B

Le 21 juin 2020 à 22:17:20 AzaPlop a écrit :

C'est qu'on commence à prendre du galon, aujourd'hui sous-lieutenant, demain maître de guerre

Je vote la C: dans tous les cas il y aura du contact et ça finira comme la B alors autant les amocher un peu avant

Il n'y a pas vraiment d'orcs noirs dans 40k (contrairement à warhammer Fantasy), l'équivalent ça serait une escouade de nobs je pense

Le 21 juin 2020 à 22:18:56 Cherche-Roi a écrit :
Jétoulu, par l'Empereur quel plaisir ce Risitas, ça me rappellerait presque les Fantômes de Gaunt.

Et vu comment sont présenté les choix...bon bah go B. Nos troupes sont encore novices et on est en sous-nombre, on va se faire bouffer si on se défend, ou défoncer par le comissaire si on se replie. Mais si on rallie les survivants du dernier peloton par une dernière charge on peut peut-être survivre. En plus la Deathkorp va être super jalouse

Le 22 juin 2020 à 01:08:12 Velokay a écrit :
Magnifique suite l'auteur sinon

Merci pour votre soutien mes quilles.

La suite vers minuit, au plus tard.

Je vote C, des Orks qui chargent sont des grosses cibles, en concentrant le feu il est plus facile de s’en débarrasser un à un ...

Le 23 juin 2020 à 17:37:55 Dawokan a écrit :

Le 22 juin 2020 à 20:25:01 Aranwion_2 a écrit :
La suite vers minuit, au plus tard.

Je suis en train de "stickeriser" la suite.

L'op a dit minuit mais n'a pas précisé de quel jour.

Non je suis loyaliste mon khey. J'ai toujours cru en l'Empereur et en l'Imperium.

Le 23 juin 2020 à 19:37:12 JohnC0nstantine a écrit :
L'op a dit minuit mais n'a pas précisé de quel jour.

Cette homme dit vrai

Le 23 juin 2020 à 23:54:40 Dawokan a écrit :

Le 23 juin 2020 à 23:34:33 AzaPlop a écrit :

Le 23 juin 2020 à 19:37:12 JohnC0nstantine a écrit :
L'op a dit minuit mais n'a pas précisé de quel jour.

Cette homme dit vrai

deux jours de suite quand même

Pas de chance

Encore deux minutes avant minuit, il faut garder espoir

Pour l'explication du retard, c'est au bout.

Le Changement
Partie deux

Alors que des tirs sont échangés de part et d’autre, vous hurlez de toutes vos forces, votre voix dominant ce simulacre de champ de bataille.
« Pour l’Empereur, pour l’Imperium, sa Sainteté est avec nous !! »
Trois, quatre, cinq, six tirs, vous vous estimez chanceux et remerciez ce médecin qui a pris soin de vous et a rechargé vos batteries de fusil-laser.
Des soldats tombent autour de vous, malgré les nombreux tirs et les actions courageuses de vos hommes, les Orks semblent progresser.

Le corps à corps vient de commencer, les survivants qui fuyaient il y a quelques instants se sont retournés et se battent courageusement, en vain…
Vos hommes ne sont que des bleus qui ne savent pas se battre, sur votre Peloton qui était déjà bien amoché, il ne reste désormais plus qu’une dizaine de combattants se battant encore, il y a aussi trois ou quatre survivant qui fuyaient il y a peu, le reste des hommes est soit mort, soit au sol en train de geindre et d’essayer sans espoir de se relever.
La dizaine d’Orks a quant à elle, salement été diminuée par vos combattants mais ces maudits Xenos ne ressentent pas la peur.
Deux nouveaux gardes s’effondrent à votre gauche, touchés par les tirs d’une rudimentaire arme maniée par les gros doigts d’un Ork.

Voyant le carnage qui se déroule sous vos yeux, vous prenez la décision d’ordonner une retraite.
Cependant votre ordre a pour effet d’effrayer les hommes qui n’imaginaient pas que la situation était aussi critique, la retraite se transforme alors en débâcle, vous parvenez finalement, in extremis à rallier trois hommes autour de vous et de fuir jusqu’au fourré le plus proche.

Par chance, dans ce petit groupe il y a un radiophoniste, vous lui ordonnez, après avoir couru sur quelques centaines de mètres, d’essayer de contacter d’autres groupes impériaux proches.
Vous dites à un soldat de rester près de l’agent de liaison pendant que vous montez la garde avec l’autre soldat à une vingtaine de mètres de l’endroit, les cris d’agonie des soldats que vous avez abandonnés arrivent à vos oreilles, votre subordonné vous regarde, semblant vouloir vous demander pourquoi avoir fait donner la retraite…

Vous vous interdisez de répondre même si secrètement vous auriez bien aimé pouvoir continuer le combat, vous savez que tout cela n’aurait pu que mal se terminer pour vous…
Des bruits viennent vous tirer de vos pensées, un signe au soldat qui vous accompagne, vous apprêtez à ouvrir le feu, mais d’un coup vous voyez qu’en fait il n’y a nullement lieu de s’inquiéter, une simple salamandre un peu longue qui a certainement cassé une branche vous passe entre les jambes.

De longues minutes s’écoulent, le ciel est constellé de milliers d’étoiles, vous pensez qu’un jour, si vous survivez à ce sol maudit et à cette campagne harassante, vous pourrez combattre sur ces mondes.
Au bout d’une heure, le radiophoniste vous informe que la végétation, trop dense, empêche toute communication distincte, et que, plus grave, il n’a pas réussi à trouver une fréquence impériale répondant aux appels de votre groupe.
Soit ils confondent vos appels avec de la friture, soit, bien plus préoccupant, il n’y a plus de force impériale dans la zone.

Vous décidez de vous avancer plus en avant dans le marais, vous n’entendez plus rien, si ce n’est vos propres pas, cependant au bout de plusieurs dizaines de minutes de marche, vous observez un petit groupe de minuscules « Orks », ne dépassant pas les soixante-dix centimètres de haut, ils sont moins de cinq.
Vous réunissez rapidement vos combattants, pour éviter de faire trop de bruit vous chargerez à la baïonnette, un instant plus tard l’assaut est lancé, les membres de cette race dégénérée de semi-Ork sont rapidement tués, mais hélas, le piège se referme avant que vous ayez pu savourer les doux fruits sucrés de la Victoire.
Bientôt, plusieurs tirs fusent en tous sens, ils ne sont guère dangereux mais vous brûlent cruellement, rapidement plusieurs dizaines des ces « sous Orks » vous assaillent de tous les côtés.
Pris au dépourvu, vous ordonnez de former un cercle défensif et d’ouvrir le feu, stratégie payante qui fait tomber nombres de vos assaillants et fait reculer les autres.

Vous ne souhaitez pas les poursuivre, heureusement pour vous, ces petits Orks semblent avoir été effrayés.
Vous ne déplorez aucun blessé grave dans vos rangs, en revanche vos mains ont pour la plupart grandement souffert et sont cloquées dorénavant.
Vous vous remettez en route, dans l’espoir de rencontrer des impériaux tenant encore leur position.
Vous vous perdez de nombreuses fois et rapidement vous ne savez plus du tout où vous êtes tant ces marais sont tortueux.

De nombreuses escarmouches ont lieu avec ces petits Orks qui manient à merveille la guérilla, vous avez d’ailleurs pu entendre le cri d’autres gardes, mais ils étaient isolés et ont certainement fini par périr sous la masse.
Quatre heures après votre départ avec votre Peloton du camp, la nuit commence lentement, plus que lentement, à se dissiper.
Les petits Orks choisissent ce moment pour lancer leur attaque, de nombreux tirs viennent sur vous.
Vous trouvez une couverture toute relative derrière deux grands arbres aux longues feuilles tropicales tombantes.
Vous échangez quelques tirs avant que finalement vous ne constatiez avec horreur que vos deux recharges de fusil-laser sont vides.

Un instant plus tard, le radiophoniste est abattu d’un tir en pleine tête, sans réfléchir, vous vous jetez sur son cadavre et arrachez les deux recharges qui ne sont que peu utiles étant donné qu’elles ne disposent au total que de trente coups pouvant être tiré, vous ordonnez à vos hommes d’économiser les tirs, le soleil ne se levant que dans une à deux heures (celui-ci permettrait au moins de recharger un peu vos recharges pour vous permettre de continuer le combat).

Durant plusieurs minutes vous reculez, tirant quelques fois pour disperser vos assaillants, ce qui marche, mais ces derniers ripostent avec de faibles armes et menacent de vous contourner plusieurs fois dans ce marécage qui se mélange à la forêt semi-tropicale.

La situation devient de plus en plus critique lorsqu’un long sifflement vous écorche les oreilles, rapidement une explosion de bombe incendiaire, suivie d’une autre puis d’une autre, le feu se propage rapidement et par plusieurs fois vous manquez d’être piégé par les flammes, vous arrivez finalement à vous réfugier dans un petit bassin d’eau peu profonde, les petits Orks qui vous suivaient et vous harcelaient ont l’air d’avoir eu peu et de s’être enfuis.

Que faites-vous ?

A- Essayer de rejoindre le campement malgré les flammes entre vous et ce dernier qui se situe à plusieurs kilomètres.
B- Essayer d’attendre que le feu s’éteigne puis de retourner en marche forcée au camp, option assez risquée car elle pourrait permettre à d’éventuels Ors de vous trouver.
C- Se préparer à attendre les renforts de la Garde avec vos deux subordonnés, si bombardement il y a, alors l’attaque et l’inéluctable Victoire ne saurait tarder, sans compter que le feu de ses bombes vous permettrait de recharger vos batteries pour vos fusils-laser, en plus les palmes de certains arbres permettraient de faire un camouflage efficace.

Bon je suis navré pour ce retard, mais hier j'ai dû démarcher un peu pour le travail et j'étais bien fatigué en rentrant (au pire je serai bien pris en tant que serveur ou équipier dans un restaurant/Fast-food quelconque) et ce soir c'était "Le Retour du Roi", un tel événement (malgré les publicités et la version courte) ne peut se manquer.
J'espère que cette nouvelle partie vous a plus, elle est un peu plus longue que d'habitude.
Dites-mois si je ne "stickerise" pas trop ou si au contraire, il faudrait en rajouter.

C!

Joli travail l'op
C

Haa merci pour cette suite !

Je dirais la C aussi, nos compères de la garde vont rappliquer et foutre une rouste bien méritée aux peaux vertes ! Et avec un peu de chance, Cuckistin va enfin apprendre à se battre en regardant les pros faire..

Pas mal même si cela commence à se répéter : attaque, dernier survivant, sauvé par la Garde Impériale qui progresse.

Je m’abstiens de voter, surprends nous l’auteur

Le 24 juin 2020 à 16:19:45 Flokin a écrit :
Pas mal même si cela commence à se répéter : attaque, dernier survivant, sauvé par la Garde Impériale qui progresse.

Je m’abstiens de voter, surprends nous l’auteur

Pour de la surprise, il y en aura lors de la suite.

Go pour la C, la guérilla est notre spécialité

N'est-ce pas ?

Super travaille C

Les khey motivés, j'ai enfin lancé ma fic si vous souhaitez continuer la lecture : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-63522227-1-0-1-0-fiction-warhammer-40k-les-anges-de-l-empereur.htm

Je ne promets pas un rythme de parution aussi soutenu que l'op, mais j'ai bon espoir de pouvoir la mener à son terme..

Merci à vous !

Le Changement
Partie Trois

Alors qu’une pluie accompagnée de bombes tombe inlassablement sur tout le marais, que des dizaines de « semi-Orks » fuient à travers les petits cours d’eau, seuls endroits où le feu est impuissant, sans faire attention à vos personnes, vous ordonnez de courir vers cette épaisse végétation, les hommes vous regardent, incrédules, vous leur ordonnez d’obéir, ils s’exécutent avec peu d’entrain.

Quelques instants plus tard, cachez au sein d’arbres exotiques, vous leur dites à voix basse : « Prenez des branchages intacts, ramenez-les ici, nous les regrouperons et nous dirigerons vers les roseaux « aquatiques », nous nous cacherons et attendrons l’arrivée des renforts, profitez-en également pour recharger vos batteries de fusil-laser avec le feu, ce sera rapide même si un tel procédé peut les endommager. »
Après avoir donné ces ordres, vous vous empressez d’imiter vos hommes et vous vous mettez à recueillir divers palmes d’arbres.
Le feu se propage rapidement, peu de temps après le début de cette « expédition », vous criez aux hommes de revenir, ce qu’ils font.
Vous leur dites d’aller entasser ces branchages au niveau d’un petit regroupement de roseaux, puis de revenir pour recharger leurs batteries.

Quelques instants après la chaleur des flammes vous fait du bien, vous êtes trempé et vous en avez assez, assez de vous battre et de risquer la mort chaque instant pour un combat inepte…
Pourtant, rien ne sert de se lamenter, vous êtes bien au milieu d’un marais, entouré d’Orks qui peuvent vous tuer à n’importe quel moment, avec deux soldats effrayés qui pensent que la Mort est sur eux.

Vous regardez lentement vos deux recharges, c’est bon, vous pouvez de nouveau tirer vos nombreux coups.
Vous vous relevez et vous vous dépêchez de revenir avec vos subordonnés au niveau des roseaux, tout d’un coup un Ork arrive à moins d’une quarantaine de mètres de vous, vous tirez mais sa progression n’est que peu ralentie, heureusement un tir d’artillerie frappe juste derrière lui, le projetant, dans une position étrange, plusieurs dizaines de mètres en avant.

Vous vous approchez de lui lentement, arme au poing, vous savez qu’il est certainement mort mais vous ne pouvez vous empêcher de craindre pour votre vie.
Heureusement l’explosion a détruit plusieurs de ses membres et sa tête n’est plus qu’une bouillie informe.

Vous vous rapprochez rapidement de vos hommes et vous mettez alors en place une sorte d’abri, un petit peu caché par les roseaux, cet « abri » vous dissimule fort efficacement grâce aux nombreuses palmes que vous avez pu récolter sur les arbres tropicaux qui flambent à quelques dizaines de mètres.
La soif vous saisit soudain, en ouvrant votre gourde vous vous souvenez avec horreur que vous avez quasiment tout bu hier et ironie du sort, au milieu de roseaux semblables à votre actuel refuge.

Vous demandez alors à un de vos hommes un peu d’eau, ce dernier accepte, n’ayant plus la capacité de contester vos ordres, se contentant de vous suivre dans le chaos de la bataille et de l’ivresse sanglante de la guerre.

De longues heures s’écoulent ainsi, vous grignotez vos dernières rations de survie, un goût de graisse et de champignon vous reste sur le palais, la chaleur devient rapidement désagréable, en effet cet abri est bien isolé et contribue à faire macérer votre sueur, mais là n’est pas le problème.
Cela va bientôt faire deux heures que vous êtes sous ces branchages, le soleil s’est levé, toute la végétation n’est plus que cendre, pourtant l’assaut ne vient pas, seul de nouvelles bombes tombent encore et encore, quelques Orks courent parfois près de vous, mais ils ne font pas attention à un vulgaire tas de plantes, trop occupés à fuir de ce marais maudit pour leur salut.

Vous attendez, encore et encore, des obus explosent à moins de vingt mètres de vous, mais la Garde ne vient pas.
Il est désormais midi, six heures de bombardement intense ne semblent pas satisfaire le Bouclier de l’Humanité qui continue à bombarder non seulement le marais, mais aussi toute la ligne de front, vous observez au loin des explosions dans des collines qui il y a quelques mois encore étaient cultivées par de joyeux hommes qui pensaient qu’ils mèneraient une existence calme et tranquille.
Vos hommes sont manifestement impatients mais ils savent qu’essayer de traverser un tel champ de tir serait du suicide.

Finalement, la clameur sourde se calme et finit par quasiment s’arrêter, seulement entretenue par une ou deux bombes explosant au loin.
Vous vous décidez enfin à sortir de votre abri, alors qu’il est deux heures de l’après-midi, vous rampez d’abord lentement dans l’eau trouble, puis vous vous relevez et vous vous mettez à courir vers les lignes Impériales.
Tout d’un coup, vous entendez derrière vous des hurlements bestiaux allant en s’amplifiant, vous savez que ce sont des Orks bien décidés à reprendre cet endroit, vous ordonnez à vos hommes de courir le plus rapidement possible, rapidement vous parcourez plusieurs kilomètres, la peur vous donnant des ailes.

Vous voyez des gardes courir dans votre direction, baïonnette au canon, vous faites jonction avec ces derniers qui vous disent d’un ton impétueux de les rejoindre dans la lutte pour l’Imperium, vous vous sentez obligé d’obéir, sachant que vous tenez là peut-être la seule chance de prendre ce champ de bataille.

Les Orks ont déjà parcouru une vaste distance, il semblerait que le corps-à-corps soit imminent, des tirs sont échangés, un de vos subordonnés, épuisé, s’effondre, vous ne pouvez vous permettre cela, ce serait indigne de votre médaille, de nombreux hommes de la garde sont tués, le combat final sera bientôt enclenché, celui qui déterminera si l’avance de la Garde sera rompue ou si la Victoire vous sourira.

Un instant plus tard, deux entités barbares se jettent l’une contre l’autre, un de vos collègues est décapité par une hache de guerre à moins de dix mètres de vous.
Rapidement un Ork se place devant vous, fais tournoyer son long coutelas, heureusement vous vous jetez au sol, échappant ainsi à un funeste coup de cette arme qui s’enfonce alors dans le sol meuble, vous tirez et reculez légèrement.

Le Combat se poursuit mais la Garde recule, tout semble perdu, rapidement une dizaine de gardes se groupent autour de votre personne, pensant certainement pouvoir survivre en suivant un vétéran décoré.
Tandis que le front se disloque sur tout l’étendu du marais, votre petit groupe arrive à battre en retraite de façon plus ou moins ordonnée jusqu’au camp.

Camp au sein duquel les préparatifs pour la défense vont bon train, les Orks gravissent déjà la pente et essayeront d’ici peu, de franchir les sacs de sable pour entrer au cœur des restes du régiment.

Que faites-vous ? :noel:

A- Aider les soldats à empiler des sacs de sables sur les contreforts de la pente pour essayer de bloquer les Orks.
B- Etablir une ligne de défense au centre du campement, ainsi il sera possible d’éviter une déroute totale et de permettre de couvrir une retraite vers les tranchées par-delà le village.
C- Essayer de trouver le Colonel et de le protéger, si la chaine de commandement venait à se briser, c’est toute la défense qui serait rapidement submergée.

La B. Au diable le colonel, prenons les choses en main, il sera grand temps de le remplacer le moment venu.