J'ai craqué à Fallout. Il était juste génial ce coup-là.

HistoricStories Voir le profil de HistoricStories
Posté le 9 avril 2012 à 21:54:58 Avertir un administrateur
J'ai craqué à Fallout. Il était juste génial ce coup-là.

Tu peux remercier Secession, qui m'a permis de télécharger un jeu super... jeune inconnu.

Je remercie Sanksion pour l'avoir cité comme l'une de ses références politiques, sans quoi j'aurais moi aussi cru qu'il n'y avait pas eu de Fallout avant le 3.

Sanksion lui-même doit beaucoup de choses à Demyx de Kingdom hearts...

http://mrhensley.com/b3-07-08/daniel/Organization%20XIII/demyx3.jpg

Chacun son truc:

http://gineiden.atspace.com/html1/mittermeyer_wolfgang.html

Wolfgang le loup .

La suite.

Je me disais bien ... On s'est fait enfler d'une semaine

Grève du scénariste ?

Secession était, comme à son habitude, en porte à faux vis-à-vis de la communauté. Isolé, le bougre libéral vaquait à ses occupations quotidiennes, écoutant de temps en temps son étrange musique électronique dont lui seul arrivait à lui trouver un quelconque charme artistique ( il partageait parfois avec les autres libéraux, mais ceux-ci, hypocrites, n'osaient pas lui avouer que, décidément, le Rock métal nordique était supérieur à la musique électronique pour drogué sous perfusion.) .
Sa musique, il l'écoutait sur son Imachin. Le Imachin, c'est une révolution. Il ne sert à rien, tout le monde en a un, on en dit que du bien. C'est le I machin. Et ceci est une révolution. Vous ne savez pas quoi foutre, vous n'avez pas de copine, vous ignorez que vous êtes en fait gay et libéral, et vous avez outrepassé les interdits concernant le FOPO et y avez jeté un coup d’œil, vous n'avez pas encore fait connaissance avec la modération selon pluto, vous voulez quittez Facebook en ignorant qu'ils garderont quand même vous informations personnelles, vous critiquez Sarkozy mais vous apprêtez à revoter pour lui ?
Essayez le Imachin. Avec le Imachin, je me fais chier, mais au au moins je sais pourquoi.

Marchant d'un pas traînant dans cette chère Forêt du Fopo de la communauté libéral autogérée ( Windaube avait vendu les plans aux libéraux sans leur annoncer la couleur), forêt autogérée par un syndicat des eaux et forêts mutualiste ( plans vendu aussi par windaube: voir "Windaube s'essaie à la spéculation foncière et immobilière sociale et solidaire") il admirait les arbres, les fleurs, et le lichens sur les cailloux. Parfois il leur donnait des bisous ( souvenez vous, Secession écoute de la musique de drogué) et souriait. Ces rares moments d'humanité, il les réservait à la solitude, seule maîtresse qui... ( flemmardise de l'auteur pour trouver une figure de style romantique, de toute manière aucune fille ne lis cette histoire)
S'isoler un peu, c'était aussi un excellent moyen d'échapper à Pluto. Il était tout excité depuis qu'il avait vu une affiche de campagne de Bastiat2012 en pleine rue, il s'était même arrêté en plein feu rouge pour approcher l'étrange et miraculeux sésame.
Autant vous dire que le grand blond gascon d'un mètre quatre vingt sept slipait large. Ça craquait.
Mais ça n'avait pas suffit. Récemment, une invasion de trolls communistes, la fleur au fusil, avait proliféré sur le forum. Pluto avait mis du sang partout. C'était très sale. Paulop allait encore gueuler à son retour...
Cela inquiétait d'ailleurs Secession. Le retour de Paulop. Ou plutôt l'absence de retour de Paulop. Ou plutôt le non retour de Paulop. Enfin, le pas encore retour de Paulop, ou le retour non engagé de Paulop.
Le fait que Paulop ne soit pas encore revenu de son expédition chez les centristes. Peut-être que Imthere avait été attaqué par quelques soraliens ninjas de Actu ? Qu'une horde de jihadiste geek fan-boys de Merah avait mis le feu à NewJedi ? Peut-être que Paulop était resté au camps des centristes parce qu'il en avait marre de faire la vaisselle pour une bande d'assistés qui n'arrêtaient pas de donner des leçons à la Terre entière ? Aussi, le néoconservatisme de Coco avait peut-être pu amener Paulop à un point de non-retour ?
Mais peut-être doutait-il de Ron Paul, aussi, pensa Secessouille, mais alors pourquoi aller chez les fanboys de Bayrou ? Préparaient-ils un single secret ? Ou était-ce l'ambiance:" Homme seul face à un monde incompris " qui l'avait séduit pour épancher son chagrin avec des milliers de kleenex ? C'était bien les elfes, ça.
En pleine introspection intérieur, Secessouille ne remarqua pas tout de suite l'agitation qui prospérait derrière des bosquets. Il vit quelques feuilles volées, et s'approcha, curieux.
C'est alors qu'il vit l'inimaginable. Fffanatic. Avec. Un lapin.
"- Fafa... qu'est ce que tu fais ?!
Tétanisé, le mystérieux se figea sur place. Le regard incertain.
- Que fais tu à ce lapin...
La petite bête était toute mimi. Toute mignonne. Toute petite. Frêle, délicate, et si douce. Ffanatic le tenait entre ses mains, ses lèvres tendues sur le dos tremblant de l'animal.
Le visage du libéral alarmé changea, passant de l'incrédulité au mépris le plus glacial.
- J'embrasse ce lapin. Il est... ( il chercha ses mots, obliqua des yeux, et les fixa dans ceux de Secessouile)... il est mignon.
Fafa reposa le lapin au sol qui en profita pour déguerpir, effrayé.
- Tu faisais quoi avec ce lapin ? redemanda Secessouille, affligé.
- Je me montrais gentil. C'est tout.
- Gentil ? avec un lapin ?!
- Bon, t'arrêtes tes questions à la con ?! Sinon j'te marave la tronche ! Tu es vraiment pitoyable !
Secession pencha la tête de biais, une moue sceptique sur le coin de la gueule. Ce n'était pas la première fois qu'il surprenait le ténébreux Fafa avec des animaux. La dernière fois, il l'avait vu donner à manger à des pigeons. L'autre jour, il l'avait vu cueillir des bégonias ! Mais ce n'était rien comparé à... D'accord Fafa, j'arrête. Tu peux poser ton pistolet maintenant.
- Je préfère. Oui.
Un tic passa sur le visage du ténébreux libéral, amoureux secret de Plutarque et de Thucydide. Il chassa une mèche brune qui gênait sa vue et fixa Secession.
- Que veux-tu ?
- Ben, rien...
- Alors tu n'as rien à faire là.
Secession le regarda de biais, sceptique.
- Je passais par là par hasard, c'est tout.
- Pourquoi tu me racontes ta vie ? Tu crois sincèrement que ça va changer l'avis que j'ai de ta personne ? Tu es vraiment pitoyable."
Longtemps, Secession s'était demandé si Fafa n'était pas un comique pince sans rire à la Desproges, une sorte de Buster Keaton parlant. Mais apparemment, il ne pratiquait pas souvent l'ironie. Mais les communistes, à son sujet, n'hésitaient pas, eux. Ce qui avait le don d'énerver Ffanatic, pondeur de pavé césar.
- Qu'est ce que tu attends ? demanda froidement Fafa.
- Attendre quoi ?
- Je te le demande.
- Je ne sais pas de quoi tu parles.
Un ange passa. Secession pencha sa tête de biais, mais de l'autre côté. Fafa chassa une de ses mèches.
C'est alors qu'un étrange petit hobbit apparu.
- Ls zami ! Polop et revennu !
Fafa fixa l'intrus avec une certaine... interrogation. Secession se boucha les oreilles.
- Coco ! Tonna fébrilement Fafa. Je t'avais dis de mettre un cordon sanitaire de un kilomètre entre toi et moi. Je n'ai pas dit ça pour faire jolie. C'est pour ta propre sécurité.
- Paulop est revenu !
Secession se déboucha les oreilles. Coco n'avait pas fait de faute d'orthographe. Il baissa les yeux et prêta une attention particulière au hobbit balte.
- Paulop et revenu ! Et il a fsai un prisonié !
Secession se reboucha les oreilles. Fanatic poussa une sorte de grognement et croisa les bras.
- Formidable. Faisons une fiesta.
- Cé vrai ? demanda Coco, tout écarlate.
- Non, bien sur ! Répliqua Secessouille en s'agitant, énervé. tu ne vois pas qu'il plaisante, idiot !
Fafa le foudroya du regard.
- J'ai une tête à plaisanter ?
Il décrocha et s'avança en avant, laissant les autres derrière lui, circonspects.
- Il va vrémant yavoir une féte ? demanda Coco.
Secession ne savait pas quoi répondre. a force de jouer au chien blanc et au chat noir, Fafa l'avait encore une pwned.
Il ne le voyait pas, Secession, mais dans sur le visage ombré de Fafa venait de naître un petit sourire.
- Salaud ! Ne me laisse pas seul avec lui !
- Di Sésseçion, il av vraimment yavoire une faite ?"

Suite de la Partie II chapitre I

DocteurNapalm et Anken ne savaient pas quoi penser. Comme les autres membres de la communauté. Même U-N-Owen le marathonien, si discret, toujours à courir, avait interrompu sa marche pour assister, étonné, à l'arrivée étonnante de Paulop.
Anken leva la bière qu'il avait en main, dans la direction de Paulop.
"- Qu'est ce que Parrhasus fiche attaché sur ce cheval... qui n'est pas à toi."
Anken bu une gorgée. Il regarda un instant Parrhasus, bâillonné, rouge comme une tomate. Le pauvre, s'il avait suivi une thérapie, jamais il n'aurait eu à souffrir d'un comportement aussi vindicatif.
Une thérapie ou une bonne bière. En écoutant du Hardcore. Calmé direct avec ça.
- Je dois voir Plutonium sur le champ ! Tonna Paulop, très sérieux. Prenez Parrhasus et mettez-le en lieu sûr, nous aurons à l'interroger tantôt...
- Qu'est ce qui se passe ? Demanda Docteurnapalm.
- Je ne sais pas, dit Paulop, inquiet, je ne sais pas...
Puis il lança un regard mauvais en direction de Parrhasus qui lui rendit bien.
- Pluto est allé coupé du bois. Il suit ma thérapie: " la voie du sage qui scie la branche de la colère."
On le regarda, un peu sceptique. L'esprit cartésien de U-N Owen ne put s'empêcher de faire part de son scepticisme:
- Je ne sais pas ce qui me choque: le nom ou le prix ?
Anken ne répondit rien. Il termina sa bière, indifférent aux racontars qui mettaient en doute sa grande empathie thérapeutique. Un jour, on reconnaîtrait son génie.
- Où sont VRP et Pod ? Demanda Paulop, cherchant du regard les deux impénitents. Qu'ils viennent se rendre utile !
- On va les chercher, dit DocteurNapalm qui savait où les trouver. Paulop fit tomber Parrhasus au sol, saucissonné, comme s'il s'agissait d'un paquet à livrer.
- Occupez vous d'eux ! Dit-il aux libéraux à ses côtés. J'ai à parler avec Pluto !
Il galopa au loin, s'éloignant derrière les fourrés. Les libéraux le regardèrent s'éloigner, plein d'appréhension. Et d'interrogation. Plein de trucs en tions. Procréations, bonification, fornication, putréfaction, stratification, humiliation.
Ils regardèrent Parrhasus qui s'agitait au sol.
- On fait quoi ?
- J'ai peut-être une idée, dit Anken en se grattant le menton.
- une nouvelle thérapie, persifla Owen.
- Non, un massage. Il m'a l'air tendu."

Paulop chevauchait les bocages sur un cheval qui n'était pas le sien. Il l'avait volé à Parrhasus. Ça la foutait mal pour un libéral... Dès qu'il avait vu Ricco, il avait compris qu'il était tombé dans un piège. Enragé d'avoir offert une porte de sortie à ce vilain, il s'en était pris aux gardes qui, par des moyens coercitifs, avaient tenté de l'inviter à se montrer coopératif.
Ricco s'était trop facilement infiltré. Il l'avait même senti arrivé... ( chapeau !) Sa tenue, trop décontractée, montrait une confiance aveugle et insolente. Comme si ce château n'était pas un un lieu hostile mais un terrain ami. Paulop avait compris.
Il n'avait pas mis beaucoup de temps pour mettre hors d'état de nuire les spadassins du seigneur, dans un premier temps, et pour s'emparer de ce dernier, dans un deuxième temps. Paulop n'avait pas pris la peine de l'interroger, ce n'était pas le moment et il n'en avait eu ni le temps ni l'envie.

Parcourant les bois, il entendit le bruit du bois qu'on coupe et qui tombe au sol. Il serra les rennes de son cheval et se dirigea vers ce qu'il pensait être l'origine de ce bruit.
Devant lui, fort, suant, torse nu, tendu, blond, se tenait Pluto face à une souche d'arbre robuste et large. Sa main fendit l'air, et avec sa tranche, il coupa en deux une bouche. D'un coup. Le bois se fendit, comme du beurre qu'on vient de couper en deux, et deux morceaux tombèrent au sol. D'un geste lent, Pluto s'empara d'une serviette à l'éffigie de Hayeck. ( Pas Salma, non...) et épongea son front dégoulinant avec. Il souffla un peu, grossissant ses joues rouge d'effort.
Son regard ténébreux et dur se porta vers l'intrus. Qu'il avait déjà repéré depuis bien longtemps déjà ( chapeau !). Un sourire ironique naquis sur son visage, ses yeux toujours fermés. Pour les protéger de la sciure de bois, et non pour se donner un air.
Il passa sa main sur son front mouatte et chassa une mèche blonde, rebelle, qui y était collée.
- Tu devrais mettre des gants pour te protéger les mains quand tu coupes du bois, Pluto...
- Surtout pas. Ça mettrait de la résistance...Mes coups manqueraient de punch.
- D'ailleurs, pourquoi tu coupes du bois ? On est pas en hiver.
Pluto le regarda. Circonspect. Et légèrement ennuyé.
- Et tu devrais mettre un t-shirt, tu vas attraper froid.
- T'as dit qu'on était pas en hiver, répliqua Pluto.
- C'est pas une raison.
Le modérateur gascon poussa un juron. Il ne fallait pas titiller sa nature délicate.
- Dis moi plutôt pourquoi tu viens me déranger, l'elfe.
Paulop le regarda quelques instants, analysant ce qu'il venait d'entendre. L'elfe. C'était normal. Plutonium l'appelait toujours ainsi quand il s'énervait. Un peu. Parce que quand il s'énervait vraiment, c'était autre chose. Et pluto ne s'énervait jamais contre l'Elfe.
- J'ai été victime d'une infamie. Je suis sûr que Parrhasus est dans le coup.
- Et bien, amènes le et nous l'interrogerons...
- Il est déjà là. Je l'ai fais prisonnier, j'ai demandé aux autres de le mettre aux fers. VRP et Pod doivent le surveiller.
Plutonium regarda son collègue, un peu étonné.
- Et après, on dit que je suis un rapide...
Paulop raconta son périple à son collègue. L'arrivée chez les centristes, la découverte du mystérieux hollandiste péteur, la nuit chez Parrhasus et et son comportement étrange. L'attaque de Ricco. A ce nom, Pluto se raidit...
- Ricco...
- Oui, dit froidement Paulop. Ricco.
- Sinon, qu'est ce que tu foutais avec ce socialiste ?
- Je voulais l'emmener ici, répondit franchement Paulop, laissant entendre une conversion par son regard fixe.
- je vois. Je n'imagine pas si Pezz l'avait pêché. Nous aurions encore à compter un autre tambourin chez les Frontistes de Gauche.
Paulop haussa les épaules à l'énonciation de cet étrange néologisme politiquement tendancieux. Si Pezz entendait...
- Ricco l'a pris avec lui.
- Tant pis, dit Plutonium en attrapant sa peau de bête, posée sur un rocher. Ça fera un national-socialiste de plus...
- C'est un métèque. Il va se faire massacrer.
- Tant pis, ça fera un idiot utile de Sos Racisme en moins...
- Pluto ! Nous devons le délivrer.
Plutonium se retourna et fixa durement son ami. Une pair de sourcils froncés mettaient à l'épreuve la détermination de Paulop.
- Ben vas-y, prend ton cheval et va le "délivrer", Zorro.
Paulop haussa des épaules, indifférent à l'ironie de son collègue. Ils auraient à reparler de cette histoire. En attendait, seul primait Parrhasus dans leurs priorités. L'interroger, tout de suite.

La prison des libéraux était une charmante cabane sans fenêtres et sans toilettes, légèrement surélevée sur des briques. On y attachait le prisonnier a des chaînes, et un garde volontaire le surveillait, assit à côté d'un petit poêle. Il y avait eu un débat enragé pour savoir si on devait lever un impôt pour financer ce Poêle, ou si c'était le garde qui devait se le payer. Finalement, on décida d'incorporer les coûts de ce chauffage au bois dans ceux de la cabane. Financée grâce à un emprunt chez Goldman Sachs. Ryuzaki avait été très sceptique sur ce procédé, mais vu qu'il était belges et bronzé, personne ne l'avait écouté.

Il faisait sombre dans la cabane quand Plutonium y pénétra. L'ouverture faisait entrer une lumière blanche puissante, qui aveugla Parrhasus, assit sur le sol, tentant de se protéger la vue avec ses bras devant les yeux.
Il ne voyait rien, si ce n'est deux silhouettes noir, à contre-jour.
- Parrhasus...
- Plutonium ! Libère sur le champ ! C'est un scandale ! Paulop a mis à sac mon domaine...
- Il m'a tout raconté, l'interrompit le modérateur en s'avança vers une petite étagère, à droite de l'entrée. Il prit un livre.
- Que faisait Ricco dans le château ? demanda Plutonium, sans cesser de fixer le livre. Il lut la quatrième de couverture. Le livre était gros, imposant.
- Je n'en sais strictement rien ! Comment le saurais-je ? Ce rat est un diable d'homme ! Il s'est introduit par effraction ! C'est une violation de ma propriété !
Surexcité par l'adrénaline, Parrhasus jeta un regard furtif vers son geôlier, assit à côté du poêle. Pod le regardait silencieusement, comme on regarde un cadavre. Il n'avait pas son petit air ironique, le même qu'il arborait quand il déclarait que le "Fouquet's est un bistrot comme les autres."
Non, là il était très sérieux. On entendait même pas VRP troller à l'extérieur, lui qui gardait l'entrée.
- Tu as eu un comportement étrange au cour du repas. Pourquoi ? Tu as précipitamment quitté le banquet... Et tu n'es pas revenu. Pourquoi ?
- J'ai été demandé par mes gens pour un problème domestique sans importance...
Plutonium s'avança lentement. Parrhasus ne pouvait voir son visage. Il n'avait aucun outil, aucun moyen d'analyser ce que pouvait penser Plutonium. Le contraste entre la lumière et les ténèbres dans lesquelles la cabane était plongée n'aidait pas.
- Parrhasus. J'ai l'action Humain de Von Mises entre les mains. Plus de mille pages de réflexion économique de l'école autrichienne. Je te conseille de parler.
Le ton coupant de Plutonium changeant de l'habituel ton cassant qu'il arborait dans ce genre de situation. Parrahsus pouvait néanmoins sentir la tension émanant de la stature tendue qu'adoptait le modérateur. Ses poings étaient d'ailleurs serrés, et il tenait fermement le livre dans sa main gauche.
- C'est anticonstitutionnel ce que vous faites ! Vous n'avez pas le droit de me torturer !
- On ne va pas te torturer, vu que tu vas parler, dis froidement Pluto. De toute façon, nous allons retrouver le petit socialiste que Ricco a enlevé, et il nous dira ce qu'il sait. En attendant, je te conseille de réfléchir, Parrhasus.
Plutonium se retourna pour partir, sous le regardé médusé du conservateur. Il avait posé l'action humaine de Mises à ses pieds.
- Surveilles-le bien, Pod.
- Nan, je vais le laisser s'échapper rien que pour m'amuser. Ce sera trop funky de le voir mettre le feu à la communauté.
Pluto ne dit rien, et ne répondit pas à la provocation courroucé du libéral, privé du Match l'OL vs Lorient ( Lorient... Je savais pas qu'ils étaient en L1) par sa réquisition. Lui qui croyait qu'en devenant libéral, on le libérerait des corvées... " niqué", lui avait dit Arteus, comme s'il se satisfaisait des désillusions des convertis ( il n'oserait pas...)

Plutonium sortit de la cabane aussi froid qu'un glaçon. Paulop attendait dehors.
- On fait quoi ?
- Il cache quelque chose. Mais je l'ai un peu secoué avec le petit socialiste, là...
- Donc, on va le chercher ? Demanda Paulop, comme si cela coulait de source.
- Non ( Plutonium s'arrêta et se tourna vers son collègue, mains sur les hanches) surtout pas. C"'était juste pour effrayé Parra. Je pense pas que ton socialiste soit d'une grande utilité à la résolution de notre problème.
- Parrhasus ne dira rien si il n'est pas sur et certain que le petit Caporal est courant de quelque chose. Nous devons nous en assurer.
- Le petit quoi ? Demanda Plutonium, ignorant.
- Caporablutch, c'est son nom.
Plutonium se gratta la tête, le visage soucieux.
- Putain, quel pseudo débile. "

RAclure de hollandiste osé me traité de hobbit faisant des fautes d'orthographe

Sinon c'etait bien

coco691001 Voir le profil de coco691001
Posté le 21 avril 2012 à 20:47:44 Avertir un administrateur
Raclure de hollandiste, oser me traiter de hobbit faisant des fautes d'orthographe.

Voilà, corriger.

• corrigé ( j'ai bien l'air *$ùù* maintenant...)

Chien tu as profité de mes faiblesses je t'en ferais patir je sais ou t'habites (enfin à peu pres)

coco691001 Voir le profil de coco691001
Posté le 21 avril 2012 à 20:55:32 Avertir un administrateur
Chien tu as profité de mes faiblesses je t'en ferais patir je sais ou t'habites (enfin à peu pres)

Moi aussi. Je sais où tu habites. Tu vois, c'est amusant ?

Oui mais toi tu n'as pas des idées haineuses envers moi

coco691001 Voir le profil de coco691001
Posté le 21 avril 2012 à 22:29:23 Avertir un administrateur
Oui mais toi tu n'as pas des idées haineuses envers moi

Pas pour l'instant. Je les réserve contre Romney.

imthere Voir le profil de imthere
Posté le 21 avril 2012 à 14:57:15 Avertir un administrateur
Je me disais bien ... On s'est fait enfler d'une semaine

Grève du scénariste ?

Excellente déduction. Grève du scénariste, en effet. C'est un feignant, il réclamait de l'inspiration. Les employeurs ont finalement cédé, à condition qu'il y foute pendant les deux semaines de vacances qui vont suivre.

Secession était, comme à son habitude, en porte à faux vis-à-vis de la communauté. Isolé, le bougre libéral vaquait à ses occupations quotidiennes, écoutant de temps en temps son étrange musique électronique dont lui seul arrivait à lui trouver un quelconque charme artistique ( il partageait parfois avec les autres libéraux, mais ceux-ci, hypocrites, n'osaient pas lui avouer que, décidément, le Rock métal nordique était supérieur à la musique électronique pour drogué sous perfusion.) .
et le pire c'est que je suis en train d’écouter ça : http://grooveshark.com/s/Que+Veux+Tu+Madeon+Extended+Remix/3CxaXx?src=5

Je pense que ce topic est sûrement le plus culte de tout le FoPo.

J'adore ce passage :

Marchant d'un pas traînant dans cette chère Forêt du Fopo de la communauté libéral autogérée ( Windaube avait vendu les plans aux libéraux sans leur annoncer la couleur), forêt autogérée par un syndicat des eaux et forêts mutualiste ( plans vendu aussi par windaube: voir "Windaube s'essaie à la spéculation foncière et immobilière sociale et solidaire") il admirait les arbres, les fleurs, et le lichens sur les cailloux. Parfois il leur donnait des bisous ( souvenez vous, Secession écoute de la musique de drogué) et souriait. Ces rares moments d'humanité, il les réservait à la solitude, seule maîtresse qui... ( flemmardise de l'auteur pour trouver une figure de style romantique, de toute manière aucune fille ne lis cette histoire)