B

B !!!!!!!!!!!!!!!

La suite ce soir.

Je vais rattraper mon retard crayon, je suis enfin libre.

Vite l'auteur, l'Inquisition risque de s'impatienter

Le 28 juin 2020 à 17:41:15 Velokay a écrit :
Vite l'auteur, l'Inquisition risque de s'impatienter

Ce soir.

Le Changement
Partie Quatre (dernière)

Alors que les premiers Orks arrivent au niveau de la première ligne de défense et qu’un duel féroce s’engage à moins de vingt mètres de vous, vous ordonnez promptement aux hommes de ne pas s’exposer et de battre en retraite jusqu’au centre du campement.
Rapidement certains soldats vous demandent pourquoi vous n’allez pas aider ceux en première ligne, vous hurlez qu’il faut établir une seconde ligne défensive si la première venait à céder et que pour cela vous avez besoin de vos hommes, vous ajoutez à l’adresse de ces derniers : « Trouvez des sacs de sable, vite, entassez-les ici ! », en indiquant le centre de ce petit campement entouré par les postes de soin et de commandement ainsi que divers autres tentes comme l’intendance ou bien les cuisines.

Vous criez à un de vos soldats d’aller trouver les chefs de véhicules se trouvant en arrière pour leur dire de se tenir prêt à partir vers les tranchées qui étaient l’endroit où vous êtes arrivé il y a trois ou quatre jours de cela.
Vous supervisez ces « travaux » de fortifications alors que le soleil s’effondre dans le lointain et qu’une lumière orange ou rouge vous aveugle tandis que des gardes meurent par dizaines pour tenir la première ligne…
Quelques minutes plus tard les Orks ont réussi à capturer la quasi totalité de cette ligne pour laquelle tant de gardes sont morts, des combats sporadiques ont encore lieu derrière une seconde ligne à l’entrée de la place du campement mais elle s’effondre quasiment aussitôt.

Le combat finit enfin par se porter sur votre ligne, le chaos est total, des gardes meurent de façon ésotérique tandis que d’autres essayent de fuir, il n’y a plus de chaine de commandement, il n’y a plus de désir de lutter, juste survivre, survivre un instant de plus.

Cette obsession amène certains gardes à fuir et à vous abandonner, vous ne pouvez en supporter plus et fusillez deux de ces traitres, dans le dos, alors que les Orks effectuent un tir de suppression nourri, se cachant derrière des caisses et autres cachettes improvisées, le tout à moins de vingt mètres de vous.

Néanmoins, malgré la peur des soldats, votre médaille et vos galons constituent un phare pour ces êtres perdus, errant sans fin sur un champ de bataille où se mêle l’absurde et, ultime dérision du sort, un Colonel effrayé ne gérant pas ses troupes et priant seulement l’Empereur.

Les lourds tirs Orks commencent à sévèrement amenuiser vos faibles rangs qui chancèlent de plus en plus, sentant que toute la défense de cette place pourrait chanceler vous ordonnez à une vingtaine de soldats de rester avec vous pour tenir et lutter pendant que vous hurlez au Colonel d’ordonner la retraite.
Malheureusement vos ordres sont mal interprétés, au milieu du chaos, et sur la vingtaine d’hommes que vous avez chargé de tenir avec vous, une dizaine se replie, vous leur ordonnez de rester mais rien n’y fait, ils sont trop contents de pouvoir fuir avec un ordre leur ordonnant de battre en retraite.

Le feu Ork s’accentue, pendant une ou deux minutes vous tenez, mais bientôt vous n’êtes plus qu’avec trois fidèles, vous leur dites qu’il faut battre en retraite, deux d’entre eux acceptent, mais le troisième refuse, disant qu’il préfère commettre le sacrifice ultime plutôt que d’abandonner du terrain.

Vous fuyez, quelques instants plus tard vous voyez les derniers camions et entendez au même moment le cri du dernier défenseur du campement, vous vous jetez dans un des deux camions bâchés et hurlez aux conducteurs de démarrer.

Vous observez alors l’unique canon Basilisk du régiment, exploser puis s’écrouler lentement sur sa propre carcasse meurtrie, vous pensez que ça doit être le Colonel qui a enclenché l’autodestruction pour éviter que les Orks ne capturent cette lourde pièce d’artillerie.
Des tirs résonnent encore, un des camions explose sous un tir de roquette Ork.
Heureusement ce n’est pas le votre et malgré un feu nourri vous parvenez à rejoindre les tranchées.

Quand vous descendez du camion le Colonel vous accueille et vous demande de le suivre dans son nouveau Poste de Commandement (P.C), il ne s’agit en réalité que d’une petite excavation, sale, boueuse et sans enduit sur les murs.
Il demande à tous ceux dans la pièce de sortir et referme alors la petite porte en bois menaçant de s’éffondrer.
Il vous dit alors d’une voix ferme :

« Ludwig Callidon, la situation est désespérée, nous avons effectué un rapide comptage de nos membres restants, nous ne sommes plus que 300, le front a été brisé sur plusieurs dizaines de kilomètres d’après nos premiers rapports, les autres régiments Dernuxiens n’existent presque plus et sont souvent dans un état aussi médiocre que le notre.
Comme vous avez pu le constater, nous avons perdu tout le terrain gagné au cours de ces derniers jours de combat.
La totalité ou la quasi totalité de nos pièces d’artillerie ont été détruites, il n’y a plus d’intendance, et nos réserves de munitions ont été saisies.
Cependant il y a une bonne nouvelle, je me suis entretenu avec les autres Colonels des régiments Dernuxiens ainsi qu’avec notre supérieur direct, chargé de coordonner nos différents régiments avec une Compagnie spéciale.
J’ai ainsi appris que nous allons être envoyé à l’arrière pour plusieurs semaines, nous serons fusionnés dans un seul grand régiment qui sera le 725ème Dernuxien, nouveau régiment qui aura pour devise : « Mon Honneur s’appelle Fidélité », nous serons rééquipés et formé pour être à nouveau opérationnel d’ici deux ou trois semaines, des renforts en provenance de volontaires de Dernux-IV nous renforceront.
Je vous offre ainsi deux choix, le premier est que vous soyez un de mes adjoints pour ce nouveau régiment qui sera sous les ordres de notre superviseur et supérieur actuel, cependant chaque colonel dirigera une Compagnie, le second est de rester sur le front, cependant vous aurez une formation spéciale au vu de vos états de faits, vous serez notamment formé au camouflage et aux assauts en discrétion ainsi qu’aux usages des explosifs. Vous ne seriez pas mon adjoint mais vous seriez cependant certain d’être Caporal-Chef ou Sous-Lieutenant de façon « officielle », que choisissez-vous ? » dit-il d’un ton étrangement enjoué.

A- « Je souhaite être votre adjoint Herr Colonel, ce sera un grand honneur pour moi. »
B- « Il est important pour un soldat de lutter pied à pied, permettez-moi de rester au milieu de mes hommes mon Colonel. »
C- « Permettez-moi d’y réfléchir, je vous donnerai ma réponse ce soir. »

--------ATTENTION--------

J'ai glissé une référence à la Seconde Guerre Mondiale et plus particulièrement au Camp du Mal (le Mal c'est pas bien vous avez compris ? ), si vous la trouvez, vous pourrez me demander de mettre un personnage que vous avez créé dans la suite de la Fiction.
Juste quelques petites précisions, ce personnage devra avoir un nom un minimum raccord avec l'univers (exit les "Fleur-D'Anus" et autre "Serpillère-à-foutre") et être un garde impériale (officier, soldat voire Commissaire mais pas de Space Marsouins, de démons etc...)
Décrivez-le physiquement si possible, inutile de faire cinquante lignes mais son âge, sa taille, la couleur de ses yeux et de ses cheveux, son poids, son allure peuvent être des indications utiles.
Et enfin, merci beaucoup d'être toujours aussi fidèle malgré les nombreux retards.

La sweet tant attendue enfin de retour

Perso je choisis la B, notre héros est toujours resté proche de ses hommes, étant lui-même un simple troufion de base qui a escaladé l'échelle plus grâce à sa chance que grâce à ses capacités martiales ou stratégiques. Par conséquent je le vois mal gérer quoi que ce soit depuis l'arrière en laissant des hommes comme lui se faire tuer sous ses ordres des milliers de kilomètres plus loin. Et vu les spécialités qu'on va se voir inculquer, on dirait que ça va partir en Fantômes de Gaunt cette histoire, ça me plait

Désolé du double post, mais la devise du 725e Dernuxien ce ne serait pas la même que celle de la Schuztaffel SpoilAfficherMasquerabrégé en SS ces SALAUDS pas gentils?

Le 29 juin 2020 à 12:42:51 Ushoran a écrit :
Désolé du double post, mais la devise du 725e Dernuxien ce ne serait pas la même que celle de la Schuztaffel SpoilAfficherMasquerabrégé en SS ces SALAUDS pas gentils?

Eh oui, you know...
Quel personnage souhaites-tu ma quille ?

B aussi

Le 29 juin 2020 à 13:02:35 Aranwion_3 a écrit :

Le 29 juin 2020 à 12:42:51 Ushoran a écrit :
Désolé du double post, mais la devise du 725e Dernuxien ce ne serait pas la même que celle de la Schuztaffel SpoilAfficherMasquerabrégé en SS ces SALAUDS pas gentils?

Eh oui, you know...
Quel personnage souhaites-tu ma quille ?

Pour une fois que mes études en histoire sont utiles en dehors des cours

Étant donné l'inspiration du régiment, je vais rester sur le thème de la Seconde Guerre Mondiale pour pas trop détonner

Si possible, j'aimerais bien voir un Sergent Keyper Llanus, homme blanc de taille moyenne, d'approximativement 40 ans, cheveux noirs, yeux bruns, en léger embompoint malgré les défis de la vie des Gardes Impériaux en particulier au niveau de l'approvisionnement de nourriture (il fait dans les 90 kilos et c'est pas que du muscle ), il a l'allure et le comportement d'un paysan cliché venant de l'Agri-Monde le plus perdu de l'Imperium, très mal à l'aise avec un plus haut gradé que lui mais prompt à la camaraderie avec les soldats et ayant la main lourde sur les insultes, surtout sur le champ de bataille

Bon mes quilles, il n'y aura peut-être pas de suite ce soir, en effet j'ai un rendez-vous au CIRFA de Toulouse pour un entretien préliminaire (quelle spécialité choisir etc...), peut-être que l'armée va m'aider à être un peu moins un "0 tout" (bon j'ai quelques amis mais hormis ça...).

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La Fin de la Lutte.
Partie une (sous-partie une)

« Il est important pour un soldat de lutter pied à pied, permettez-moi de rester au milieu de mes hommes mon Colonel. 

-Soit, vous serez au milieu des hommes, ça ne me gêne nullement.
Allez faire connaissance avec le reste des hommes et essayez de « profiter » du paysage, je ne sais pas si nous reviendrons un jour ici…  »

Vous sortez lentement après avoir salué avec déférence votre Colonel.
Des obus tombent dans les tranchées, tuant quelques camarades, les derniers camarades…
Ce sont les derniers obus avant la relève, enfin.
Cette lutte à mort a fini par détruire la totalité des quatre régiments, l’organisation a été catastrophique.
Vous repensez avec anxiété à votre première affectation, ce régiment qui n’a pas duré deux jours….

Votre souhait le plus cher est désormais d’oublier, de retrouver votre innocence perdue, certes sur Dernux-IV il y avait des gangs, de la violence, des meurtres, des drogués, mais tous ces gens étaient humains et pouvaient faire preuve de logique, ce n’était pas le chaos indescriptible, la fin du Monde, que vous avez vécu durant ces quelques jours.
Vous réalisez d’un coup avec un étonnement presque idiot que vous n’avez pas vu le temps passé, ce dernier s’étirant ou se rétractant aléatoirement.

La fatigue vous assaille d’un coup, vous n’avez pas dormi plus de quelques heures en trois ou quatre jours, vous sentez vos paupières se fermer, seul un obus Ork éclatant non loin de vous, vous empêche de sombrer dans les abysses du sommeil, ennemi héréditaire du soldat.
Comprenant que vous ne tiendrez plus longtemps, vous vous mettez à ramper dans la boue vers le Poste de Commandement improvisé, une migraine et une fièvre de cheval viennent vous piquer et vous faire tourner la tête.
Vous n’arrivez plus à respirer, vos yeux se brouillent, vous arrivez à pousser in extremis la porte du trou putride dans lequel se trouve le Colonel.
Vous vous effondrez alors, face dans la boue gluante.

Quelques dizaines de minutes plus tard vous vous réveillez, un soldat vous attend.
Voyant que vous êtes de nouveau conscient, il vous demande de le suivre, les camions d’évacuation sont arrivés, de nouveaux régiments aussi, les débris Dernuxien montent anxieusement dans les camions, ces derniers se mettent en branlent, ralentis par la boue qui revient à cause du retour de la pluie, heureusement les grandes roues des véhicules arrivent à désembourber les camions.
Un dernier obus s’abat à une trentaine de mètres de votre personne, blessant cinq ou six gardes et en tuant deux ou trois.
Les pauvres, ils ont survécu dans un enfer sans fin et meurent au moment de leur triomphe, le triomphe de la Vie sur la Mort, le plus important…

Vous vous endormez rapidement dans le camion qui vous ballote, alors que le soleil se couche.
Lors de votre réveil vous remarquez que le soleil est haut dans le ciel et que les camions viennent de s’arrêter, on vous demande de descendre.
Alors que vous suivez les ordres, vous remarquez rapidement trois grands édifices en préfabriqué, entourés d’une multitude de tentes le tout au milieu d’un vaste espace plat et herbeux vous entourant de toutes parts.
On vous met en colonnes en fonction de votre grade et on vous demande de suivre les soldats de cette base militaire.

Rapidement on vous demande de vous déshabiller pour vous laver, de remettre vos uniformes et vos armes aux autres gardes et de seulement garder sur vous vos médailles.
Après une longue douche en plein air les soldats de la base vous donnent alors une sorte de pyjama, blanc, vous serrant le corps et aux manches longues, il sent le soleil et l’herbe fraiche, on vous amène alors dans un dortoir au sein du plus petit des trois bâtiments et on vous invite à vous reposer.
Le dortoir est chauffé et vous donne une envie irrépressible de chuter dans les abimes du repos et ainsi de rattraper ce sommeil qui vous a filé entre les doigts.
Le lit n’est pas spécialement confortable mais n’est pas désagréable non plus, un lit militaire, tout simplement…

Lorsque vous vous réveillez de nouveau, la nuit est tombée, votre montre vous indique qu’il est sept heures du soir, en observant autour de vous vous voyez de nombreux gardes impériaux.
Certains discutent, d’autres se demandent s’ils vont pouvoir repartir au front, d’autres encore semblent désormais avoir des tics nerveux, craignant pour leur vie malgré le fait qu’ils soient dorénavant à plusieurs centaines de kilomètres de la ligne de front.
Bientôt une sonnerie retentie et une voix totalement quelconque vous demande de venir à la cantine pour le souper et la présentation du drapeau du nouveau régiment.

Vous vous mettez en rang et partez en direction de la cantine, avec un certain enthousiasme, on vous sert un bloc de cinq cents grammes d’une couleur grise et sentant le champignon ainsi qu’un litre d’eau, vous avalez cette dernière avec délectation tant elle vous a manqué durant les durs combats.
Vous retrouvez un plaisir éteint et presque disparu, celui de manger un repas chaud, dans un environnement sain et sans risque avec d’autres hommes déterminés…

Au bout d’une trentaine de minutes, le colonel entre dans la pièce où se trouve environ sept cents Dernuxiens, il est habillé avec un uniforme neuf et pimpant.
Avec une dizaine de soldat du régiment local il déplie le drapeau du nouveau régiment, votre régiment.
Un large drapeau noir, avec marqué « 725ème régiment de Dernux-IV » en blanc au centre, en-dessous vous pouvez observer la devise du régiment, en blanc aussi, sur les deux bords du drapeau un mot est marqué deux fois, à la verticale et donc perpendiculaire à la première inscription, il s’agit du mot « Siegfried », la position de ce terme signifie qu’il s’agit de la nouvelle appellation pour reconnaître plus facilement le régiment.

Les hommes se lèvent alors et se mettent à applaudir presque frénétiquement, montrant leur joie de pouvoir de nouveau appartenir à un régiment, de savoir que tout cela n’est pas terminé et que l’Imperium a encore besoin d’eux…

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Bon mes quilles, il n'y a pas de choix pour cette sous-partie, en effet je ne savais absolument pas quoi mettre et j'ai préféré mettre en place ce système de sous-partie, en bref il y en aura une seconde qui terminera la première partie et à la fin de laquelle il y aura des choix.
J'espere que ça ne vous gêne pas trop, je vous souhaite une agréable journée lors de cette journée torride (l'odeur des chattes puantes nous enivre...), le sergent que Ushoran souhaitait sera mis dans la suite, en effet je n'ai pu le mettre ici car il s'agissait d'une transition important et je souhaitais faire les choses correctement et ne pas gâcher le sergent Keyper Llanus.
En bref bonne journée mes quilles.

Bonne journée à toi aussi

Super suite

Super sweet, pas de problèmes kheyou, bonne journée à toi aussi

+ Post avant sniper ork

Bon travail l'OP je fav et up, merci pour ton taff

Bon mes quilles, la suite arrivera dimanche après-midi, demain je vais avec un ami faire du camping sauvage et je ne reviens que dimanche matin et je dois terminer la préparation ce soir.