Pour cet épisode, j'ai créé une mini-playlist de 2 sons que vous pouvez écouter pendant la lecture de l'épisode. Contrairement à ce que fait Nolan le statisticien, ce fond musical n'a pas été choisi et calibré de manière à ce qu'il colle parfaitement avec l'ambiance de l'épisode et il ne fait même pas référence au titre. Ces 2 sons sont justes cités à un moment dans l'épisode et si vous aimez bien lire tout en ayant un fond musical, comme c'est mon cas, je vous propose tout simplement d'écouter ces 2 sons que j'adore et qui font partie de l'élite de ma playlist.
https://www.youtube.com/watch?v=tk36ovCMsU8&list=PLBCUi5yltsvbuiUjgZp4hjWUI4Sto_YPq&index=2&t=0s

Si vous vous en battez les couilles, bah lisez l'épisode normalement

Saison 4 : https://docs.google.com/document/d/1uxSO3g9oi3w-qYmswvZkE18emWs8KVrzEwBX3VO9OyM/edit

Saison 4 - Episode 12 (N°114) : La lutte de l'ombre

Dimanche 31 Mars 2030
Johannesbourg, Circuit du Kyalami
https://fr.wikipedia.org/wiki/Circuit_du_Kyalami#/media/Fichier:Kyalami_16.png

Le deuxième est le premier d'une longue série. Je n'irai pas jusqu'à dire que je suis désormais rodée aux joutes de la F1, loin de là, mais il est vrai que je commence déjà à retomber dans une certaine forme de normalité. Attention, cela n'a rien de négatif, c'est plutôt positif au contraire. Là où je veux en venir, c'est qu'à Melbourne c'était la première de la saison, ce qui rend toujours les choses un peu électriques pour tous, mais c'était surtout une première pour moi après tant d'années à courir - ou plutôt piloter - derrière ce rêve de F1. J'étais surexcitée, et j'avais un petit peu conscience du fait que c'est une course tellement particulière dans une carrière, que je m'en souviendrais toute ma vie. D'un certain point de vue, c'est que du positif et c'est un concentré d'émotions qu'on rêve souvent d'atteindre, mais qu'on touche que très peu du doigt au final. Cependant, d'un point de vue purement pragmatique, ce n'était pas forcément un mélange létal. Maintenant que l'on retombe petit à petit dans la normalité, je vais pouvoir être plus à même de faire toutes les choses dans le bon sens.

Deuxième course et donc deuxième parade des pilotes. Si je ne manque pas de saluer un public, venu nombreux, et de prendre quelques photos, je suis plus calme qu'à Melbourne et je prends le temps de parler avec Maximilian. Si je suis dans un mood plutôt positif, on ne peut pas en dire autant de lui. Chez Toro Rosso tout est cauchemardesque ce week-end, avec de nombreux problèmes durant les essais, une monoplace absolument pas compétitive quand elle daigne enchaîner les tours sans soucis mécaniques, et un moteur Honda plutôt en difficulté pour couronner le tout. Résultat, Maximilian sort de la pire qualification de sa carrière, la première hors du top 20 avec cette 21ème place. Une seule satisfaction, il devance un Nuno Varela toujours en extrême difficulté en qualif, lui qui avait déjà connu un exercice 2029 très compliqué dans le domaine. Max prend de plus en plus le dessus sur son coéquipier, mais cela ne l'empêche pas d'être très frustré face à la situation, voyant notamment certains de ses adversaires directs bien devant, dont moi notamment, mais surtout Facundo. Une chose le maintient tout de même dans le positif, les membres de son équipe. Ce sont des bourreaux de travail, l'ambiance reste bonne et tout cela le motive à tout donner, même sur une course comme aujourd'hui.

Revenons à un plan plus personnel, la course approche et après ma préparation agitée et joyeuse de Melbourne, je m'inscris aujourd'hui dans une approche plus calme et fermée. J'abrège les petites interviews, je limite mes déplacements à l'essentiel et, malgré tout l'agitation d'une grille, je m'isole quelque minutes à l'ombre et avec ma musique. Mon casque audio peut-il être ma nouvelle arme d'avant-course pour performer ensuite ? Aussi bizarre que cela puisse paraître, alors que je suis une grande fan de musique, je n'ai jamais écouté de musique sur une grille de départ. Toutes les obligations m'empêchant de me constituer une playlist monumentale, je me suis limitée à deux sons : "Silence" de Marshmello et Khalid, puis "Miracle" de CHVRCHES. Ces sons datent des années 2010 et à vrai dire je suis très nostalgique de cette décennie qui a bercé mon enfance, même si j'adore ce qui se fait en ce moment. Pour en revenir aux sons, suis-je en train de chercher le silence et le calme au plus profond de moi pour réaliser le petit miracle de rentrer dans les points ? Non, enfin du moins pas consciemment. J'ai cliqué sur ces deux sons sans réfléchir au titre, juste parce que je les adore et qu'ils sont plutôt calmes et apaisants. C'est donc plutôt légère que je fais l'aller-retour pour l'hymne sud-africain "Nkosi Sikelel' iAfrika" - que je trouve très beau - puis que je revois une dernière fois le plan de course avec Julian. Le tracé est plutôt exigeant avec les pneus et c'est pourquoi on fait le choix de partir en pneus durs. L'idéal serait évidemment une stratégie dur-tendre-tendre pour une deuxième partie de course offensive, mais rien n'est moins sûr. Le choix des durs est en tout cas une invitation à la prudence et à la patience, afin d'avoir plus de choix et un certain avantage par la suite.

Aujourd'hui je pars devant un quadruple champion du monde, ce qui est très notable, mais ce qui a surtout le don de trop retenir mon attention. Malgré toute ma préparation calme et sereine, le stress me rattrape et mon départ est plutôt raté. L'impulsion est mauvaise et Charles me passe sans difficulté, avant que Lanzinger ne me grille aussi la politesse. Son coéquipier, George Russell, se retrouve lui un peu piégé dans le peloton et est obligé de sortir très large, ce qui lui fait perdre de nombreuses places. Résultat des courses, je suis désormais 14ème et tous les pilotes qui me devancent ont des pneus plus tendres. Ça va être long...
Malheureusement, je ne crois pas si bien dire. Si le désavantage pneumatique était évident sur le papier, il devient abyssal sur la piste. Après seulement 6 des 67 tours, je ne vois même plus Lanzinger, à aucun endroit de la piste. Alors même s'il est vrai que ce circuit ne possède pas de grandes lignes droites, le perdre de vue aussi vite est un petit coup de massue et, pour ne rien arranger, regarder dans les rétros a de quoi me faire peur. Une véritable meute s'est formée derrière moi, je mène un peloton de 7 monoplaces, où seuls Varela et Al-Enezi ne se sont pas invités. Tout cela fout me un coup au moral, d'autant plus quand Coveney trouve la faille, malgré une piste peu propice aux dépassements. Au bout d'une quinzaine de tours, rien ne va. Fabio Angioni a lui aussi fini par passer, je retiens toujours un gros peloton derrière moi, je ne me sens pas du tout à l'aise au volant et je ne comprends pas ce rythme si lent, si bien que j'essaye de chercher des explications autres que le facteur pneumatique.

Lucie : Vous pouvez vérifier qu'il n'y aucun problème sur la voiture ? Je ne peux pas être si lente qu'à cause des pneus.
Julian : On va tout vérifier.

[...]

Julian : Négatif Lucie.
Lucie : Comment ça ? Tout fonctionne sur cette voiture ? Vous êtes sûrs ?
Julian : Box box box
Lucie : Mais... je ne comprends pas, il y a un problème ? On doit abandonner ?
Julian : Oui il y a un problème et non on ne doit pas abandonner. Le problème c'est uniquement les pneus, c'est une catastrophe, ça ne fonctionne absolument pas.
Lucie : Mais on peut pas s'arrêter si tôt alors que c'est la gomme la plus dure...
Julian : Tu veux vraiment continuer dans cette galère ?
Lucie : Non
Julian : Alors fais-moi confiance. On passe les médiums, ça ne pourra pas être pire que les durs. Je pense même que tu devrais facilement reprendre un bon rythme. On passe sur le plan C. Plan C Lucie.

Le plan C, c'est durs-médiums-médiums et honnêtement on ne pensait pas en arriver là. 17 tours et les durs passent à la trappe. Il reste 50 tours et je dois désormais prier pour que les médiums soient un minimum performants et puissent tenir environ 25 tours, sinon ça sera trois arrêts et sûrement un résultat catastrophique. Mais même si ça marche, le résultat ne risque pas d'être glorieux, je suis désormais 21ème et cela sera à peine mieux quand tout le monde se sera arrêté. Tous les voyants sont au rouge et cette course ressemble vraiment à une débâcle quand je constate que même Maximilian est passé devant moi. Il était parti en pneus tendres et, s'arrêtant assez tôt, il vient tout simplement de réaliser un parfait undercut sur moi et probablement sur les autres pilotes que je retenais. Bonne pioche pour lui et c'est tant mieux, même si ça ne fait pas mes affaires.
Après être tombée aussi bas, je ne peux que remonter. Je gagne trois rangs après l'arrêt des Ad Dawhah et de Russell, mais je suis désormais derrière Scolaro. Preuve qu'absolument rien ne va dans cette course ? Pas vraiment. Alors que je trouvais petit à petit un bon rythme de course, une Virtual Safety Car est venue changer quelque peu la physionomie de course. Ocon a du stopper sa monoplace en bord de piste à cause d'un problème électronique. A ce moment-là un seul pilote ne s'était pas arrêté, Scolaro qui a visiblement mieux géré ses pneus durs que moi. Il en profite donc pour ressortir largement devant moi, je ne le reverrai pas avant l'arrivée.

Pour autant, le positif revient doucement. Suite au deuxième abandon de la course, celui de Lindemann, je me retrouve désormais 16ème, avec un rythme de course plutôt intéressant. La gomme dure était donc visiblement très compliquée à manier et plus personne ne la chaussera sur cette fin de course nerveuse tactiquement pour les petits points dans le top 10. Cette lutte ne me concerne malheureusement pas, mais ça ne m'empêche pas de prendre du plaisir et de faire le spectacle en fin de course. Celui-ci n'est pas télévisé - une lutte pour la 15ème place, ça n'intéresse pas grand monde - mais aura de quoi ravir le public. Après de longs tours constants sur une gomme médium qui répond bien, autant dans le 2ème que le 3ème relai, je me retrouve à la lutte avec Fabio Angioni pour les dix derniers tours.
Sans DRS et sans grande ligne droite, c'est vraiment le talent de pilote qui doit parler sur cette piste. Malgré tout, je pense qu'il existe 4 virages où il est possible de dépasser, les virages 7, 10, 13 et 16. Ma première tentative se fait donc à Ingwe, le dernier virage du circuit. Fabio ne s'attendait pas à ce que je plonge de manière agressive à l'intérieur et m'a donc laissé la porte totalement ouverte. Sauf que sa sortie de virage est bien meilleure et il me repasse sans mal dans la ligne droite des stands. A vrai dire ma tentative était ratée, j'ai freiné bien trop tard, ce qui a vraiment compromis ma sortie. Je pensais alors retenter ma chance au tour suivant, mais Fabio laisse moins de place et il aurait été suicidaire de se lancer dans un telle manœuvre.
Il va donc falloir trouver autre chose et c'est à Clubhouse, le virage 7, que je tente cette fois ci. Je me porte à sa hauteur et il est difficile de savoir qui va prendre le dessus. Tout en me laissant de la place à l'intérieur au virage 8, il garde finalement l'avantage avant de défendre l'intérieur à Leeukop, pensant que j'allais tenter le freinage. J'arrondis donc la trajectoire à l'extérieur et je suis clairement plus rapide dans la longue descente vers la courbe du virage 12. Je me porte à l'intérieur et pense prendre le dessus, mais Fabio est à l'intérieur à The Crocodiles, le virage 13, et conserve finalement sa place. La lutte étant intense et intervenant en fin de course, je suis à bout de souffle mais ne renonce pas, sentant vraiment que je peux passer. De toute manière, je n'ai rien à perdre.
Dans le tour qui suit, Fabio glisse quelque peu en sortie de virage 5 et a un clair déficit de vitesse. Je lui met la pression dès le virage 6, une longue courbe droite, avant de plonger à l'intérieur au virage 7. Cette fois je suis passée. Oui mais Fabio ne compte pas en rester là et il tente ce que je n'ai pas osé tenter auparavant, l'intérieur à Leeukop. Blocage de roues pour l'italien, je suis obligée d'écarter un peu la trajectoire pour éviter l'accrochage et ça passe pour lui. Sauf qu'on commence à connaître le schéma, ma trajectoire est meilleure, donc ma réaccélération aussi et je suis de nouveau en position offensive. Malgré le peu de place qu'il me laisse, je prends cette fois une trajectoire extérieure au virage 12, on est côté à côte et je m'impose à l'intérieur à The Crocodiles. Cette fois c'est terminée, il ne pourra rien, cette 15ème place est la mienne.

Jusqu'au bout ? Non. Coup de théâtre à deux tours de la fin, Juho Manninen est à l'arrêt dans la ligne droite des stands ! Énorme cri de détresse de sa part, alors qu'il se dirigeait tout droit vers une première victoire cette saison. La course se finit ainsi, puisque la Safety Car est de sortie jusqu'à la fin. Norris se voit donc offrir un succès sur un plateau et le podium est complété par deux personnes que je connais très bien, Marco et Tom. J'aurais notamment l'occasion de fêter plus tard avec Tom le deuxième podium de la carrière. En ce qui concerne Marco... c'est plus compliqué. Je suis contente pour lui, j'aimerais le féliciter de vive voix ou au moins par message, mais je reste pourtant sur du silence radio. Notre rupture définitive, si l'on peut ainsi dire, n'est pas encore totalement digérée de son côté, même s'il me laisse tranquille. Je ne veux donc donner aucun signe qui pourrait lui laisse croire que... alors qu'en fait non.

Course - Afrique du Sud 2030

1. Lando Norris (McLaren)
2. Marco Festucci (Verizon)
3. Tom Ritter (Audi)
4. Thomas Nuyts (Verizon)
5. Max Verstappen (Ferrari)
6. Andreas Wikberg (Audi)
7. Charles Leclerc (Ferrari)
8. Pierre Gasly (Red Bull)
9. Facundo Sequeira (Ukkonen)
10. Luca Lanzinger (Tyrrell)
...
14. Lucie Busy (Ukkonen)

Si j'évite Marco, je cherche rapidement Fabio après la course. Après ce genre de belles batailles, qui n'arrivent pas si souvent, j'aime bien retrouver mon adversaire pour le féliciter et débriefer un peu. Fabio n'a pas vraiment le sourire, mais me félicite tout de même et revient sur deux ou trois manœuvres. La discussion est calme et banale, jusqu'à ce que Giovanni ne passe dans le coin et ne le chambre. Sûrement plus raisonné que Marco dans une telle situation, Fabio ne bronche pas vocalement, mais lâche un regard noir à son coéquipier. Je préfère me retirer tranquillement en lui lâchant un "Belle bataille, à refaire dans le futur".

Un peu plus tard dans l'après-midi, on débriefe calmement la course avec l'équipe. Mika est forcément déçu de mon résultat final et n'hésite pas à émettre quelques critiques sur mon début de course poussif, où je me suis trop plainte des pneus - à juste titre tout de même - sans chercher de réelles solutions. Mais il a aimé le reste de ma course et grandement apprécié cette bagarre finale. Malgré tout, les louages sont surtout dirigées vers Facundo, 9ème de la course. Il n'y a rien à dire, il a fait un excellent travail ce week-end et il mérite ces deux points. Ce dernier tient tout de même à m'associer à cette belle perf, estimant que ma galère en pneus durs lui a évité de passer cette gomme, comme c'était prévu dans son plan A, et donc de perdre ce top 10. Tant mieux pour lui si ça lui fait plaisir de saluer mon aide indirecte, mais je n'étais en aucun cas une voiture test pour sa course et cette remarque est presque vexante pour moi. Ajoutons à cela le 8-0 qu'il m'inflige au classement et j'ai de quoi ressentir déjà une petite pression. A moi de rebondir désormais.

En vrai ça va, quand tu m'en as parlé en MP je m'attendais vraiment à un truc éclaté, là honnêtement je trouve ça globalement réaliste même si c'est pas 100% plausible
Issou par contre le Marco Champions Project va falloir se calmer

La musique je t'avouerai que ça m'a paru bizarre parce que j'ai pas l'habitude procéder comme ça, je préfère ma méthode (encore heureux vu le temps que ça me prend ) mais peut-être que si tu répètes l'expérience de temps à autres je m'habituerai

Putain mais Marco, cet homme en mission pour faire taire les détracteurs

Perso, je n'y connaît rien en terme de stratégie et la gestion des pneumatiques (je pourrais devenir stratégiste chez Ferrari, tiens ), donc pour ma part, ça ne m'a pas empêché d'apprécier l'épisode puisque c'était expliqué de manière assez crédible

Il est temps que Lucie se rapproche de la tête de peloton pour plus de bagarre

Le 23 mai 2020 à 23:39:57 Midnight_Driver a écrit :

Il est temps que Lucie se rapproche de la tête de peloton pour plus de bagarre

Non

Le 23 mai 2020 à 18:16:22 Haryanto a écrit :
En vrai ça va, quand tu m'en as parlé en MP je m'attendais vraiment à un truc éclaté, là honnêtement je trouve ça globalement réaliste même si c'est pas 100% plausible

J'ai un peu modifié le texte quand même pour que ça passe mieux, même si l'idée générale n'a pas changé

Issou par contre le Marco Champions Project va falloir se calmer
Putain mais Marco, cet homme en mission pour faire taire les détracteurs

Marco qui laisse pas indifférent et qui génère des réactions opposées, quel kiff

La musique je t'avouerai que ça m'a paru bizarre parce que j'ai pas l'habitude procéder comme ça, je préfère ma méthode (encore heureux vu le temps que ça me prend ) mais peut-être que si tu répètes l'expérience de temps à autres je m'habituerai

J'ai prochainement un épisode où je peux refaire le coup Mais après celui-là, je crois pas que j'en ai en stock

Le 24 mai 2020 à 00:12:56 Haryanto a écrit :

Le 23 mai 2020 à 23:39:57 Midnight_Driver a écrit :

Il est temps que Lucie se rapproche de la tête de peloton pour plus de bagarre

Non

- Un favori pour la victoire d'étape lâché Laurent Bellet

- Oui, euh, Lucie Busy qui vient d'être lâchée

Demain on débarque au Qatar, où Lucie va encore se faire remarquer. Positivement ou négativement ? Et de quelle manière ? Réponse demain entre 14h et 16h

Ce serait vraiment étonnant qu'elle se fasse remarquer de manière positive voyons

Saison 4 : https://docs.google.com/document/d/1uxSO3g9oi3w-qYmswvZkE18emWs8KVrzEwBX3VO9OyM/edit

Saison 4 - Episode 13 (N°115) : Combats en basse altitude

Jeudi 11 Avril 2030
Losail, Losail International Circuit
https://fr.wikipedia.org/wiki/Circuit_international_de_Losail

Malgré un début de saison mitigé avec quelques erreurs, je ne me sens plutôt bien et je suis positive au moment d'arriver au Qatar. Il est vrai que j'avais rêvé de meilleurs débuts, mais la réalité est venue me rappeler que rien n'arrive sans raisons. J'estime mériter ma place ici, d'ailleurs peu de gens l'ont remise en cause ces derniers mois, mais j'ai encore beaucoup à apprendre, beaucoup à expérimenter, je dois parfois muscler mon pilotage, être plus réfléchie à d'autres moments et tout associer n'est pas chose aisée. Heureusement, tous les gens autour de moi sont là pour m'aider, du moins théoriquement. Mika observe et reste globalement silencieux, il saura sévir si je fonce droit dans le mur, tout comme il saura me féliciter sincèrement si tout va dans le bon sens, il n'y aura pas de filtre. De même avec Julian, pour qui la sincérité a toujours été le maître-mot, quitte à paraître ridicule dans certaines situations, ou imbu de sa personne dans d'autres. Dans l'ombre, Anila est toujours là pour communiquer d'un point de vue plus personnel, tandis que mon père me glisse toujours quelques mots quand c'est nécessaire.

L'entourage ne fait pas défaut, les médias... moins, mais... Je me sens plus à l'aise, moins jugée que par le passé, plus réfléchie dans mes propos à leur égard. Beaucoup de conférences de presse, petites interviews ou points presse se passent normalement, mais sont assez anecdotiques et c'est pour cela que je n'en fait pas forcément part. De par ce biais, à chaque fois que j'évoque une conférence de presse plus en détails, cela semble toujours négatif ou presque, alors que ce n'est en réalité qu'une part minime de mes interventions médiatiques. Pour autant vous aurez compris que si j'en parle maintenant, c'est qu'un nouveau point de tension est à signaler aujourd'hui. J'ai essayé d'esquiver un sujet glissant, autant que possible, avant de perdre le contrôle et de rentrer en plein dans un autre. Ai-je raison ? Ai-je tort ? Je vous laisse juger.

Journaliste : La F1 a posé cette semaine ses quartiers au Qatar, dans le Golfe Persique, une partie du globe où la société est poussé au paroxysme du patriarcat, avec une place plus que mineure pour la femme. Sans le vouloir Lucie, vous êtes un symbole de l'émancipation de la femme, en vous imposant dans un monde d'hommes où tout le monde ou presque a appris à vous respecter. Dans ce contexte, avez-vous un message à faire passer ?
Lucie : Je ne suis pas là pour faire de la politique. Je suis là pour m'exprimer sur la piste, exercer mon travail et assouvir ma passion du pilotage, rien de plus.

Journaliste : Mais vous devez bien avoir un avis sur ces enjeux sociétaux ? Le Qatar semble avancer dans le bon sens et est sûrement le pays du Golfe Persique qui est le plus en avance pour les droits de la femme. Ces dernières peuvent voter, conduire, occuper des postes qualifiés et briguer des mandats. Qu'en pensez-vous ?
Lucie : Je le répète, je ne suis pas là pour faire de la politique, d'autant plus que je ne suis pas douée pour cela. Tant mieux si les choses avancent dans le bon sens ici, pour une société plus égalitaire, mais ce n'est certainement pas à moi de commenter cela.

Journaliste : Pour rester sur le sujet, tout en parlant plus de vous, de nombreuses féministes ont salué votre arrivée en F1. Si elles ne s'intéressent que très peu à la F1, elles estiment que vous êtes la preuve que la femme est l'égal de l'homme et que vous allez permettre de faire bouger les choses. Un commentaire sur le sujet ?
Lucie : Décidément, vous cherchez vraiment à ce que je lâche une parole polémique.
Journaliste : Pourquoi dites-vous cela ? On vous a souvent poussé dans vos retranchements en estimant que vous n'aviez pas votre place dans le monde de la F1, mais désormais c'est du positif, vous semblez être un exemple.
Lucie : Ces femmes parlent de moi pour les mauvaises raisons.
Journaliste : Dites m'en plus.
Lucie : Beaucoup d'entre elles se trompent dans leur discours. Oui c'est un fait, la femme a longtemps été dévalorisée et l'est toujours à de trop nombreux endroits. Mais il ne s'agit pas d'aller dans le schéma inverse et d'en vouloir à tous les hommes, alors que la plupart n'y sont pour rien. Pourtant certains groupes extrêmes semblent parfois aller dans ce sens.

Journaliste : Il peut parfois y avoir des dérives, mais sur votre cas il n'y a que des paroles positives.
Lucie : Que des paroles politiques. Vous les verrez bientôt dire que la F1 doit être composée de 50% d'hommes et de 50% de femmes, sauf que l'égalité ce n'est pas ça, ce n'est pas avoir du 50-50 dans toutes les professions. L'égalité, c'est être libre de choisir sa voie, peu importe son sexe, son origine, son statut social, peu importe son histoire tout simplement. La F1 c'est ce dont j'ai toujours rêvé et je me suis donnée tous les moyens pour y arriver. Tant mieux si je peux être une inspiration, mais je ne veux pas être un instrument politisé pour attirer coûte que coûte de nombreuses femmes vers la F1. Chacune et chacun doit pouvoir écrire son histoire selon ses envies, pas selon des chiffres. Et dans le monde de la F1, j'en connais des femmes qui ont choisi leur voie et que les féministes veulent pourtant voir disparaître.

Journaliste : Je ne suis pas sûr de comprendre, vous faites allusion aux grid girls ?
Lucie : Tout à fait. De nombreuses féministes demandent leur abolition depuis des années, elle n'ont juste rien compris. Les grid girls sont là par choix, elles sont payées, elles sont formées pour tenir ce rôle. Cela fait partie du folklore de la F1 et des compétitions automobiles en général. Je n'ai pas connu toutes les époques et je ne peux pas affirmer que ce fut toujours le cas, mais je peux vous garantir qu'aujourd'hui ces femmes sont respectées et qu'elles sont très contentes de leur situation. Il serait absolument stupide de changer cela parce que des personnes ne maitrisant absolument pas le sujet s'y opposent.

Journaliste : Et à votre emplacement sur la grille, faudrait-il un grid boy ?
Lucie : Vous êtes sérieux ? Cette question est plus que déplacée... Grid boy, grid girl, grid kid, voire même grid granpa tant qu'on y est, vous pensez sérieusement que j'en ai quelque chose à foutre à quelques minutes d'une course ? Demandez à mes collègues par quoi ils sont préoccupés à moins d'une heure du départ. Par leur stratégie de course ou par la personne tenant le panneau à leur effigie ? Je crois que je vais m'arrêter sur cette stupidité, je ne répondrai plus qu'à des questions concernant le grand prix de ce week-end.

Samedi 13 Avril 2030
Losail, Losail International Circuit

Après les tumultes médiatiques, on ne peut pas dire que je me rattrape sur la piste. Je ne me fais pas vraiment remarquer négativement - pas d'erreur de pilotage majeure - et c'est déjà cela, mais cela signifie aussi que tout ce qui se déroule depuis hier n'est pas glorieux. Je souffre sur tous les points, physiquement notamment à cause de la chaleur, sportivement sur la feuille des temps et mentalement parce que je ne trouve pas de solution et que je semble désemparée. J'essaye tout de même de ne pas baisser les bras, mais je me sens un peu démunie et le fatalisme n'est jamais loin. En pilotage pure, je n'ai jamais vraiment trouvé mon compte sur cette piste, ce n'est pas pour autant que je n'avais pas su la dompter l'an dernier pour y chercher un beau podium pour lancer ma saison de F2. J'ai fait des choses ici, donc j'en suis capable, mais c'était au volant d'une F2 et non d'une F1, ça change les références, ça change les repères et de surcroît la confiance.
Face à ce constat un peu douloureux mais fortement réaliste, je n'ai à aucun moment la Q3 dans un coin de ma tête, chose qui pouvait être légèrement évoqué à Melbourne et à Kyalami. Pire encore, j'ai même des pensées pessimistes et pense à la Q2 comme un exploit difficile à aller chercher. Je n'ai même pas envie d'y aller, je n'aime rien de ce week-end, j'aimerais passer à la suite et trouver meilleure situation. Suis-je en train de me fuir mes responsabilités ? Cela y ressemble fortement, pourtant ce n'est pas moi ça, c'est un comportement que je déteste, mais mon corps et mon esprit semblent faire un rejet de tout ce week-end qatari.

Vide ta tête, pense à une chose qui t'apaise, te fait sourire, te donne la rage ou te donne de l'énergie. Voilà le conseil simple et efficace d'Anila à quelques minutes des qualifs. Je ferme les yeux et cherche dans mes souvenirs une image à laquelle m'accrocher. Au final, je ne saurais pas expliquer pourquoi, mais c'est l'image de mon père sur le podium du grand-prix de France 2006 qui me revient. Pourquoi ? Quelle signification ? C'est assez simple. Alors que l'année 2006 devait être une année synonyme de bonheur pour lui, avec l'arrivée d'une petite Lucie - je sais pas si vous connaissez - cela s'est finalement transformé en cauchemar. Décès de son pote et collègue pilote de F1, Benoit Bregon, quelques jours avant ma naissance, début de saison cauchemardesque à cause des doutes, de l'appréhension et de la tristesse inhérentes à l'événement, mais aussi à cause de nombreux problèmes en piste. Puis la rédemption au meilleur des moments, avec cette victoire et un vibrant hommage devant son public, devant sa famille et surtout devant la famille de Benoit. Bref, cette simple image que j'ai de lui sur le podium - via des vidéos et non mes souvenirs, je ne suis pas surhumaine - me rappelle que ce week-end, aussi compliqué soit-il, n'est qu'un petit accroc dans ma saison, rien de plus. Je me dois de fermer ma gueule, d'arrêter de me lamenter et de faire mon travail avec sérieux et détermination, rien de plus, rien de moins.

Ce petit électrochoc a le don de remettre dans le droit chemin, celui de la combativité. J'ai le droit d'être en difficulté et j'ai le droit de douter, mais je n'ai certainement pas le droit de laisser passer ce week-end sans me battre. Cela s'annonce compliqué et, avec 12 minutes, je n'ai que 3 tentatives au mieux pour m'extirper de ce bourbier. Malgré tout, je dois avoir la capacité de sortir un tour qui ne me laisse pas de regrets. L'envie et les intentions y sont, peut-être un peu trop sur le premier tour où je pars au large dans l'enchaînement 12-13-14. Le deuxième tour sera bien plus brillant et satisfaisant et me place provisoirement 17ème. Pas suffisant donc et je ne verrai malheureusement pas plus haut, n'améliorant pas dans le dernier tour. Pire, je vois 3 adversaires me passer devant. 20ème, l'échec est clair et me refout un petit coup au moral. Et dans la nuit qatarie, je ne suis pas la seule Busy qui fait face à l'échec. Certains événements des deux premières courses avaient permis de cacher un peu cela, mais on a la confirmation aujourd'hui que la Tyrrell est mal née et que la saison s'annonce compliquée pour mon père et son équipe. Si Lanzinger et Russell me devancent, la séance est déjà terminée pour eux, une première pour Tyrrell depuis longtemps.

Ces divers déboires profitent forcément à d'autres pilotes et c'est notamment ce qui permet à Fabian Kreis de chercher une Q2 à la régulière, au volant de sa faible Ad Dawhah. Pas de miracle pour lui par la suite, mais il profite d'une Audi à l'arrêt durant toute la Q2 - celle de Tom - pour aller chercher une belle 15ème place. Au rang des belles performances, on peut noter la Q3 des deux Magnati, surtout celle de Fabio Angioni qui vient chercher une absolument fantastique 3ème place et qui s'invite ainsi à la petite interview d'après qualif avec les deux habitués, Lando et Juho.

Grille de départ - Qatar 2030

1. Lando Norris (McLaren)
------------ 2. Juho Manninen (McLaren)
3. Fabio Angioni (Magnati)
------------ 4. Andreas Wikberg (Audi)
5. Marco Festucci (Verizon)
------------ 6. Max Verstappen (Ferrari)
7. Thomas Nuyts (Verizon)
------------ 8. Giovanni Scolaro (Magnati)
9. Charles Leclerc (Ferrari)
------------ 10. Jonas Lindemann (Red Bull)
11. Pierre Gasly (Red Bull)
------------ 12. Reece Coveney (Renault)
13. Facundo Sequeira (Ukkonen)
------------ 14. Maximilian Stocker (Toro Rosso)
15. Fabian Kreis (Ad Dawhah)
------------ 16. Tom Ritter (Audi)
17. Luca Lanzinger (Tyrrell)
------------ 18. Esteban Ocon (Renault)
19. George Russell (Tyrrell)
------------- 20. Lucie Busy (Ukkonen)
21. Saeed Al-Enezi (Ad Dawhah)
------------ 22. Nuno Varela (Toro Rosso)

Les journalistes
Facundo 13e
Ferrari qui se fait balader par une Magnati
Tom Ritter ce mec surcôté

Je me dois de fermer ma gueule, d'arrêter de me lamenter et de faire mon travail avec sérieux et détermination, rien de plus, rien de moins.

115 épisodes, première fois que le cerveau de Lucie fonctionne

Bon sinon en vrai, vivement le chapitre où Justin révèlera que s'il a pas été titularisé chez Ukkonen c'est parce qu'il suce mal, parce qu'honnêtement je vois pas ce que Lucie fait encore en F1, sur ses 3 premières conférences de presse elle s'est déjà battue 2 fois avec des journalistes, IRL ses sponsors et son écurie la lâchent et elle finit en Trofeo Lamborghini au mieux Mercantilement parlant personne n'a envie d'être assimilé à une gamine sans expérience qui est incapable de garder ses nerfs, d'ailleurs c'est pour ça que Santino "le prochain Andretti" Ferrucci en est là où il en est aujourd'hui

Le 26 mai 2020 à 21:02:05 [-Monarch-] a écrit :
Les journalistes

Ah tiens, quelqu'un est du côte de Lucie

Facundo 13e

Qu'avez-vous contre ce brave pilote ?

Ferrari qui se fait balader par une Magnati

Magnati futurs champions

Tom Ritter ce mec surcôté

"il profite d'une Audi à l'arrêt durant toute la Q2 - celle de Tom -"

Le 26 mai 2020 à 21:13:33 Haryanto a écrit :

Je me dois de fermer ma gueule, d'arrêter de me lamenter et de faire mon travail avec sérieux et détermination, rien de plus, rien de moins.

115 épisodes, première fois que le cerveau de Lucie fonctionne

Bon sinon en vrai, vivement le chapitre où Justin révèlera que s'il a pas été titularisé chez Ukkonen c'est parce qu'il suce mal, parce qu'honnêtement je vois pas ce que Lucie fait encore en F1, sur ses 3 premières conférences de presse elle s'est déjà battue 2 fois avec des journalistes, IRL ses sponsors et son écurie la lâchent et elle finit en Trofeo Lamborghini au mieux Mercantilement parlant personne n'a envie d'être assimilé à une gamine sans expérience qui est incapable de garder ses nerfs, d'ailleurs c'est pour ça que Santino "le prochain Andretti" Ferrucci en est là où il en est aujourd'hui

Alors oui tout à fait, mais alléluia c'est une story on peut faire ce qu'on veut, alors on envoie le drama Après pour le coup, alors que c'est moi qui suis l'auteur de la chose, je ne saurais pas dire qui est le plus à blamer entre Lucie qui fonce tête baissée dans un sujet sensible ou les journalistes qui posent des questions de merde

Le 27 mai 2020 à 01:01:50 DorotheaWierer a écrit :

Tom Ritter ce mec surcôté

"il profite d'une Audi à l'arrêt durant toute la Q2 - celle de Tom -"

Un bon pilote prend soin de sa machine. Lui après 2 GP il l'a carbo. Je maintiens c'est un surcôté, et je rêve que Marco lui mette des petites claques humiliantes devant les caméras

Le 27 mai 2020 à 18:40:18 [-Monarch-] a écrit :

Le 27 mai 2020 à 01:01:50 DorotheaWierer a écrit :

Tom Ritter ce mec surcôté

"il profite d'une Audi à l'arrêt durant toute la Q2 - celle de Tom -"

Un bon pilote prend soin de sa machine. Lui après 2 GP il l'a carbo.

Donc quand Hamilton prend pas part à la Q1 lors du 3ème GP en 2016 en Chine, ce n'est pas un bon pilote ?

Je maintiens c'est un surcôté

Champion du monde de F2, il n'y a que des grands dans l'histoire qui ont gagné ce championnat, Pantano, Valsecchi, Leimer, Palmer Et surtout Langlois

Le 27 mai 2020 à 19:29:13 DorotheaWierer a écrit :

Le 27 mai 2020 à 18:40:18 [-Monarch-] a écrit :

Le 27 mai 2020 à 01:01:50 DorotheaWierer a écrit :

Tom Ritter ce mec surcôté

"il profite d'une Audi à l'arrêt durant toute la Q2 - celle de Tom -"

Un bon pilote prend soin de sa machine. Lui après 2 GP il l'a carbo.

Donc quand Hamilton prend pas part à la Q1 lors du 3ème GP en 2016 en Chine, ce n'est pas un bon pilote ?

Entre nous, on va pas se mentir, Hamilton c'est pas du tout le GOAT justement pour ça.

Je maintiens c'est un surcôté

Champion du monde de F2, il n'y a que des grands dans l'histoire qui ont gagné ce championnat, Pantano, Valsecchi, Leimer, Palmer Et surtout Langlois

Langlois > Ritter, à up la saison suivante

Je maintiens c'est un surcôté

Champion du monde de F2, il n'y a que des grands dans l'histoire qui ont gagné ce championnat, Pantano, Valsecchi, Leimer, Palmer Et surtout Langlois

Langlois > Ritter, à up la saison suivante

Monarch veut donc voir Langlois en F1, ok c'est noté, merci pour ta contribution

Le 28 mai 2020 à 10:10:30 DorotheaWierer a écrit :

Je maintiens c'est un surcôté

Champion du monde de F2, il n'y a que des grands dans l'histoire qui ont gagné ce championnat, Pantano, Valsecchi, Leimer, Palmer Et surtout Langlois

Langlois > Ritter, à up la saison suivante

Monarch veut donc voir Langlois en F1, ok c'est noté, merci pour ta contribution

C'est pas que je veux le voir en F1, je dis juste qu'il est meilleur que Tom "le nouveau Schumacher" Ritter

Le 28 mai 2020 à 10:34:47 [-Monarch-] a écrit :

Le 28 mai 2020 à 10:10:30 DorotheaWierer a écrit :

Je maintiens c'est un surcôté

Champion du monde de F2, il n'y a que des grands dans l'histoire qui ont gagné ce championnat, Pantano, Valsecchi, Leimer, Palmer Et surtout Langlois

Langlois > Ritter, à up la saison suivante

Monarch veut donc voir Langlois en F1, ok c'est noté, merci pour ta contribution

C'est pas que je veux le voir en F1, je dis juste qu'il est meilleur que Tom "le nouveau Schumacher" Ritter

En soit je comprends totalement qu'on puisse considérer Tom comme surcoté car il est sûrement survendu par Lucie. Par contre, je vois pas sur quoi tu te bases pour dire que Langlois est meilleur que Ritter, c'est pas vraiment ce que dit le parcours de chacun, quand bien même ils sont tous les deux champion en F2