Derniers tests de jeux vidéo - page 127

Le rallye contre-attaque ! Après WRC 5 et DiRT Rally, c'est Milestone qui revient avec son titre maison, nommé Sébastien Loeb Rally Evo. Après avoir développé la licence officielle, désormais entre les mains de Kylotonn, le studio italien revient avec un nouveau titre de rallye. Cette fois-ci, pas de calendrier officiel et de deadline contraignante. Une seule envie : proposer le jeu de rallye le plus amusant possible. Et surtout, prouver son amour pour la discipline, à travers les exploits de son plus grand champion : Sébastien Loeb lui-même.

Le rallye contre-attaque ! Après WRC 5 et DiRT Rally, c'est Milestone qui revient avec son titre maison, nommé Sébastien Loeb Rally Evo. Après avoir développé la licence officielle, désormais entre les mains de Kylotonn, le studio italien revient avec un nouveau titre de rallye. Cette fois-ci, pas de calendrier officiel et de deadline contraignante. Une seule envie : proposer le jeu de rallye le plus amusant possible. Et surtout, prouver son amour pour la discipline, à travers les exploits de son plus grand champion : Sébastien Loeb lui-même.

Après avoir conquis les joueurs avec Soldats Inconnus : Mémoires de la Grande Guerre, l’un de ses créateurs a décidé de fonder Digixart Entertainment et écrire son histoire en proposant comme premier jeu Lost in Harmony, un Runner musical bien à part. L’histoire rassemble deux adolescents, Kaito et Aya, qui devront affronter la maladie à travers des rêves rythmés par de célèbres musiques classiques revisitées ou des compositions inédites. Disponible sur l’App Store au prix de 3,99€, reste à déterminer s’il s’agit d’un véritable moment d’évasion.

C’est en 1997 qu’est née la série des Harvest Moon. Développée pour la Super Nintendo, cette série proposait ni plus ni moins que de vivre une petite vie faite de labeur dans une ferme virtuelle. En sus des tâches quotidiennes permettant d’entretenir la ferme, les cultures et les animaux qui s’y trouvent, il était possible d’entretenir des relations avec les différents habitants des terres environnantes. Episodes après épisodes, la série a continué de remporter un vif succès auprès des joueurs, toujours avides de vivre une existence paisible, loin des exigences de la vie quotidienne (et pourtant étrangement similaire dans son déroulement). En 2014, suite à de sombres histoires de droits d’exploitation du nom Harvest Moon sur le sol américain, la série connaît de profonds changements. D’une part, le développeur original Marvelous Entertainment, annonce la renaissance de la série sous le nom de Story of Seasons. D’autre part le détenteur du nom « Harvest Moon », Natsume, développe son propre Harvest Moon, le premier titre à s’émanciper des développeurs originaux. Aujourd’hui, c’est sur mobiles que Natsume a décidé d’emmener Harvest Moon avec un épisode nommé Seeds of Memory. Un titre qui reprend parfaitement les codes de la franchise, mais qui par certains aspects, laisse un poil à désirer.

Alors comme ça on part à la chasse aux monstres ? Et on choisit Final Fantasy comme cadre ? Fichtre, voilà un pari qui commence bien. Mais marier le principe d'un Monster Hunter et le folklore de la série-phare de Square Enix ne suffit pas à faire un bon jeu. Heureusement, Explorers ne vient pas les mains vides.

Après trois ans de (bons) remakes et de spin-offs inégaux, ce nouvel épisode de la série principale est attendu au tournant par les aficionados, d'autant qu'il fait par ailleurs le grand saut de génération. Compile Heart peut-il surprendre, relancer le concept et ainsi faire oublier l'impression qu'il tire sur la corde?

Le runner a la cote sur mobiles et les développeurs se chargent d’alimenter régulièrement les différents stores de nouveaux titres en reprenant à chaque fois la mécanique qui a fait le succès du genre : un gameplay minimaliste qui consiste en de simples pressions sur l'écran pour que le personnage, qui avance sans s’arrêter du début à la fin du niveau, saute afin d’éviter de nombreux obstacles et pièges. Ubisoft se fraye une nouvelle place dans ce petit monde et propose Les Schtroumpfs Epic Run, un Free to play qui met en scène les célèbres petits bonhommes bleus au bonnet blanc créés par Peyo. On y incarne l’un d’eux, chargé de libérer à travers des dizaines de niveaux les autres membres de son village malheureusement emprisonnés à la suite d’un sort maléfique lancé par Gargamel. Schtroumpfant non ?

Candy Crush est sans aucun doute la licence la plus connue sur smartphones et tablettes. Ultra addictive malgré son gameplay des plus simpliste, cette franchise compte maintenant plusieurs millions d'adeptes à travers le monde. Les épisodes s'enchaînent sans jamais renouveler la formule de l'épisode initial sorti en 2011. Le petit dernier de la famille, Candy Crush Jelly Saga est disponible depuis ce début d'année mais sommes-nous face à une révolution ou une simple redite? Verdict.

Lorsque l’on évoque le shonen manga, il est des noms qui reviennent immanquablement. Dragon Ball Z et les Chevaliers du zodiaque, bien évidemment, mais aussi Naruto, One Piece, et notre star du jour : Bleach. Créée par Tite Kubo en 2001, et fort de pas loin de 660 chapitres, cette série met en scène les aventures d’Ichigo Kurosaki, un jeune homme en apparence ordinaire mais qui va bien vite endosser l’habit de Shinigami pour lutter contre les Hollows, des esprits défunts ayant accumulé trop de rancœur envers les vivants. De fil en aiguille, notre héros rencontrera de nombreux alliés et ennemis, et gagnera en force au gré d’affrontements tous plus épiques les uns que les autres, dans la plus pure tradition du genre. Grâce à son succès, et à son univers riche et foisonnant, Bleach a connu de nombreuses adaptation vidéoludique jusqu’à venir faire un tour sur mobiles avec son itération Brave Souls. C’est KLab Games, à qui l’on doit déjà le jeu mobile Love Live !, qui s’est chargé de l’adaptation et le moins que l’on puisse dire c’est que les bougres ont bien fait les choses. Car pour un Free to play dans la plus pure tradition du genre, ce Bleach s’avère incroyablement prenant, jouissif, et bien loin d’être frustrant.

A l'image de la société Umbrella et de ses zombies en décomposition et autres créatures mutantes, Capcom ne cesse de raviver sa licence survivaliste. Après l’excellent remake de Resident Evil sur Gamecube et en attendant impatiemment le remake de Resident Evil 2, l'éditeur japonais extirpe de son tube à essai Resident Evil 0. Sorti uniquement sur Gamecube en 2003 puis réédité sur Wii, ce préquelle à la saga avait reçu l'approbation de la presse et du public bien que certains choix de gameplay et un scénario poussif aient pu irriter plus d'un joueur. Adepte des refontes graphiques en tout genre et des versions multiples du même titre, Capcom s’attaque à la genèse de la franchise. Rebecca Chambers et Billy Coen reprennent ainsi du service sur PlayStation 4, PlayStation 3, Xbox 360, Xbox One et PC. Entre nostalgie et modernité, les mutations opérées par Capcom ont-elles embelli la créature Resident Evil 0 ?

Quasiment retombée dans l'oubli alors que l'épisode China est sorti il y a près de 9 mois mois, la série des Assassin's Creed Chronicles s'offre enfin une suite en ce début d'année 2016 et par la même occasion un détour en Inde, aux commandes d'Arbaaz Mir.

Si quelques-unes de leurs productions et séries ont rencontré de bons petits succès dans certains milieux, on ne peut pas dire que SEGA ait jamais été le plus prolifique développeur de RPG. La sortie de l'exceptionnel Valkyria Chronicles en 2008 aurait pu changer la donne. Ce fut pourtant un mini-flop, et la série périclita jusqu'à s'éteindre un temps dans l'indifférence presque générale. Cela ne veut pourtant pas dire que les suites furent mauvaises, loin de là. Même s'il y a prescription depuis le temps, réglons la mire sur son troisième rejeton, jamais sorti du pays du Soleil-Levant.

Il faudra compter sur de nombreuses adaptations de jeux consoles sur nos PC pour cette année 2016 et tout particulièrement lorgner du côté des anciennes productions japonaises que les grands studios souhaitent désormais diffuser sur nos bécanes. Pas vraiment abandonné par son éditeur puisque déclinée en ce moment en version Online au Japon, la licence Dragon’s Dogma revient sur le devant de la scène avec ce portage PC que beaucoup s’étaient résignés à ne jamais voir débarquer. Et pourtant, l’Action-RPG de Capcom est enfin parmi nous. Ni remasterisation, ni remake, cette version prend la forme d’un simple portage profitant néanmoins de la puissance du hardware PC pour se débarrasser de certaines de ses grosses lacunes techniques plus ou moins gênantes sur old-gen (PS3 et Xbox 360). Vendu au prix de 29,99 € avec tous ses DLC et son extension Dark Arisen, on fait le point sur la qualité de ce portage PC dans cette mise à jour du test.

Qui n’a jamais rêvé d’incarner un sniper ? De tous les militaires, le tireur d’élite est sans aucun doute le personnage qui suscite le plus de questionnement et de fantasme dans la culture populaire. Pour s’en persuader, il suffit de voir le nombre d’œuvres qui le mettent en avant, que ce soit au cinéma ou dans notre bonne vieille sphère vidéoludique. Sur mobiles, le Sniper a aussi sa place et de nombreux titres, du bête jeu de chasse à l’adaptation d’Hitman, mettent en scène cet assassin silencieux. Une opportunité que l'éditeur Gameloft ne pouvait pas laisser passer. C’est pourquoi nous allons aujourd’hui vous parler de Sniper Fury, la tentative de Gameloft pour s’installer sur ce marché porteur. Et vous avez bien lu « tentative », car après quelques heures passées à dézinguer des soldats (un peu), et des techniciens (beaucoup), difficile de trouver un véritable intérêt à ce Sniper Fury. Vous voilà prévenus.

Enfin ! Après des mois d'attente et d'early access, DiRT Rally est enfin disponible. Sur Steam, d'abord, et bientôt sur console. C'est donc la version PC du jeu que nous avons testé, avec certes un léger retard. Les aléas d'un calendrier de fin d'année bien chargé... Et on regretterait presque de ne pas y avoir joué plus tôt, tant le nouveau titre de Codemasters est intéressant. Le rallye virtuel a sans doute trouvé son nouveau patron.