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Sujet : Mes poésies et les vôtres...

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Lestat8601 Lestat8601
MP
Niveau 10
01 octobre 2009 à 19:53:10

J'ai beacoup aimé "dans ta voiture" .Son rythme est bon et s'accorde au texte. Par contre pour moi le vocabulaire manque de richesse et au niveau sonore (on va de nouveau dire que je pinaille) des choix différents aurait pu mettre en exergue le cadre ou l'ambiance. Mais j'ai bien aimé.

Le suivant c'est pareil mais avec ce que j'ai aimé dans le précédent en moins 8)

Anguish Anguish
MP
Niveau 10
01 octobre 2009 à 19:56:42

Paraphilia

Oh Paraphilie chérie !
Tant de critique et de lazzis.
Point de répit, aucun respect,
Toujours l’aspect et quolibet.
Diabolisation idéologique,
Pratique du Sexe hyperbolique.
Un amour à perpète,
Passant des cadavres aux Nymphettes.
Sous le croissant argenté,
Nous nous rincerons sous vos douches d’orées.
Quitte à attiser la haine,
Nous nous jetterons sous vos douches romaines.
Crachez vos contestations !
Pendant nos ablutions dans vos déjections !
Laisse-nous gambader la verge à l’air dans la végétation,
Pour sauver les pandas de l’extinction.

veloutou veloutou
MP
Niveau 10
01 octobre 2009 à 20:37:36

Anguish : XD
Pas mal lol
"Laisse-nous gambader la verge à l’air dans la végétation,
Pour sauver les pandas de l’extinction"
ça m'a fait bien rire !

merci lestat =)

Yapluka Yapluka
MP
Niveau 5
01 octobre 2009 à 20:57:24

Je signe et accepte tous les risques de démembrement. A moi.

Mon rêve s'est brisé comme en éclats de verre.

Mes beaux mirages mes Hauts Espoirs
Se noient dans la lumière du soir
La bouteille tombe et je me brise
Comme sa chute s'éternise

Mon rêve s'est brisé comme en éclats de verre.

Seul et vaincu défenseur de ma tendre utopie
J'ai sacrifié chaque instant de ma vie
Et cette faim et ce manque
A jamais...

Trouble aveuglant
Tremble et meuglant
Qui suis-je, qui suis-je, qui suis-je?
Dansons
Dans l'oubli
Dans le sillon
De mes lubies

Mon verre s'est brisé...
En éclats...

De rêves.

(Bon, le thème est un peu "gnagnagna mon monde s'effondre", j'étais plus jeune. Je me fouetterai si vous le souhaitez - dites oui !)

Yapluka Yapluka
MP
Niveau 5
01 octobre 2009 à 20:59:08

PS: tout emporté que j'étais, j'avais oublié de dire que j'avais aussi bien rigolé en lisant le poème d'Anguish.

JeMecris JeMecris
MP
Niveau 7
01 octobre 2009 à 21:54:18

C'est vrai que pour Yapluka le début est un peu gnan gnan mais j'adore la seconde partie du poème.
A moi =)

Le sourire caramel, c'est un sourire croquant.
Il est bon et plaisant il donne un regard miel,
A une vie parfois fade, il fait plaisir aux gens.

Le sourire caramel, c'est un sourire gratuit.
Regarde c'est Succulent, Certains le dise exquis
C'est du sucre excité, ça embrigade les sens.

Le sourire caramel, c'est un sourire charmant.
On ne lui résiste pas n'est-ce pas Mad'moiselle;
Mais tu sais, profitons du sourire caramel.

Car le sourire couleur crème n'est pas immortel
Il fond comme un cœur sous les ardeurs charnelles
Croque! Et vivons notre amour avec passion.

Le sourire caramel, c'est toutes nos émotions.
La morale de ce poème, s'il nous en faut une:
A te goinfrer en riant de bonbons doux et mous
Le caramel te fera pleurer à la lune.

Lestat8601 Lestat8601
MP
Niveau 10
01 octobre 2009 à 22:09:19

Anguish et Yapluka: mes préférés de ces derniers jours. Bravo! Anguish j'adore ton coté barré décalé limite surréaliste! Yapu a le rythme dans la peau 8)

JeMecris: tout comme le caramel, texte trop doucereux pr moi. La simplicité (parfois) du vocabulaire sert par contre ici à merveille ce texte léger et insouciant. Mine de rien ca fait du bien de temps en temps 8)
Par contre j'ai eu l'impression d'etre embarqué dans un faux rythme (ms je le relirai encore qq x demain). De toute facon j'attends d'en voir d'autres 8)

Yapluka Yapluka
MP
Niveau 5
02 octobre 2009 à 14:51:34

Merci ! C'est agréable à lire.
Je me permets de mettre un autre petit poème, dans ce cas. Oui, faut pas trop me complimenter ;)

Il sourit
Cours ! Cours !
Il rougit
Cours ! Cours !
Et la nuit
L'acheva
De son pas
De velours

Sans un bruit
Sans secours
S'évanouit
Sans retour
L'énergie
De son être
Disparaître
Sans détour.

Lestat8601 Lestat8601
MP
Niveau 10
02 octobre 2009 à 16:00:10

JeMecris: je l'ai relu plusieurs fois et j'ai toujours ce probleme avec le rythme... peut-etre trop syncopé ou un peu irrégulier (?) Je sais pas trop...

Yapluka: il me parait plutot bon mais personnellement celui-la je croche pas... Et je ne saurais dire pourquoi malheureusement

Jean_Dezert Jean_Dezert
MP
Niveau 7
04 octobre 2009 à 11:06:43

La petite nuit de deux heures.

De grises cheminées d’usines
Flottent sur le ciel, comme des heures,
Sur le grand ciel qu’elles encalminent,
Qu’elles couvrent de leur malheur.

La ville est fade, elle rumine
Des refrains de métaux précieux.
Son teint livide d’aspirine
Sous les coups du jour capricieux

Je le vois de ma chambre prune,
Il me fait peur et m’indiffère ;
Je bois un peu de tisane brune
Au dessus des vapeurs de fer.

Trois heures après je vois Saturne
Qui git dans un coin d’univers ;
Il est de l’atmosphère nocturne
Comme d’un soleil à l’envers.

Le café dans la tasse noire
Bout comme au fond d’une marmite ;
Mon cerveau a pour promenoir
Ces heures éteintes de l’ermite.

La nuit n’est plus blanche, j’illumine
Le vieux caveau du temps fini,
Le ciel que l’étoile enlumine
Reste le cadre défini.

Yapluka Yapluka
MP
Niveau 5
04 octobre 2009 à 14:28:39

J'aime beaucoup !
En revanche, quelques mots que je trouve un peu déplacés, "aspirine" par exemple... je trouve que ça ne s'intègre pas très bien.
Non en fait c'est tout, je crois bien que seul ce mot m'avait gêné. Peut-être une ou deux virgules en trop selon moi aussi, mais c'est très subjectif (et ce serait prétentieux de vraiment accorder du poids à des critiques si poussées: je suis bien incapable, je trouve, de pondre de telles créations).
Merci, c'est vraiment beau =)

Lestat8601 Lestat8601
MP
Niveau 10
04 octobre 2009 à 15:17:28

Jean_Dezert : :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo:
Celui-là j'adore, je suis fan! Ca me fait trop penser à certains poèmes de Cocteau. Je le trouve plus "moderne" que certains de tes autres poèmes, à la fois sur le fond mais surtout dans le vocabulaire. (Et contrairement à Yapluka ce sont justement ces mots comme "aspirine" qui sont une qualité.)
Mais malgré ces aspects tu n'en perd pas ton sens "romantique"!
Seul petit reproche (tout à fait personnel, question de goût), certraines ponctuations (mais je le reproche aussi parfois à Eluard :rire: )
En tout cas merci pour ce beau texte!

veloutou veloutou
MP
Niveau 10
04 octobre 2009 à 17:53:58

En voyage.

Cigarette au bec et coeur trop sec,
Je m'asseois sur l'ennui et contemple leurs vies.
Je passe le temps sur la route,
A rêver de l'amour qui coûte.
J'aimerai bien que tu me tires dans la tête
Et qu'il s'en éjecte des pétales de roses.
Je cherche ton malheur parcequ'il permet mon bonheur.
Fais moi une fleur, dinons en tête à tête.
Mange moi avec conviction mon coeur morose,
Degustons les additifs de l'excès sans prose.
Viens dans le cabaret et dansons pour ne rien oublier,
Les clowns m'y font rire et pleurer d'amitié,
Mais nos chevaux n'ont pas le même cavalier,
C'est pour ça que je vais t'aimer.
Prends moi, traine moi derrière ta monture,
Je ne dirai rien sans être un dur.

Yapluka Yapluka
MP
Niveau 5
06 octobre 2009 à 23:01:02

La belle appelle avec paresse
Un familier tout frémissant
Et lui offrit avec tendresse
Un sourire resplendissant

Savourant de chaudes caresses
Elle consuma chaque instant
Car jamais la mort ne s'empresse
D'éteindre les agonisants

Mais prise de malaise
Elle tombe, paisible
Sur un duvet de braises
Au contact insensible

D'un souffle elle supplie
Le triste concubin
Et dans ses yeux chéris
Elle plonge les siens

Simple et lascive
Elle l'enlace
Douce et passive
Elle s'efface.

Jean_Dezert Jean_Dezert
MP
Niveau 7
07 octobre 2009 à 16:02:47

Il est au moins minuit dix-huit,
Plus sûrement neuf ou dix heures ;
De mon coeur j'observe les fuites,
Et de mon vieux désir les pleurs.

Le train s'écoule dans la nuit,
Le paysage semble liquide ;
Dedans je suis porté, je fuis,
Je ne fuis pas, je suis lucide.

En face de moi (deux bras, deux yeux),
La silhouette cristallise
L'idée que j'ai des jours joyeux.
La grande ombre de ma valise

A mes côtés est inquiétante.
Le passager est désirable,
L'ombre est mieux encore qu'attirante -
Mieux que l'ombre le corps est aimable.

Tout à l'heure j'ai fini un livre
Qui parlait d'amoureux secrets :
C'était heureux, je sais que vivre
C'est beaucoup moins bien ; c'est concret.

Les glissements sont aquatiques,
Dans le wagon naît le délire ;
Cette fois la métaphysique
N'aide pas, elle entrave - et pire.

Ce n'est pas très sain, cette fixation
De l'oeil et l'oeil qui s'éternisent ;
Le désir comme obligation,
C'est le contraire de la banquise.

Tout s'exorbite, tout s'exagère ;
Il y a une laideur de l'amour,
A priori ça indiffère
Le monde entier - j'ai de l'humour.

Ah ! je ne sens rien qui bascule,
Tout devrait rester sans erreur ;
Le corps absolument formule
Une hypothèse de bonheur,

Elle paraît bellement audible,
Ne se réalisera pas,
Le poids dirige l'impossible,
Et l'impossible le trépas.

La puissance de la volonté
Est une chose fabuleuse,
L'évidence de la vérité
Est triste - d'une tristesse creuse.

Dans un soubresaut de désir
Je me lève, me rapproche, écoute ;
Comme désirables sont les soupirs !
Leur son total exclut le doute.

Le visage est insoutenable,
J'embrasse vaguement les lèvres,
Je me sens vil et redoutable :
Mais au fond vraiment je suis mièvre.

Je me rasseois, le ciel défile,
Je ne retourne plus nulle part.
Comme la vie est difficile !
- Ne te plains pas, il est trop tard.

Le fin du jour semble lointaine,
Mais les étoiles toutes proches ;
Tout cela me fait de la peine,
Mes mains, au cuir ancien, s'accrochent.

Maintenant on traverse une ville,
Nous passons ces débarcadères,
Ces rues d'une stupeur immobile,
Le soupir flou des lampadaires.

Dans la ville le train s'arrête ;
Le passager, lui, se réveille,
Se lève et part dans la nuit bête -
Combien est triste la merveille.

Et tout repart, tout continue,
Je ne suis rien, je souffre encor ;
La vie est pire quand elle est nue,
Il faut préférer le décor.

Minuit dix-neuf, vingt, vingt-trois heures,
Le temps et le train se poursuivent ;
Ah ? donc la joie n'était qu'un leurre ?
Bien sûr, et la vie : une dérive.

Jean_Dezert Jean_Dezert
MP
Niveau 7
08 octobre 2009 à 21:24:32

Souffrir, souffrir, souffrir, souffrir,
Mourir un peu dans le soir vert,
La peur, l’angoisse et enfin pire.
La vie et son visage sévère.

En haut des pommiers s’arrondissent les pommes,
En bas des cathédrales se pressent les croyants,
En haut du paysage les nuages bruyants,
En bas de la tristesse se grandissent les hommes.

La route n’a pas de fin prévue,
La douleur n’est pas réversible,
Du monde j’ai à peu près tout vu,
Je pense au mot « irrésistible ».

Dessus les cartilages se roidissent les gens,
Dessous les longs chemins il y a la terre qui brûle,
Dessus les illusions que la vie manipule
Il y a des sentiments, des ventres, de l’argent.

Les hangars grincent, la nuit arrive,
Les rêveries sont noires et blanches,
Maintenant il faut que j’écrive.
Je suis un peu fou ; mon cœur penche.

Lestat8601 Lestat8601
MP
Niveau 10
08 octobre 2009 à 22:00:08

Jean_Dezert: Celui du 7 octobre 2009 je l'ai trouvé "mou", décousu et rythmiquement perfectible... et trop de "clichés".
Malgré tout quelques belles images.

Celui de ce soir me plaît bien même si je le trouve lourd au démarrage (les 2 premiers vers surtout...).

"Je suis un peu fou ; mon cœur penche."

Ca m'évoque étrangement un sentiment de déjà lu... (Petit clin d'oeil à un auteur que tu apprécies? Moi ca m'arrive de détourner certaines phrases, en hommage)

Yapluka Yapluka
MP
Niveau 5
08 octobre 2009 à 22:17:21

Je suis d'accord avec lestat, je ne savais pas trop comment le dire mais la formulation est bonne.
Des petits problèmes de rythme pour celui du 7 octobre, et un peu décousu. J'ai aussi été très troublé par le fait que tu aies continué une phrase d'une strophe à une autre:
"La grande ombre de ma valise

A mes côtés est inquiétante. "

Rien à dire d'autre que mon prédécesseur pour le dernier que tu as mis.
En revanche pas du tout de sensation de déjà vu pour le dernier vers en ce qui me concerne...

Jean_Dezert Jean_Dezert
MP
Niveau 7
11 octobre 2009 à 13:20:02

A les relire, je trouve aussi, comme vous, mes deux précédents poèmes assez médiocres ; j'ai écrit ça en me laissant beaucoup trop aller à mes états d'âme et à une recherche peu naturelle, donc poussive, de musicalité. J'espère que celui-ci vous plaira plus.

Je n'ai pas d'ami, le vent souffle trop,
L'horizon est lourd de vapeurs amères,
Je disais ceci, déjà c'était trop ;
Mon esprit flottait par-dessus la mer.

Les hommes se promènent, les femmes bavardent ;
Ils ne sont pas gais, à peine joyeux.
J'espère qu'au loin, un orage barde
Et change en poussière le sable soyeux.

"Bonjour", me disent-ils, et puis ils s'en vont ;
Et qui sont ces gens ? Et que sont ces pierres ?
Pourquoi nous marchons ? Pourquoi nous rêvons ?
Mon regard est plat sous mes deux paupières.

Je ne rentre pas ; je m'asseois, j'attends
La tempête reine qui recouvrira
La falaise, la plage, les chapeaux, le Temps ;
Et mon coeur rira ! Et mon coeur rira !

Jean_Dezert Jean_Dezert
MP
Niveau 7
11 octobre 2009 à 19:08:24

J'attends minuit toujours
Pour aller admirer,
Le fond de la nuit sourd
Pour aller désirer.

Mais que vaut ce manège
Qu'un plaisir écourté
Par le jour qui abrège
Les visions de beauté ?

Rien. Pourtant chaque soir
J'y retourne gaiement,
J'ai honte - mais le noir
Recouvre les tourments.

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