En vadrouille sur le PS Store il y a quelque jours je tombe sur "Child of Light" en promo à 4.50 euros je me laisse tenter par la curiosité, et quel INVESTISSEMENT RENTABLE je fais là !
Le jeu est superbe et son système de combat est excellent !
On a envie d'attaquer, de défendre, de soigner bref de tout faire. L'exploration est super le système des occulis très très bon.
Bref pour tout fan de ce type de jeu et de graphismes très réussis je vous le conseil vivement vous ne serez pas déçus !

Quelle claque, Child of Light ou plutôt comment retourner en enfance à 20 ans, au temps ou les Pocahontas et Anastasia sont remplacés par les Miley Cyrus et Violetta !

Ubisoft nous offre ici un jeu de plateforme et de rôle où l'on incarne Aurora, une princesse qui se retrouve contre son gré prisonnière au sein d'un monde magique nommé Lémuria. Aurora, qui à laissé son père dans le monde réel (en 1895) doit alors ce frayer un chemin pour retourner chez elle et être enfin libérer de ce monde qui est pour elle ténébreux mais pour nous féérique et un vrai bijoux esthétique. Les couleurs sont vives et la musique (à mon grand étonnement composé par l'artiste Canadienne Coeur de Pirate accompagne parfaitement nos aventures et les récits poétiques proposés.

Car la poésie est en effet partie intégrante du jeu. Vagabondant avec notre fidèle luciole de compagnie Igniculus possédant la capacité de ralentir vos adversaires maléfiques, les dialogues et histoires sont pour la grande majorité remplis de rimes.

Le mode de combat peut paraitre répétitif mais il est plutôt rapide de se défaire d'un ennemis et donc de gagner de l’expérience afin de débloquer de nouvelles compétences toujours plus fortes.

''Les Explorateurs de pierre ne disent mot,
Leurs têtes aussi vident que le château.
L'image d'un futur coloré s'estompe.

Sans volonté, l'immaculé ternit,
Le passé s'impose, poussant à l'oubli
Et faisant surgir la menace d'une tombe...''
(Extrait de la première confessions débloqué dans le jeu).

Je donne ici l'avis du jeu joué sur Vita, aucun test n'étant existant pour cette console. Acheté il y a quelques temps lors d'une des multiples promo du PS+, je n'avais pas eu l'occasion de le tester. Autant certains jeux sont installés dès le jour même tellement il me font de l'oeil, autant Child of Light n'était pas sur le haut de la pile. Et ô bonheur, j'ai trouvé un superbe jeu à faire. La réalisation est superbe, mais c'est un point qui revient tellement souvent dans les com' qu'on s'en doute un peu...moi ce qui m'a beaucoup plus c'est le côté RPG "pas saoulant", en gros y'a de la tactique, y' a de l'action, mais t'a pas de combats qui dur 1000 ans avec 500 types d'armes et d'armures de disponibles. Coté musique, personnages, c'est enchanteur. Les graphismes sont vraiment envoutant, enfin vous l'aurez compris, j'ai aimé ce jeu! (enfin j'aime, car j'en suis à 5heures de jeu et je pense tenir le double pour arriver à la fin).

Je ne fait jamais de longs discours sur les jeux, alors celui-ci ne fera pas exception.
Alors Child of Light: combo de Limbo, FF, Rayman. C'est un jeu magnifique; je ne vais pas que ça non plus. C'est un des jeux les plus esthétiques auxquels j'ai joués. Que ce soit pour les musiques, les décors, le design des personnages ou, pour les points qui m'ont vraiment plu et touchée, la narration et les dialogues. Ils sont beaux, ils sont purs et poétiques. Hommage à la langue française.
Pour ce qui est du gameplay, jeu plateforme très bon, pour les combats: du tour par tour, avec un bonus: la luciole qui peut freiner ou soigner. Ce qui est plutôt un bon concept.
Je recommande vraiment ce jeu.

Conte enchanteur pour petit et grand, se distinguant surtout par sa patte graphique et ses dialogues tout en rimes. Un scénario plutôt bien développé, mais pas extraordinaire non plus, le pitch de départ tient sur une ligne. Le gameplay reste basique dans le genre des RPG, chaque perso possédant une jauge ATB lui permettant de préparer ces attaques et de les exécuter par la suite. Le jeu se finit très vite, une dizaine d’heures pour le faire à 100% pour un habitué du genre, mais ça change de d’habitude, donc à essayer, pour le très faible prix, ça peut valoir le coup !

Un jeu qui est vendu le 1/3 du prix d'un jeu classique et qui pour moi fait aussi le 1/3 du boulot et ne vaut pas plus que 13/20. Ce n'est pas un mauvais jeu mais il montre clairement ses limites

Coté scénario, je l'ai trouvé assez mollasson : on voit arriver à 10km le peu de rebondissements

C'est joli et les musiques sont travaillées, mais tout ça manque cruellement de variété. Au final, j'ai moyennement accroché à l'univers ; le style en vers parait "forcé" et devient presque gênant.

Au début, le système de combat impose la réflexion mais on gagne vite les capacités/items qui permettent d'outre-passer le système de zone d'action.
L'arbre des compétences est lui aussi "light". On ne gagne pas vraiment de nouvelles compétences mais celles de base qui sont upgradées (+ puissantes, multi-cibles)

Bref, comme dit ailleurs, un RPG popcorn. A faire pour passer 3/4 jours et qu'on aura assez vite oublié

Il a l'air plutôt bien,pas mal les graphismes,les trophées ont l'air tout simple,a part que je suis coincé dans le jeu,mais je pense pas que je vais le finir,je vais quand même lui mettre une 16/20 l'histoire est plutôt pas mal.

N'étant pas un très grand fan des jeux ou les combats se déroulent au tour par tour, c'est avec beaucoup d’appréhensions que j'ai commencé cette aventure. La première chose qui m'a frappé dans Child Of Light, c'est la qualité des graphismes. Les décors sont magnifiques et j'ai vraiment eu l'impression de me retrouver dans un livre de conte. Dès le début de l'aventure, on s'attache très rapidement aux divers personnages qu'on rencontre. Après la première impression visuelle, c'est musicalement que le jeu m'a épaté. C'est beau et ça fait vraiment voyager. La maniabilité d'Aurora est impeccable et ne pose aucun problème tout au long de l’aventure . N'étant pas particulièrement fan du genre de combat que propose Child Of Light, j'ai eu un peu de mal à apprécier au début. Mais la beauté du soft était elle qu'avec persévérance, je m'y suis fais et j'ai fini par apprécier. J'ai trouvé la durée de vie correcte (ni trop courte, ni trop longue). Pour finir, je dirai que Child Of Light m'a bien fait voyager dans son monde fantastique. Un très grand jeu.

Un RPG à l'ancienne sans prétention autre que de divertir le joueur : durée de vie convenable (7 heures en moyenne juste pour le scénario), graphisme sympathique, difficulté nulle. Un RPG-popcorn ! A ce prix-là n'hésitez pas.

Child of Light est un RPG en 2D et Ubisoft Montréal se sont surpassés.

Le côté visuel est sublime et la pâte graphique est magnifique. L'aspect peinture rend le jeu rafraîchissant, on se croirait dans une peinture.
Chaque plan, chaque scène, on se croirait dans une toile.
Les introductions ressemble à un livre de conte de fée. Cependant, je trouve que le design des visages un peu fade.
L'animation des combats est assez basique mais les effets de lumière sont magnifiques.

Les combats sont des tours par tours classique. Mais il y a une petite subtilité qui est à prendre en compte, afin de remporter la victoire.
La jauge est divisée en 2 parties : une de " chargement " et l'autre d'action. Savoir faire la différence entre les 2 est primordiale. En effet, quand votre icône se trouve dans la partie action, les ennemis peuvent interrompre votre tour et vous retardez. Cependant, on peut en faire de même contre vos ennemis.
De plus, Igniculus (le petite boule bleue) est très pratique dans les combats, Ce dernier est capable de ralentir les ennemis, vous permettant d'attaque avant les ennemis ou de soigner vos personnages.
Donc, il y a une petite gestion de cette luciole qui rend les combats un peu stratégique. Là, se pose une question : Dois-je me soigner ou ralentir les ennemis ?

L'histoire est très basique. La princesse Aurora se retrouve dans un monde où la magie est omniprésente. Le problème, cette princesse était dans un lit, malade. Donc, comment est-ce possible ? Est-ce un rêve ?
La réponse sera donner en progressant dans le jeu.
De plus, les habitants là prennent pour " l'élue " qui délivrera le monde d'une sorcière maléfique.
Petite précision, le jeu est intégralement en français et les protagonistes s'expriment en rimes.

La musique est juste envoûtante et s'intègre parfaitement dans l'esprit du jeu. C'est-à-dire que c'est un conte de fée.
Même si certains thèmes peuvent être soporifique.

Le gros point noir est sa durée de vie. Il faut environ 15 heures pour en voir le bout. Mais le problème, il y a quasiment aucunes quêtes annexes. Les seules sont des missions Fedex. Donc c'est assez ennuyeux. Heureusement, elles sont peu nombreuses.
Il y a aussi quelques " boss " optionnel mais c'est juste des ennemis mais en version XXL.

Ce jeu fut une très bonne surprise. Si vous aimez les RPGs, essayez-le.

Fabuleux en un seul mot vous pouvez résumer cette expérience vidéo-ludique. Graphiquement c'est irréprochable, il n'y a rien à jeter que ça soit sur les décors ou dans le chara design un mélange d'aquarelle couplé à un petit cell shading bien maitrisé par la société Ubisoft (étant aussi sur Rayman Legends, j'ai l'impression que les petits gars du studio de Montréal ont utilisé des outils de ce dernier pour les aider dans la création de Child Of Light). L'histoire fait place dans un monde ou les valeurs tel que l'entraide, l'unité et surtout la paix vont se frotter à la dictature et les vices en tout genre d'une reine qui a soif de pouvoir. Vous et vos alliés que vous allez rencontrer durant l'histoire vont devoir surpasser leurs doutes, leurs peurs pour pouvoir avancer dans les différentes quêtes. On à l'impression de voir des enfants grandir et apprendre par eux mêmes des valeurs que se font rares dans la vie réelle. Les dialogues sont des suites de rimes et j'ai trouvé l'idée vraiment très bonne. à la fois ironique et tantôt assez mélancolique, le jeu sait nous plonger dans différentes émotions même vis à vis des personnages qui sont très attachants. Le fait de contrôler 2 personnages à la fois et qu'ils ont des rôles différents fait que l'on a envie de tout explorer et de tout débloquer donc la encore rien à redire dès que vous lancez le jeu vous n'arriverez pas à vous arrêter même par rapport à l’expérience obtenue qui vous fait débloquer des points de compétences pour améliorer vos personnages. La création d'oculi est vraiment impressionnant, on sent que l'on a le choix dans l'attaque, la défense, l'esquive et bien d'autres compétences. Le système de combat est bien adapté pour les débutants comme pour les plus expérimentés. L'ambiance sonore est vraiment envoutant avec cette touche de musique classique parfois, quelques thèmes héroïques sans compter la participation de "coeur de pirate" dans l'ost donc rien à redire à ce niveau. si j'ai enlevé 2 points c'est tout simplement parce que je trouve que l'on fait vite le tour du bestiaire et le fait que lorsque l'on a trouvé les points faibles des ennemis on a pas forcement l'utilité de certains personnages sinon il n'y a rien à redire jetez vous dessus vous ne serez pas déçu.

C'est beau! C'est enchanteur! C'est calme, très calme, trop calme. C'est à la fois le principal défaut et la qualité du titre d'ailleurs.
Très simple,voir même trop simple, vous vous laissez porter sans réfléchir même si l'absence de carte et de quêtes précises est un peu pénible parfois.
Sinon que dire l'évolution des personnages et le mode RPG est appréciable. Les combats, bien que mollassons restent efficace.
Je ne sais qu'en dire de plus. Je prend plaisir à jouer à ce titre qui sort de l’ordinaire et qui est pétri de qualité. De la à dire que c'est un "must"... Pour moi c'est vite dit.
A découvrir pour les adeptes de ce type de jeu. Pour le reste... Dirigez vous vers des titres un peu plus actif et à la durée de vie accrue.

Excellent jeu que cette production "modeste" qui n'a rien à envier aux grands du genre.

OOn retrouve un gameplay en 2D, les environnements sont vastes, grands et beaux. la liberté est totale, la seule restrictions (on est dans un J-RPG) est la linéarité du au scénario, simple et leger à la fois, il n'en demeure pas moins prenant eet plus complexe que ça, bordant des thèmes forts, pour peu que l'on cherche à comprendre les rimes qui comte cette dernière (et les joke les accompagnants).

Le systeme de combat est de genre ATB, un FF remanié, le concept ce rapproche de grandia également, le test le décrit très bien.

Un systeme de leveling simple et efficace, d'upgrade via des crafting de gemmes que l'on associe à nos équipements (dans le genre d'un Diablo). Voilà, c'est tout, et croyez moi, ça suffit, les combats sont intenses et tactiques (pour ceux qui le jouent en difficile, en normal, c'est bien trop simple).

Une pépite visuelle et de fraicheur dans ce monde de RPG. un tel titre manquait.

même la durée de vie de 15 heures n'est en soit pas un défaut, on ne ressort pas de l'aventure indemne, et le new game+ est présent, de quoi débloquer de nouvelles compétences; Rajoutez une 10 aine de quetes annexes, des coffres secret et vous tenez le RPG de l'année sur le PSN (sur la PS3 peut être.

Child of Light, enfant de l'émotion, enfant de la poésie, enfant de l'hommage... Des mots accrocheurs qui ont suffi à attiser ma curiosité, mais pas sûr que l'expérience sera renouvelée.

Sorti des studios pas si indés d'Ubisoft, le jeu partait d'un bon sentiment en voulant joueur sur la corde sensible des joueurs, loin des productions habituelles auxquelles on était en droit d'attendre. Mais malgré quelques bons points à retenir, le rêve pourrait bien devenir brumeux. Le premier bémol commence par la bande originale, loin de faire l'unanimité. On peut remettre en question le style de l'artiste pour bien des raisons, mais quand il reste tristement monotone tout le long de l'aventure, on ne peut que constater un résultat mal équilibré. Que dire également de l'aspect vol/exploration, si ce n'est qu'il est enivrant les premières heures, mais devient redondant du au manque de renouvellement.
Objets de tout genre à récupérer, pièges qui n'en portent que le nom, seul le charme des environnements provoquera l'ivresse des joueurs.

Car s'il y a un point à retenir, c'est en partie le travail et le soin apporté pour dépeindre un univers enchanteur et féerique, de quoi émouvoir le plus acariâtre des misanthropes.
L'autre aspect du gameplay, centré sur des combats au tour par tour renvoyant à Grandia, est également très juste et impose aux joueurs une dose de timing nécessaire pour certains boss plutôt corsés, en ayant accepté de jouer en Difficile. Préparation oblige, de l'arbre de compétences à compléter selon son envie au choix des oculi, l'aspect RPG du titre reste suffisamment dosé pour y trouver du plaisir, aux mains d'une dizaine de protagonistes hauts en couleur.

Reste malgré tout que l'aventure peine à susciter de l'intérêt sur la durée, et ce n'est pas l'histoire racontée qui vous tiendra éveillée, sorte de soufflée qui retombe à plat arrivé les dernières heures. De même que le New Game+ ne sera l'occasion que de débloquer les dernières compétences pour une difficulté accrue, soyez prévenus.
Le retour en enfance ne se fera donc pas sans accrocs, faute à un résultat en demi-teinte qui aurait mérité un développement plus conséquent.

C'est la mode du playstation store de sortir des jeux indépendants à des prix de 10 / 15 €, parfois bien meilleur que des jeux à 70 € qui peuvent sortir 1 fois par an, on ne citera pas de nom puisqu'il y en a beaucoup, et à force de faire des suites et de travailler avec du vieux, on fini par s'en lasser.

Child of Light est un jeu de rôle aux graphismes extraordinaires, on se croirait dans un livre mais sans 10 images par page mais une. Cette fois ci on contrôle une jeune princesse du nom d'Aurora, malheureusement décédée dans son sommeil dans le monde réel et propulser dans un monde différent ou il va falloir la booster au maximum pour en faire une guerrière afin d'accomplir sa quête. Le jeu en lui même reprend les principes de jeux connu d'attaques au tour par tour comme dans Final Fantasy, Pokémon, Dragon Quest ... On rajoute à ça quelques plateformes quelques énigmes et voilà la sauce Child of Light. A acheter