Le 05 janvier 2020 à 11:54:05 dsmii a écrit :
Chic, Joséphine sortie, on va pouvoir retrouver la seule, l'unique, la vraie dulcinée de Niki, à savoir… Naïma.

Owiiiii j'attends que ça

Le 05 janvier 2020 à 11:54:05 dsmii a écrit :
Chic, Joséphine sortie, on va pouvoir retrouver la seule, l'unique, la vraie dulcinée de Niki, à savoir… Naïma.

Commencez à aller poser des cierges, on sait jamais sur un malentendu ça peut passer

Pendant ce temps, RIP Julia-Anna avec son caméo de fin de saison

Les fois où Niki est allé sur un circuit où il était le dernier vainqueur :
Monza 2023 2e derrière Vettel
Abu Dhabi 2024 12e pour ses débuts chez RBR
Melbourne 2024 Crash en course
Montréal 2024 ?

Réponse demain vers 17h/17h30.

Saison 7 : https://docs.google.com/document/d/1KZi5n0g1M9dJ-3vZO_PDAyQRutLPMqfoXFlNWozXvdM/edit?usp=sharing

2024 (S7), Chapitre 19 (n°281) : Mano a mano

Jeudi 6 juin 2024, Circuit Gilles-Villeneuve, Montréal
Les dix jours qui viennent de s’écouler ont probablement été les plus agités de ma vie. Je suis devenu une cible prioritaire pour les mange-merde de journalistes qui font leurs gros titres sur toute cette histoire, certains en sont même venus à camper devant chez moi pour obtenir une réaction, et si vous me connaissez bien vous savez que j’ai horreur de ça.
Pour ne rien arranger, Liberty Media est venu ajouter son grain de sel et a décidé de m’inviter pour la conférence de presse aux côtés de Pierre Gasly, Guan Yu Zhou et...Arturo Ráfaga. Devant la salle, d’ordinaire, on rencontre les autres invités, on échange brièvement, or Arturo n’est pas là à l’approche de la conférence, nous rentrons donc à trois et non quatre, ce qui a pour don de décevoir ces fameux “journalistes”.
Finalement, l’uruguayen ne pointera jamais le bout de son nez. Je botte en touche sur les questions liées à cette histoire et les tristes journalistes n’ont rien à mettre dans leurs papiers, même pas de haine à déverser car je n’ai pas parlé. Je veux me concentrer sur une chose : la piste.

Dimanche 9 juin 2024, Circuit Gilles-Villeneuve, Montréal
Au terme d’une qualification intense, le sourire est de retour sur mon visage et pour cause : je me suis qualifié sixième, battant là Vandoorne, Ráfaga et Ticktum. L’ordure qui pilote pour Audi a donc vraisemblablement la tête à autre chose car rien ne semble expliquer pourquoi il a lamentablement échoué à passer ne serait-ce qu’en Q3.

Grille de départ :
1 Russell (MCL) 2 Ricciardo (FER)
3 Verstappen (AUD) 4 de Vries (MCL)
5 Leclerc (FER) 6 Kofler (RBR)
7 Vandoorne (REN) 8 Sette Câmara (RBR)
9 Ocon (SAU) 10 Wighels (AMR)
11 Ráfaga (AUD) 12 Pöpfer (SAU)
13 Ticktum (REN) 14 Gasly (AMR)
15 Sigthorsson (HAA) 16 Zoranovic (WIL)
17 Pérez (HAA) 18 Maini (CHR)
19 Gelael (WIL) 20 Ghiotto (DAL)
21 Schumacher (DAL) 22 Zhou (CHR)

Quand le départ est donné, je prend un envol fabuleux, dépassant Leclerc et de Vries avant de prendre le meilleur de Verstappen dans le 180° droite, jusqu’à ce que la course soit neutralisée pour un crash au premier virage, crash qui a eu raison de Schumacher et des deux China. Alors en troisième position, je me dis que j’ai peut-être finalement trouvé comment piloter ma voiture, après un Grand Prix solide à Monaco et ce qui ressemble à un bon cru, ici au Canada. Néanmoins, dès que le restart est donné, je me rend à l’évidence : jouer le podium chaque dimanche n’est qu’une douce utopie et le duo Verstappen-Leclerc se défait de moi sans trop de problèmes peu de temps après la reprise.
Étonnamment, la suite de ma course n’est pas une dégringolade dramatique ; de Vries et Vandoorne derrière moi sont pressants mais n’arrivent pas à trouver l’ouverture car le Prodrive et le Renault ne sont pas beaucoup plus puissants que le Honda et parce que je suis un meilleur freineur que Nyck si besoin est. Max Verstappen met pied à terre aux alentours du tour 18, ce qui me permet un temps de remonter au quatrième rang alors que le chef de file d’Audi connaît son quatrième abandon de la saison. C’est à peu près au même moment que la McLaren numéro 8 de son compatriote finit par trouver la faille, une petite largesse de trajectoire à l’épingle qui me coûte cher.

La suite de ma course sera toutefois bien différente : après les arrêts de mes compères, je me retrouve en tête à cause de mon traditionnel overcut. C’est dans cet espace de temps que mon ancienne équipe, Williams, décide de me faire une faveur ; la voiture de Zoranovic a rendu l’âme dans le premier secteur et la voiture de sécurité est déclenchée. Alors à la fin du second partiel, la décision de m’arrêter est logique et je ressors en tête devant Russell, Leclerc, Ráfaga - qui a fait le même coup - et Ricciardo. Un peu de chance ne fait pas de mal dans ce monde de brutes. Remplacez "br" par "p" dans ma dernière phrase et ça donnera le même résultat.

A la relance, maître du rythme, je laisse George sur place et, scène surprenante, je commence à me construire une petite avance. Sur le tracé montréalais, j’ai quelque chose de particulier, une capacité à extraire le maximum de ma voiture et cela se ressent sur le chrono. J’ai la même sensation à Spa et dans une moindre mesure sur des circuits comme Bakou ou Suzuka, mais le circuit Gilles-Villeneuve est le parfait exemple de ma capacité à me sublimer lorsque le circuit m’est favorable. J’avais signé une deuxième place il y a deux ans en doublant tout le monde sur le fil, j’avais survécu à l’enfer pour m’imposer l’an dernier et, cette année, je me retrouve en lutte pour la victoire avec une Red Bull pas destinée à être dans une pareille lutte. Si le fait que je mène cette course est un hasard chanceux, le fait que je parvienne à maintenir la tête de la course sans être mis à mal par mes poursuivants est une confirmation de ce que je viens de vous dire. La lutte que se livrent Russell et Leclerc, les deux cracks de ma génération, me permet même de prendre encore un peu plus mes distances en tête de la course, image insensée quand on sait d’où je viens, avec cette Red Bull.

Finalement, la lutte entre George et Charles tourne au vinaigre et une légère touchette entre les deux me permet d’accentuer encore mon avance, même si celle-ci est réduite à néant alors que Yann Ehrlacher fait son retour à la fin du second relais pour que l’autre Ferrari puisse être dégagée. Daniel est allé embrasser le Mur des Champions et est out. Dans le temps de léger flottement entre l’accident et la sortie de la voiture de sécurité, Ráfaga s’est emparé de la deuxième place, alors que la majorité des pilotes effectue son arrêt pendant la neutralisation. A l’amorce du restart, Richard a donc une sacrée mission sur les bras.

Richard : La course va reprendre, Niki. Ráfaga P2, ensuite Russell, Leclerc, Vandoorne, de Vries. Fais attention à ton restart, Ráfaga n’a peur de rien.
Niki : Faites-le venir, on va régler ça entre hommes.
Richard : Ne sois pas trop agressif, on veut avant tout s’assurer de franchir la ligne avec une voiture en état, même si ça n’est qu’à la deuxième place.
Niki : Ne vous inquiétez pas pour moi. Je vais franchir cette ligne et avec le sourire.

Il ne reste qu’une vingtaine de tours et la mission qui s’offre à moi est titanesque : mon honneur est en jeu. Perdre contre Ráfaga aujourd’hui, ça ne serait pas uniquement une victoire envolée, ce serait bien plus que ça. Je n’ai pas le droit de laisser cet idiot passer son nez devant le mien. Ca tombe bien : je n'ai aucunement l'intention de le laisser faire.
Bien au ralenti à l’approche de la chicane, je prend un envol que la numéro 4 ne peut contester et tente alors de prendre mes distances. Malheureusement, l’uruguayen est sur mon porte-bagages et, avec la puissance de son bloc Mercedes, il se révèle redoutable dans la ligne droite opposée. Après quatre tours à me surpasser à la chicane pour garder les commandes, je fais comprendre à la fin de ce cinquante-cinquième tour que l’endroit n’est pas propice pour essayer de me déloger et ma manoeuvre agressive provoque presque un contact entre nos voitures. Échaudé par ma défense, mon meilleur ennemi se met en tête de m’attaquer au virage 1. En partant de très loin, ça n’allait jamais passer et nous le savions tous les deux, ce n'est pas pour autant qu'Arturo s'est ravisé ; après un contact entre mon ponton gauche et l'avant-droit de l'Audi, la voiture grise part en tête à queue. Un temps effrayé par la perspective de voir ma voiture m’abandonner après le contact, je reprend rapidement ma course en ayant gardé les commandes tandis qu’Arturo est relégué au huitième rang.

L’an dernier déjà, alors qu’il était cette fois celui avec la voiture la moins rapide, il avait perdu son sang-froid en me tenant tête pour le leadership et il était parti à la faute à la chicane. Le scénario s’est répété cette année mais le contexte rend tout cela encore un peu plus beau. Je peux désormais continuer calmement dans mon coin avec la certitude que cet imbécile ne me fera pas plus de mal pour la journée et, grâce à un rythme suffisant pour contenir George Russell, je coupe la ligne en vainqueur pour la première fois de l’année.

Richard : La zone de Montréal est capturée, quelle course ! Top du top. Tu es génial, Nix.
Niki : YEEEEEEEEEESSSSSSSSSSSSSSSSS ! YES ! Allez ! P*****, enfin. De retour aux affaires. Merci les gars.
Richard : Course monstrueuse de ta part, Niki. Tu as fait tout ce qu’il fallait. Incroyable.

Classement final du Grand Prix :
1 Kofler (Red Bull)
2 Russell (McLaren)
3 Leclerc (Ferrari)
4 de Vries (McLaren)
5 Vandoorne (Renault)
6 Ráfaga (Audi)
7 Ocon (Sauber)
8 Sette Câmara (Red Bull)
9 Wighels (Aston Martin)
10 Ticktum (Renault)

Championnat pilotes Championnat constructeurs

En arrivant dans le parc fermé et en garant ma voiture à l’endroit que je préfère, je laisse exploser ma joie. Cette victoire a relancé la machine et l’ogre qui sommeillait en moi est bel et bien réveillé. J’ai lu, entendu et vu des choses qui m’ont déplu depuis le début de saison. Beaucoup dans ce paddock pensaient que le ballon de baudruche Niki Kofler avait déjà dégonflé mais grâce à cette course, je fais taire les critiques. En sortant de mon cockpit, je ne peux m’empêcher de célébrer en mettant les mains sur les côtés de mon casque, comme pour écouter ce que les gens ont à dire sur moi après cette performance. Ma deuxième victoire consécutive à Montréal, ma première chez Red Bull, revêt une saveur toute particulière après mon début d’année plus que difficile. Après cela, avant d’aller voir les mécaniciens, je fais signe au caméraman de s’approcher et je pointe le ponton gauche de ma voiture, ponton abîmé par Ráfaga lors de sa manoeuvre suicidaire. En bougeant mon index de gauche à droite face à la caméra, je me permet une seconde provocation en l’espace de quelques temps et je décide ensuite de calmer le jeu avant d'aller sauter dans les bras des gars, qui sont aussi soulagés que moi de voir enfin l'une de nos voitures l'emporter.

L’hymne autrichien, qui est le seul hymne à résonner sur le circuit ce dimanche, fait un bien fou. Parce que c’est aussi pour ça que j’ai signé ici : pour la première fois en trois quarts de siècle, un autrichien vient de l’emporter avec une voiture autrichienne.

Jenson Button : Niki, qu’est-ce que ça fait de revenir tout en haut de ce podium, après votre sevrage de victoire ces derniers temps ?
Niki : Ca fait un bien fou, honnêtement. Je...Je ne sais pas quoi dire, je suis sans voix. C’était une course accomplie, je suis heureux d’avoir pu assembler tout ça ensemble pour l’emporter. Ca n'a pas été facile, il y a eu des moments chauds mais c'est un incroyable soulagement de se garer à nouveau devant le panneau "1".
Jenson : Évidemment, la voiture de sécurité après l’abandon de Zoranovic vous a bien aidé…
Niki : Ca m’a aidé, oui, mais je vois déjà les critiques venir en disant que je dois ma victoire à la chance. C’est faux. La chance m’a permis de prendre la tête, oui, mais ce n’est pas elle qui m’a permis de rester devant pendant les quarante tours suivants. Une fois que j’étais aux commandes, je ne les ai plus lâchées et ça, c’est tout sauf de la chance. C'est ce que je retiens de la course, même si je n'aurai peut-être pas été dans la même situation sans le Safety Car...
Jenson : Ca doit vous soulager de gagner dans le contexte actuel de cette saison, pas vrai ?
Niki : Absolument. Ca vient récompenser le travail qui a été fourni par tout le monde au sein de l’écurie. On a commencé du mauvais pied, il y avait de grosses lacunes à combler et, progressivement, on y arrive. La victoire ne doit pas éclipser le fait qu’il nous manque encore de la régularité et de la rapidité pour l’emporter plus souvent mais, pour aujourd’hui, je vais me contenter de célébrer parce que ça fait plaisir d’enfin avoir un vrai trophée à ramener à la maison.
Jenson : Est-ce que vous pouvez nous parler de ce contact, en fin de course, avec Arturo ? Est-ce que vous vous attendez à une suite à cette affaire ?
Niki : Je ne vais pas commenter avant d’avoir revu les images, ce serait improfessionnel de ma part. Je ne sais pas exactement ce qui a traversé l’esprit d’Arturo, il faudrait que je voie sa caméra embarquée pour comprendre parce que, de mon point de vue, ça m'avait tout l'air d'une manoeuvre désespérée.

Après une brève apparition en zone presse, j’ai l’immense joie de tomber sur le principal intéressé, Arturo Ráfaga.

Arturo : Comment ça fait, de gagner avec une manoeuvre antisportive, Scout ?
Niki : J’ai gardé ma ligne, tu as juste pensé que tu freinerais avec l’aide de ma voiture… Ce n’est pas comme ça que ça marche, mon grand.
Arturo : Moi je crois plutôt que tu ne voulais pas que je t’humilie une fois de plus et que tu as tout fait pour gagner !
Niki : Absolument pas. La seule humiliation c’est celle que tu as pris aujourd’hui, en montrant à tout le monde que tu n’as pas le cerveau nécessaire pour être un grand champion. Tu as autant de victoires que moi cette saison et je ne dis pas ça pour te complimenter, Arturo. Tu devrais faire mieux que ça. Je me fous de qui tu baises, ça n’impacte pas ma carrière.
Arturo : Tu sais, moi aussi je m’en fous, c’était juste une parmi d’autres...Mais elle a un peu plus de valeur étant donné que c’était la tienne, j’ai relevé un peu la barre…Elle m’a dit que ça n’était pas difficile de faire mieux que toi.
Niki : Tu sais quoi ? Reste dans ton monde, Arturo. Continue à faire la fête, vis ta meilleure vie, baise à gauche et à droite, fais la une de tous les journaux que tu veux. Je m'en fous. Voir ta tête de dépravé dans la presse ne fait ni avancer ni reculer ma carrière ; pendant que tu fais le crétin à fumer des trucs pas sains et à te taper n’importe qui, les vingt-et-un autres pilotes s'assurent de ne pas passer pour des incapables comme tu le fais. Maintenant je te laisse aller raconter à tes treize femmes comment tu as fait pour passer à côté de ton week-end de la sorte.

Un tel week-end, de par son contexte et son déroulement, a réveillé l’animal qui sommeillait en moi. Après un début de saison poussif et malgré deux podiums en Azerbaïdjan et à Monaco, c’est bel et bien d’une victoire dont j’avais besoin pour me remettre d’aplomb. En faisant taire les critiques ciblées sur mon pilotage et en effaçant complètement ce faux “scandale” privé, j’ai le sentiment d’être revenu dans le droit chemin grâce à cette course. Désormais, la prochaine destination du F1 Circus est Spielberg, où j’aurai tout autant à coeur de réussir.

Le 06 janvier 2020 à 17:35:32 Haryanto a écrit :

L’ordure qui pilote pour Audi a donc vraisemblablement la tête à autre chose

Ouais à ça : https://youtu.be/amGDTOTREZ8

Ah putain qu'elle est bonne cette course ! Enfin !!!

Allez dans ta gueule Rafaga, pendant que ça baise dans tous les coins Niki gagne des victoires

Après cela, avant d’aller voir les mécaniciens, je fais signe au caméraman de s’approcher et je pointe le ponton gauche de ma voiture, ponton abîmé par Ráfaga lors de sa manoeuvre suicidaire. En bougeant mon index de gauche à droite face à la caméra

On se sent Alonso en Allemagne 2007

On parle abondamment de la journaliste autrichienne dans l'épisode à venir @0.99

Le 06 janvier 2020 à 19:03:47 Pimpolofist a écrit :
Allez dans ta gueule Rafaga, pendant que ça baise dans tous les coins Niki gagne des victoires

En même temps il allait pas gagner des défaites

Après cela, avant d’aller voir les mécaniciens, je fais signe au caméraman de s’approcher et je pointe le ponton gauche de ma voiture, ponton abîmé par Ráfaga lors de sa manoeuvre suicidaire. En bougeant mon index de gauche à droite face à la caméra

On se sent Alonso en Allemagne 2007

Yes, j'avais peur que personne n'ait la ref
(Par contre c'était le GP d'Europe, je sais que c'était en Allemagne mais tous les GP allemands n'étaient pas des GP d'Allemagne )

Le 06 janvier 2020 à 19:07:53 dsmii a écrit :
On parle abondamment de la journaliste autrichienne dans l'épisode à venir @0.99

En quel honneur ? C'est pas elle la star du GP d'Autriche

Le 06 janvier 2020 à 19:07:53 dsmii a écrit :
On parle abondamment de la journaliste autrichienne dans l'épisode à venir @0.99

La petite interview pour ORF qui va se passer en très bon r compagnie

Grosse course de Niki sinon, mérité histoire de calmer un peu l'évadé de prison

Plot twist, en fait Karl sera tellement estomaqué de cette meuf qu'il va faire un coup de pute à Niki et la choper avant lui
(et au préalable larguer la banquière random)

Le 07 janvier 2020 à 10:57:12 [-Monarch-] a écrit :
Plot twist, en fait Karl sera tellement estomaqué de cette meuf qu'il va faire un coup de pute à Niki et la choper avant lui
(et au préalable larguer la banquière random)

Banquière random que Niki va récupérer parce que de toute façon il se l'est tapée quand elle était en couple avec Karl
(Et ça c'est un plot twist par rapport à https://www.jeuxvideo.com/elektronomia/forums/message/1002260196 )

Le 07 janvier 2020 à 13:16:28 Haryanto a écrit :

Le 07 janvier 2020 à 10:57:12 [-Monarch-] a écrit :
Plot twist, en fait Karl sera tellement estomaqué de cette meuf qu'il va faire un coup de pute à Niki et la choper avant lui
(et au préalable larguer la banquière random)

Banquière random que Niki va récupérer parce que de toute façon il se l'est tapée quand elle était en couple avec Karl
(Et ça c'est un plot twist par rapport à https://www.jeuxvideo.com/elektronomia/forums/message/1002260196 )

Les grands esprits se rencontrent

Le 07 janvier 2020 à 13:33:48 [-Monarch-] a écrit :

Le 07 janvier 2020 à 13:16:28 Haryanto a écrit :

Le 07 janvier 2020 à 10:57:12 [-Monarch-] a écrit :
Plot twist, en fait Karl sera tellement estomaqué de cette meuf qu'il va faire un coup de pute à Niki et la choper avant lui
(et au préalable larguer la banquière random)

Banquière random que Niki va récupérer parce que de toute façon il se l'est tapée quand elle était en couple avec Karl
(Et ça c'est un plot twist par rapport à https://www.jeuxvideo.com/elektronomia/forums/message/1002260196 )

Les grands esprits se rencontrent

Go lancer un spin-off en coop

Un temps effrayé par la perspective de voir ma voiture m’abandonner après le contact, je reprend rapidement ma course en ayant gardé les commandes tandis qu’Arturo est relégué au huitième rang.

J'ai joui

Après cela, avant d’aller voir les mécaniciens, je fais signe au caméraman de s’approcher et je pointe le ponton gauche de ma voiture, ponton abîmé par Ráfaga lors de sa manoeuvre suicidaire. En bougeant mon index de gauche à droite face à la caméra, je me permet une seconde provocation en l’espace de quelques temps

Yes, j'avais peur que personne n'ait la ref

(Par contre c'était le GP d'Europe, je sais que c'était en Allemagne mais tous les GP allemands n'étaient pas des GP d'Allemagne )

J'avais pas la ref D'ailleurs je suis allé voir et franchement Alonso il en fait pas beaucoup trop pour un petit truc au final ?

J'avais pas la ref D'ailleurs je suis allé voir et franchement Alonso il en fait pas beaucoup trop pour un petit truc au final ?

Si si
Il fait pitié à s'énerver dans la cool-room

Morgen, Niki fährt zuruck nach Österreich.

Rendez-vous entre 16h et 17h puis vers 21h

Le 08 janvier 2020 à 23:05:30 Haryanto a écrit :
Morgen, Niki fährt zuruck nach Österreich.

Rendez-vous entre 16h et 17h puis vers 21h

S'embêter à mettre tous les umlaut pour faillir sur celui de zurück…

Le 09 janvier 2020 à 08:29:05 dsmii a écrit :

Le 08 janvier 2020 à 23:05:30 Haryanto a écrit :
Morgen, Niki fährt zuruck nach Österreich.

Rendez-vous entre 16h et 17h puis vers 21h

S'embêter à mettre tous les umlaut pour faillir sur celui de zurück…

J'avais oublié qu'il y en avait un, j'ai pas parlé la langue de Schumacher depuis près de trois ans (Schumacher lui-même ne l'a plus parlée depuis plus longtemps que ça tu me diras)

Le 09 janvier 2020 à 08:30:37 Haryanto a écrit :

Le 09 janvier 2020 à 08:29:05 dsmii a écrit :

Le 08 janvier 2020 à 23:05:30 Haryanto a écrit :
Morgen, Niki fährt zuruck nach Österreich.

Rendez-vous entre 16h et 17h puis vers 21h

S'embêter à mettre tous les umlaut pour faillir sur celui de zurück…

J'avais oublié qu'il y en avait un, j'ai pas parlé la langue de Schumacher depuis près de trois ans (Schumacher lui-même ne l'a plus parlée depuis plus longtemps que ça tu me diras)

Depuis bientôt deux fois plus de temps que Sophia dans la story, le temps passe vite…