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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Avant d'être un héros nourri aux hormones, Conan est avant tout un barbare. Avant d'être un guerrier, Conan est avant tout un homme qui sait compter jusqu'à 5 sans s'aider de ses doigts. Avant d'être une légende Conan est le type même de gaillard prompt à donner un coup de poing à un chameau parce qu'il l'a regardé de travers. Avant d'être une adaptation vidéoludique, Conan est d'abord un concept très abstrait à mi-chemin entre le burlesque involontaire et la barbarie kitchounette à même de nous amuser...tout un programme.
C'est en décembre 2000 que nous avons découvert l'agent 47. Puis, une suite est parue en octobre 2002, celle-ci améliorait d'ailleurs grandement le gameplay et les graphismes du jeu original. Voilà que débarque aujourd'hui le troisième opus de la série qui nous permet d'incarner le désormais célèbre tueur à gages au charisme certain. Qu'apporte ce nouveau volet ? Reproduira-t-il l'engouement des joueurs pour ses deux prédécesseurs ?
Et dire que je sortais tout juste de la thérapie qui visait à me faire comprendre que, "non, je ne suis pas Code 47 et que me raser le crâne n'y changera rien, et d'accord je veux bien vous lâcher monsieur", et paf, voilà qu'arrive le troisième volet. Deux ans d'attente pour les fans d'infiltration et de l'assassin silencieux. Mais si la première présentation qui me fut faite de ce nouvel opus m'avait enchanté, je dois bien reconnaître que, d'une certaine manière, Hitman Contracts déçoit à certains égards.
Errons dans les landes de Midgard, terres des âmes tourmentées des hommes, où les dieux viennent quérir les esprits désormais libres de leur carcan de chair. Mais quelle est la raison de cette épopée au sein des froides légendes du Nord, plongées dans les contrées des nobles Vikings ? Et bien rien de bien nouveau en somme. Un ancien héros, défenseur maladif de la veuve et de l'opprimé s'est vu pencher du côté obscur, ne sachant pas résister à l'appel d'un artefact à la puissance occulte. Déchaînant sa hargne fulminante sur les pauvres hères, votre mission sera de secourir votre peuple en l'arrachant des mains du tyran, et de comprendre les mystérieux pouvoirs de l'anneau... pardon de l'amulette.
L'an passé, Unreal 2 nous avait fait le sale coup du jeu qui se fait passer pour une bombe et se contente d'être bien gentil mais sans plus. Le voilà aujourd'hui qui vient titiller les joueurs Xbox dans en version techniquement catastrophiques et au gameplay curieusement mou.
Tout ce que je connaissais de l'univers de la boxe avant de me frotter à Fight Night 2004 se résumait à un Frédéric Tatoum version Simpsons, une sombre histoire d'oreille arrachée et un illustre jeu de boxe sur Amiga...dont j'ai oublié le nom, pauvre de moi. Bref, c'est vierge de tout préjugé que je me décidais à affronter les plus grands de Muhammed Ali à Evander Holyfield au travers d'un Fight Night 2004.
Tout ce que je connaissais de l'univers de la boxe avant de me frotter à Fight Night 2004 se résumait à un Frédéric Tatoum version Simpsons, une sombre histoire d'oreille arrachée et un illustre jeu de boxe sur Amiga...dont j'ai oublié le nom, pauvre de moi. Bref, c'est vierge de tout préjugé que je me décidais à affronter les plus grands de Muhammed Ali à Evander Holyfield au travers d'un Fight Night 2004.
Et dire que je sortais tout juste de la thérapie qui visait à me faire comprendre que, "non, je ne suis pas Code 47 et que me raser le crâne n'y changera rien, et d'accord je veux bien vous lâcher monsieur", et paf, voilà qu'arrive le troisième volet. Deux ans d'attente pour les fans d'infiltration et de l'assassin silencieux. Mais si la première présentation qui me fut faite de ce nouvel opus m'avait enchanté, je dois bien reconnaître que, d'une certaine manière, Hitman Contracts déçoit à certains égards.
Déjà sorti aux Etats-Unis au cours de l'année 2002 sous le titre de Jazz & Faust, voilà qu'un éditeur se décide enfin à importer ce jeu d'aventure point & click dans nos contrées. Et c'est dans sa gamme "Red Games" de jeux à petits prix que Micro Application a fait paraître le titre. Au programme, un univers arabisant et deux personnages pour deux aventures parallèles différentes.
Avant d'être un jeu de courses (dans la veine d'un Crash Team Racing), Spanking Runners est un design. En équilibre entre la série Les Fous Du Volant et Fluide Glacial, force est de reconnaître que le graphisme du titre de Micro Application est atypique. Il conviendra donc d'une part d'adhérer au style et d'autre part de faire abstraction des défauts émaillant le jeu pour pouvoir apprécier cet énième jeu de kart.
Ah... Blitzkrieg ! Ses centaines d'unités différentes, ses combats à haute composante tactique, son ambiance seconde guerre mondiale fidèlement restituée grâce au respect de la réalité historique... Avec tout ça vous comprendrez que c'est avec une joie non dissimulée que l'on a vu arriver dans notre rédaction le stand alone tiré de ce grand nom du jeu de stratégie. Saura-t-il renouveler l'engouement qu'ont ressenti les joueurs pour son grand frère ?
Longtemps repoussée, la version console de Fallout est enfin disponible. Avec elle, il ne faut pas s'attendre à renouer avec le style RPG propre à la série, mais plutôt à trouver un jeu de hack and slash dans le même esprit que la série Baldur's Gate : Dark Alliance.
Pendant un moment j'ai cru que Breed ne sortirait jamais à force d'être repoussé. Et depuis que j'ai joué à la version finale, je me dis que ça aurait été préférable. S'il avait fait fort impression lors des ses premières présentations et qu'il a figuré un temps sur les listes d'attentes des joueurs, Breed a visiblement connu un développement calamiteux et au final, il est lui-même une calamité.
Après le très moyen Rugby 2004 d'Electronic Arts, voilà que c'est au tour d'Acclaim de tenter de séduire les amateurs de ballon ovale qui, il faut bien le dire, ne croulent pas sous les jeux mettant en scène leur sport favori. Ce petit dernier sera-t-il capable de fédérer autour de lui tous les inconditionnels de l'ovalie ? Pas si sûr...
Specs Ops : Airborne Commando, voici un titre qui dès le départ manque de promesse. Non pas par le fait qu'il soit sur PSone (de multiples RPG US m'attendent encore sur cette console) mais bel et bien par celui qu'il appartienne à une série qui n'a jamais vraiment réussi à faire ses preuves. Et si en plus on nous sert une technique des plus fragiles et un gameplay brinquebalant, où va-t on ?
Quand on nous annonce l'arrivée d'un titre Rockstar, on peut généralement admirer une forte effervescence poindre à l'horizon. Dévoilé par le biais de vidéos assez éloquentes, Manhunt a su se faire désirer par les amateurs d'ambiances glauques et étranges. La seule question qui restait en suspens, c'était celle du gameplay. Et bien voilà la réponse.
Se sentir traqué, être obligé de faire appel aux plus basses actions ataviques, ne fonctionner que sur deux plans définissant par la même la survie. Tuer et fuir. Lorsque l'on est confronté à cet état de fait face à des éléments que nous ne contrôlons pas et dont nous ne pouvons connaître l'origine, il apparaît comme justifié de réagir en fonction de l'instinct de conservation. Mais dans le cas où une personne provoque intentionnellement cette situation, instaurant consciemment un climat sauvage et ombrageux, comment se comporter, rationaliser ses actes ? C'est ce que Manhunt aurait pu mettre en avant, si seulement.
L'humour trash et scato c'est quelque chose tout de même. Pour ma part je déteste et c'est donc avec une grosse appréhension que j'enfournais la galette de Super Farm dans une PS2 pour voir si derrière cette débandade visuelle se terraient quelques mini-jeux des plus sympathiques, Super Farm se présentant comme un Mario Party-like.
Après la Somalie et les déboires des hélicoptères américains, les Delta Forces s'en vont trouer des trafiquants colombiens et des iraniens pour je ne sais plus quelle raison. Sans doute pour aller "libérer leur peuple". Oui, j'avoue, j'ai un peu zappé le scénario pas très fourni du jeu, d'ailleurs, c'est pas la seule chose qui ne soit pas très fournie.
Après la première extension Wacky Worlds qui nous avait fait voyager aux quatre coins de la planète, voici qu'Atari se décide à sortir un second add-on pour son jeu de gestion de parcs d'attraction Rollercoaster Tycoon 2. Les inconditionnels seront-ils aux anges ? Pas si sûr...