ActionAventureRPGPlate-FormeSportShooterCourseStratégieFPSRéflexionGestionCombatSimulationBeat'em AllPuzzle-GamePoint'n ClickAutresParty-GameSurvival-HorrorRythmeTactiqueMMOShoot'em UpInfiltrationAdresseTirJeu de cartesAction RPGWargameJeu de sociétéCompilationLudo-EducatifOpen WorldTPSCoachingCréationRoguelikeSurvieFlipperTactical RPGMMORPGRunnerDungeon RPGSandboxGod GameHack'n slashVisual NovelBattle RoyaleManagementCity BuilderFilm InteractifMOBAMMOFPSSimulation de vieTower DefenseCasse briques4XDragueDanseKaraokéMatch 3Simulation de volObjets cachésSerious GamesJeu de Rôle
Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Bigger than life, même pour quelques heures. Voilà en substance ce que nous attendons parfois du jeu vidéo. Une vraie fausse adaptation du Zombie-Dawn Of The Dead de Romero sous forme de beat'em all évolué par les stakhanovistes de Capcom, ça ressemble drôlement à ça, surtout quand ladite oeuvre brigue un standing technique avancé, même sur une next gen. Un tel postulat attise les fantasmes : l'auto parodie ludique totalement décomplexée du gore, sous toutes ses formes, comme les inquiétudes (répétitif, manque de profondeur, peu de rejouabilité ?). Par un bien étonnant effet de quasi-inversion, Dead Rising réjouit et déçoit là où on ne l'attendait pas forcément.
Disponible depuis le premier trimestre de cette année au Japon, Let's Make A Soccer Team se propose aujourd'hui aux joueurs européens. Pour bien le situer, il suffit d'avoir en tête que c'est une sorte de PES Management bis. Bis utilisé ici au sens de moins performant, moins complet, moins attrayant et surtout techniquement beaucoup plus faible. Il n'y a donc pas vraiment de suspense, le jeu de Sega est le pigeon du jeu des chaises musicales. Autrement dit, il arrive beaucoup trop tard.
Première (et dernière) extension destinée au hack'n slash Dungeon Siege 2, Broken World nous propose de reprendre l'aventure là où on l'avait laissée et de clore une bonne fois pour toute l'histoire entamée dans le jeu d'origine. La nouvelle campagne commence donc un an après le moment où vous avez vaincu Valdis. Cet exploit a eu des conséquences inattendues sur le monde d'Aranna qui se retrouve à nouveau assailli par d'horribles monstres. Puisque votre héros n'a rien d'autre à faire, il va devoir repartir à l'aventure pour rétablir la paix.
"Lookin' back, on the track, for a little green bag..." Quelques mots posés sur une ligne de basse irrésistible, 6 truands en costard et lunettes de soleil déambulant au ralenti, voilà comment on peut marquer à vie des millions d'hommes qui ralentissent le pas et se recoiffent au milieu du rayon lessive quand le fameux morceau est diffusée au supermarché. Reservoir Dogs, ça n'est pas seulement une oreille tranchée, c'est aussi le Super Sound of the 70's.
"Lookin' back, on the track, for a little green bag..." Quelques mots posés sur une ligne de basse irrésistible, 6 truands en costard et lunettes de soleil déambulant au ralenti, voilà comment on peut marquer à vie des millions d'hommes qui ralentissent le pas et se recoiffent au milieu du rayon lessive quand le fameux morceau est diffusée au supermarché. Reservoir Dogs, ça n'est pas seulement une oreille tranchée, c'est aussi le Super Sound of the 70's.
"Lookin' back, on the track, for a little green bag..." Quelques mots posés sur une ligne de basse irrésistible, 6 truands en costard et lunettes de soleil déambulant au ralenti, voilà comment on peut marquer à vie des millions d'hommes qui ralentissent le pas et se recoiffent au milieu du rayon lessive quand le fameux morceau est diffusée au supermarché. Reservoir Dogs, ça n'est pas seulement une oreille tranchée, c'est aussi le Super Sound of the 70's.
Nouveau film d'animation de la Warner avec des vrais bouts de Fourmiz dedans, Lucas Fourmi Malgré Lui ne pouvait passer outre une adaptation en jeu vidéo. C'est donc le studio canadien Artificial Mind and Movement qui se charge de cette adaptation juteuse sur PC. Une logique marketing qui aboutit souvent à des monstres informes qui font peur aux enfants. Mais cette fois-ci, tenez-vous bien, le jeu serait presque bon dites donc ! C'est sur cette petite mise en bouche que nous allons plonger dans les tréfonds de la fourmilière et tenter de faire rentrer le jeune Lucas chez lui. C'est qu'il se fait tard quand même.
Si on excepte Final Fantasy XI, Enchanted Arms est le premier vrai RPG nippon à arriver sur nos Xbox 360 européennes puisque nous n'avons pas eu les honneurs de Far East Of Eden : Ziria dans nos vertes contrées. Bien qu'on puisse entrevoir la possibilité de voir arriver les deux titres de Mistwalker de par chez nous, le joujou de From Software est donc le seul palliatif actuel pour qui ne jure que par les montées de niveaux, la gestion de l'équipement ou le sauvetage en règle de l'univers. Reste à savoir si Ubisoft a bien fait de sortir ce titre qui semble s'adresser avant tout au grand public malgré quelques errances certaines dans sa construction.
Présentée par son éditeur comme un retour, cette production de la série Raiden sera pour moi comme pour beaucoup d'autres une découverte puisqu'elle ne s'était introduite discrètement dans les foyers qu'avec la sortie en 1995 de Raiden Project Original sur Psone. Cette compilation avait donc inauguré le shoot'em up sur la 32 bits de Sony. Onze ans après, ce Raiden 3 issu de la carte arcade Type-X fait partie des toutes dernières salves. Fin de l'historique, place au jeu.
Désormais ancré dans les moeurs, le Sudoku continue de séduire les adeptes de tous âges, et même si beaucoup préfèrent y jouer sur un support papier, les plus accros n'hésitent pas à investir dans des accessoires électroniques ou dans des jeux vidéo entièrement dédiés à ce type de casse-tête. Le dernier en date s'appelle Professeur Sudoku et ne devrait pas créer la surprise.
Désormais ancré dans les moeurs, le Sudoku continue de séduire les adeptes de tous âges, et même si beaucoup préfèrent y jouer sur un support papier, les plus accros n'hésitent pas à investir dans des accessoires électroniques ou dans des jeux vidéo entièrement dédiés à ce type de casse-tête. Le dernier en date s'appelle Professeur Sudoku et ne devrait pas créer la surprise.
Dans la grande série des portages de jeux PS2 sur PSP, l'heureux élu est aujourd'hui le courageux Juiced, qui après s'être battu pour exister sur consoles de salon, se voit adapté avec violence dans un monde inconnu. Tentant le tout pour le tout en débarquant naïvement sur une plateforme possédant déjà de nombreux jeux de courses, le titre de Juice Games devient une sorte de beau kamikaze au clair de lune. Patience fait peut-être bien plus que force ni que rage, mais après une bonne grosse année d'existence sous nos latitudes, la PSP trouvera t-elle la force de mettre en avant un titre que la majorité des joueurs intéressés s'est déjà offerte il y a un long moment déjà ?
Résultat d'influences diverses, aussi bien dans son atmosphère générale que dans son gameplay, Fallen Lords est un jeu d'action brutal et sanglant qui sort plus ou moins en catimini. Et si l'indifférence règne autour de ce titre peu glorieux en termes d'efficacité, ce n'est pas pour rien. Voilà encore un jeu très approximatif qui nous donne l'impression de nous faire perdre notre temps.
Bob l'Eponge doit certainement avoir un ego surdimensionné. Non content d'officier pratiquement tous les jours à la télé, et d'être déjà apparu en début d'année dans un film et une gamme de jeux vidéo à son nom, le voilà revenir l'air de rien avec la ferme intention de sauver Bikini Bottom. Qui pouvait croire qu'une éponge puisse être si imbue de sa personne...
En ce monde, il y a des sortes de légendes, de transmissions orales anciennes évoquant des mythes dormant sous la poussière des années. L'un de ces mythes est la transmigration des jeux PS2 les plus intéressants commercialement sur PSP. Certains parlent de Medievil, d'autres de Wipeout et quelques-uns de Gitaroo Man. Dans ces terres désolées où l'originalité n'est plus loi, des êtres continuent à affluer, lentement, comme des esprits à la recherche d'un accueil. Le dernier de ces spectres se nomme Def Jam et s'acclimate petit à petit à sa nouvelle existence. Mais tout ceci n'est qu'un conte, relaté encore et encore. Tout le monde le sait bien.
Qu'est-ce qui se cache derrière le titre peu évocateur de Kookabonga ? Ni plus ni moins que la dernière production des studios Coktel, dont les membres s'étaient illustrés en sortant trois softs Adibou qui ont plutôt bien marché auprès des plus jeunes. Avec ce nouveau jeu, la cible est toujours la même, mais le contenu est bien différent.
Il y a de ça plus de six ans, le monde découvrait The Longest Journey, un jeu d'aventure point & click sur PC à l'ambiance envoûtante et au scénario vraiment prenant et original. Aujourd'hui, voici que débarque sa suite sur Xbox : Dreamfall. Attendu au tournant par nombre d'amateurs du genre, ce titre se démarque largement de son prédécesseur car il a cédé aux sirènes de la 3D et au mélange des genres. En effet, on a désormais droit à des phases de combat et d'infiltration. Cette nouvelle orientation du gameplay va-t-elle convaincre les fans de la première heure ? Pas si sûr...
Hommage à peine déguisé aux façades cartonnées des trains fantômes, avec marchmallow et toiles d'araignée factices incluses, la devanture d'une hideuse bicoque nous accueille à l'écran titre et promet des sales quarts d'heures réjouissants. Face à un film pétri d'ambitions (on a entendu parler, entre autres, de renouveau du film d'animation pour enfant), il est facile de percevoir l'adaptation vidéoludique sur GBA comme un tour de manège forain et parodique. Gagné : c'est bien ce créneau que THQ choisit d'entrée puisqu'il s'agit d'un hack'n slash rudimentaire, avec une très légère touche d'aventure.
Si la guerre des clones a déjà eu lieu, Ninety-Nine Nights nous ressort le coup des armées constituées de milliers de soldats ayant tous un léger lien de parenté. Fort de son expérience acquise après deux volets de Kingdom Under Fire, Phantagram Interactive révise une nouvelle fois ses classiques en citant aussi bien son propre jeu que son modèle, Dynasty Warriors. Cette fois, l'aire de jeu se situe du côté de la Xbox 360, ceci impliquant des batailles démesurées où des milliers de corps tomberont sous le poids de nos coups.
Hommage à peine déguisé aux façades cartonnées des trains fantômes, avec marchmallow et toiles d'araignée factices incluses, la devanture d'une hideuse bicoque nous accueille à l'écran titre et promet des sales quarts d'heures réjouissants. Face à un film pétri d'ambitions (on a entendu parler, entre autres, de renouveau du film d'animation pour enfant), il est facile de percevoir l'adaptation vidéoludique sur DS comme un tour de manège forain et parodique. Gagné : c'est bien ce créneau que THQ choisit d'entrée puisqu'il s'agit d'un hack'n slash bourrin, plus proche cependant de l'antique Loaded que des Gauntlet.