Derniers tests de jeux vidéo - page 415

Triggerheart Exelica, un titre sorti uniquement au Japon en salles d'arcade, puis adapté sur Dreamcast et Playstation 2, fait son grand retour sur le Xbox Live Arcade et cette fois-ci, disponible pour tous pour le plus grand bonheur des joueurs occidentaux.

Ôyez, ôyez braves joueurs ! Le royaume d'Albion - théâtre des incroyables aventures d'autant de preux chevaliers que de vils malandrins dans les deux premiers Fable - a complètement changé de physionomie. Plus sombre que jamais, le monde est désormais rongé par le crime et la corruption, défiguré par une industrie galopante, et dirigé de surcroît par un tyran. Les temps sont durs pour les habitants et la révolte gronde. Seul manque un héros capable de mener la révolution à laquelle tout le monde aspire. Mais cela pourrait bien être sur le point de changer...

Se situant entre le premier et deuxième épisode de la saga, God of War : Ghost of Sparta nous plonge dans l'enfance de Kratos, celle-là même qu'il pensait avoir oublié. Surgissant du passé, et du cerveau laser d'un scénariste peu inspiré, Deimos se présente alors sous nos yeux ébahis. Malheureusement, tout frère du Dieu de la guerre qu'il est, il semblerait que le bougre ait attisé la colère de Thanatos. Qu'à cela ne tienne, le spartiate revanchard n'en attendait pas plus pour partir à nouveau au combat afin de retrouver l'unique famille qu'il lui reste encore.

Les idées les plus idiotes sont parfois les meilleures. Qui sait ce qui traversa la tête d’Andy Davison au moment où il eut l’idée du jeu Worms. Ses anciens collègues disent de lui qu’il était « un peu fou », et on imagine bien pourquoi : et si des vers de terre se faisaient la guerre, s’entretuant à l’aide d’artillerie lourde, de grenades, de coups de poing et de bombes bananes ? Mais oui Andy… ne t’inquiète pas, des gentils messieurs habillés tout en blanc vont venir te chercher.

Sorti sur consoles de salon, le jeu vidéo tiré du film d’animation Le Royaume de Ga’Hoole : La Légende des Gardiens se décline également dans une version adaptée à nos petites DS. Fera-t-elle honneur à ces fameuses chouettes de combat luttant contre les vils pur-sang, leurs ennemis ancestraux ? Telle est la question…

Bien que peu de titres sortent sur PS2 cette année, les simulations sportives continuent d'alimenter les rayons de la doyenne des consoles Sony encore sur le marché. Parmi elles, on retrouve évidemment NBA 2K11.

Après nous avoir livré un remake HD des premières aventures de Serious Sam il y a quelques mois, Croteam remet le couvert avec The Second Encounter. C'est donc une nouvelle plongée dans les abîmes du "bourrinisme" le plus primaire qui nous attend. Alors certes, le prix de vente peut paraître un tantinet trop élevé, mais le fait est que parfois, pouvoir mettre son cerveau sur "off" pendant quelques heures vaut tout l'or du monde.

Peut-être pour la dernière fois, FIFA est de retour sur PS2. On se demande bien pourquoi...

Renaissance est la troisième extension stand-alone pour The Guild 2, un titre inclassable qui mêle gestion, jeu de rôle et simulation de vie à l'époque médiévale. La série a son cercle de fans, mais elle n'a pas connu de grosses évolutions dans les derniers add-on. La transposition du propos à l'aube de la Renaissance entraîne-t-elle un renouveau en termes de gameplay ?

Voilà déjà cinq ans que la série des Buzz ! fait son petit bonhomme de chemin sur les consoles de Sony. Cette licence a su décliner les délices du quiz à toutes les sauces pour tester des champs de connaissances aussi divers que variés. Elle opère aujourd'hui à un véritable retour aux sources en revenant au thème qui avait fait le succès du tout premier épisode : la musique. Une petite nouveauté se cache tout de même derrière ce dernier opus puisqu'il propose une compatibilité avec le Playstation Move.

Les idées les plus idiotes sont parfois les meilleures. Qui sait ce qui traversa la tête d’Andy Davison au moment où il eut l’idée du jeu Worms. Ses anciens collègues disent de lui qu’il était « un peu fou », et on imagine bien pourquoi : et si des vers de terre se faisaient la guerre, s’entretuant à l’aide d’artillerie lourde, de grenades, de coups de poing et de bombes bananes ? Mais oui Andy… ne t’inquiète pas, des gentils messieurs habillés tout en blanc vont venir te chercher.

Les idées les plus idiotes sont parfois les meilleures. Qui sait ce qui traversa la tête d’Andy Davison au moment où il eut l’idée du jeu Worms. Ses anciens collègues disent de lui qu’il était « un peu fou », et on imagine bien pourquoi : et si des vers de terre se faisaient la guerre, s’entretuant à l’aide d’artillerie lourde, de grenades, de coups de poing et de bombes bananes ? Mais oui Andy… ne t’inquiète pas, des gentils messieurs habillés tout en blanc vont venir te chercher.

Grâce à ses deux premières aventures de grande qualité, le professeur Layton a su s’attirer les faveurs d’un public très diversifié, allant du joueur occasionnel au hardcore gamer en quête de challenge. Réunis sous la bannière de l’aventure et des énigmes, nul doute que ces amateurs de casse-tête attendent de pied ferme le troisième opus de la série, intitulé Professeur Layton et le Destin Perdu. Clôturant la première trilogie des histoires de nos deux héros atypiques, on est en droit de se demander si ce chapitre saura combler les attentes suscitées, en offrant une première conclusion en forme d’apothéose à la série.

Emboîtant le pas à des chefs-d'oeuvre comme Braid ou Limbo, Super Meat Boy délaisse la profondeur scénaristique des deux titres susnommés pour proposer une approche quelque peu différente. En effet, si le soft mise lui aussi sur la plate-forme, le tout se veut être un vibrant hommage aux jeux des années 80-90, comme Rick Dangerous ou Super Mario Bros avec lequel il partage les initiales. Du coup, la réflexion cédera sa place à des réflexes de ninja, le joueur naviguant constamment entre la frustration, l'énervement et le soulagement à chaque fin de niveau. Eh oui, Super Meat Boy ne vous laissera pas indemne... Et votre manette encore moins.

Il est l'heure de retourner à nos platines, de se vêtir d'une tenue flashy et d'enfiler un casque à moitié car DJ Hero est de retour. Avec sa playlist hallucinante, le jeu de Freestyle Games entend bien vous faire bouger tout l'hiver au rythme de mashups originaux. Si l'accessoire n'a connu aucun lifting ou modification notable, le gameplay laisse désormais un peu plus de liberté aux joueurs.

Il est l'heure de retourner à nos platines, de se vêtir d'une tenue flashy et d'enfiler un casque à moitié car DJ Hero est de retour. Avec sa playlist hallucinante, le jeu de Freestyle Games entend bien vous faire bouger tout l'hiver au rythme de mashups originaux. Si l'accessoire n'a connu aucun lifting ou modification notable, le gameplay laisse désormais un peu plus de liberté aux joueurs.

Quand on entend « Land of Chaos Online », on sent déjà venir le énième free-to-play asiatique reprenant sans honte, trait pour trait, les mêmes caractéristiques que ses 50 prédécesseurs, offrant du monster bashing sans saveur. Pourtant, même s'il est gratuit, l'habit ne fait pas le moine et ce LOCO, pour les intimes, est bien différent de cela.

Non, ne soyez pas surpris, comme tout film d’animation qui se respecte, il était bien évidemment prévisible que Le Royaume de Ga’Hoole se dote lui aussi de sa propre adaptation vidéoludique. Mais ce soft se démarque-t-il dans la masse de jeux à licence, toujours plus nombreux ? C’est ce que nous allons tenter de découvrir.

Non, ne soyez pas surpris, comme tout film d’animation qui se respecte, il était bien évidemment prévisible que Le Royaume de Ga’Hoole se dote lui aussi de sa propre adaptation vidéoludique. Mais ce soft se démarque-t-il dans la masse de jeux à licence, toujours plus nombreux ? C’est ce que nous allons tenter de découvrir.

Non, ne soyez pas surpris, comme tout film d’animation qui se respecte, il était bien évidemment prévisible que Le Royaume de Ga’Hoole se dote lui aussi de sa propre adaptation vidéoludique. Mais ce soft se démarque-t-il dans la masse de jeux à licence, toujours plus nombreux ? C’est ce que nous allons tenter de découvrir.