C'est énorme y a beaucoup de vérités dans ma caricature !
Tu dois faire un lourd travail de recherche.

BusterCall Voir le profil de BusterCall
Posté le 8 juin 2012 à 13:28:13 Avertir un administrateur
C'est énorme y a beaucoup de vérités dans ma caricature !
Tu dois faire un lourd travail de recherche.

J'ai interroger des Anciens. Je suis le blabla+topics en tête d'affiche. Ca donne beaucoup de matières.

Les mains pleines de sang, Pluto y tenait un morceau de viande. Qu'il maintenait contre son crâne endoloris. Le modérateur se tenait assit dans sa cabane de chasseur. Une baraque faite de buches plantées dans le sol.
_ Anken, ce n'est pas parce que tu es druide que je n'ai pas le droit de te frapper.
_ Je sais ce que tu ressens, dit le druide ( oui Anken est druide... ), tu rejettes sur moi la colère que tu ressens...
_ Anken, je vais t'en mettre une.
Tandis que le Druide s'essayait au sort pour guérir le grand modo...
_ Tain, Ank', éloigne cette baguette, tu vas me crever l'oeil !
_ C'est pas moi qui choisi la chorégraphie pour le sortilège !
_ T'appelles ça une chorégraphie ?!"
Tandis que les deux minarchistes blablataient gaiement, Buster s’entretenait avec Paulop dans un coin de la cabane.
"_ Je suis formel, dit le philosophe, ce n'est ni une attaque de nain, ni une chute de satellite.
_ Mais Buster, c'est ce que je me tue à te dire ! Répéta pour la énième fois l'elfe, en agitant ses mains en avant comme un commerçant italien.
_ D'après mes conclusions en utilisant le théorème de l'objectivisme de Ayn Rand, donc en faisant usage de manière rationnelle de tous les éléments que nous disposons et en mettant en relations les différents témoignages recueillis, il semble que nous ayons à faire à des juifs ashkénazes nazis roulant pour François Hollande sur Actu.
Paulop laissa tomber ses bras. Il jura et dévia sa tête sur le côté, cachant mal son agacement. Il s'en mordait les lèvres.
_ Tu sais que ce que tu dis n'a aucun sens ?
_ Ce sont les faits, pourtant.
_ Et le bon sens ? Buster, le bon sens...
Buster réfléchit un instant. Il tapota du doigt contre l'arrête de son nez. Qu'il trouva décidément parfait.
_ Tu as raison. Ce sont peut-être des nazis qui se font passer pour des juifs, afin de nous tromper !
Paulop resta calme. Il positiva en se disant que la marge de progression de Buster se réduisait dans le bon sens.
_ J'ai une meilleur idée, dit Paulop. Le petit Caporal Blutch s'est fait enlevé par Ricco à cause de ma négligence. Ils se retrouvent à Actu, se font capturer par des troupes d'un quelconque baron crypto-fasciste. Celui-ci décide de garder Ricco à ses côtés, normal me diras-tu. Il expulse le petit caporal de son territoire, normal me rediras-tu.
_ Non ! Interrompit Buster. Pourquoi ne l'a-t-il pas exécuté ?
_ C'est vrai... Le petit Caporal a dit qu'on souhaitait nous envoyer un message, dit Paulop en se massant le menton. Décidément, comme tous les elfes, il était imberbe.
_ Le petit Caporal parlait d'un camp militaire et de troupes nombreuses... l'informa Buster, comme répétant une brève entendue au bistrot. Sans doute une énième guerre entre Popeye et ses administrés...
Cela ne convainquait pas Paulop...
_ Mouais, nos dernières informations remontent à il y a quelques mois... elles ne sont pas fraiches. Popeye faisait face à une rébellion particulièrement agressive, autant sur sa gauche que sur sa droite. Imthere va souvent sur Actu, il doit en savoir plus. Il serait intéressant que nous nous informions sur la situation de nos voisins.
_ Et que va-t-il advenir du petit caporal ?
L'elfe soupira, les mains sur les hanches.
_ Nous allons le libérer et l'envoyer chez les socialistes. C'est ce qu'il y a de mieux à faire. Après ce qu'il a fait à Pluto, je ne sais pas si c'est une bonne idée de la garder ici...
_ Tu ne peux pas faire ça ? Tu le vois parler de François Hollande au milieu des mélenchonistes ? S'inquiéta vivement le philosophe, tel BHL face à Ben gazé.
http://b7.img.v4.skyrock.net/b79/patochoco/pics/1347418672_small.jpg
_ C'est vrai... Il se ferait traiter de libéral. Ce qui serait une insulte pour nous. Mais avec son prosélytisme hollandiste, je le vois mal rester ici ! Répliqua durement Paulop, plus gêné qu'autre chose. Tu le vois, sérieusement, parler de l'impôt progressif à Dany ? Ou de la Banque Publique à _Thatcher ? Il va se faire massacrer.
_ Pas s'il a un guide. J'ai sondé son âme, il est suffisamment bête pour être un libéral souhaitant égoïstement payer le moins d'impôt possible.
_ Heu... Buster, tu devrais arrêter avec Ayn Rand. Si on commence à compter sur l'égoïsme des gens...
_ Y a que ça de vrai.
Paulop ne souhaitait pas répondre, mais devait avouer que Buster avec raison. Si la Communauté libéral tenait, c'était surtout par l'arrivisme de certains voulant bien se faire voir auprès des instances dirigeantes, faire leur true rebelle en lisant le Cri du Contribuable et le blog de H16, et espérer un monde où ils pourraient librement aller mitrailler en Seine Saint Denis tout en payant une flat taxe de 10% sur leurs revenus... déclarés.
Heureusement ils n'étaient pas tous comme ça. On les différenciait rapidement des libéraux en général... Un libéral - français - honnête argumente et pense au suicide une fois par jour au moins.
_ Il va rester ici provisoirement... admit Paulop.
_ Il faudra lui trouver un sempai pour veiller à ce qu'il ne dise pas trop de bêtises. Je me demande qui sera suffisamment idiot pour accepter ce poste...
Paulop dévisagea un instant Buster, mais ce dernier était trop occupé à balayer du regard le dehors de la cabane où la petite communauté s'activait.
_ Voiii ! Bande de chiens ! Arrêtez de me regarder comme ça, n'y pensez même pas ! Je vous ai entendu avec mon ouïe hyper développée de samouraï ninja ! Dit L_Ryuuzaki, dans un champ pas loin, en train de méditer dans l'herbe fraiche.
_ On peut être les deux ? Samouraï et ninja ? S'étonna Buster, circonspect. Paulop, lui, continuait à regarder autour de lui. Il croisa Galactico, le journaleux de la Gazette de JVC en train d'écrire un article ( en marchant ! Quel Homme !) sur les pokemon.
Galactico souhaitait être journaliste. Il l'avait même écrit sur son profil du Wiki de JVC.
http://wiki.jvflux.com/Galactico
Pourquoi ce choix funeste ? Tout simplement parce qu'avant de recevoir la sainte lumière, Galactico pensait que tous les journaleux étaient à la solde de Sarkozy le tubo-libéral, et que pour réussir il fallait en être. Le brave... Depuis, il tentait de se convaincre - difficilement - que le Figaro était un journal socialiste.
Paulop raya immédiatement Galactico des candidats potentiels. Si le petit Caporal était un socialiste, il ne voulait pas obtenir ça comme résultat: " Il faut voter François hollande, c'est un fan de Mario Kart !"
http://www.melty.fr/francois-hollande-est-un-fan-de-super-mario-actu107295.html
A éviter.
Il croisa aussi Dany, au loin, en train de cueillir du bleuet qu'il utilisait pour ses pouvoirs magiques. Les fameux liens bleus.
Paulop le vira immédiatement de la liste des candidats. Il n'avait pas envie de se retrouver avec un petit Caporal en train de pleurer parce qu'on l'aura traiter de " collectiviste stalinien" pour avoir émis l'idée d'améliorer les remboursements de la Secu.
Ce fut au tour de Bellegarigue d'entrer dans le champ de vision de Paulop. Avant d'en sortir presque immédiatement.
JohnGalt, Lesjodupekin, passèrent aussi. En train de rire pour tout est n'importe quoi, bourrés comme des barriques. Le petit Caporal, en leur présence, verrait sa moralité mise entre les deux lunes d'une fille de joie grasse aux essences de Vodka. Il ne valait mieux pas y penser...
C'est alors qu'il croisa Fffanatic en compagnie de Secession. Le premier était une personne docte aux mérites reconnus. Mais... il y avait un on ne sait quoi de sulfureux avec Fffafa. On savait que tout irait bien... mais on ne pouvait s'empêcher d'imaginer le pire. Un brin d'incompréhension pouvait tout faire basculer.
Paulop n'avait pas envie de se retrouver avec un petit Caporal en larme: " ouin ! Fafa m'a traité de *$^ù*$^ et de !!ùù**^^ ! "
Ce n'était pas souhaitable, du tout. De plus, Ffafa... n'était pas méchant, loin de là... Mais disons... Pince sans rire. Voilà, pince rire. Disons les choses ainsi.
Paulop écoutant son instinct, il reporta son attention sur Secession. C'était un honnête libéral-conservateur bien sous tous les rapports, malgré sa musique de détraqué cosmopolite. C'était un dilettante passionné, calme et austère, tout en retenu. On avait jamais entendu une plainte contre Secession... Même Pluto ne s'était jamais énervé contre lui, c'est dire !
Paulop jeta son dévolu sur le fan de la guerre civile américaine.
Il tapota sur l'épaule de Buster qui en était toujours à discuter avec le rônin noir et belges, malgré les cinq-cents mètres qui les séparaient.
_ C'est incroyable ! s'exclamait Buster, poings calés sur les hanches. Incroyable ! Il m'entend...
_ Voii ! Tu vas en revenir, oui ? Tu gênes ma méditation, espèce de gnou !
_ Incroyable, répétait Buster, soufflé. Littéralement. Il venait de recevoir un seau à l'arrière du crâne. Les potions de Anken ne semblaient pas calmer les douleurs du modérateur gascon...
Paulop s'éloigna bien vite de la scène de pugilat qui commençait à s'engager, bien que son imposante aura le protégeait de toutes brusqueries sauvages. Il préférait garder son esprit au calme.
L'agitation de Pluto lui permit de se rendre compte qu'il avait agit jusqu'à maintenant sans son aval... Pluto aurait sans doute refuser de garder un socialiste ici. Mais Pluto n'était pas tellement en état d'assurer ses fonctions. Anken, le visage oscillant entre le bleu et le violet, pouvait en témoigner.
L'elfe décida de laisser le philosophe et le samouraï-ninja pour s'approcher de Fffanatic et de Secession qui se dirigeaient vers la forêt.
Il les suivit.

A 3h25 quand tout le monde dort, le topic est déjà en deuxième page.

Ah et en tant que professeur (ou pas on verra ), tout bon court commence par conspuer Mai 68 et les hippies.

"- Tu as bien vérifié ? Il n'y a personne dans les environs ?
Secession ôta ses écouteurs. Sa tête bougeait encore du rythme de sa musique de dépravé ( voir "L-Ryuuzaki, critique musical")
_ En tout cas, personne nous suivait.
Le libéral conservateur remit sa musique. Ffafa grogna une remarque inaudible et se coucha sur le sol, les moins jointes. Les deux libéraux se trouvaient dans une clairière, l'historien avait une vue parfaite sur le ciel bleu azur. Le fan de la guerre civile ricaine s'assit sur un tronc à l'abandon que Plutonium avait malheureusement fait tombée ici, après une interminable partie de scrabble avec Coco. ( voir " les douze Travaux de Plutonium")
Cela ne gênait absolument pas l'historien de devoir supporter Secession. Secession se taisait. Secession écoutait sa musique. Secession était là par hasard.
Ffafa plissa des yeux. Une branchette craquela. Le brun mécheux ténébreux releva un œil vers Secession... dans son trip. Une autre branchette craquela.
Sans crier gare, ( ce qui serait stupide, même dans le pire des nanars on ne crie pas gare.) Ffafa se releva comme un seul homme ( unique, ce type !) et fondit sur Secession qu'il souleva d'un geste sur ses deux mains. Le pauvre poussa un hurlement de surprise et vit le sol se dérober sous ses pieds.
" - Sortez de votre cachette ! Où je vous envoie Secession en travers de la gueule !"
L'instinct de Ffafa ne l'avait pas trompé. Il avait repéré deux aura derrière les bosquets, dont une puissante... donc facilement repérable. Buster et Paulop sortirent de leur cachette. Le philosophe défroissa ses vêtements poussiéreux; Pas Paulop, qui, comme tous les elfes, restait naturellement propre.
"_ Pas de panique, Fffanatic, c'est nous ! Dit Paulop en relevant la main en signe de paix. Et tu peux reposer Secession...
Ils levèrent leur regard vers le concerné, qui s'était évanoui de frayeur. Fafa obéit. Secession s'écrasa au sol et se releva de suite, éveillé et le dos en bouilli.
_ Qu'est ce vous voulez ? Et qu'est ce qui vous prend à vous cachez comme ça ? Puis, regardant Buster: Vous êtes vraiment pitoyable...
_ Ahem, si tu le dis, Fafa, dit l'elfe, blasé. Nous avons une requête à soumettre à Secession.
L'ainsi nommé leva des yeux circonspects, si ce n'est tourmentés vers ses confrères.
_ Comment ?
_ Secession ! S'exclama Buster en levant doctement le doigt. Nous avons besoin de toi...
_ Vous pouvez pas allé à l'essentiel ? S'énerva Fafa. Vous me dérangez, et c'est agaçant. Faisant peu de cas des propos de ffanatic, ( quel inconscient...) Buster continua sur sa lancée:
- Vois-tu, cher Secession, un problème se pose à notre communauté... ( tous obliquèrent des yeux, pas pour les mêmes raisons)
- tu parles comme un collectiviste, maugréa Fafa.
- S'il te plaît, Fafa ! s'écria Paulop. Un peu de tenu.
_ Il a raison, objecta Secession, c'est flippant ce qu'il dit...
_ Il a encore rien dit, rétorqua l'elfe.
- JE peux continuer ?
- Nan. Partez. sinon je vous fais partir. Avertit le docteur en histoire. Très sérieux et sur de son fait.
- Mais c'est une mission que nous venons confier à Secession !
Fffanatic grimaça ( en fait, il riait...)
- Pouvez pas le faire un autre jour ? Là, je suis occupé.
- C'est au sujet du petit caporal, ce n'est ni un satellite ni un nain, et nous avons décidé de la garder ici. Provisoirement. Expliqua Buster, plein de bonne volonté. Secession et Fafa le regardèrent, sceptiques.
- Pluto est au courant ? Demanda Secession.
- Dieu nous en préserve !
- Et qu'est ce que je dois faire ?
- Le surveiller. C'est aussi simple que ça...
- D'accord, accepta Secession avec un sourire contrit. Ça n'avait pas l'air si compliqué, et s'il pouvait aidé...
Fafa s'avança plus en avant comme un bolide, comme si il s'apprêtait à faire une révélation atomique.
- Attendez ! Vous lui avez demandé son avis au Capo ?
- Que veux-tu dire, Fafa ? Demanda l'elfe parce qu'il fallait bien qu'il serve à quelque chose dans cette scène.
- Et s'il ne voulait pas rester ici ? C'est un socialiste d'après ce que j'ai compris... Vous le voyez, ici, entre Ryu et Dany ? Je le plains.
- Nous nous sommes déjà posé la question, figures-toi, l'informa l'elfe avec dédain. Et nous sommes tombés d'accord. Nous le gardons provisoirement. J'insiste sur ce mot...
_ Vous n'avez pas le droit ! Objecta une voix dans l'ombre. Tous en cherchèrent l'origine. Elle avait un affreux corse, et semblait venir de la garrigue...Les buissons tremblèrent. Une sorte de clochard sauvage en sortit, furieux.
_ C'est contraire au droit naturel ! Que Saint Rothbard vous maudisse ! Les mineurs ont le droit l'autodétermination aussi...
- Putain... gémit Fafa, affligé. Autant que ses compères.
_ Bellegarrirgue... gémit l'elfe de dépit.
_ Vous n'avez pas le droit d'user de moyens coercitifs sur ce nain.
- On est pas totalement sur, objecta Buster, une étude scientifique nous permettrait de faire le distinguo entre un nain et un satellite...
- Buster.... Paulop se frappa le visage.
- Bande de staliniens ! Je fais secession avec vous !
Fafa regarda Secession et lui demanda:
- ça fait combien de fois qu'il décide de faire sécession avec la communauté ?
- la 365ème fois, je crois...
Bellegarrigue poursuivit sa propagande d'anarcho-individualiste justnaturaliste encore une demie heure, sous les mines défaites de ses camarades. Fafa s'avança en avant et montra le sol.
- Belleguarrigue, attention ! Un stalinien !
L'anarchiste se baissa.
- Où ça ?! s'écria-t-il, regardant dans chaque brin d'herbe si un poil de moustache de Staline ne s'y cachait pas. Fafa en profita pour envoyer sa gambette en avant dans un grand coup. L'anarchiste vola dans le ciel, tel la time rocket à la fin d'un épisode épique, plein de rebondissements et de suspens de Pokemon.
- Dans ton cul, dit avec ironie le libéral en contemplant son œuvre. Il se retourna vers ses amis, et regarda Secession: Bon, tu acceptes. OK. Si tu te plains, je t'en met une.
Pour se rassurer, Secession fixa Paulop et lui demanda où se trouvait le petit caporal qu'il devait garder sur les voies de la Lumière.
- Dans la cabane au fond du jardin, sous la surveillance de Pod...
- Et qui surveille Pod ? Demanda sérieusement Fafa.
Tous se regardèrent. Affligés.
- Et n'oublies ! Pas dit Buster alors qu'ils se dirigeaient vers la prison à grands pas. Il devra suivre les cours liberhalal des novices, et suivre mon enseignement philosophique, ainsi que les cours de survie de Plutonium...
- Tout ça ?!
- Tu n'étais pas obligé d'accepter de devenir son tuteur... Et ne t'étonnes pas s'il te parle de François Hollande, c'est un original.
Ils couraient à pas de course à travers bois vers la cabane, même Paulop qui, en tant que super modérateur, aurait pu se téléporter mais qui, pour des besoins scénaristiques, se tapaient les trois kilomètres à pieds à travers les ronces et les fougères.
Mais une bête hirsute interrompit leur expédition aussi palpitante qu'une randonnée forestière de ninjas dans un épisode de Naruto. Elle leur coupa la route et s'échappait d'entre les arbres. Deux yeux bleus terrifiants brûlaient au milieu d'une boule de poils hirsutes. Ce n'était pas un homme, mais seulement l'apparence d'un homme... On aurait dit un feu follet dansant dans un cimetière, dans la nuit.... Un monstre des bois affamé, où un bosquet géant en mouvement...
"_ Je sais qui John Galt ! S'exclama l'ancien modérateur...

La "time" Rocket ?

IIIIIIIIIIIIIll Voir le profil de IIIIIIIIIIIIIll
Posté le 20 juin 2012 à 04:47:29 Avertir un administrateur
La "time" Rocket ?

Mon correcteur automatique qui me joue des tours...

Depuis quand les libéraux acceptent de faire des choses sans rémunération sonnante et trébuchante ?

J'ai battu pluto au scrabble héhé

oco69100 Voir le profil de coco69100
Posté le 20 juin 2012 à 11:55:47 Avertir un administrateur
J'ai battu pluto au scrabble héhé

Je dirai plutôt que Plutonium n'a jamais eu le courage ni les nerfs assez solides pour terminer la partie....

tu as du commencer avec "liberté" dès le début ^.^

sinon bravo pour tout ce que tu as écris.

Sweet.

Secession Voir le profil de Secession
Posté le 1er juillet 2012 à 13:09:16 Avertir un administrateur
Sweet.

heuuuuu... Chuis assez occupé en ce moment.

L'obscurité régnait dans la pièce. Une raie de lumière éclairait les bords d'un immense bureau en forme de fer à cheval. Des silhouettes se détachaient derrière, drapé dans le manteau des ténèbres.
0RC0 s'avança plus en avant, de sorte que le dessus de son visage baignât dans la lumière.
"- Ricco... vous avez lamentablement échoué...
- J'ai pas fais exprès, hein...
Le frontiste, ancien garde du corps de Jean Marie Lepen, représentant de la classe masculine à la française, ne semblait pas prendre la température des évènements. C'est à peine s'il avait esquissé un geste nonchalant de la main pour dissiper le reproche de son patron...
- Enlever les mains de vos poches, idiot.
Ricco s'exécuta en soupirant d'ennui. 0RC0 reprit tandis que les autres silhouettes demeuraient dans l'ombre, silencieuse...
- Vous deviez éliminer Paulop... et vous vous êtes enfui avec un otage sans valeur, que vous avez laissé partir. Je ne parle même pas de l'agitation que vous avez créé sur Actu...
- Ce crétin a failli tout faire raté ! S'exclama une ombre.
- du calme, mon cher Wish', du calme... tenta de le tempérer 0RC0, restant aussi immobile qu'un bloc de granit millénaire. Qu'avez vous a dire pour votre défense ?
- Je suis en vie, c'est le plus important.
Les membres du conseil restèrent circonspect devant cette manifestation d'égo épanoui.
- Votre otage ne vous a rien dit ?
- Que des choses drôles ! S'exclama Ricco en faisant un petit geste de la main, genre ce n'est rien, une futilité. Trouvant l'idée drôle, Ricco continua: Un petit plaisantin qui n'arrêtait pas de parler de François Hollande ! Comme quoi il serait président de la république... J'ai jamais autant ri. J'ai presque eu un pincement au coeur quand il m'a quitté...
Des murmures s'élevèrent autour de la table... inquiets, furieux, incrédules... 0RC0 les fit cesser d'un raclement de gorge.
- Où est ce nain ?
- Sturmie l'a catapulté sur les terres du Forum Politique... A l'heure qu'il est, les libéraux doivent l'avoir occis prestement, ils n'aiment pas qu'on se moque d'eux.
Le silence... Des enfants de zep devant un cours d'histoire sur les hébreux auraient paru plus enclin à la gaieté...Ricco sentait des regards de glace braqués sur lui et ça ne le rassurait pas du tout... Il lui semblait qu'on s'approchait de sa personne, petit à petit... Le lieu devenait oppressant, le silence n'aidait pas, et encore moins la mine déconfite de 0RC0
- Récupérez immédiatement ce nain, maugréa 0RC0, la bonne marche de notre Projet en dépend... Ne nous décevez pas.
- Je vois pas l'intérêt de ce nain...
- Exécution !!" Claqua tel un fouet la voix tonitruante de 0RC0...

...

"_ Je sais qui est John Galt !
La petite bande - de bras cassés... non pas tout de suite - regarda Darkman avec consternation. Le pauvre avait pris du poids, ses traits étaient tirés, bouffis, son visage dévoré par une barbe aussi envahissante qu'une plante montante... son regard, furieux, lançait de petits tics pardessus ses paupières qui plissaient selon un rythme encore inconnu du genre humain.
- Je sais qui est John Galt ! S'écria-t-il encore. Les autres hésitaient sur la marche à suivre: Buster se demandait si en bon randien il devait passer son chemin ou considérer Darkman comme un faible nuisible et l'exécuter; Paulop avait de la peine... le pauvre faisait du dénie de situation: ce n'était pas Darkman; Fafa était dans un tout autre registre, il faisait craquer ses phalanges; quant à Secession, c'était la peur qui lui broyait les tripes, faisant remonter son petit déjeuner qu'il ne réussissait jamais à digérer de toute façon;
Buster, pédagogue par nature, dit:
"- Et qui John Galt, Darkman ?
- C'est Jean-Marie Lepen, il se présentait comme le Ronald Reagan français dans les années 80, c'est un signe !
Consternation. Bras ballants. Regards ayant la vivacité d'une mouche. Une mouche passa, d'ailleurs...
- C'est Jean Marie Lepen ! S'écria Darkman. Je lui ai crevé l'oeil comme ça !
- Désolé, Darkman, commença Secession, mais John Galt, c'est pas Jean Marie Lepen... John Galt n'a pas d'oeil de verre.
Darkman resta interdit quelques instincts. Puis il s'ébroua en arrière, marchant d'un pas trainant telle une méduse tentant le cent mètres sur une plage en méditerranée. Il disparut dans la végétation.
- Rah ! S'écria-t-il, vilain. Je reviendrai !
- C'est ça, maugréa Fffanatic, amer. Bon, on va pas s'éterniser.
Ils continuèrent. La cabane se faisait précise devant eux, à la sortie des bois. Ils se dirigèrent vers elle. Buster voulu toquer, Fafa défonça la porte en la poussant avec son anulaire.
- Putain la porte ! Merde ! S'écria Pod, mécontent.
- Les courants d'air ! Rajouta Parrhasus.
- Vos gueules, leur répondit Fafa en entrant. Il visionna la pièce de haut en bas, de gauche à droite. Trouva un nain. Et vit le Seigneur Parrhasus attaché aux poignets et aux chevilles.
- Pourquoi il est attaché, lui ? Demanda Fffafa, très concerné, en regardant Parra.
- Je suis innocent ! Bande de chiens !
Buster, magnanime et sous le contrôle d'un Paulop attentif, dit:
- C'est sur ses terres qu'on a voulu intenter à la vie de Paulop... Nous l'interrogeons toujours, mais il ne veut rien nous dire.
Paulop acquiesça... Il jeta un regard soupçonneux vers le Seigneur qui lui rendait bien. Il cachait quelque chose, c'était certain.
- Si on me laissait utiliser la grande roue, aussi... maugréa Pod.
_ Monstre, vandale ! Janissaire !
- Vos gueules, leur intima Fafa. Il s'avança vers le fond de la pièce où gisait le petit caporal en train de pioncer. Fafa l'attrapa par le collet, le réveillant au passage. Il rebroussa chemin et le mit entre les mains de Secession, étonné.
- Tiens, dit-il, ton nouvel animal de compagnie. Bon, je bouge. 'voir...
Et Fffanatic ne referma même pas la porte derrière lui...
- Quel incivique, s'indigna Buster, tremblant d'une rage contenue.
- C'est un con, dit laconiquement Pod, en se grattant la bédaine.
- Détachez-moi ! Bande de petits trous du cul !
Paulop soupira... comme après une partie de scrabble avec Coco.
Secession regardait avec une délectation de religieuse amusée le petit Caporal en train de roter entre ses bras. Relevant un regard ennuyé vers ses amis qui s'évertuaient à jeter des mauvais sorts dans le dos de Fffanatic l'incivique asocial sauvage ( le bassiste, dans les groupes pour groupies...) et dit, un sourire désappointé:
- Les gars... je crois qu'il a fait dans son froc.
Paulop compatissait.

le bassiste, dans les groupes pour groupies...
En tant que bassiste (grand débutant mais quand même ), je conteste cette mauvaise publicité.

Bon sinon c'était drôle. Tu écris chapitre par chapitre ou tu as quand même un "plan", un scénario déjà en tête plus ou moins précis ?

Secession Voir le profil de Secession
Posté le 5 juillet 2012 à 01:07:53 Avertir un administrateur
le bassiste, dans les groupes pour groupies...
En tant que bassiste (grand débutant mais quand même ), je conteste cette mauvaise publicité.

C'est une réalité sociologique D'ailleurs ils sont à la basse parce qu'ils ne savent pas chanter; à la guitare ils feraient perdre toute vertu sexuelle au groupe... La valeur des cachets baisserait.

Bon sinon c'était drôle. Tu écris chapitre par chapitre ou tu as quand même un "plan", un scénario déjà en tête plus ou moins précis ?

Ca sent le type qui a peur que ça se passe mal... :hape: J'écris chapitre par chapitre, et je sais ce que je fais. Les pièces se mettent en place selon une intrigue murement réfléchie. Je pourrais d'ailleurs en dire un mot, et parler de ce complot frontiste qui vise en fait à...
PAN !!
Arg !!

(Ca tombe bien, l'assassinat, je regardais Johny English Reborn. )

IIIIIIIIIIIIIll Voir le profil de IIIIIIIIIIIIIll
Posté le 5 juillet 2012 à 01:37:47 Avertir un administrateur
(Ca tombe bien, l'assassinat, je regardais Johny English Reborn. )

Je ne suis pas mort, Peb. Nous nous retrouverons. Sois en sûr. Et certain. Crois-moi. Là. Je fais de petites phrases. Pour le styles. Le genre. Me donner un genre... Vois-tu ? Oui. Tu vois... Beaucoup d'écrivains écrivent de cette manière. Atroce. Mauvais traducteurs... en général. C'est hideux. Ingérable. Une honte... pour la littérature. Qu'on les pende. Qu'on les égorge. Mais rien... n'est fait. C'est l'inaction. La plus totale. L'inertie. Mise en mots. Pour mots. Et tu sais quoi ? Les gens.. ils achètent. Ca. Ils dépensent des sous. Pour ce genre de chose. Et personne ne dit rien. Personne ne lit.
Les gens sont cons... Mais ils ne sont pas fous.

Moi j'ai lu + je suis pas con.

IIIIIIIIIIIIIll Voir le profil de IIIIIIIIIIIIIll
Posté le 5 juillet 2012 à 02:01:57 Avertir un administrateur
Moi j'ai lu + je suis pas con.

Je vais partir du principe que tu pars d'un principe potentiellement probable, et t'accorder le bénéfice du doute.