Critique perso ici :

https://www.senscritique.com/serie/Sex_Education/critique/187074379

En gros j'ai bien aimé même si c'est pas mal cliché (mais plus d'infos intéressantes dans mon lien )

C'est ma chatte elle dit

Sex Education c'est une bonne série que les ados d'aujourd'hui prendront plaisir à regarder, j'espère juste qu'ils retiendront les bonnes choses de la série ^^
Après voilà faire plusieurs saisons de ça c'est un abusé même si on s'attache à certains personnages.
SpoilAfficherMasquerPar contre on s'avait dès le début que le fils du principal était gay aucune surprise mdr

Le 22 janvier 2019 à 00:11:42 Jusliens a écrit :
Je viens de finir.
C'est du sous 13rw, le forcing "bien-pensance" c'est clairement lourd.
C'est également surjoué à de nombreuses reprises ça en devient gênant .
Ça va que j'ai rien à foutre de mes soirées, c'est franchement très moyen

Mis à part le fait que ce soit Netflix et teen-serie, ça peut pas trop se comparer à 13rw imo.

Y’a mille fois plus de mise en scène dans SE, la série se veut humoristique alors que 13rw est sérieuse.
Dans 13rw ils essayent de traiter un sujet grave, alors que SE est juste complètement décomplexée en se prenant absolument pas au sérieux. Y’a des moments où elle part tellement dans l’absurde que ça en devient presque de la parodie de teen-série.
Il y a un jeu conscient avec les clichés qu’on retrouve pas du tout dans 13rw. Et puis ça profite du style anglais, qui donne une sorte de détachement et un humour absolument jouissif. Le surjeu au travers des mimiques participe aussi énormément à ça, particulièrement chez Maeve et la mère d’Otis, ça fait très à la fois très British, distingué, et en même temps il y a tellement d’emotions dans ces grimaces, en plus de participer au comique général.

Et puis la fluidité des transitions en plan séquence, les dézoom à la trainspotting durant les branlettes, le montage ultra énergique, où est-ce que tu retrouves tout ça chez 13rw ?

Parce que là c’est comme dire que Kingsman c’est du sous Mission Impossible, ou mieux, que Kick-Ass c’est du sous Man of Steel. La volonté n’est pas du tout la même, ça n’a aucun sens.

Après pour le forcing « bien pensance », mis à part le fait que les gays ne soient pas ouvertement martyrisés et insultés, je vois pas trop où il se trouve. Les leçons de vie d’Otis c’est un peu le principe de la série, et elles sont assez minoritaires sur le reste de la série je trouve. Or à part ses conseils, je vois pas trop où est-ce qu’on promeut une bien pensance abusive.

M’enfin si tu t’as préféré terminer une série que tu n’aime pas (cad gâcher plusieurs heures) alors qu’il y a probablement des milliers de bons films et bonnes séries que tu n’as pas vu, le tout en prétextant que t’as rien à foutre de tes soirées et pas juste assumer ton envie de connaître la suite, je me dis que je dois pas être en mesure de comprendre ton mode de pensée en générale, donc pas ta critique non plus.

Salut je cherche quelqu'un pour forcer la barricade, mettre le petit jésus dans la crèche.

Le 21 janvier 2019 à 08:33:43 Kamelott[JV] a écrit :

[11:56:18] <Crypterium>

Sauf que depuis le début, je n'ai jamais parlé de cette série en particulier ( puisque je disais " si "ce que j'ai lu est vrai),

Bah justement... Faudrait peut être commencer par y jeter un œil avant de critiquer non ? Tu comprendrais à qui s'adresse cette série et quel est son objectif (plus ou moins loupé), mais au moins tu saurais qu'ici y a de la justification à représenter un peu tout ce qui existe niveau orientation et pratique.

Je ne critiquais pas la série(d'où le "si"), on était parti dans un débat général au delà de la série.

Mais après l'avoir vu, la série est assez médiocre dans tous les cas. Et non je ne trouve pas qu'elle représente un peu tout ce qui existe, c'est vraiment très basique et cliché au final ce qui est représenté niveau sexualité.

Le 21 janvier 2019 à 12:08:21 LittleBoots a écrit :

Bah justement... Faudrait peut être commencer par y jeter un œil avant de critiquer non ? Tu comprendrais à qui s'adresse cette série et quel est son objectif (plus ou moins loupé), mais au moins tu saurais qu'ici y a de la justification à représenter un peu tout ce qui existe niveau orientation et pratique.

Bien ouais ! Mais non c'est de la propagande selon certains ahah juste car il y a des couples gays. Donc The OA avec un trans dans un second rôle c'est aussi de la propagande ? Les séries télés reflètent une société réelle qui est en train de changer.

Je suis le premier à dire que The OA c'est excellent, et non ce n'est pas de la propagande, tu confonds tout.

Je viens de finir mais enfaite si j’ai bien compris ça fini pas super bien pour tout les personnages

Le 23 janvier 2019 à 06:03:23 ColorsSunshine a écrit :
Je viens de finir mais enfaite si j’ai bien compris ça fini pas super bien pour tout les personnages

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Adam qui vient de dévoiler son homosexualité mais qui part en maison de redressements où je ne sais quoi
Éric qui se retrouve seul du coup
Maeve qui était enfaite amoureuse de Otis mais s’en rend compte trop tard et fini seul aussi + son frère qui s’est encore barrer+ on sait pas si elle va réintégrer le campus
Jackson qui lui aimait vraiment Maeve et qui se retrouve seul et bloquer dans son sport qui lui fout un stress de malade et le prive de tout
Et surtout Otis toujours puceau

Le 21 janvier 2019 à 13:04:59 Comptesecours6 a écrit :
Aussi je pense pas que les gays se sentent bien représentés par Eric.
Le soucis de ce genre de production c'est que la plupart des personnages sont représentés par un unique trait de caractère. Eric c'est la folle, le fils du principal le SpoilAfficherMasquer gay refoulé etc. Sans ça, les personnages sont totalement transparents.
Soit c'est la preuve que le scénariste est pas tip top, soit c'est pour autre chose mais bon on a pas le droit de le dire sans se faire insulter.

Le 23 janvier 2019 à 21:35:00 EtCraFT a écrit :

Le 21 janvier 2019 à 13:04:59 Comptesecours6 a écrit :
Aussi je pense pas que les gays se sentent bien représentés par Eric.
Le soucis de ce genre de production c'est que la plupart des personnages sont représentés par un unique trait de caractère. Eric c'est la folle, le fils du principal le SpoilAfficherMasquer gay refoulé etc. Sans ça, les personnages sont totalement transparents.
Soit c'est la preuve que le scénariste est pas tip top, soit c'est pour autre chose mais bon on a pas le droit de le dire sans se faire insulter.

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Ca montre une vérité chez les personnes gay : que beaucoup d'ado/hommes perpétuent des actes violents uniquement car ils sont perdus dans leur sexualité, qu'ensuite seulement certains arrivent à surmonter la pression et à s'affirmer. C'est un schéma classique, voire stéréotypant mais c'est une réalité qui méritait d'être traitée je trouve. Puis franchement il est pas si stéréotypé que ça Eric je trouve, dans le sens où l'histoire le traite bien plus comme bully que comme gay refoulé

Le 23 janvier 2019 à 21:35:00 EtCraFT a écrit :

Le 21 janvier 2019 à 13:04:59 Comptesecours6 a écrit :
Aussi je pense pas que les gays se sentent bien représentés par Eric.
Le soucis de ce genre de production c'est que la plupart des personnages sont représentés par un unique trait de caractère. Eric c'est la folle, le fils du principal le SpoilAfficherMasquer gay refoulé etc. Sans ça, les personnages sont totalement transparents.
Soit c'est la preuve que le scénariste est pas tip top, soit c'est pour autre chose mais bon on a pas le droit de le dire sans se faire insulter.

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Ca montre une vérité chez les personnes gay : que beaucoup d'ado/hommes perpétuent des actes violents uniquement car ils sont perdus dans leur sexualité, qu'ensuite seulement certains arrivent à surmonter la pression et à s'affirmer. C'est un schéma classique, voire stéréotypant mais c'est une réalité qui méritait d'être traitée je trouve. Puis franchement il est pas si stéréotypé que ça Eric je trouve, dans le sens où l'histoire le traite bien plus comme bully que comme gay refoulé

C'est pas comme si ça avait déjà été traité 1000 fois ce cliché ( et non je ne dirai pas que ça dépeint une réalité fréquente, c'est surtout histoire de dire " en fait c'est une brute parce qu'il est gay", histoire de donner une profondeur artificielle en plus au perso, comme si le fait d'avoir un père con ne suffisait pas, ou tout simplement être un gros connard mal éduqué comme la plupart des brutes, c'est pas des gays, juste des personnes au QI très faible qui ont besoin de s'exprimer par la violence plutôt que par les mots, mais ces séries mièvres pour ados ont toujours besoin de chercher une cause cliché pseudo profonde pource genre de persos) donc je ne dirai pas que ça méritait d'être fait de nouveau, un peu d'originalité aurait fait du bien

Mais a partir du moment où à la première apparition des intouchables, on vois des filles exagérément méprisables qui jettent le déjeuner dans leur amie en disant être vegan, à quel moment on peut se questionner sur l'originalité des personnages ?

Enfin ça me paraît évident que Sex Éducation parodie ses archétypes jusqu'au bout. Anwar qui n'arrête pas de répéter "je ne suis pas ton ami" sur le ton typique méprisant du gars populaire, c'est un running gag. Adam qui est toujours là pour frapper Éric sans raison, c'est un running gag. Et la découverte de sa sexualité fait typiquement fan fiction d'adolescente, c'est la aussi une blague.

Vous analysez ultra au sérieux une série qui ne développe vraiment que quatre personnages, et fait de leur entourage une parodie des clichès des séries pour adolescents.
Perso je n'aime pas du tout les teen-series, mais j'ai adoré SE justement parce que ce n'en est pas une. C'est une parodie, une comédie, et vous l'analysez comme si elle se voulait profondément sérieuse et avec des personnages originaux et profonds.

Autant c'est le cas (plus ou moins) de Maeve Otis Éric et Jackson, autant les autres se contentent d'être des références/gag sur patte. Et encore heureux, parce que les histoires d'adolescents qui se prennent au sérieux, c'est d'un chiant...

Idem quand Aimee tombe amoureux de l'intello des qu'elle voit qu'il est musclé : c'est pas un développement de personnage paresseux, c'est un gag parodiant les écervelés qui couchent avec tout le monde dans les séries pour adolescents.

Ou quand la fille bizarre qui dessine du hentai demande a tout le monde coucher avec elle. C'est pas un personnage complexe, surprise, c'est encore un running gag.

Ça ne sert a rien du sur-analyser la complexité et la profondeur de protagonistes qui ont une vocation purement parodique et humoristique, c'est passer totalement a côté de ce que je fait la série.

J'aime bien Ola moi

Le 24 janvier 2019 à 07:59:46 -Barbossa- a écrit :
Idem quand Aimee tombe amoureux de l'intello des qu'elle voit qu'il est musclé : c'est pas un développement de personnage paresseux, c'est un gag parodiant les écervelés qui couchent avec tout le monde dans les séries pour adolescents.

Ou quand la fille bizarre qui dessine du hentai demande a tout le monde coucher avec elle. C'est pas un personnage complexe, surprise, c'est encore un running gag.

Ça ne sert a rien du sur-analyser la complexité et la profondeur de protagonistes qui ont une vocation purement parodique et humoristique, c'est passer totalement a côté de ce que je fait la série.

C'est sur que si on extrapole sur n'importe quoi on peut trouver une analyse freudienne derrière chaque scène.

Mais non mais pour le coup c'est évident. Enfin en terme de rythme, la manière dont c'est tourné, le jeu avec les stéréotypes, pas besoin d'avoir bac+9 pour se rendre compte que c'est un but comique.

Extrapoler c'est chercher une profondeur complexe chez des personnages a but parodique, au contraire.

Au moins les acteurs auront appris à sucer un pénis mdr

Le 24 janvier 2019 à 10:17:28 Cage_Nicolas a écrit :

Le 24 janvier 2019 à 07:59:46 -Barbossa- a écrit :
Idem quand Aimee tombe amoureux de l'intello des qu'elle voit qu'il est musclé : c'est pas un développement de personnage paresseux, c'est un gag parodiant les écervelés qui couchent avec tout le monde dans les séries pour adolescents.

Ou quand la fille bizarre qui dessine du hentai demande a tout le monde coucher avec elle. C'est pas un personnage complexe, surprise, c'est encore un running gag.

Ça ne sert a rien du sur-analyser la complexité et la profondeur de protagonistes qui ont une vocation purement parodique et humoristique, c'est passer totalement a côté de ce que je fait la série.

C'est sur que si on extrapole sur n'importe quoi on peut trouver une analyse freudienne derrière chaque scène.

Suffit de regarder les critiques AlloCiné, ça prend trente secondes :

Critictoo "c'est drôle"
Le Figaro "série pleine d'humour britannique"
Le monde "désopilantes caricatures"
Le point "abordé avec humour"
Rolling Stone "un génie comique"
Télérama "réjouissante comédie anglaise"
Hollywood reporter "chaque personnage est présente d'une certaine manière pour des raisons comiques immédiates"
Vanity Fair "a la fois drôle et serieux"
Écran large "humour décalé "
USA today "série hilarante avec une audace l'anglaise"

TOUT LE MONDE a comprit que c'était comique...
C'est juste évident, pas la peine de venir parler de Freud.

A quand la S2?