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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
En marge des titres d'action (Samurai Warriors) et d'infiltration (Tenchu) qui prennent habituellement pour cadre le Japon féodal, la série Way of the Samurai a toujours pris le parti de dépeindre la voie du samouraï comme une confrontation perpétuelle entre l'Homme et son destin. Ce troisième volet creuse encore davantage ce principe en nous livrant une aventure pouvant déboucher sur une bonne vingtaine de dénouements différents.
Bien que la mode des compilations de mini-jeux soit sur le déclin, certains éditeurs s'entêtent encore à vouloir exploiter le filon sur Wii. C'est aujourd'hui le cas d'Ubisoft qui lance l'Académie des Rangers, une collection d'épreuves poussives sur le thème de l'armée. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que cette dernière n'est pas près de relancer le genre.
Inspiré par la référence des jeux de courses à items en multijoueur, j'ai nommé Mario Kart, Sonic & Sega All-Stars Racing compte s'imposer comme une vraie alternative à son père spirituel. Le hérisson bleu et toute la clique étaient les mieux placés pour se frotter à Mario sur son propre terrain et l'ayant bien compris, Sega a mis à contribution quasiment toutes ses licences !
En 2004, Electronic Arts avait tenté d'éduquer le grand public en proposant un jeu de rôle occidental basé sur Le Seigneur des Anneaux. Reprenant moult idées du RPG japonais, la formule, limitée mais très accessible, avait des ratés mais n'en restait pas moins intéressante. Percy Jackson semble lui aussi avoir adopté cette ligne de conduite mais cette fois, c'est sur Nintendo DS que le tout se déroule.
Si les jeux inspirés de le Seconde Guerre mondiale ne se comptent plus, ceux qui s'intéressent au premier conflit mondial ne courent pas franchement les rues. Toy Soldiers entre cependant dans cette catégorie et se présente sous la forme d'un tower defense assez original, dans lequel on contrôlera une petite armée de soldats de plomb.
Sorti en 1990, Strider avait rencontré un grand succès auprès des joueurs. A l'inverse, sa suite de 1993 a essuyé de très nombreuses critiques, au point d'être volontairement tombée dans l'oubli de l'éditeur. Ceci explique certainement pourquoi Capcom nous offre un nouveau Strider 2, sur Playstation cette fois. Dix ans après sa première apparition, Hiryu a-t-il toujours la forme ?
Après voir impressionné les joueurs PS3 avec son système de reconnaissance de cartes par caméra USB, Eye of Judgement revient sur PSP dans une version plus classique mais surtout beaucoup moins onéreuse. Et cette fois-ci, on adhère.
A la croisée des chemins d'un Evil Dead 3 : L'Armée des Ténèbres et de Dynasty Warriors, Undead Knights délaisse le héros propre sur lui pour nous balancer trois guerriers ayant soif de vengeance. Un parti-pris sympathique trouvant écho dans la possibilité de diriger une troupe de morts-vivants. Cependant, sous ses dehors décomplexés, Undead Knights tient-il la distance ?
En 1980, Roberta Williams inventa l’aventure graphique en créant Mystery House, un jeu inspiré des Dix Petits Nègres d’Agatha Christie. Huit ans plus tard, après bien des virées au royaume de Daventry (déjà 4 King Quest au compteur), Roberta Williams revint à ses premières amours, l’enquête interactive. En effet, The Colonel’s Bequest reprend les grandes lignes de Mystery House : une maison inquiétante, des cadavres à la pelle… Et pas mal de frissons en perspective.
En 1980, Roberta Williams inventa l’aventure graphique en créant Mystery House, un jeu inspiré des Dix Petits Nègres d’Agatha Christie. Huit ans plus tard, après bien des virées au royaume de Daventry (déjà 4 King Quest au compteur), Roberta Williams revint à ses premières amours, l’enquête interactive. En effet, The Colonel’s Bequest reprend les grandes lignes de Mystery House : une maison inquiétante, des cadavres à la pelle… Et pas mal de frissons en perspective.
En 1980, Roberta Williams inventa l’aventure graphique en créant Mystery House, un jeu inspiré des Dix Petits Nègres d’Agatha Christie. Huit ans plus tard, après bien des virées au royaume de Daventry (déjà 4 King Quest au compteur), Roberta Williams revint à ses premières amours, l’enquête interactive. En effet, The Colonel’s Bequest reprend les grandes lignes de Mystery House : une maison inquiétante, des cadavres à la pelle… Et pas mal de frissons en perspective.
Alors que le quatrième Sonic the Hedgehog, qui marquera un retour de la série à la 2D, sortira prochainement sur consoles de salon, SEGA en profite pour doter la Nintendo DS d’une compilation des premières aventures du hérisson bleu. L’idée est bonne, la mise en oeuvre beaucoup moins.
“Un écrivain de pacotille et une baguette de pain rassis peuvent-ils sauver le monde d'un complot galactique ? Pas sans votre aide !”. Ainsi était présenté, en l’an de grâce 1988, le deuxième jeu de Lucasfilm Games dans une publicité ne manquant pas d’inspiration. 22 ans plus tard, cette perle de loufoquerie n’a pas pris l’ombre d’une ride. Ou plutôt si : à l’instar du vénérable Sir Sean Connery, ses rides augmentent son charme. Au point de faire regretter au joueur, une époque lointaine où l’humour et l’inventivité régnaient en maître dans les jeux d’aventure…
“Un écrivain de pacotille et une baguette de pain rassis peuvent-ils sauver le monde d'un complot galactique ? Pas sans votre aide !”. Ainsi était présenté, en l’an de grâce 1988, le deuxième jeu de Lucasfilm Games dans une publicité ne manquant pas d’inspiration. 22 ans plus tard, cette perle de loufoquerie n’a pas pris l’ombre d’une ride. Ou plutôt si : à l’instar du vénérable Sir Sean Connery, ses rides augmentent son charme. Au point de faire regretter au joueur, une époque lointaine où l’humour et l’inventivité régnaient en maître dans les jeux d’aventure…
“Un écrivain de pacotille et une baguette de pain rassis peuvent-ils sauver le monde d'un complot galactique ? Pas sans votre aide !”. Ainsi était présenté, en l’an de grâce 1988, le deuxième jeu de Lucasfilm Games dans une publicité ne manquant pas d’inspiration. 22 ans plus tard, cette perle de loufoquerie n’a pas pris l’ombre d’une ride. Ou plutôt si : à l’instar du vénérable Sir Sean Connery, ses rides augmentent son charme. Au point de faire regretter au joueur, une époque lointaine où l’humour et l’inventivité régnaient en maître dans les jeux d’aventure…
“Un écrivain de pacotille et une baguette de pain rassis peuvent-ils sauver le monde d'un complot galactique ? Pas sans votre aide !”. Ainsi était présenté, en l’an de grâce 1988, le deuxième jeu de Lucasfilm Games dans une publicité ne manquant pas d’inspiration. 22 ans plus tard, cette perle de loufoquerie n’a pas pris l’ombre d’une ride. Ou plutôt si : à l’instar du vénérable Sir Sean Connery, ses rides augmentent son charme. Au point de faire regretter au joueur, une époque lointaine où l’humour et l’inventivité régnaient en maître dans les jeux d’aventure…
En 1991, Coktel Vision lâchait sur le monde du point & click trois petits lutins moqueurs, ravageant tout sur leur passage pour arriver à leurs fins. Après avoir sauvé le roi Angoulafre d’une terrible malédiction vaudoue, les goblins sont de retour pour une nouvelle mission périlleuse. Cette fois-ci, ils ne sont plus que deux, mais leur credo reste le même : l’union fait la farce !
En 1991, Coktel Vision lâchait sur le monde du point & click trois petits lutins moqueurs, ravageant tout sur leur passage pour arriver à leurs fins. Après avoir sauvé le roi Angoulafre d’une terrible malédiction vaudoue, les goblins sont de retour pour une nouvelle mission périlleuse. Cette fois-ci, ils ne sont plus que deux, mais leur credo reste le même : l’union fait la farce !
En 1991, Coktel Vision lâchait sur le monde du point & click trois petits lutins moqueurs, ravageant tout sur leur passage pour arriver à leurs fins. Après avoir sauvé le roi Angoulafre d’une terrible malédiction vaudoue, les goblins sont de retour pour une nouvelle mission périlleuse. Cette fois-ci, ils ne sont plus que deux, mais leur credo reste le même : l’union fait la farce !
Après avoir brouillé notre perception de l'espace avec Echochrome, Sony s'attaque à celle du temps dans Echoshift sur PSP. Ce casse-tête ingénieux mais moins innovant que son prédécesseur ne risque-t-il pas de souffrir de la comparaison avec Braid, Ratchet & Clank : A Crack in Time et autres Mésaventures de P. B. Winterbottom, plus ou moins basés sur le même principe ?