Un excellent épisode genèse même s'il fait partie de ceux avec lesquels j'ai le moins accroché tout du moins, je le gracie volontiers d'admonestations tout simplement parce que ce fut le premier et en même temps le début d'un plaisir insatiable. De très beaux graphismes sont donc montrés, les décors sont fins et travaillés tout comme les crashes bluffants pour leur première apparition, (même si la triple rediffusion à chaque loupe et franchement discutable) une bonne jouabilité bien que trop approximative, une B.O qui lui est unique avec une composition par tracé qui lui sied magistralement, mais revers : une durée de vie à faire blêmir puisqu'une fois terminé on ne revient pas dessus car le mode Survie bien qu'incroyable n'en renfloue l'intérêt qu'à cours terme. Un bon jeu de course en bout de piste tout de même qui fera naître un monde de violence carrossière qui m'est si cher!
Un excellent épisode genèse même s'il fait partie de ceux avec lesquels j'ai le moins accroché tout du moins, je le gracie volontiers d'admonestations tout simplement parce que ce fut le premier et en même temps le début d'un plaisir insatiable. De très beaux graphismes sont donc montrés, les décors sont fins et travaillés tout comme les crashes bluffants pour leur première apparition, (même si la triple rediffusion à chaque loupe et franchement discutable) une bonne jouabilité bien que trop approximative, une B.O qui lui est unique avec une composition par tracé qui lui sied magistralement, mais revers : une durée de vie à faire blêmir puisqu'une fois terminé on ne revient pas dessus car le mode Survie bien qu'incroyable n'en renfloue l'intérêt qu'à cours terme. Un bon jeu de course en bout de piste tout de même qui fera naître un monde de violence carrossière qui m'est si cher!
Les débuts d'une future légende. Au moment de sa sortie, Burnout marquait un changement d'approche du jeu de courses qui se voulait révolutionnaire, puisque là où les jeux de courses récompensaient le jouer ayant la conduite la plus propre et sûre, Burnout fait tout le contraire en récompensant le joueur prenant le plus de risques dans sa conduite. Les bases de ce qui fera le grand succès de cette franchise légendaire sont posés dès ce premier épisode, avec du turbo gagné en conduisant à contre-sens ou en zigzagant entre le trafic en frôlant les véhicules de peu, donnant lieu à des courses à forte adrénaline, où la tension ne cesse de monter proportionnellement aux risques pris. Le jeu tourne très bien pour son époque, pour un jeu des tout débuts de la PS2, il se veut étonnamment fluide, jolis et très rapide; avec de beaux décors malgré des environnements qui se répètent et un petit aliasing omniprésent. Se démarque aussi particulièrement les crashs, dont un grand soin apporté aux détails pour en ressentir tout l'impact. Les musiques donnent à l'univers Burnout une petite personnalité, l'ensemble n'est pas exceptionnel mais certaines sont intéressantes.
Pour ce premier opus, l'on sent que les développeurs de chez Criterion ont flairé une très bonne idée de gameplay, mais dont ils n'ont pas encore complètement canalisé le potentiel, car plusieurs lacunes de gameplay pointent le bout de nez au fil des courses. Si la prise en main est effectivement immédiate et plaisante, le fait de devoir appuyer aussi fort sur X pour accélérer plus rapidement est franchement à la longue assez désagréable et gênant. A force de toujours devoir défoncer la touche X, on en arrive à avoir mal au pouce voir au bras, en plus d'endommager notre manette, tout ça est très gênant ! L'impossibilité de configurer les touches est une grossière erreur, et on ne peut jouer autrement car pour gagner les courses il faut impérativement accélérer un max. Cela va de pair avec un autre point faible du jeu, la difficulté excessive. Burnout étant un jeu court, les développeurs ont mis le paquet niveau difficulté avec des adversaires qui foncent comme des fusées ou se prennent des crash face à nous, rendant de ce fait les dernières courses du championnat très esquintants, ne demandant à la fois aucune erreur, des prises de risques continues et une parfaite vitesse; une chose difficilement réalisable compte tenu de la configuration des circuits. Ces derniers comportent des erreurs de level design, ils sont construits de sorte à ce que souvent on ne voit pas du tout venir le trafic qui ne peut donc pas être anticipé et garantit un crash immédiat, sans parler de certains couloirs à contre-sens ridiculement petits rendant difficile le gain de turbo.
Tous ces défauts font-ils de Burnout un mauvais jeu ? Absolument pas, Burnout se joue avec beaucoup de plaisir, mais tous ces défauts gâchent un partie de ce plaisir de jeu et montre qu'il y avait encore beaucoup à faire pour perfectionner la formule, chose qui sera accomplie avec génie et grand succès avec les épisodes suivants qui feront entrer la série Burnout dans la légende.
Burnout et un super jeux de course arcade il resenble a need for speed mais est plus nerveu. Il possède des grafisme qui sont de qualite est son super pour la PS2 je le recommande.
Un excellent épisode même s'il fait partie de ceux avec lesquels j'ai le moins accroché tout du moins, je le gracie volontiers d'admonestations tout simplement parce que ce fut le premier et en même temps le début d'un plaisir insatiable. De très beaux graphismes sont donc montrés, les décors sont fins et travaillés tout comme les crashes bluffants pour leur première apparition, (même si la triple rediffusion à chaque loupe et franchement discutable) une bonne jouabilité bien que trop approximative, une B.O qui lui est unique avec une composition par tracé qui lui sied magistralement. Une durée de vie à faire blêmir puisqu'une fois terminé on ne revient pas dessus car le mode Survie bien qu'incroyable n'en renfloue l'intérêt qu'à cours terme. Un bon jeu de course en bout de piste tout de même qui fera naître un monde de violence carrossière qui m'est si cher!
Un très bon jeux , 60image sec, fun, des sensations des idées. J'y ai l'aisé un oeil a causse de l'aliasing affreux. Mais bon. Maintenant a l'heure des tv hd le jeux a mal vieilli et mériterai plutôt 12. Je l'ai racheter sur wii les première version compactible avec les jeux game cube et sa passe mieux. Un jeux qui restera dans la légende, inoubliable.
C est d'un bon jeu de course de destruction masse mais c est la que ce jeu fait son succès sur scène même si on débloqué tout les pistes et tout les véhicules.Ce jeu est très originaire mais pour une PS2...
Mon premier Burnout, et déjà la course est dans mon sang pour la vie. Entre faire rentrer les autres dans les murs, les doubler, les esquiver, accélérer, toujours plus de vitesse, les virages serrés et les voitures variés, un jeu ultra-sympathique !
Burnout est un très bon jeu avec une très grande sensation de vitesse mais le jeu m'a paru très court et le nombre de voitures très réduit(4 cachées seulement dont 2 étant inutiles(bus et dépanneuse). Les circuits ne sont pas variés, parmis les 14 circuits (avec 7 circuits inversés ), le meilleur est sans doute "usa marathon ex" où l'on est sans arrêt en contre sens. Burnout est un bon jeu malgré ses défauts.
A l'époque de sa sortie je lui aurait mis volontier 16 mais aujourd'hui j'ai rabaissé la note car il a quand même quelques défauts. Les points positifs sont les graphismes, très beaux à voir pour un jeu sorti en 2001, les reflets de la lumière, les ombres, les décors. La bande-son est très bien notamment dans les tunnels et évidemment les crashs assez biens faits. Les points négatifs sont les circuits qui sont peu nombreux et trop ressemblants comme les véhicules peu nombreux aussi et une durée de vie assez limitée. Et ce chrono très énervant avec ces checkpoints! Mais ça reste un beau jeu qui ne fera que s'améliorer au fil des années!
Rapide, stressant, j'en suis resté collé à mon siège ! A tester absolument à deux ! Les sueurs froides ne vous lacheront plus. Toutefois la difficulté est relevée en mode solo, mais rien d'insurmontable. La bande son en dolby est superbe (à tester dans les tunnels).
Ce tout premier Burnout était - et est toujours d'ailleurs - un très bon jeu. De beaux graphismes, des musiques franchement énormes (ah, jamais, je n'oublierais les musiques de Burnout !), une durée de vie moyenne, mais satisfaisante à mon goût. Il devait y avoir une dizaine de véhicules, ce qui fait sourire quand on pense au choix proposé dans les plus récents ! D'ailleurs je me souviens que j'avais trouvé ce jeu plutôt dur (je ne l'ai fini que récemment), surtout l'avant-dernier championnat et le duel contre la Roadster ; mais c'est peut-être parce que j'étais vraiment petit quand je l'ai eu, et que je n'avais alors aucune expérience des jeux vidéos, même en général. Ce jeu a été mon tout premier jeu de PS2, et il m'a laissé de très bons souvenirs ; aujourd'hui encore, y rejouer est un plaisir. Si vous voulez voir à quoi ressemblait le premier Burnout et que vous n'y avez jamais joué, ça vaut largement le coup de le prendre. Il est d'ailleurs surprenant de voir comment a tourné la série depuis le premier, dont l'esprit n'a absolument rien à voir avec les autres, comme le 3 ou Paradise... Bref, un jeu extrêmement sympathique, à avoir dans sa collection.
Souvent on dit que les premiers opus d'une série sont souvent les meilleurs. Il y a une part de vérité dans tout sa. A l'époque ce fut un très bon jeu, et même aujourd'hui on peut être tenté d'y rejouer, et on prend un certain plaisir en le fessant. Burnout avait un nombre suffisant de véhicule de tout genre (Pick-up, mini, truck, bus...), c'est même aujourd'hui le seul de la série a proposer des poids-lourds. Les circuits proposés sont inoubliables même aujourd'hui. Le jeu était très beau à la période ou il était sortis. La durée de vie était bonne mais sans plus. Et enfin pour finir la Bande-son, sans doute l'élément le plus féérique du jeu. Les musiques étaient mythiques, dynamique, remarquable, sublime et le bruit des moteurs très bien réussi !
Pour être franc, je n'ai pas trop apprécié ce tout premier Burnout (qui fut le seul auquel j'ai joué). L'intérêt et relativement banal, on s'en lasse déjà au bout de quelques courses (la raison pour laquelle je n'ai jamais terminé ce jeu, à mon avis). Les graphismes sont soignés, sans plus être parfaits et les courses peuvent rapidement s'avérer longues, lentes, difficiles même, et.. sans utilité. Mais le plus fastidieux est à mon avis, les scènes automatiques quand on percute d'autres voitures. Cela devient rapidement pénible, et on a vraiment hâte de tout ça s'arrête. Donc, dans l'ensemble, Burnout est un jeu qui ne m'a pas vraiment attiré.
Ce jeu est vraiment très beau et bien réaliste. La sensation de vitesse y est bien présente.Un point négatif cependant, les différents modes de jeu sont un peu trop semblables et un mode carembolage aurait donné un jeu plus varié.Mai c'est un très bon jeu!!!
Un jeu de course assez banal, au bout de deux courses, on a vite fait le tour, effectivement ce jeu a une durée de vie bien trop limitée : les cartes se ressemblent toute, on se retrouve principalement sur l'autoroute, même si on peut observer certains passage dans la cambrousse. Il faudrait peut-être quelque chose pour pimenter un peu le jeu : une histoire, plus de voitures (et non des savonnettes) ou encore des cartes différentes : du cross, neige, je sais pas moi.
Pour conclure : un jeu de bagnole trop simple, qui manque de durée de vie, des graphismes qui sauvent un peu la mise (pour un jeu de 2001), et c'est un jeu qui n'apporte pas grand chose de nouveau à son époque, hormis des crash (pour la plupart inévitables) assez réalistes (quoique quelques toupies de trop...). Je n'ose pas trop casser ce jeu, étant donné que j'ai en tête les jeux de courses très bien fait de 2011, donc je lui attribue tout juste la moyenne.