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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
"Saluuuuuuuuuut Nounou !" Tiens, vous entendez vous aussi ? Voilà les frères (et la soeur) Warner qui arrivent ! Si Yakko, Wakko et la petite Dot sont sortis de leur château d'eau, ça signifie que les ennuis ne sont pas loin. C'est qu'on commence à les connaître ces trois petits monstres !
Dans Tetrix Enigmatic 3D, il y a du Tetri, du X, de l'Enigmatic et de la 3D. Peut-on donc conclure que nous avons ici affaire à une version adulte de Tetris se passant dans le monde de l'Etrange où des figures démoniaques essaient de nous happer pour nous projeter dans un cauchemar en 3 dimensions ? Eh bien, vous ne croyez pas si bien dire car la définition décrite plus haut est à quelque chose près celle du jeu dont nous allons parler un peu plus bas.
Les poupées Barbie sont à l'honneur dans ce titre de Vivendi qui n'est pas sans rappeler un certain Disney Princesse sur GBA. Destiné aux petites filles qui apprécient les contes de fée et les univers aux couleurs pastelles dénués de violence, ce petit jeu sans prétention déborde de bons sentiments.
On peut dire que cette fois-ci Kuju nous a bien surpris. En effet, se laissant emporter par la "mode" nauséeuse des pseudo armes de destruction massive peut être cachées dans un lieu incertain par on ne sait pas trop qui, il nous met aujourd'hui face à la cruelle réalité d'un titre empruntant cette mouvance à son compte. Mais, malin et avisé, le studio retourne habilement la situation aàson compte. Effectivement, jouant sur le doute, la conspiration, et les manipulations d'opinion coupables il ne peut que faire naître l'interrogation chez l'acheteur. Ce dernier se pose alors cette question :"Même si les images au dos de la jaquette sont piteuses, est-ce que ce ne serait pas justement pour me tromper, et justifier le fond du soft". Impressionnant n'est-ce pas ? De là naît la paranoïa, qui n'est pas très bonne conseillère.
La témérité n'est certainement pas un trait de caractère qui fait défaut à Aqua Pacific. Malgré un premier volet médiocre, on remet ça avec une suite qui est censée faire oublier Perfect Ace Pro Tournament Tennis. Seulement pour cela, faut-il encore en être capable, en mettant tous les moyens de son côté. Justement, les moyens font défaut à SG Diffusion et ça se voit. Top Spin et Smash Court peuvent dormir sur leurs deux oreilles, ce n'est pas le titre développé par Aqua Pacific qui leur fera de l'ombre...
Laissant de côté l'aspect construction de bâtiments expérimenté dans Worms Forts : Etat de Siège, Worms 4 revient aux origines de la série en proposant un gameplay basé uniquement sur les affrontements entre de petits vers de terre armés jusqu'aux dents. Hélas, le jeu utilise toujours la 3D, procédé nettement moins efficace que la 2D pour ce genre de soft qui perd un peu en facilité de prise en main comparé aux premiers volets apparus il y a de ça plus de 10 ans déjà.
Dans le monde cruel des vers de terre la seule solution à un problème reste une violence sourde et surtout purement gratuite. A les voir se dandiner péniblement à l'air libre, on ne croirait jamais que ces êtres sont d'infâmes petits tortionnaires en puissance n'attendant qu'un moment de faiblesse pour agir avec une fourberie rarement atteinte. Qui aurait osé se figurer que des invertébrés puissent être les détenteurs d'armes aussi destructrices que des lance-roquettes, des fusils à pompe ou encore des grenades à fragmentation. Et cela n'est pourtant que la partie émergée d'un iceberg de feu et de fureur. Que nous réservent-ils ? S'attaqueront-ils à nous lorsque leur population ne sera plus assez nombreuse pour déclencher une guerre ? Prions pour que ce jeu ne soit justement qu'une chimère.
Dans le monde cruel des vers de terre la seule solution à un problème reste une violence sourde et surtout purement gratuite. A les voir se dandiner péniblement à l'air libre, on ne croirait jamais que ces êtres sont d'infâmes petits tortionnaires en puissance n'attendant qu'un moment de faiblesse pour agir avec une fourberie rarement atteinte. Qui aurait osé se figurer que des invertébrés puissent être les détenteurs d'armes aussi destructrices que des lance-roquettes, des fusils à pompe ou encore des grenades à fragmentation. Et cela n'est pourtant que la partie émergée d'un iceberg de feu et de fureur. Que nous réservent-ils ? S'attaqueront-ils à nous lorsque leur population ne sera plus assez nombreuse pour déclencher une guerre ? Prions pour que ce jeu ne soit justement qu'une chimère.
Sid Meier's Pirates! arrive enfin sur Xbox, plusieurs mois après la version PC qui elle-même est en fait un remake d'un très vieux jeu nommé Pirates! sorti entre autres sur Amstrad CPC 6128. Proposant évidemment des graphismes revus et corrigés, l'opus sur Xbox se différencie aussi et surtout de son homologue PC par sa jouabilité. Hélas, celle-ci s'avère beaucoup moins convaincante ce qui hypothèque d'emblée les chances que le jeu a de nous séduire.
Il est de ces fois, où, intrigué par la profondeur du jeu devant nos yeux, on laisse vagabonder son regard le long du dos de la jaquette. Entreprise vouée à une grande désillusion, car ce lieu est celui des promesses non tenues. On a l'impression tenace et vive d'avoir acheté un titre exceptionnel, unique, voire empreint de mysticisme. Malheureusement, le retour à la réalité est parfois violent. C'est le cas avec le bon vieux World War 2 : Pacific Heroes vantant haut et fort des mérites qu'il n'aura jamais, ô grand jamais. Dans son cas, il semble prendre l'état des lieux avec le sourire et tente même un petit trait d'humour involontaire. C'est aussi ça la marque des grands jeux.
Nina, elle est polonaise, et comme tous les polonais, y faut pas trop la chercher. Et en plus Nina, ben elle est super canon, normal puisque, pour de vrai, Nina elle est mannequin et même que son vrai nom c'est Iza Czarnecka. Oui, comme tous les polonais, elle a un nom à dormir dehors et c'est cool que pour le jeu, on l'appelle juste Nina. En effet, nous les polonais, nous aimons beaucoup utiliser des pseudonymes, en particulier quand nous sommes beaux comme des dieux. Quoi ?
En 2002, lors de la sortie dans le commerce de Rhem, les réactions des joueurs vis à vis de ce Myst-like ont été aussi diverses que tranchées. Alors que certains lui reprochaient son aspect graphique daté et un gameplay vieillot, d'autres louaient la grande qualité de ses énigmes. Le second volet du titre ne risque pas non plus de laisser indifférent puisqu'on peut dire que les auteurs, ou plutôt l'auteur du jeu, a employé la même recette et a privilégié la logique des puzzles avant tout.
Responsable de l'adaptation GBA du dernier film de Tim Burton, Charlie et la Chocolaterie, l'équipe de Digital Eclipse nous invite à revivre l'histoire de Charlie Bucket par le biais de nos consoles portables, là où les versions PC et consoles de salon n'ont pas réussi à nous convaincre. Pourtant, en visant juste et sans trop de prétentions, les développeurs sont parvenus à un résultat plutôt satisfaisant.
La plupart des wargames made by Paradox nous enchantent par leur gameplay riche et le nombre de possibilités assez phénoménal dont ils sont dotés. J'en veux pour preuve les excellents Crusader Kings, Hearts of Iron 2 ou encore les Europa Universalis. C'est d'ailleurs le créateur de cette série, parti vers d'autres horizons qui nous propose aujourd'hui Grandes Invasions, un jeu qui, comme beaucoup de productions de Philippe Thibaut, est pétri de bonnes idées mais déçoit de par son interface et sa réalisation.
Après avoir vu de quoi il en retournait sur les consoles de salon puis sur PC, c'est au tour de la GBA de recevoir les 4 Fantastiques qui ont bien perdu de leur superbe depuis les premiers coups de crayon du grand Jack Kirby en 1961. En somme, oubliez les scénarii de ce bon vieux Stan Lee, le design de m'sieur Jack et préparez-vous à vivre une aventure mollassonne remplie de super-zéros en tout genre.
Après le test de la version PS2, voici celui de la version PC de Charlie et la Chocolaterie, un jeu adapté du film de Tim Burton qui est lui-même tiré du fameux conte de Roald Dahl (vous suivez toujours j'espère ?). Hélas, le jeu ne mérite même pas de porter ce nom tellement il est mauvais.
La route est souvent un thème porteur dans le milieu créatif. De Highway to Hell aux Routes Du Paradis en passant par le Grand Chemin ou les Sentiers de La Perdition. Et voilà qu'aujourd'hui, c'est Road To Fame qui vient faire son numéro. Preuve qu'un thème porteur n'est pas à lui seul un gage de qualité.
Quelques jours après la sortie du troisième volet sur PC, Yetisports envahit les consoles de salon. Simple jeu de lancer de pingouin à l'origine, le Yéti est devenu polyvalent au fil du temps, aujourd'hui à vous de maîtriser l'EyeToy afin de devenir le meilleur sportif sur glace... Pingouins, albatros et autres phoques croiseront la route du Yéti au milieu de mini-jeux dans lesquelles adresse et technique vous seront indispensables pour battre les records des différentes épreuves qui vous sont proposées. Froid devant !
Je me demande ce que ferait le jeu vidéo sans le cinéma. Dès qu'un film à gros budget sort sur grand écran, on peut être sûr de le retrouver sur nos chères machines à jouer. Charlie Et La Chocolaterie, la nouvelle machine à billets verts de Tim Burton, n'échappe pas à la règle et trouve donc son chemin jusqu'à nos consoles.
Pour beaucoup Killer 7 est une idée (novatrice ou non) avant d'être un jeu. De ce fait, on peut légitimement penser que critiquer un tel produit est quasiment impossible, la subjectivité prenant rapidement le pas sur l'objectivité. Si Romendil a connu le problème avec Rez, je me vois aujourd'hui confronté à un dossier similaire. Néanmoins, Killer 7 opte pour des idées de gameplay totalement assumées par ses développeurs tout en y injectant un scénario diabolique aux accents kafkaïens : des raisons suffisantes pour ouvrir l'insconsicent d'Harman Smith afin de s'y plonger pour tenter de découvrir ce qui s'y cache réellement.