J´adore , la rime très riche : " temps" : " temps"

Poils-71

J´adoore! Tu es dans le 71?

Un extrait de mon histoire-poésie qui prendrait 3 pages :

Je fus aborbé par un faisceau maléfique
Dans le coeur le plus malfaisant de Vekeré*²
C´était sombre, il y résonnait une trsite musique
Qui fit de moi l´être le plus désespéré

L´expression me semblait correspondre :
Quel coeur de pierre, ça fait de la peine!
Pour sortir j´irais jusqu´à Londres
Et grimper sur le fameux Big Ben.

Un extrait, c´est compliqué mais j´aime bien.

• ² : Ville des malheurs dans mon poème

Allez je fais le début(qui est déjà long) :

" Mon discours ne vous passionnera point
Or il ne me reste plus qu´à raconter mon histoire
Puisque dans mon état je n´irai pas loin
Ca va vous occuper pendant un bon soir :

Je suis enfant à l´époque,
Je souffle les bougies de mes dix ans
Quand une créature loufoque
Apparut en me disant :

- Cher humain, je suis une méchante bébête
Qui ne te benira au contraire
En gros, je vais te faire ta fête
Tu ferais mieux d´appeler ta mère

Je n´étais point touché par les paroles
De l´être minuscule et vulgaire.
Je l´écrasa et joua à la console,
Mais ça n´a pas plu au pervers :

Il se métamorphosa, mon entourage également
Je me retrouvai dans des vêtements anciens
Ma vie défila en un moment
Et s´arrêta d´un coup soudain

Ma façon de voir les choses est incompréhensible
Pour comprendre il faudrait des mois
C´est comme pour lire la bible
Mais je suis pas chrétien, moi!

extrait de " Mondes incoryables et effrayant".

nul, hein?

J´en ai encore des centaines de lignes, ça m´a occupé pendant des années!

ClarenceSeedorf
Posté le 19 décembre 2004 à 20:50:06
Lol tu as inventé un temps "  revena" ,   je crois bien que c´est "  revint"

Eh ouais, à 8 ans on a de l´imagination pas vrai ! J´ai même inventé le mot " ras-le-cul" à partir de " ras-le-bol" alors que j´avais pas encore entendu cette version à l´époque

ClarenceSeedorf
Posté le 19 décembre 2004 à 20:52:16
J´adore ,   la rime très riche : "  temps" : "  temps"

Faut être indulgent avec les petits!

Lol il a 10 ans , je croyais qu´il avait 15-16 ans ca m´inquiétait un peu

Pour t´expliquer je suis une fille,
J´ai en effet 16 ans. C´est juste que le poème, je l´ai fait à 8 ans, c´est tout.
Ah, je m´en rappellerais toujours, allongée à plat ventre sur mon lit éclairé par la languissante lumière de ce fin d´après-midi...sur une pochette jaune dans laquelle j´avais mis des dessins pour ma môman...au feutre orange. Avec plein de fautes mais c´était tellement mignon... :love:

Ouhla j´ai eu du mal la , mon esprit est embrouillé , j´ai du trop écrire .

désolé c´est un quiproque , j´ai cru que c´était k-maro qui avait écrit , et vu qu´il a 10 ans , enfin..

Désolé de ce malentendu . ..

Je trouve ca plutot sympa de voir une fille sur ce forum , ca apporte une petite note de gaieté

Ah ouais? Ca alors les filles aiment pas créer ou quoi? ou peut-être simplement qu´elles aiment pas les jeux-vidéos...
Ca te dirais que j´écrive mon premier poème depuis 8 ans?

Si tu me le dédies ok . ..

k-maro_71
Posté le 19 décembre 2004 à 21:18:44

nul, hein?

Cette fausse modestie n´est qu´un raffinement de l´orgeuil
. ..
T´as quand même pas disant avec une poésie pareille?

Clarenceseedorf
Posté le 20 décembre 2004 à 19:00:30
Si tu me le dédies ok .  ..

Arg, Tu n´es qu´un salaud.

Bon , je te la dédie OK, mais tu lis d´abord ma fic , nannanananèreheu...

Polis-71 non franchement, j´aime pas, mais les autres disent " pas mal".
Et pis, je montre sa à ma prof de francé, elle me met 13/20.

T´en veux d´autres?
Autre extrait :

Cela fait maintenant un mois
Que je suis emprisonné dans cette pièce
J´étais fatigué des cris d´effroi
Qui me hantaient sans cesse.

La déshydratation n´était lointaine,
Les pleurs, la sueur, m´y emmennent.
Quand l´ambiance devint sereine,
Après une explosion de foudre soudaine.

Je me sentais mieux, mais mon esprit
Etait encore dérangé, j´avais peur,
J´ouvrit les yeux, puis d´un cri,
J´apperçut une ombre de tueur,

Alors j´attacha une ficelle autour de mon poing,
J´interrogea l´être qui s´approchait :
- Ma maison est-elle loin?
- Chut. Je vais te tuer avec mon crochet.

Alors du coup de poing ficelé, je brisai
Le paysage sombre qui laissa place
A un paradis doux comme le baiser
Mais cela laissa l´ennemi de glace

Il venait toujours...

Ca c´est le morceau de chapître 4.

Polis est-tu du 71?

J´avais écris ça il y a longtemps car un ami m´avait trahi. Heureseusement tout est rentré dans l´ordre avec lui mais j´ai encore ce poème.
Vous me direz ce que vous en pensez.

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Trahieille ( trahison - cruelle )

Quand vient un jour où l’amitié de deux personnes se tarit
Alors que bien même cette fragile relation n’a aucun prix
Les bons et anciens amis malgré eux se voient trahi
Et par un sentiment de vengeance ils se sentent épris.

Le bonheur qui autrefois régnait, à présent disparais
Les confidences dévoilées deviennent des secrets cachés
L’apparence sombre d’un pardon devient un façade ravagée
Par une colère innommable qui perdurera pour l’éternité.

Le sentiment de confiance se voit remplacé par une méfiance
Afin de rompre ainsi, il n’y a que êtres bon pour la potence
Ils se morfondent en excuse mais il sont tous de la même engeance
Car d’eux leur misérable personne il n’y a a avoir aucune Espérance.

Pendant que d’autres voit leur rêves absolument déchu
Ils offrent leur pardon alors que leur âme en est dépourvu
Et à présent que cette amitié a entièrement été vaincu
Seul le futur détermine l’avenir d’une relation aussi ambigu.

Ben voila, je vais poster des petits extrait du " Spleen des Graves" ( pseudo oeuvre que j´ai ecrit) de ce que j´ai écrit comme poésie...

ca vaut ce que ca vaut, mais moi j´aime bien ( lol)

6 - Un ange

A la personne qui croira que ce poème
ne lui ai pas adressé

Je ne vois plus qu’une personne, elle est unique
La seule à mériter plus que mon amitié
Si semblable des autres par des yeux étrangers
Elle est pour moi l’apparition angélique.

Un regard et je l’aime, je m’évade de joie
Si vide semble ma vie pendant son absence
Un simple sourire et déjà mon cœur danse
Seul je suis pour voir la beauté qu’on ne voit pas.

Doux sont les anges, elle est la plus douces d’entre toutes
Son rire seul guéri mes peines, disperse mes doutes
D’amitié elle me rempli, mais tout s’arrête là.

J’espère en vain, mon ange croit l’amour à l’horizon
Si loin de mon cœur le sien cherche un compagnon
Les anges sont des illusions que l’on n’atteint pas.

13 - Demain sera pareil qu’aujourd’hui

A Emilie, qui ne semble jamais pourvoir sombrer
dans les abîmes du désespoir, et qui, en ça,
est un exemple pour moi

Renouveau du jour qui se lève petit à petit
Aube neuve, le lendemain sera-t-il heureux ?
Hier, j’attendais d’aujourd’hui un beau ciel tout bleu
Je me réveille encerclé par des nuages tout gris.

Par quel mystère une nuit pourrait changer une vie ?
En quoi demain pourrait il être plus beau qu’hier ?
Rien ne change pendant le long sommeil de l’hiver
L’été ne vient qu´après que la nuit soit finie.

La nuit porte conseil mais ravive leurs pleurs
Aux gens tristes je dis que chaque acte a son heure
On ne peut qu’espérer trouver la route à suivre.

Ce qui doit venir un jour viendra en son temps
Puisse t-il ne pas être bousculé par l’impatient
Qui perd l’espoir et le goût sucré de vivre.

19 - Jusqu’à ce qu’une tombe nous sépare

A celui qui nous a quitté alors qu’il commençait sa vie

Tout ce qui à un commencement à une fin :
Le fait que la vie soit belle nous fait oublier
Qu’aucuns de nous n’est ici pour l’éternité
Qu’à chaque jour qui passe la Mort peut donner sa main.

On attend pour leur raconter ce qu’on a vécu,
On se laisse bercer par les merveilles du monde,
Jusqu’au jour où l’on s’éveille sous le ciel qui gronde
Un proche disparaît et l’insouciance n’est plus.

Alors on se rend compte que la vie est fragile
Que le temps est compté, que la fuite est futile
Et peut être que demain sera déjà trop tard.

Alors on se rend compte qu’on ne leur a pas dit
Notre amour pour eux, nos peines, et aujourd’hui
On pleure car on ne peut plus ; une tombe nous sépare.

Prisonnier de tout ses cris
Tu as forcé les barreaux de ma vie
Tu as éclairé ces regards de haine
Tu voulais juste me venir en aide
Tel un rapace fondant sur sa proie
Je n´ai fait que remplir ton coeur de ce froid
Tu n´a jamais cessé d´être forte
Larme d´or déversée sur cette porte
Que j´ai lachement fermé dans mon orgeuil de fierté
Cette bise de courage
N´a cessé de faire grandir ma rage
Lune mielleuse portant une fin heureuse
Puissent ces mots te fairent oublier la faucheuse
Excuse moi de t´avoir fait plonger
De t´avoir entrainé dans ce noir enchanté
Douce illusion bercé par cette même passion
De nos regards sorbides nous admirons ce vide
Du fond de ce désert ou la port nous ignore
Nous marchons en vain vers ce destin commun
Une dernière tache à accomplir
Pour exaucer son souhait avant d´en finir
Dans ce torrent de hargne je verse une larme
Tu es la seule a me laisser mourrir
Du haut de tes soupirs tu me regardes souffrir
Tu as voulu rentré dans ma bataille
Je doute que nous soyons de taille
Que la douleur me lacère
Je ne mettrais jamais pied à terre
Et si un jour je parviens à mes fins
Si un jour j´arrive à vaincre mon destin
Nous partirons ensemble vers ce doux voyage
Dans ce monde ou il n´y a pas d´adieux
Viendra le moment de toucher au bonheur
Et plus jamais nous n´aurons peur.

Voila un des poèmes que j´ai écris il ya de cela quelque temps pour ma meilleure amie...

Le connard rêvant de liberté

Hé! L’être stupide qui lis cela
Je suis le messie et écoute moi
Tes chaînes t’entravent
Tu rampes tel une larve
Soumets toi et lèche le cul de ton bourreau
Tu vas chercher le bâton et tu fais le beau
Hé! Mon chéri, tu sais quoi?
T’es le prisonnier de l’État
Dans les geôles de la « Liberté, Égalité, Fraternité »
T’es un esclave qui est gouverné, espionné, exploité
Aux mains liées par les menottes de la démocratie
Tu es attaché au pilori de cette république pourrie
Hé! Toi l’individu obéissant!
Ne trouves-tu pas cela révoltant?
Hé! Toi qui suis docilement!
Ne veux-tu pas sortir de ce rang?
C’est un monstre froid dévorant sans pitié
Les plus pauvres des captifs de ta société
Les chairs sont arrachées par des milliers de dents
Des piles de cadavres déchirés autour du président
C’est un monstre froid et tu es la prochaine victime
Ne te retourne pas, prie juste, c’est l’heure du crime
Hé! L’individu qui n’a aucune liberté
Tu sais, si tu ne veux pas être dirigé
Tu auras toujours la solution de te révolter
N’as-tu jamais pensé à renverser l’autorité?
La haine est ton alliée
La colère est ton épée
La violence est la solution
Pour faire cette révolution
La clé pour se libérer de l’oppression
La seule manière de vivre à sa façon…