MONT ECARLATE

La barrière ne broncha toujours pas, les attaques du mage nordiques étaient tout bonnement inefficaces.

BORDECIEL

Trois cavaliers recouverts d'une cape de voyage et d'un capuchon partent de la frontière avec Lenclume vers une châtellerie chacun. L'un à Solitude, l'autre à Markarth, et le dernier à Vendeaume.

Le 16 août 2019 à 21:01:03 Jyggalag-da-gr8 a écrit :
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Le 16 août 2019 à 21:01:55 BolchoDeSouche a écrit :

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Tu devrais pas tenter de RP plutôt que de reprendre les erreurs occasionnelles des autres ?

Le 16 août 2019 à 21:12:01 Jyggalag-da-gr8 a écrit :

Le 16 août 2019 à 21:01:55 BolchoDeSouche a écrit :

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Tu devrais pas tenter de RP plutôt que de reprendre les erreurs occasionnelles des autres ?

ben je suis un peu bloqué, et j'aime bien tous(à deux exceptions près) vous lire donc voilà...

Le 16 août 2019 à 21:17:57 BolchoDeSouche a écrit :

Le 16 août 2019 à 21:12:01 Jyggalag-da-gr8 a écrit :

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ben je suis un peu bloqué, et j'aime bien tous(à deux exceptions près) vous lire donc voilà...

Faudrait arrêter de décider au pif de la ville où te rendre et de faire preuve de bon sens, vu que tu dis en être plein.

Le 16 août 2019 à 22:15:48 Jyggalag-da-gr8 a écrit :

Le 16 août 2019 à 21:17:57 BolchoDeSouche a écrit :

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Faudrait arrêter de décider au pif de la ville où te rendre et de faire preuve de bon sens, vu que tu dis en être plein.

ben pour la ville tu ne m'avais pas vraiment donné d'indications d'où me rendre alors bon

et comment ça "faire preuve de bon sens" ?

Le 16 août 2019 à 22:56:58 BolchoDeSouche a écrit :

Le 16 août 2019 à 22:15:48 Jyggalag-da-gr8 a écrit :

Le 16 août 2019 à 21:17:57 BolchoDeSouche a écrit :

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Faudrait arrêter de décider au pif de la ville où te rendre et de faire preuve de bon sens, vu que tu dis en être plein.

ben pour la ville tu ne m'avais pas vraiment donné d'indications d'où me rendre alors bon

et comment ça "faire preuve de bon sens" ?

C'est bien ce que je dis. Etant donné que le grade de Général est l'un des plus hauts dans l'armée Indoril, c'est quand-même pas compliqué de trouver la ville où il pourrait siéger.

MARKARTH

Un ciel dégagé illuminé par les éclats ancestraux de Magnus recouvrait la ville de pierre à l'est de la province nordique de Bordeciel. Comme chaque journée, les habitants s'affairaient à la tâche qui leur était attribuée tandis que le Jarl se préoccupait de l'administration de la châtellerie ainsi que de sa place politique au sein de la province. Les gardes, quant à eux, s'assuraient qu'aucun crime n'eût été commis à l'intérieur des enceintes de la cité.

Un cheval galopait au loin, traversant un large pont de pierre avant de s'arrêter net à une dizaine de mètres des titanesques portes de métal servant d'entrée à la ville. Sur son dos se trouvait un bien étrange personnage, recouvert par une longue et large cape de voyage et dont le visage était caché par un capuchon de la même couleur que la cape, à savoir une sorte de gris teinté d'un léger bleu foncé.

La personne scrutait depuis l'ombre de sa cagoule le rempart titanesque séparant l'imposante cité grise et dorée des plaines vertes et de l'eau claire des alentours. Elle s'avança jusqu'aux gardes barrant l'entrée, qui, dans leur armure de vert et de gris, toisèrent avec attention cette étrange silhouette qui s'était dressée devant eux, comme une sorte de pénombre dérangeante, qui dégageait un léger sentiment de mal-être. Un des deux gardes, dérangé par le silence qui devenait, à sa grande surprise, pesant, interloqua ce mystérieux voyageur sur ce ton :

- Halte, étranger. Si vous désirez passer l'entrée de cette ville, il vous faudra nous dire ce que vous venez faire ici.

- Oh..., répondit le principal concerné d'une voix féminine et sur un ton intéressé. Je ne fais que chercher du travail dans les tavernes, j'ai cru comprendre que cette ville était peu fréq...

- Il n'y a aucune criminalité en ville, coupa le garde, semblant visiblement gêné. Vous pouvez entrer, mais prenez garde à ce que vous faites.

- Je vous remercie sincèrement, assura l'inquiétante voyageuse avant de s'avancer vers les lourdes portes de métal d'or et antique de la ville de Markarth.

Elle poussa alors lentement lesdites portes, arrivant directement devant la place du marché local, assez fréquenté en ce moment de la journée. Une foule assez conséquente se condensait devant les divers étalages décorés de légumes, de morceaux de viandes, de bijoux ou même de pièces d'armures. Les rares personnes tournant la tête vers l'étrangère la dévisagèrent un court moment avant de retourner vaquer à leurs occupations.

Un rire proche du silence s'échappa de la bouche de cette étrange personne, qui leva les bras, une des paumes inclinées vers le sol tandis que l'autre pointait vers la foule réunie devant un étalage en particulier. Les habitants ciblés cessèrent soudainement de bouger, n'articulant même plus le moindre mot. Une femme à proximité, n'ayant pas été touchée, hurla d'horreur. Des gardes arrivèrent alors en dégainant leurs armes, mais l'étrangère malveillante brandit son autre main vers chacun d'eux, les figeant sur place, tous autant qu'ils étaient.

Pointant ensuite sa paume vers ceux qui tentaient de s'enfuir en hurlant, les habitants effrayés ne purent bouger à leur tour. La magicienne, si on pouvait l'appeler ainsi, leva alors ses deux mains vers la haute colline sur laquelle était dressée la fière tour de garde en métal. Des bruits inquiétants de craquelure se firent entendre, tandis que la colline en question semblait se morceler lentement de part-en-part. Les bruits crûrent, et des petits rochers se mirent à tomber aux pieds du marché.

La femme malfaisante s'avança alors vers un quartier ascendant, alors que le mont rocheux se fissurait de part-en-part. Ce fut alors que, dans un vacarme soudain et d'une puissance ainsi qu'une violence inouïes, la colline titanesque et sa tour de fer s'écroulèrent brusquement sur le quartier marché et les quartiers descendants alentours, ainsi que les remparts. Et un million de cri retentit alors, pour se taire juste ensuite.

Les habitants du quartier ascendant virent avec horreur le mont s'effondrer violemment, tandis que, dans un voile de poussière opaque et brunâtre, leur pire cauchemar s'avança. Les riverains étaient soudainement figés, avant de sentir leurs os craquer et leur chair s'arracher, avant de mourir atrocement dans un hurlement de souffrance ne pouvant être contenue, tandis que leurs côtes perçaient leur thorax et que leurs crânes s'écrasaient sur eux-mêmes.

Bientôt, pas une once de vie ne parcourait les rues de la sanglante cité. Mais ce n'était pas fini. Les maisons furent saccagées, les tavernes et magasins réduites à l'état de bâtisses ensanglantées, tandis que le palais du Jarl ne tarda pas à s'effondrer sur lui-même dans un torrent de poussière noire.

FJORI

Malgré tout ses efforts qui semblaient inutiles il ne perdit pas espoir, pour le bien de Tamriel il se devait d'embêter le plus longtemps en attendant le Nérévarine.

- Essayons autre chose..

Son aura de flamme disparu pour laisser place à des étincelles qui devenaient de plus en plus violentes autour de lui, enfin il leva sa main gauche au ciel et une gigantesque lance de foudre se forma petit à petit.

- Je suis toujours là Dagoth !

Il envoya la lance contre la barrière créant un énorme bruit à l’impact.

MONT ECARLATE

Sans surprise, la barrière d'origine magique ne fut pas abîmée le moins du monde par l'attaque du mage nordique.

FJORI

Il leva la main gauche et fit un doigt en direction du mont écarlate et s’en alla vers Bordeciel et plus précisément Vendeaume.

RESDAYN

Le monde l'ignorait encore, mais un héros légendaire était de retour. En cet instant précis, le Nerevarine venait de poser les pieds à nouveau en RESDAYN.

SOLITUDE

L'aube fraîche et brutale du nord de Bordeciel venait tout juste de recouvrir le ciel auparavant noirci de la grande cité de Solitude. Son monde était encore assoupi, à l'exception de quelques gardes qui se relayaient afin de pouvoir assurer la protection de la puissante ville. Un calme plat régnait à l'intérieur des puissants remparts qui encerclaient la cité. Forte sur sa gigantesque arche de roche, Solitude surplombait sa châtellerie toute entière.

Au loin, au milieu des plaines silencieuses d'Haafingar, un cavalier, recouvert d'une épaisse cape grise et dont le visage était abrité par un capuchon de même couleur que la cape, semblait poursuivre un long chemin sur sa monture qui parcourait ces terres au galop. Bientôt, le voyageur se rapprochait de la haute cité Nordique. Bientôt, les sabots du canasson foulèrent les pavés de la route vers la ville, avant de s'arrêter.

L'entrée de Solitude pouvait être aperçue à l'horizon, deux fières tours reliées par un large rempart de pierre protégeant ladite entrée de toute attaque ennemie. Le cavalier descendit de sa monture, avant de s'aventurer en contre-bas, un long moment. Un puissant vent s'était levé, la large cape de l'étrange voyageur flottant au dessus du sol, celui-ci maintenant sa capuche en baissant la tête.

La marche était longue, bien longue. La brise était froide, pâle. Le frisson de l'herbe humide au sol était mort, pas un animal ne s'aventurait en ce lieu à l'allure pourtant accueillante. Le cavalier se tourna sur le côté, et leva la tête. La titanesque Solitude, vue de côté, sur son arche glorieuse. Pendant un instant semblant finalement assez court, le voyageur fixa la cité, sans jamais n'accomplir le moindre acte supplémentaire.

Ce fut alors qu'il leva la main vers la cité, qui était bien éloignée. Pendant une vingtaine de secondes, rien ne se passait. Cependant, on crut distinguer des rochers se lançant dans une chute jusqu'au canal, depuis l'arche. Les rochers commencèrent à se multiplier, d'abord bien petit, puis de plus en plus gros. L'arche commença à se plier, lentement, mais sûrement. La ville-même s'abaissait.

Puis, soudainement, la titanesque construction de pierre se brisa de part-en-part, laissant le milieu de la cité de Solitude la suivre dans sa chute. Une déflagration sans précédent se fit entendre, et bientôt, l'Arche n'existait plus, ses restes ainsi que ceux des remparts brisés, des maisons broyées et des rues effondrées recouvrant le canal qui se trouvait sous la ville.

Le cavalier ne réagit pas, baissant sa main levée et levant l'autre vers la colline étroite et isolée soutenant ce qui restait du Palais Bleu. Celle-ci commença à s'écrouler petit-à-petit, finissant par s'effondrer dans un vacarme assourdissant après une longue minute d'éboulement.

Tout ce qui restait de Solitude la déchue était désormais Mornefort, qui n'avait cependant pas échappé indemne au sort qu'avait réservé le cavalier malveillant à la Cité maintenue disparue.

KRONFAAS

Quelque part a Forelhost

-Kronfaas, je viens d'attendre que Solitude vient d'être quasiment détruite, seule une petit portion de la ville semble avoir survécu à un effondrement de l'arche.''

-Oui je sais, mais cela ne n’importe pas cela fera moins de Jarl pour l'assemblé, et comme cela nous pourrons reconstruire d'autres villes et devenir les sauveurs. Cependant ce n'est pas de cause naturel. Des dragons ont rapporté un cavalier chevauchant non loin de ces villes avant leurs destruction. A ce propos si ce cavalier pouvait détruire l'académie des mages de Fordhiver cela pourrait nous servir.

-Je comprends. Concernant les prêtres dragons, Vullah a pu ramener quelques affaires de certains et continue ses recherches sur les autres. Ahzidal quant à lui à finis l'enchantement des grands masques avec Durnheviir.

-Parfait nous touchons presque au but. J'aurais aussi quelque chose à faire bientôt quand tout sera finis. Il appuya ses mains sur le balcon de pierre et fixa la gorge du monde

RENTUS

Part superviser la reconstruction de Saarthal

BORDECIEL

Suite à la destruction de Markarth et de Solitude, de nombreux nordiques ont quittés leurs villes, pour se rendre à Forelhost.

ESTEMARCHE

Une tension croissante régnait au sein de la châtellerie inquiète. Craignant d'être la prochaine cible d'un étrange cavalier ayant déjà réduit à néant les villes de Markarth et de Solitude, la cité de Vendeaume tenta tant bien que mal de renforcer les effectifs de gardes surveillant l'entrée de la ville, n'ayant plus qu'à prier Talos pour le salut de leurs âmes.

Le Jarl de Vendeaume, Ulfric Sombrage, avait ainsi fait en sorte qu'une importante garnison de Sombrages se soit levée aux portes de la capitale de l'Estemarche, ne connaissant cependant aucunement la nature de celui ou celle qui avait causé la perte douloureuse de Solitude et de Markarth. Bordeciel était rudement affaiblie, la perte de Vendeaume envenimerait drastiquement les choses.

Les dieux n'appréciaient donc pas le chemin que prenait la province nordique ? Toujours était-il qu'une inquiétude violente recouvraient les rues de la ville, si bien que les quelques familles la peuplant sont parties, à l'exception généralement du père de famille au vu de l'influence Sombrage. De même, les rares enfants orphelins semblent avoir enfin été adoptés après la montée d'une telle tension.

A la frontière entre la Châtellerie d'Estemarche et celle de Fortdhiver, un cavalier recouvert d'une large cape grise aux reflets bleutés, le visage caché sous un capuchon et semblant porter un bâton dans son dos, poursuivait sa route en direction de la ville de Vendeaume. Cependant, bien vite, un petit groupe de forces Sombrages l'arrêta au milieu de la route, les armes à la main.

- Hâlte là, s'écria furieusement un des soldats nordiques ! Vous, là, je vous reconnais, et vous allez payer pour ce que vous avait fait !

Un autre soldat sortit alors un cor de guerre, dont le chant funeste résonna bientôt dans la châtellerie toute entière. Le cavalier ria alors d'une voix féminine menaçante, avant de dégainer un étrange bâton entièrement noir et dont l'une des extrémités était prolongées par des pétales vaguement similaires à celles de la Rose Sanguine.

Les soldats, outrés par pareille insolence, se jetèrent alors sur celle qui était digne du titre d'ennemie publique n°1 de Bordeciel. Mais elle leva sa main libre vers les Nordiques, qui furent figés sur place, avant de pointer également son étrange artéfact dans leur direction. Les soldats furent alors recouverts d'une aura noire complètement opaque, lâchant au passage un violent cri de douleur. Lorsque tout fut terminé, les humains furent de nouveau libres de leurs mouvements, le dos cambré, dans une posture presque animale.

Quelques instants plus tard, au loin, une petite armée de soldats aux couleurs de la famille Sombrage se dirigeait avec détermination vers la position de l'étrange magicienne. Celle-ci, entourée de ces soldats semblant corrompus, s'avança, nonchalante. La cavalerie s'avançait, l'infanterie marchait, les archers se préparaient, mais rien n'y faisait. La femme malfaisante pointa alors son bâton sur l'armée, et un puissant rayon s'échappa de l'artéfact, touchant alors l'ensemble des soldats, changeant ceux-ci en ces étranges créatures entièrement noires et à la posture bestiale.

Plus tard, dans l'après-midi, les gardes postés au tour de guets de Vendeaume eurent soudainement une vision suffisante pour leur inspirer une peur pure et noire : une vague sombre et inquiétante commandée par ce cavalier dont ils redoutaient tant la venue. Les gardes se préparèrent alors, pourtant certains qu'ils allaient tous y laisser la vie.

Alors que la criminelle et son armée s'approchait du pont à l'entrée de la ville, des gardes se mirent alors à courir vers la cavalière, qui ne fit que les faire succomber au pouvoir de son effrayant bâton noir. Petit-à-petit, toutes les forces de Vendeaume furent corrompues, avant que les quais ne soient purgés de toute présence Argonienne. Avec ses troupes, la criminelle pénétra alors dans le célèbre Palais des Rois.

Mais il n'y avait personne.

- Comment, s'exclama la magicienne maléfique avec rage !? Le Jarl et ses rats ne sont pas ici...

Enragée, la criminelle envoya un violent sort de glace exploser un des murs d'une salle annexe du Palais. La ville maintenant sous l'emprise des forces maléfiques de celle qui se faisait nommer la Marquise Spinneret de Mindfang, les routes de l'Estemarche n'étaient plus sûres...

FJORI

Cela faisait un bon moment que le Roi des Mages était arrivé à la taverne de Vendeaume où il se reposait dans les chambres souterraines de toutes ses précédentes aventures.

Il repensa à Dagoth, à quelle point sa magie pouvait être puissant ? Il méritait bien son titre de dieu, après un bon moment l'idée de pouvoir éventuellement affronter une divinité le reboosta, alors il prit Lamedor et la contempla, depuis qu’elle était à ses côtés il n’etait plus le même mage qu’avant, le petit mage venant d’Epervine était désormais le dirigeant d’une île rempli de mages.

Il se rappela aussi de Nylisa et Mia, l’une faisait partie de ses principales ennemies en Oblivion, l’autre était une associée pour qui il éprouvait un profond respect, enfin au moment où il allait se rendormir il entendit du vacarme dehors.

- Hmm ? Encore ces enfoirés d’ivrogne..

Il allait encore une fois se rendormir puis il entendit une attaque qui semblait être magique.

- Civil ou pas civil je vais les apprendre à me les briser.

Il se leva de son lit et prit à nouveau Lamedor qu’il attacha à sa hanche gauche, il sortit et se dirigea vers la gérante pour la payer mais ne trouva personne. Se réjouissant de ne pas avoir à dépenser de l’argent il s’en alla de l’auberge et vit qu’il y avait seulement des soldats sombrantes aux allures bizarres.

- Des soldats ?

Ils le remarquèrent et l’attaquèrent directement, il était 5, 3 armés d’une épée et d’un bouclier, un d’une claymore et un dernier possédé un arc.

- Si vous savez qui je suis et vous m’attaquez, j’imagine qu’Ulfric ne m’en voudra.

Un sourire malsain se dessina sur son visage tout en tenant la poigne de son katana qu’il n’avait pas encore dégainé, son attention se porta initialement vers l’archer puis vers chaque soldat, enfin il dégaina Lamedor avec sa main droite des flammes accompagnées son geste, et il les envoya en direction des soldats qui ne purent rien faire à part se faire emporter par son attaque qui arracha les pierres du sol au passage.

- Vendeaume serait attaqué ? Qu’est-ce qu’il fout Ulfric ?

Lamedor en main il se dirigea vers le Palais des Rois pour voir Ulfric directement.

PALAIS DES ROIS

L'immense salle du trône du Palais de Vendeaume était gardée par deux longues rangées de soldats corrompus par la magie de l'Enveloppe d'Obsidienne, tandis que ledit trône, taché de sang, était le siège de la nouvelle détentrice des lieux : De Mindfang.

FJORI

Le mage nordique s’approcha de l’un des gardes et le regarda de haut avant de lui demander.

- Qu’est-ce qui se passe ici ?