Le 30 mai 2020 à 16:59:46 DorotheaWierer a écrit :

Ritter dans le top 10 et Marco P8 t'as fait ça uniquement pour me faire chier

Je m'appelle pas Nolan, je change pas les scénario de chaque épisode 42 fois

Objection votre honneur

Ah ouais bah non objection rejetée

Demain, épisode peu utile pour l'histoire, potentiellement gênant sur la fin, sympa tout de même dans l'ensemble. Bref, c'est pas le meilleur des teasers, mais rendez-vous demain entre 15h et 17h

Saison 4 : https://docs.google.com/document/d/1uxSO3g9oi3w-qYmswvZkE18emWs8KVrzEwBX3VO9OyM/edit

Saison 4 - Episode 15 (N°117) : La perle rare

Samedi 20 - Dimanche 21 Avril 2030
Gérardmer

Peut-on ne pas se sentir à son aise quand on est en train de réaliser son rêve ? Peut-on douter quand on vient de vivre les mois les plus riches de sa vie ? Peut-on être si exigeante qu'on en oublie les éléments positifs ? A l'heure de basculer sur la tournée nord-américaine, je me pose ces questions, seule, face à moi-même. Ce serait exagérer de dire que je ne me sens pas bien à l'heure actuelle, mais il est vrai que j'ai connu mieux, beaucoup mieux. Je suis peut-être en train de réaliser que tout ne peut pas être aussi simple et limpide qu'en apparence, qu'un statut ne suffit pas à rendre parfaitement heureux, qu'il faut des accrocs pour avancer, que sans épreuves et sans échecs les réussites sont moins belles. Tout cela se bouscule dans ma tête et je ne sais pas trop comment faire face, comment réagir. Rester terrer dans mes habitudes ne me fera pas avancer, tout changer pourrait me faire reculer, bref cette vie de pilote de F1 n'est pas si simple et joyeuse qu'il n'y parait.
Le contenu sportif pur d'abord. Peut-être que je suis trop exigeante avec moi-même, mais j'ai l'impression de tout foirer jusqu'ici et d'avoir sous-estimé cette dernière marche du sport de monoplace. Pourtant, ce n'est pas faute d'avoir été prévenue : "Lucie, une femme ne réussira jamais en F1", "Lucie tu es talentueuse, mais c'est trop haut pour toi", "Lucie, trouve une catégorie à ton niveau, tu vivras de ta passion et ça ne sera pas si mal", "Lucie, tes performances sont vraiment incroyables... pour une femme". Je ne dois pas laisser ces phrases revenir dans ma tête, plus personne ne les pense - du moins ouvertement - et je les avais oublié, mais je sens le danger venir. Trois courses, un accrochage au départ - même si victime et non fautive - une grossière erreur en qualif, une gestion délicate des pneus en début de course, puis carrément un week-end ridicule. Rookie ou non, n'importe quel pilote mérite d'être un minimum tapé sur les doigts après tel début de saison, pourtant je ne vois que très peu de critiques à mon égard et cela m'inquiète plus que cela me rassure. Là où je fais parler de moi en revanche, c'est sur les réseaux sociaux, où je suis devenue une "tendance" ces dernières semaines, acclamée par certains, insultée par d'autres. Pourquoi ? Pour mes propos sur les lobbies féministes tout simplement, certains - hommes comme femmes - ont appréciés, d'autres non - hommes et surtouts femm... féministes - et pas qu'un peu. Malheureusement, les anti grid girls sont devenus encore plus virulents qu'avant, et certains médias me relancent sans arrêt sur le sujet. Acculée, je refuse toute autre communication, de peur de causer du tort aux grid girls, alors que j'ai seulement voulu les défendre.

Face à tous ces doutes et cette psychose - ridicule ? - qui s'élève en moi, l'idéal aurait été d'avoir un cadre parfaitement sain et calme autour de moi. Si seulement... Un an après la parfaite alchimie des débuts, l'ambiance à Genève est quelque peu délétère. Sandro se contente de faire son job mais semble vraiment frustré et désabusé. Maximilian est, un peu comme moi, dans la difficulté en ce début de saison, bien plus à cause de Toro Rosso que de lui-même. Anila, elle, perd de plus en plus patience face à cette ambiance plombée et nos blessures mentales, et son manque de discernement et de pédagogie la fait douter sur ses propres capacités, elle qui gérait si bien tous nos maux. Résultat, tout le monde est proie aux doutes, tout le monde s'enferme dans son coin et c'est contre-productif.
La cerise sur le gâteau ? La rivalité naissante et potentiellement malsaine entre Thomas et Marco. Ce ne sont pas mes affaires ? Totalement. Et pourtant... Depuis ma discussion avec Thomas, je n'ai rien fait, je ne veux rien faire et j'espère que je ne vais rien faire. Malgré tout, je n'arrive pas à occulter cela et m'enlever cette histoire de la tête. Je voudrais aider Thomas et raisonner Marco, pour que les deux aillent dans le bon sens. Sauf qu'intervenir risque d'avoir un effet inverse et risque surtout de me mettre en position plus que délicate. J'en parle peu, parce que j'ai pris une décision et parce que c'est la bonne, mais Marco... Ça fait mal de le dire mais ce n'est que pure vérité, Marco occupe toujours une place en moi... trop grande... J'aimerais m'en débarrasser et passer définitivement à autre chose, mais seulement est-ce possible ? Le remède le plus simple serait de rencontrer quelqu'un - pas n'importe qui évidemment - mais je n'ai pas le temps et ce n'est pas le meilleur moment pour me montrer sous mon meilleur jour, alors à quoi bon ? "Tu verras, cette personne arrivera un jour, au moment où tu t'y attendras le moins". Foutaise...

Dans cette période un peu complexe à gérer pour moi, j'ai finalement besoin de deux choses : avoir une certaine tranquillité, tout en étant écoutée et aidée par une personne qui me connait parfaitement et qui peux totalement comprendre ma situation. Une seule personne au monde est en capacité de répondre à cela, mon père. C'est la seule personne que je vais et que je veux voir pendant deux jours, les deux jours du week-end qui sépare le Qatar de la tournée nord-américaine.
Je ne sais pas si ce week-end va transpirer la joie, mon père ayant aussi connu meilleure période. Tout semblait si bien aller avec Tyrrell, puis patatras. La vraie déception, ceux qui se font descendre par les médias, ce sont bien eux. Il y a aussi Ferrari qui n'est pas sous son meilleur jour malgré le podium de Verstappen au Qatar, mais aucun équipe ne connait une chute aussi violente que Tyrrell. Il y a pourtant ce point en Afrique du Sud qui pourrait être un signe positif, sauf que mon père n'est pas dupe, c'est un véritable trompe-l'œil, un petit miracle grâce à un excellent moteur Ford et à des faits de course. L'Australie et surtout le Qatar montrent la situation complexe à laquelle fait face Tyrrell, et c'est peu de dire que c'est une surprise de les retrouver là. Sans à-coups, avec une gestion sportive et financière saine, Tyrrell faisait son petit bonhomme de chemin doucement, mais commençait sérieusement à toquer à la porte de l'élite. 234 points, 1 victoire et 5 podiums en 2029, c'est du sérieux. Tout cela s'est envolé et, même s'il reste encore 17 courses et du développement à faire sur la voiture, c'est déjà trop tard pour ambitionner une saison du même acabit. La régression est inéluctable et potentiellement violente. Mon père ne s'y attendait pas, ses pilotes et toute l'équipe non plus, comment vont-ils réagir et agir pour ne pas gâcher complètement des années de travail ? Mon père est dans le dur, mais ultra motivé pour remonter la pente, il ne lâchera pas tant que l'équipe est prête à lui faire confiance. Car là aussi se situe le problème, trop souvent on cherche un coupable en situation de crise et il se retrouve pointé du doigt par certains, notamment par quelques investisseurs du consortium qui a relancé l'équipe en 2024 et qui l'avait mis à la tête de la gestion sportive.

L'ambiance est lourde et cela rend nos retrouvailles père-fille un peu complexes. On a envisagé de faire le voyage très tôt aux Etats-Unis pour s'offrir trois jours complètement off dans l'immensité de l'Ouest américain (Californie-Arizona-Nevada-Utah), sauf qu'on s'est chacun pris un stop. Du côté de mon père, ce n'est déjà pas bien vu qu'il ne reste pas sur Ockham en permanence, il fallait donc qu'il reste en Europe, prêt à se déplacer rapidement au Royaume-Uni si besoin. Pour ma part, je suis réquisitionnée à Banbury lundi et mardi matin avant de partir pour Austin. Au-delà de nos obligations professionnelles, certains n'apprécient pas que quelqu'un de chez Tyrrell côtoie de manière aussi proche quelqu'un de chez Ukkonen, et inversement. Mais vous me faites bien rire, c'est mon père, on a encore le droit de se voir en privé...
Heureusement, on est tout de même dans un monde plutôt civilisé, où l'on a encore le droit de côtoyer qui l'on veut en dehors de nos heures de travail et de nos obligations envers nos employeurs. Pour pallier à cette obligation de proximité - autrement dit, l'obligation de rester en Europe - on a donc décidé d'opter pour deux jours relativement proche de chez nous, dans un petit chalet tranquille à proximité de Gérardmer. Les téléphones restent toujours proches, impossible de faire autrement, mais on y touchera seulement en cas d'appel.

La montagne ça a toujours été mon truc, et même si ce n'est ni le massif le plus haut ni le plus beau, le massif des Vosges a forcément une place particulière dans mon cœur, puisque c'est celui à côté duquel j'ai grandi. Je n'aurai pas la prétention de dire que je le connais par cœur, mais les hauts lieux, Grand et Petit Ballon, Ballon d'Alsace, Markstein, Collet du Linge, Planche des Belles Filles, Champ du feu, tout ça je connais. Gérardmer par contre je connais moins, ça a le défaut d'être en Lorraine - Elsass über alles - mais je dois dire que c'est une ville charmante, surtout vu d'en haut depuis notre chalet en périphérie, avec une belle vue sur le lac. Son surnom, "Perle des Vosges", n'est pas galvaudé.
Mais ce qui nous intéresse plus que la ville, c'est la tranquillité de notre chalet et notre proximité avec la nature. En temps normal, j'essaye de limiter ma pratique du vélo à la route pour éviter le potentiel très casse-cou du VTT. Mon père, lui, évite le plus d'activités très physiques, question de santé en raison de l'arythmie cardiaque qui a stoppé sa carrière. Mais celle ci est très bien traitée depuis des années et c'est aussi ça qui lui permet de continuer à voyager dans le monde entier et de tenir un poste si stressant et prenant. Alors ce week-end on emmerde les précautions et on monte sur le VTT.

Je vous arrête tout de suite, avant que vous n'imaginiez tout un scénario à forte dramaturgie, pas de chute qui me met en situation délicate face à mon équipe, pas de problème pour la santé de mon père, rien de tout ça, juste de l'amusement, de la complicité et de la joie de vivre retrouvée. Lors de nos pauses entre montées et descentes, pas un mot, juste des regards qui déclenchent de grands sourires.
Les paroles viennent plus tard, dans la soirée. Pour parler de quoi ? De mes problèmes ? Des siens ? Ni l'un ni l'autre, du moins pas directement. On parle de F1 et de sports auto, il est vrai, mais on parle du passé. Nostalgie ? Oui, si l'on considère cela positivement. Pas question de "C'était mieux avant...", juste un travail de mémoire, car le passé ne doit pas être oublié. Le passé de pilote de mon père notamment. J'en parle pas si souvent et on a presque tendance à l'oublier, mon père est champion du monde de Formule 1. Champion du monde. Ce n'est pas n'importe qui, j'ai tellement de chance de l'avoir et je dois grandement en profiter sportivement, même s'il est chez "l'ennemi" et que ça ne plait pas à tout le monde. Mais résumer mon père à sa carrière de pilote serait une abomination de ma part, il est bien plus que ça. Pour rester encore sur le professionnel, il a tant d'expérience dans la gestion sportive, il est respecté, il a apporté énormément partout où il est passé, et ça se répercute forcément sur moi. Il a encore beaucoup à m'apprendre, alors qu'il m'a déjà tant appris.
Car en cette soirée est aussi évoqué mon passé, forcément lié au sien. Avant que je ne confie ma carrière à Aurélien, c'est lui qui s'est occupé de tout. C'est lui qui m'a logiquement initié au karting, c'est lui qui m'a tout appris en techniques de pilotage, c'est lui qui m'a amené partout en France et en Europe, c'est lui qui s'occupait d'entretenir mes karts, c'est lui qui m'a le plus encouragé et soutenu en toute situation, c'est lui qui a fait construire tout un complexe de karting de haute qualité pour notre région mais aussi pour moi, et surtout c'est lui aussi qui ne m'a jamais forcé à quoi que ce soit et qui aurait tout arrêté sans broncher si je ne voulais plus de cette vie là. Pendant 5 ans il est totalement sorti du monde de la F1, pour se concentrer sur ma carrière et sur sa famille car, rassurez-vous, Anthony et Julia n'ont jamais été oublié. Je n'ai jamais été en conflit avec mon père, je ne crois pas avoir eu de vrais paroles blessantes à son égard un jour - même s'il y a eu quelques excès de colère parfois, mais où je m'en voulais quasi instantanément - j'ai vraiment toujours eu une relation géniale avec lui, celle dont beaucoup de pères et de filles peuvent rêver. Il y a juste un léger manque, rien de grave, juste des mots qui ne sortent jamais de ma bouche, mais qui peuvent valoir de l'or pour un parent. Tout se bouscule dans ma tête et quand, après un énième souvenir évoqué, mon père me dit "Je suis si fier de ton parcours ma grande", je craque, je fonds en larmes, le prends dans mes bras et lui répond "Merci pour tout ce que tu as fait pour moi. Je t'aime papa"

Bon, j'ai un message concernant l'avenir de la story, ce n'est pas totalement négatif sans être positif pour autant.

J'ai repris l'écriture il y a environ 3 semaines, après près de 3 mois de pause. Ça se passe plutôt bien, je prends globalement du plaisir à écrire et la qualité me semble pas mal, même si je ne suis pas pleinement satisfait par tous les épisodes écrits jusqu'ici. Par contre, ce qui pose toujours un grand problème, c'est mon rythme d'écriture. J'avais espoir d'écrire 4 à 5 épisodes par semaine jusqu'à la fin de l'été, mais je n'y arrive pas. Enfin en réalité je pourrais le faire, mais la qualité en pâtirait et j'en aurais vite marre. Alors à quoi bon me dégoûter ? Ça ne ferrait que provoquer un nouvel arrêt prolongé, voire définitif.

Pour vous donner quelques chiffres, j'ai écris 10 épisodes depuis le mercredi 13 mai, un chiffre plutôt honorable sans être extraordinaire. Par contre ce qu'il faut savoir, c'est que j'ai démarré à fond avec 5 épisodes en 5 jours, avant d'écrire 5 épisodes en 2 semaines et je n'ai d'ailleurs pas écrit depuis samedi. Dans l'absolu c'est pas dramatique, c'est largement mieux pour moi et pour la qualité de la story que j'écrive que quand j'en ai vraiment envie, et ces derniers jours j'ai préféré faire d'autres choses. Mais le temps n'est pas illimité et c'est bien là le problème.
Je vais encore me répéter, dès septembre je vais être en alternance pour ma dernière année d'études. Année ultra chargé où l'écriture est plus qu'incertaine, si bien que je préfère considérer que je serai pas en capacité d'écrire pendant 1 an. Et après ça, difficile de savoir si je pourrais reprendre, c'est bien pour ça que je vous avez déjà dit que je préférais considérer que ces mois de vacances seraient les derniers où je pourrais écrire.
Malheureusement, comme je viens de l'exposer avant, je ne tiens pas un gros rythme. En plus de cela, mon alternance va très probablement se faire autre part qu'à Strasbourg, ce qui implique une recherche d'appart et un déménagement d'ici la fin de l'été. Mon objectif initial d'écrire jusqu'à fin 2031 pour finir la story est totalement irréalisable. J'ai donc décidé de changer mes plans et d'écrire uniquement jusqu'à la fin de la saison 2030 cet été. L'objectif est raisonnable et évitera de me foutre sous pression, même si ça ne se fera pas tout seul et que j'en ai encore pour 20 à 30 épisodes à écrire.

La suite étant extrêmement floue, il est donc possible que la fin de la saison 2030 marque la fin de la story, tout comme il est possible que j'arrive malgré tout dans le futur, à un très petit rythme, à aller jusqu'à fin 2031.
Finir en 2030 me pose deux soucis majeur. Le premier étant l'impossibilité d'exploiter réellement vos pilotes et personnages, ce n'est pas dramatique mais ça serait une déception. Le deuxième problème est que j'ai les éléments pour faire une bonne fin de saison en 2030, pas une bonne fin de story.

Pour résumer plus simplement, la story ira au moins jusqu'à fin 2030, j'y tiens absolument. Elle pourrait aller jusqu'à fin 2031, mais c'est plus qu'incertain

Ça fait mal de le dire mais ce n'est que pure vérité, Marco occupe toujours une place en moi... trop grande...

Phrase rajoutée récemment pour entretenir le fantasme de Monarch ?

Bon sinon j'ai trouvé que l'épisode était mieux que teasé, même si j'ai évidemment frissonné de gêne devant la conclusion (que je voyais venir sur les quelques lignes précédentes)
Ca fait du bien d'enfin parler de gens qui ont réussi en F1 dans cette story

La suite étant extrêmement floue, il est donc possible que la fin de la saison 2030 marque la fin de la story, tout comme il est possible que j'arrive malgré tout dans le futur, à un très petit rythme, à aller jusqu'à fin 2031.

Finir en 2030 me pose deux soucis majeur. Le premier étant l'impossibilité d'exploiter réellement vos pilotes et personnages, ce n'est pas dramatique mais ça serait une déception. Le deuxième problème est que j'ai les éléments pour faire une bonne fin de saison en 2030, pas une bonne fin de story.

Pour résumer plus simplement, la story ira au moins jusqu'à fin 2030, j'y tiens absolument. Elle pourrait aller jusqu'à fin 2031, mais c'est plus qu'incertain

ALLEZ MOUF, T'ES GRAND ! T'ES TRÈS GRAND !

Le 02 juin 2020 à 21:36:38 Haryanto a écrit :

Ça fait mal de le dire mais ce n'est que pure vérité, Marco occupe toujours une place en moi... trop grande...

Phrase rajoutée récemment pour entretenir le fantasme de Monarch ?

Non

Ca fait du bien d'enfin parler de gens qui ont réussi en F1 dans cette story

Si j'avais pu combiner la qualité globale d'écriture de cette story avec l'histoire de Nico Busy, ça aurait pu être quelque chose de grand

La suite étant extrêmement floue, il est donc possible que la fin de la saison 2030 marque la fin de la story, tout comme il est possible que j'arrive malgré tout dans le futur, à un très petit rythme, à aller jusqu'à fin 2031.

Finir en 2030 me pose deux soucis majeur. Le premier étant l'impossibilité d'exploiter réellement vos pilotes et personnages, ce n'est pas dramatique mais ça serait une déception. Le deuxième problème est que j'ai les éléments pour faire une bonne fin de saison en 2030, pas une bonne fin de story.

Pour résumer plus simplement, la story ira au moins jusqu'à fin 2030, j'y tiens absolument. Elle pourrait aller jusqu'à fin 2031, mais c'est plus qu'incertain

ALLEZ MOUF, T'ES GRAND ! T'ES TRÈS GRAND !

Je suis retombé sur la vidéo aujourd'hui, j'étais partagé entre l'excitation de revivre ce grand moment de l'histoire du Tour et la tristesse en me rappelant comment ça se termine

Gérardmer ptin rien qu'au nom j'étais mdr

Nico Busy chez Tyrell il commencerait pas à nous faire un peu une Isiah Thomas aux Knicks ? Très bon athlète, mais gestion pas ouf

Le 03 juin 2020 à 09:42:37 [-Monarch-] a écrit :

Nico Busy chez Tyrell il commencerait pas à nous faire un peu une Isiah Thomas aux Knicks ? Très bon athlète, mais gestion pas ouf

Isiah aux Knicks y'avait rien de bon, respecte un peu Nico wsh
(PS : T'as de la chance qu'Arnalo lise pas cette fic sinon tu prenais une turbo DDB)

Tyrrell et Nico Busy depuis le retour de l'équipe en 2024 :
- 6 saisons où la progression est linéaire
- 1 saison où ça se passe mal

NICO SURCOTE !!!

Et force à toi, tu peux aller jusqu'au bout !

Le 03 juin 2020 à 23:07:41 Midnight_Driver a écrit :

Alors oui, à la fin de l'épisode Lucie était comme Michael Jordan sur ce meme Pour le reste par contre, je me demande s'ils ont des points communs

Et force à toi, tu peux aller jusqu'au bout !

Je vais faire mon max

Début de la petite tournée nord-américaine aujourd'hui avec l'arrivée aux Etats-Unis et les qualifs à Austin. Rendez-vous entre 17h et 19h

Mouf quand il se rend compte qu'il est 19h21 et qu'il a toujours pas posté l'épisode
https://www.youtube.com/watch?v=bmSyX7v-n-A

Comme il y a deux semaines, je vous propose aujourd'hui un fond musical que vous pouvez mettre pendant la lecture, même si la playlist est bien plus longue que l'épisode Je ne suis pas un grand fan de rap, mais il y a un rappeur américain qui me fait bien kiffer ces dernières années et qui de plus est texan. Je ne suis pas un énorme fan non plus et je ne connais pas toute sa discographie, mais j'ai 7 de ses sons dans ma playlist et je vous les propose aujourd'hui
https://www.youtube.com/watch?v=IumYMCllMsM&list=PLBCUi5yltsvYj0HmNKFHArP5CMc-MD0Ar&index=2&t=0s
(le meilleur son c'est le deuxième de la playlist, ya 0 débat, je veux rien entendre)

Saison 4 : https://docs.google.com/document/d/1uxSO3g9oi3w-qYmswvZkE18emWs8KVrzEwBX3VO9OyM/edit

Saison 4 - Episode 16 (N°118) : This is America

Jeudi 25 Avril 2030
Austin

Cette tournée nord-américaine arrive vraiment au bon moment et a de quoi susciter mon enthousiasme. On va enchaîner deux pistes que j'apprécie beaucoup, du moins cela reste théorique, puisque c'est évidemment la première fois que je vais piloter à Austin et à Montréal en conditions réelles et cela change forcément beaucoup de choses. Mais au-delà de cet aspect nouveauté, j'ai un bien meilleur feeling avec ces deux environnements, depuis mon enfance j'ai toujours rêvé de piloter sur ces pistes et d'être sur ces lieux, chose qui n'est pas vrai pour le Qatar par exemple.
Débarquer sur le sol nord-américain n'est pas une nouveauté, mais presque. Avec Julia, Anthony et ma mère, on avait suivi mon père ici en 2021 quand il bossait chez Toro Rosso, et j'avais beaucoup aimé. Ensuite je n'y ai plus mis un pied pendant 7 ans, jusqu'au meeting de Formule E de Brooklyn en 2028, un bon souvenir avec mon meilleur résultat dans la discipline et la découverte de la ville de New-York. Le feeling est donc bon et j'espère qu'il le restera. Cela dépendra des résultats, mais aussi d'éléments extérieurs, et autant dire que les promoteurs du grand-prix mettent le paquet.

Après une journée du jeudi relativement classique, avec des briefings, le track walk, les médias et quelques petites pauses dans les hospitalités, tous les pilotes et team principal sont invités à Austin, au Darrell K. Royal-Texas Memorial Stadium - le stade des Texas Longhorn Athletics - pour une présentation face à des milliers des fans. Pour les connaisseurs, on peut facilement comparer ça à la présentation des équipes du Tour de France. Une grande scène a été installé d'un côté du terrain, et les fans se sont amassés sur le terrain et dans les tribunes proches de la scène. Ils sont apparemment plus de 20 000, c'est juste impressionnant. Un groupe de breakdance lance la soirée et met déjà le feu. S'en suit un montage vidéo, assez classique comme on peut retrouver sur Youtube, qui compile des moments marquants d'anciennes éditions du Grand Prix des Etats-Unis, avec beaucoup d'images d'Austin, mais pas uniquement. A la fin de la vidéo, des applaudissements émanent de la foule, avant un petit silence... puis une forte acclamation. Alexander Rossi, champion Indycar en 2021 et vainqueur de l'Indy 500 en 2018, vient de faire son apparition sur la scène, et autant dire qu'il est très apprécié aux Etats-Unis. C'est lui qui va animer la présentation des pilotes. Tout ce lancement, on l'a suivi sur la chaîne Youtube officielle de la F1, depuis l'intérieur du stade, dans la salle habituellement réservée aux conférences de presse. Pourquoi ? Parce que les organisateurs ont vu les choses en grands. Chaque équipe - à savoir les deux pilotes et le team principal - vont venir chacun leur tour sur la scène. La foule a été séparé en deux compartiments pour former un chemin vers la scène, chemin que l'on emprunte donc au milieu des fans. Je trouve l'idée juste géniale !
Les équipes sont appelées dans l'ordre inverse du classement constructeurs, ce qui nous fait passer en 5ème. Malgré la proximité avec la foule, une horde de garde du corps nous entourent et nous pouvons saluer les fans seulement à distance - assez réduite toute de même - ce qui est un peu dommage pour les enfants qui adorent pouvoir taper dans les mains de leurs idoles. Sur scène, après une brève présentation de l'équipe et des deux pilotes, puis le passage de Mika, Alexander Rossi m'invite à m'avancer. Je reçois une ovation bien plus puissante que ce que j'attendais, et plus forte que ce que Facundo aura ensuite, sans que je ne sache pas trop pourquoi, mais c'est ainsi. Je salue Alexander, que je n'avais jamais rencontré, mais qui m'a l'air très sympathique et qui surtout anime très bien la présentation. C'est alors parti pour quelques questions, je suis devant des milliers de personnes et des millions de fans suivent potentiellement la présentation sur les réseaux sociaux ou la télévision, il y a quoi être stressée avant de prendre la parole, mais je suis anormalement détendue.

Alexander : Lucie, c'est ta première saison en F1 et donc ton premier grand-prix des Etats-Unis. Comment te sens-tu à l'approche de ce grand-prix ? Et quel est ton ressenti sur le tracé d'Austin ?
Lucie : Je me sens plutôt bien ici, bien plus qu'au Qatar où j'ai vécu un des pires week-end de ma carrière. Mais depuis que je suis ici, je me sens plus légère et l'ambiance est juste excellente.
(acclamations de la foule)
Pour ce qui est de du COTA, je suis très pressée d'y piloter. Je connais très bien le tracé, mais c'est la première fois que je viens ici. C'est toujours particulier de découvrir enfin une piste dans les conditions réelles et j'ai vraiment une grosse attente sur ce tracé d'Austin. Mes premiers souvenirs de F1 remontent à 2011 et Austin est arrivé l'année suivante. J'ai grandi en même temps que ce tracé s'est construit sa propre légende, avec des courses sympas. J'espère participer dimanche à une course mémorable pour ce circuit, ça serait cool pour tout le monde.

Alexander : Les fans américains apprécient la F1, mais ils aiment encore plus nos disciplines. Que penses-tu de la course automobile aux Etats-Unis ?
Lucie : C'est tout autre chose, une toute autre ambiance, une toute autre philosophie. C'est vrai que je suis européenne et que je participe à un championnat historiquement européen, mais j'aime vraiment ce qui se dégage ici, sincèrement. J'ai couru une seule fois au Etats-Unis dans ma carrière, c'était à Brooklyn en Formule E, il y a deux ans. J'ai vraiment beaucoup aimé l'ambiance et j'espère revenir souvent ici, d'abord en F1, peut-être dans d'autres disciplines plus tard.
Alexander : On pourrait donc te voir courir dans un championnat américain à l'avenir ?
Lucie : Pourquoi pas ? L'Indycar, par exemple, a beaucoup gagné en notoriété en France quand j'étais petite, grâce à Sébastien Bourdais et Simon Pagenaud qui m'ont fait suivre et aimer ce championnat, en complément de la Formule 1. La Nascar par contre, je ne m'y vois clairement pas, je connais beaucoup moins et je pense que ce n'est pas fait pour moi. Au delà des disciplines, c'est surtout les circuits américains que je trouve mythiques.
Alexander : Ah oui ? Et sur lesquels d'entre eux tu aimerais piloter ?
Lucie : Sur beaucoup. Mais avant tout, c'est Sonoma. Pas le plus mythique, mais j'adore vraiment ce tracé vallonnée et j'aime bien le cadre autour, c'est sympa. Sinon il y a Laguna Seca, Sebring, Road America et bien sûr Indianapolis, en circuit et en oval !

Alexander : Tu n'es pas encore venue très souvent aux Etats-Unis, mais qu'est-ce que tu aimes dans ce pays ? Ou ce que tu n'aimes pas, c'est possible aussi.
Lucie : Je peux vraiment dire du mal de votre pays devant une si belle foule de passionnés ? Ça serait vraiment malpoli !
(rires)
Je commence quand même par un peu de négatif, tout est très démesuré ici et c'est parfois un peu déroutant pour moi, j'aime les choses simples et la tranquillité. Mais derrière tout ça il y a une diversité et une population intéressante, avec notamment tous ces passionnés que je vois ici devant moi, c'est vraiment un super public qui sait mettre l'ambiance.
(acclamations de la foule)
Il y a vraiment une ambiance sportive que j'aime beaucoup, notamment sur les ligues nord-américaines. Ces ligues, c'est une culture totalement différente à celle qu'on voit en Europe, j'aime notamment beaucoup ces principes de draft, de salary cap, de redistribution des cartes permanentes.
Alexander : Et quel sport apprécies-tu particulièrement ?
Lucie : Désolé pour les éventuels fans de NFL présents dans un stade qui est utilisé pour ça, mais je ne suis pas très fan de ce sport. Par contre j'aime bien le Hockey, je regarde des matchs de NHL parfois, mais mes connaissances restent limitées. Par contre le Basket et la NBA c'est autre chose, je suis vraiment passionnée et j'essaye de suivre le plus possible.
Alexander : Quelle est ton équipe préférée ?
Lucie : Les Portland Trail Blazers, je les ai découvert vers mes 10 ans avec le duo Lillard-McCollum que j'ai aimé instantanément. Et en tant que française, je suis très contente que Théo Maledon soit un joueur clé de l'équipe actuelle.
Alexander : Et ton joueur préféré ?
Lucie : Markelle Fultz. J'aime aussi beaucoup Luka Doncic, Matisse Thybule, Jayson Tatum et bien sûr Sekou Doumbouya.

Alexander : Une dernière question pour finir. Tu viens juste de débarquer en F1, après avoir fini 3ème de F2. Tu connais bien ce championnat, où pas moins de 3 rookies américains ont débarqué cette année. Que penses-tu d'eux et de ce renouveau des Etats-Unis proche de la F1 ?
Lucie : Même si le rêve de beaucoup d'américains est de briller ici, c'est intéressant d'en voir aussi vouloir briller en F1, tout comme l'inverse doit exister avec des européens en Indycar. En ce qui concerne Isaiah Burke, Scott Tomlinson et David Austin, je ne les connais pas très bien. Le championnat de F2 vient tout juste de commencer au Qatar et il est trop tôt pour tirer des conclusions. Malgré tout j'ai la sensation qu'ils ont déjà montré de bonnes choses et qu'ils ne sont pas là pour faire de la figuration. Il faudra faire attention à eux.

Alexander : Merci Lucie et bonne chance pour la course.
Lucie : Merci.

Après le passage de Facundo, on repart de la scène en faisant le chemin inverse. C'est l'occasion de signer des autographes pour quelques chanceux, car les gardes du corps nous demandent de rapidement revenir dans la salle qui nous est réservée, afin de pouvoir passer aux autres équipes. Pendant le reste de la présentation, que je suis toujours un minimum évidemment, je profite qu'on soit un peu tous réunis pour parler aux collègues - ou adversaires, c'est selon - en particulier Tom quand il est présent et aussi Reece Coveney, que je n'ai pas tant recroisé que ça depuis nos années communes de F2.
Suite à cette longue présentation, qui aura duré plus d'une heure, ce n'est pas fini pour le public qui a le droit à un concert de Machine Gun Kelly, qui évolue à domicile et à l'extérieur à la fois, car texan mais de Houston. Je suis ravie quand il vient nous voir quelques minutes avant de monter sur scène, c'est un artiste que j'adore depuis une dizaine d'années et je suis extrêmement contente d'avoir pu lui serrer la main, prendre une photo avec lui et lui glisser quelques mots. J'aurais bien aimé assister à son concert, mais pour nous pas question de s'éterniser ici alors que les choses sérieuses commencent demain.

Samedi 27 Avril 2030
Austin, Circuit of the Americas
https://fr.wikipedia.org/wiki/Circuit_des_Am%C3%A9riques

Si un bon feeling avec les lieux ne suffit pas à apporter les bonnes performances, les deux coïncident en ce début de week-end. Après une 9ème place à la séance d'hier - oui 9ème vous avez bien lu - j'ai enchaîné avec une intéressante 13ème place ce matin. Clairement, j'aborde les qualifications avec une énorme confiance, ainsi qu'avec un moral et un mental gonflé à bloc. Dire que la Q1 est une formalité serait un peu exagéré, mais j'assure la qualification sans trembler avec le 10ème temps, deux rangs devant Facundo. La Q3 est envisageable. Si les McLaren et les Verizon sont inatteignables et que les Ferrari affichent une meilleure forme que sur d'autres circuits, les autres ne semblent pas du tout imbattables sur un tour. Confiante comme je suis, je me convainc que je vais le faire et mon 1er tour est vraiment splendide. 8ème, c'est excellent, mais tout se jouera sur la fin. D'autres améliorent, pas moi malheureusement, ce ne sera "que" la 12ème place finalement. Verdict un peu décevant tant j'y croyais, mais relativement positif quand j'analyse à froid. Je suis battu par Facundo pour la 4ème fois en qualifs en autant de tentatives, sauf que j'ai l'impression que c'est presque anecdotique vu nos 12 millièmes d'écarts. Il est vrai que si ça lui avait permis d'accrocher la Q3, je l'aurais eu amer, mais ce n'est pas le cas ici, la 6ème ligne sera 100% Ukkonen demain. Pas présents dans le top 10 au moment du départ, on se trouve juste en embuscade, prêts à sauter sur n'importe quelle opportunité.

Grille de départ - Etats-Unis 2030

1. Lando Norris (McLaren)
------------ 2. Juho Manninen (McLaren)
3. Thomas Nuyts (Verizon)
------------ 4. Marco Festucci (Verizon)
5. Max Verstappen (Ferrari)
------------ 6. Jonas Lindemann (Red Bull)
7. Andreas Wikberg (Audi)
------------ 8. Charles Leclerc (Ferrari)
9. Fabio Angioni (Magnati)
------------ 10. Pierre Gasly (Red Bull)
11. Facundo Sequeira (Ukkonen)
------------ 12. Lucie Busy (Ukkonen)
13. Tom Ritter (Audi)
------------ 14. Maximilian Stocker (Toro Rosso)
15. Giovanni Scolaro (Magnati)
------------ 16. George Russell (Tyrrell)
17. Nuno Varela (Toro Rosso)
------------ 18. Luca Lanzinger (Tyrrell)
19. Fabian Kreis (Ad Dawhah)
------------- 20. Esteban Ocon (Renault)
21. Saeed Al-Enezi (Ad Dawhah)
------------ 22. Reece Coveney (Renault)

Le 06 juin 2020 à 19:46:29 DorotheaWierer a écrit :
Comme il y a deux semaines, je vous propose aujourd'hui un fond musical que vous pouvez mettre pendant la lecture, même si la playlist est bien plus longue que l'épisode Je ne suis pas un grand fan de rap, mais il y a un rappeur américain qui me fait bien kiffer ces dernières années et qui de plus est texan. Je ne suis pas un énorme fan non plus et je ne connais pas toute sa discographie, mais j'ai 7 de ses sons dans ma playlist et je vous les propose aujourd'hui
https://www.youtube.com/watch?v=IumYMCllMsM&list=PLBCUi5yltsvYj0HmNKFHArP5CMc-MD0Ar&index=2&t=0s
(le meilleur son c'est le deuxième de la playlist, ya 0 débat, je veux rien entendre)

Ca commence mal, j'en place déjà deux au-dessus

Le 06 juin 2020 à 20:49:22 Haryanto a écrit :

Le 06 juin 2020 à 19:46:29 DorotheaWierer a écrit :
Comme il y a deux semaines, je vous propose aujourd'hui un fond musical que vous pouvez mettre pendant la lecture, même si la playlist est bien plus longue que l'épisode Je ne suis pas un grand fan de rap, mais il y a un rappeur américain qui me fait bien kiffer ces dernières années et qui de plus est texan. Je ne suis pas un énorme fan non plus et je ne connais pas toute sa discographie, mais j'ai 7 de ses sons dans ma playlist et je vous les propose aujourd'hui
https://www.youtube.com/watch?v=IumYMCllMsM&list=PLBCUi5yltsvYj0HmNKFHArP5CMc-MD0Ar&index=2&t=0s
(le meilleur son c'est le deuxième de la playlist, ya 0 débat, je veux rien entendre)

Ca commence mal, j'en place déjà deux au-dessus

A Little More et Home je suppose

Le 06 juin 2020 à 21:00:47 DorotheaWierer a écrit :

Le 06 juin 2020 à 20:49:22 Haryanto a écrit :

Le 06 juin 2020 à 19:46:29 DorotheaWierer a écrit :
Comme il y a deux semaines, je vous propose aujourd'hui un fond musical que vous pouvez mettre pendant la lecture, même si la playlist est bien plus longue que l'épisode Je ne suis pas un grand fan de rap, mais il y a un rappeur américain qui me fait bien kiffer ces dernières années et qui de plus est texan. Je ne suis pas un énorme fan non plus et je ne connais pas toute sa discographie, mais j'ai 7 de ses sons dans ma playlist et je vous les propose aujourd'hui
https://www.youtube.com/watch?v=IumYMCllMsM&list=PLBCUi5yltsvYj0HmNKFHArP5CMc-MD0Ar&index=2&t=0s
(le meilleur son c'est le deuxième de la playlist, ya 0 débat, je veux rien entendre)

Ca commence mal, j'en place déjà deux au-dessus

A Little More et Home je suppose

A Little More et Bad Things
(Bon allez je vais lire l'épisode pour de vrai maintenant )

Nouvelle page