fédéral de la Santé, Frank Vandenbroucke, a lancé mardi un appel à ne pas relâcher la vigilance face à la pandémie de covid-19. En commission de la Chambre, il n'a pas caché son inquiétude devant une tendance dans la population à considérer que le virus appartenait au passé.

"Je suis un peu inquiet. Avec le passage en code jaune, la levée d'une série de mesures, des gens pensent que le virus, c'est du passé", a-t-il expliqué. "L'évolution des chiffres montre que l'épidémie n'appartient pas au passé".

Le ministre a notamment épinglé l'augmentation des hospitalisations qui crée à nouveau une pression dans les hôpitaux. "Je demande à la population de tenir compte de ce qui se passe dans les hôpitaux et de se montrer solidaire", a-t-il dit.

L'appel du ministre rejoint d'autres mises en garde. Lundi, interrogée dans la Libre, l'infectiologue Erika Vlieghe, présidente du groupe d'experts qui conseille le gouvernement, a estimé nécessaire de se préparer à une éventuelle nouvelle vague de coronavirus. "On doit apprendre que cette pandémie durera longtemps", avertissait-elle. Si la situation actuelle est sous contrôle, "cela ne signifie pas qu'après l'été, on ne sera pas au nouveau dans la tempête", a souligné M. Vandenbroucke. Dans ce cadre, le ministre appelle à une "culture positive" du masque.

Il n'entend pas non plus jeter aux oubliettes le covid safe ticket (CST). Le point figurera à l'ordre du jour du prochain comité de concertation, après les vacances de Pâques. "On a dit que l'on allait réfléchir à l'avenir du CST sur la base des avis disponibles. Ma conclusion, ce n'est pas qu'un tel instrument n'a plus d'utilité", a souligné M. Vandenbroucke.

Selon lui, il faudrait préparer le cadre légal permettant l'activation d'un passe sanitaire. "Lorsqu'il est bien utilisé et nécessaire, il peut contribuer à la sécurisation de notre vie", a-t-il dit.

Coronavirus: les chiffres remontent, pas l’inquiétude

Le nombre de contaminations repart à la hausse depuis deux semaines. Les indicateurs hospitaliers restent, eux, sous contrôle. A ce stade, rien ne laisse craindre une sixième vague d’une gravité supérieure à la cinquième.

Du côté des soins intensifs, 179 lits sont aujourd’hui occupés, loin du seuil pour rester en code jaune sur le fameux baromètre, fixé à 300 lits.

Il ne suffit pas de décréter un « bas les masques » quasi généralisé et d’envoyer le Covid Safe Ticket au placard pour que le covid fasse partie de l’histoire ancienne. Voilà que le virus revient faire un pied de nez au Codeco, deux grosses semaines après la dernière réunion, où une série d’assouplissements majeurs ont été décidés. Ce pied de nez, c’est une remontée des cas : on frôle les 10.000 contaminations quotidiennes, selon les chiffres officiels publiés par Sciensano. Un chiffre en progrès de 25 % sur une semaine et en hausse pour le douzième jour consécutif. Aucun doute : la transmission du covid au sein de la population belge a repris. Et ce chiffre des contaminations n’intègre pas les personnes diagnostiquées par un autotest ou celles qui ont tout simplement décidé qu’il n’était plus nécessaire de se faire dépister, en mode « pas de test, pas de covid ».

Mais cette hausse des infections n’est pas vraiment surprenante. Vu les relâchements annoncés début mars et la montée en puissance du sous-variant BA.2 omicron, les modélisateurs avaient prédit cette poussée. Personne n’a d’ailleurs promis que le covid allait disparaître d’un coup de baguette magique. « Il faut éviter de voir cette pandémie comme blanche ou noire, “soit on est dans une vague, soit c’est fini”. Non. On est dans l’entre-deux et cela va continuer encore un bout de temps », résumait l’infectiologue Erika Vlieghe, présidente du groupe d’experts qui conseille le gouvernement, dans La Libre. Autrement dit, il ne faut pas s’attendre à une courbe des cas parfaitement stable, ou qui tende vers le zéro. Mais plutôt à des variations dans un sens, puis dans l’autre, pendant un bon moment encore. « Probablement quelques années », ose même Erika Vlieghe. De quoi crisper (un peu) le ministre fédéral de la Santé, Frank Vandenbroucke (Vooruit). « Je suis un peu inquiet. Avec le passage en code jaune, la levée d’une série de mesures, des gens pensent que le virus, c’est du passé », a-t-il lancé à la Chambre ce mardi. « Mais l’évolution des chiffres montre que l’épidémie n’appartient pas au passé ».

Zen, restons zen

Comme on l’a vu lors de la vague précédente (cinquième du nom), un nombre de cas en plein boom ne rime plus forcément avec une pression maximale sur les hôpitaux. Lors des premières vagues, ces indicateurs étaient quasi parfaitement synchronisés. Quand l’un grimpait, l’autre suivait à un rythme similaire. En octobre 2020, par exemple, le nombre de cas s’envolait d’un peu plus de 100 % sur une semaine et les admissions suivaient la cadence avec une hausse record de 92 % sur sept jours. Ce couplage des indicateurs était, en revanche, nettement moins marqué durant la vague omicron, où la situation hospitalière est restée sous contrôle malgré des records absolus de contaminations. Et tout laisse penser que ce découplage va se répéter, cette fois-ci. Le compteur hospitalier affiche aujourd’hui une moyenne de 170 admissions par jour. Un chiffre en hausse de 11 % sur une semaine, mais stable sur les quatre derniers jours. Du côté des soins intensifs, 179 lits sont aujourd’hui occupés. Alors que le seuil pour rester en code jaune sur le fameux baromètre était fixé à 300 lits. On est donc près de deux fois plus bas. Un indicateur qui a tendance à se stabiliser depuis plusieurs jours.

Bref, pas de réelle inquiétude du côté des indicateurs hospitaliers, à ce stade. Et il y a plusieurs raisons de se montrer optimiste. Parce que près de 80 % de la population belge est aujourd’hui doublement vaccinée. Parce que le sous-variant BA.2 ne semble pas plus virulent que ses prédécesseurs. Parce que les Belges ont dopé leur immunité naturelle vu le nombre important de personnes ayant déjà contracté le virus par le passé. Ou encore parce que le retour des beaux jours approche et qu’on va donc basculer dans la partie de l’année ou l’effet saisonnier est plutôt favorable. Pour les prochaines semaines (et même les prochains mois dans la version optimiste), on voit donc mal ce qui pourrait venir chambouler la situation sanitaire. Même si, sur le moyen terme, plusieurs inconnues demeurent. Un variant plus virulent peut-il encore émerger ? L’immunité face aux formes graves de la maladie va-t-elle disparaître avec le temps ? Une quatrième dose sera-t-elle nécessaire ? Bien malin celui qui dispose de toutes ces réponses dans sa boule de cristal.

Merci la vaccination, sans quoi omicron aurait été un massacre

Il suffit de voir la situation à Hong Kong pour ceux qui en douteraient

Par contre pour Octobre ça va être le cataclysme

Boucle

Le virus revient ? Bmg

Coronavirus: un variant d’omicron domine en Belgique

La semaine passée, quelques cas d’un nouveau variant ont été rapportés dans plusieurs pays d’Europe mais aucun cas de ce type n’a été détecté chez nous.

Le variant delta du coronavirus a pratiquement disparu de notre pays, a indiqué jeudi le virologue Marc Van Ranst (KU Leuven). L’omicron représente donc la plupart des contaminations actuelles, selon les données du laboratoire de référence à Louvain.

90% des infections sont dues aujourd’hui à la version BA.2 du variant omicron. 10% des contaminations proviennent de la version BA.1, la première forme d’omicron apparue en Belgique.

« Je suis content que le delta ait disparu. Cela réduit le risque de voir des gens tomber gravement malades », a commenté Marc Van Ranst.

La semaine passée, quelques cas d’un nouveau variant ont été rapportés dans plusieurs pays d’Europe, qui résulterait d’une combinaison entre l’omicron et le delta. Aucun cas de ce type n’a été détecté à Louvain. Mais il existe bien en Belgique des formes combinant les deux versions de l’omicron. Les protéines « spike » proviennent de la BA.2, alors que d’autres composantes du virus sont issues de la BA.1.

« Il est rare que des personnes soient contaminées simultanément avec deux versions, mais cela reste possible. Si cela se produit, et qu’une cellule est infectée avec les deux différents virus, les gènes peuvent être échangés. Une nouvelle recombinaison se produit alors, comme cela s’est vu avec BA.1 et BA.2 », explique M. Van Ranst.

Force à vous la Belgique ! (on dit souvent que j'ai un accent belge.. ^^)
J'ai chopé cette foutu corona en Février et c'était le malaise absolu pendant une semaine..
Ça serait temps qu'on en soit débarrassé pour de bon !

Même en Chine face aux mesures les gens commencent à se réveiller et à se révolter.

Sciensano va publier les chiffres Covid seulement deux fois par semaine

L'Institut scientifique de santé publique Sciensano va adapter la fréquence de son rapport sur la situation de la pandémie de Covid-19 en Belgique, indique-t-il vendredi. À partir de la semaine prochaine, une mise à jour ne sera publiée que deux fois par semaine, au lieu de quotidiennement pour le moment.

Il faudra désormais attendre le mardi et le vendredi pour disposer des mises à jour de la situation épidémiologique. Sciensano les publiera via ses "canaux habituels", c'est-à-dire dans son bulletin, sur son dashboard et dans la base de données en open data.

Le fait que le nombre de rapports diminue ne signifie pas que la surveillance de la pandémie s'arrête, souligne Sciensano. La publication est "indépendante des activités de surveillance sur le Covid-19. Sciensano continue donc à suivre de près la situation épidémiologique", insiste l'institut.