Derniers tests de jeux vidéo - page 643

Lost Planet n'est pas un shooter. Le mot est trop court, trop incorrect. Il semble que depuis Dead Rising, Capcom ait pris goût au bluff et se soit amusé cette fois-ci à dissimuler derrière les doux traits de notre avatar, la jeune star Coréenne Byung-Hun, le plus dégénéré des jeux d'action. Un véritable mutant du genre, proche de ce que pourrait donner une adaptation d'Akira, et qui finit inévitablement par mettre les deux pieds dans le jeu de guerre totale. Bien loin d'être intouchable, Lost Planet profite de l'enthousiasme et de la fraîcheur de ses développeurs en même temps qu'il subit de plein fouet leur manque d'expérience dans ce domaine.

L'EyeToy fait des pieds et des mains pour faire bouger notre petit corps, mais indiquer des bidules à toucher en balançant une musique à deux francs n'est pas nécessairement suffisant pour provoquer l'hilarité générale, voilà probablement ce que Namco a oublié au cours du développement de Rhythmic Star.

Les jeux vidéo nous offrent parfois des expériences bien étranges. Mondes surréalistes, histoires surprenantes et souvent capilotractées, personnages fantastiques et loufoques, les créateurs de tout bord s'en donnent à coeur joie pour nous étonner. S'il est ici question d'un héros de dessin animé bien connu chez les plus jeunes, le fait est que nous faire vivre les aventures d'une éponge reste un concept assez curieux. Héros des enfants, Bob l'éponge est de retour dans cette énième adaptation de ses aventures.

Les jeux vidéo nous offrent parfois des expériences bien étranges. Mondes surréalistes, histoires surprenantes et souvent capilotractées, personnages fantastiques et loufoques, les créateurs de tout bord s'en donnent à coeur joie pour nous étonner. S'il est ici question d'un héros de dessin animé bien connu chez les plus jeunes, le fait est que nous faire vivre les aventures d'une éponge reste un concept assez curieux. Héros des enfants, Bob l'éponge est de retour dans cette énième adaptation de ses aventures.

La même chanson, encore et toujours, depuis vingt ans. Un beat'em all 2D à papa Golden Axe reçoit la visite d'un licencieur en mal de produits dérivés. Pour un résultat boursouflé de ringardise, techniquement honteux, minimaliste jusqu'au moindre kick mal animé. On l'arrête quand cette blague ?

Avez-vous déjà entendu parler du groupe Puffy Amiyumi ? Non, vous non plus, c'est ce que je pensais. Célèbre chez les midinettes nord-américaines et japonaises, ce groupe nippon, monté de toutes pièces dans le but à peine voilé de générer des hectolitres de billets verts s'est d'abord vu adapté en dessin animé sur Cartoon Network pour finir sa course dans la purée de pixels. Lorsque la J-Pop s'empare pour des raisons commerciales de l'étiquette "rock", la DS tremble et le joueur défaille.

De toutes les productions GBA, la console de la petite soeur par excellence, celles sur l'équitation tiennent un rôle plus important qu'il n'y paraît. Ponts entre ce jeune public féminin et le jeu vidéo, elles doivent avant tout satisfaire un aspect pédagogique sans négliger le divertissement. Alexandra Ledermann, qui en est à son deuxième coup d'essai sur GBA, a-t-elle trouvé l'équilibre ?

Découvert dans les salles obscures l'été dernier, Georges le Petit Curieux est un film d'animation américain destiné à toute la famille. Le voici désormais adapté en jeu vidéo dans une version GBA qui est à l'image du dessin animé : classique et sans grande prétention.

Le moins que l'on puisse dire c'est que cette année, on n'a pas été forcément très gâté par les nombreux jeux Star Trek qui sont apparus sur le marché. Sur Playstation 2 par exemple, Encounters s'est révélé très mauvais et sur PSP, Tactical Assault fut tout juste moyen. Legacy sur Xbox 360 s'est quand même révélé un peu meilleur et nous attendions donc au moins la même qualité de l'adaptation PC. Hélas, c'était sans compter sur les problèmes de jouabilité.

Série animée à succès, Winx Club débarque enfin sous la forme d'un jeu vidéo sur DS. Comme bien souvent dans de pareilles situations, le titre en question s'avère très décevant. Un contenu pauvre, une réalisation loin d'être à la hauteur et un aspect répétitif poussé nous coupent tout de suite l'envie de passer du temps sur ce soft.

Fans de Tokobots, réjouissez-vous ! Les petits robots préhistoriques ont abandonné momentanément les UMD de la portable de Sony pour venir nous rendre une petite visite cliquetante sur PS2. Tokobot Plus : Mysteries Of The Karakuri n'est en fait qu'une version légèrement remaniée du soft de réflexion/plates-formes sorti sur PSP l'année dernière. Réjouissez-vous donc, mais pas trop non plus car le titre reste peu ou prou le même. Petit démontage rapide du moteur de cette version Plus, en essayant de ne pas trop perdre de boulons en route.

Bien qu'il fut l'incontournable attraction des cafés d'antan, le flipper a vu sa cote de popularité baisser au profit de celle des bornes d'arcade. Pourtant, ce loisir fait de la résistance et essaie même de se faire une place sur nos consoles en privilégiant l'inventivité ou dans le cas présent, un classicisme qui ne rime pas forcément avec archaïsme.

Ubisoft en veut-il à ce point à la licence Far Cry ? Depuis que l'éditeur a récupéré le jeu des mains de Crytek, sa qualité n'a de cesse de décroître. Avec cette version Wii développée avec une effroyable désinvolture, le voyage au pays du bounty n'aura jamais été aussi rebutant.

Asphalt : Urban GT étant a priori destiné à devenir une franchise de Ubisoft, la saga se pare de nouveaux épisodes à un rythme qui semble plus ou moins régulier. Cependant, nous n'en sommes ici qu'au deuxième épisode (alors que le troisième est d'ores et déjà disponible sur téléphones portables) et si la courbe d'évolution semble encore assez pentue, on notera malgré tout que Gameloft a su rectifier le tir depuis le premier opus en corrigeant quelques défauts.

"One more time" Capcom nous livre une nouvelle compilation de ses classiques ludiques émulés sur PSP, à peine 6 mois après la sortie de Capcom Classics Collection Remixed. La nostalgie paie visiblement très bien.

Tout le monde sait que les fruits sont bons pour la santé. Ils facilitent le transit intestinal, rendent aimable, décuplent vos réflexes dans les FPS, bref, font du bien à votre corps de l'intérieur. Pourtant, on peut s'interroger sur la véracité d'une telle assertion lorsque l'on pose les paluches sur ce Super Fruit Fall. Inspiré par la légende de Newton et de sa pomme, System 3 nous sert un casse-tête sympathique, mais certainement pas à 35 euros et des brouettes.

Installé dans votre nid douillet, ou sur le siège moins confortable d'une rame de métro, la PSP fait office de manche à balai et vous invite à parcourir les cieux. Pilot Academy est la première véritable simulation de vol à débouler sur la portable de Sony. Projet pour le moins ambitieux et risqué que de vouloir retranscrire l'immensité du ciel sur un tout petit écran. Alors qu'en est-t-il finalement ? Septième ciel ou voile noir ?

Fruit du travail d'un studio coréen, Archlord est sorti dans le courant de l'année 2005 dans ce pays friand de MMORPG. C'est en octobre 2006 que Codemasters a décidé de l'importer dans nos contrées. Ne rencontrant pas le succès escompté, le titre vient de passer sans abonnement en ce début d'année 2007, si bien que c'est l'un des rares jeux de rôle exclusivement online qui, comme Guild Wars, ne vous réclamera pas de payer tous les mois pour jouer. En clair, vous achetez la boîte et vous n'aurez ensuite plus à mettre la main à la poche. Très appréciable, d'autant que contrairement au hit de NCSoft, Archlord est composé de niveaux non instanciés, c'est-à-dire que vous pouvez y rencontrer des joueurs partout et pas seulement dans les villes. Mais est-ce que sera suffisant pour que ce soft se fasse une place au soleil ? Rien n'est moins sûr.

L'intelligence en promo, et par lots séparés. Pendant les soldes, profitez d'une remise de 10 euros sur la matière grise, et choisissez celle de votre choix : logique ou mémoire. Vous être le consommateur, vous avez tous les droits, toutes les options. Devenez Un Génie Avec Le Docteur Makato, et soyez victime d'un de ces petits et misérables holdings mercantiles organisé par un Père Noël beurré à l'argent facile.

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