Génial un nouvel épisode !

La partie en Egypte m'a ému. La misère humaine y est bien décrite ! On sent la miséricorde et la douleur... mais malgrés cela, il existe encore des gens sympa... Magnifique.

La momification de Rahotep... m'a fait froid dans le dos également... Eventrer et sortir le cerveau de son mari par le nez ... non merci
Mais c'etait très touchant, cela montre que Vivi est une femme forte !

Ahh le Blond est revenu 14 ans... il a du murir et est devenu peut etre moins con et qui sait... peut etre même ... séduisant

Bravo Anthony ^^

Ah et j'ai oublié de précisé les thèmes que j'ai adoré. Le theme de l'egypte colle bien ! Mais ... a la vue de tout ces cadavres ... Je truve que le thème était un peu... trop dynamique. Mais sinon l'ambiance de l'Egypte est conservé ^^

Et le thème de Grèce evidemment rien a dire, sa se fond avec le texte

Le blond peut aussi être Siegfried. M'enfin, on découvrira ça par la suite

Logiquement c'est Patroklos vu que Siegfried devrait avoir les cheveux gris/blanc ...

Je vais pas faire de pavé pour dire ce que je pense de ce chapitre : c'était excellent de A à Z.

Excellent chapitre qui résume bien la situations

J'ai bien aimé la personnalité des personnages secondaires et les thèmes

Petit up au cas où certains n'auraient pas vu le chapitre. :S

Oh oui, le retour de Patroklos, super !

Sinon, le chapitre est excellent, malgré le fait que, moi aussi, j'ai eu froid dans le dos en voyant Vivi momifier son défunt mari.

Alexandre ?
Par où es-tu passé ?

salut les amis, désolé si je n'ais pas pu donner de mes nouvelles depuis presque 1 semaine, j'étais parti bosser et de là où j'étais il n'y avait pas d'ordinateur.

J'ai lu les chapitres et encore une fois Anthony, tes chapitres sont excellents.

La partie avec Vivi qui retirent les organes interne de son mari s'à m'a... *vomit* Pardon...

Bref, continu comme ça, j'adore de plus en plus

Ça y'est j'ai tout lu !
Avant de dire mes impressions j'tient a te remercier d'avoir inclus Primus, j'ai eu une bonne surprise en le voyant, en plus en capitaine, ça pète !

Sinon j'aime beaucoup le fait que ça se passe en Égypte, ça permet de bien renouveler le paysage. Les personnages ont gagné en maturité, ça fait presque bizarre par rapport à Summum I ou ils étaient tous jeunes (et cons ).
L'intrigue est bien posé et l'atmosphère global est beaucoup plus sombre, ce qui ne me déplaît aucunement !

En somme j'ai hâte de lire la suite !
(Et j'ai l droit à un autre personnage moi aussi ? )

Ca devient un peu mort ici.

Alex.

Chapitre 7 en préparation.

Vivement.

Tu l'as dit, bouffi.

Summum II.

Chapitre. 7 : Les anciens alliés. (1/2)

Après une heure et demi de route, Bruce, Sunny et Daniel arrivèrent enfin devant le palais de la reine Vivi. Eblouis par tant de beauté et de grandeur, ils ne trouvaient les mots pour décrire ce qu'ils ressentaient. Cela changeait des châteaux ou des manoirs européens, dans lesquels ils avaient menés à bien leur mission quatorze années auparavant. A l'ombre de deux palmiers, Sunny se reposa. La petite fille, accompagnée de son père, fouilla dans la poche de sa robe déchirée quelque chose de précieux. Le bruit de l'argent claquait entre ses petits doigts fragiles. Elle tendit à la femme un collier, pourvu d'un superbe saphir éclatant de lumière, qu'elle lui mit autour du cou.
- C'est en quel honneur, ma petite ? fit-elle en lui tenant fermement les mains.
- Ce collier vous portera chance. Grâce à lui, nous avons été épargnés des pires malheurs qui se sont déroulés dernièrement. C'est un objet familial, précieux. Ne le perdez, Madame.
- Si cet objet a tant de valeur à vos yeux, je refuse de le porter. Je vais vous le rendre.

Mais alors que Sunny s'apprêtait à rendre le collier, la petite fille lui bloqua la main. Avec un sourire innocent, elle lui fit comprendre qu'elle en aura bien besoin.
- Garde-le... lui dit-elle d'une voix fluette.

Sunny fut touchée par ce geste. Que l'enfant était jolie... Ses yeux, on eût dit ceux de Naomi. Les deux s'étreignèrent, l'une souriante, l'autre au bord des larmes. Le père de famille mit sa main sur l'épaule de Bruce, et le rassura:
- Vous voilà à l'entrée du palais, Monsieur. Je vous souhaite bon courage pour la suite.

Il appella sa fille, qui avant de partir, glissa ses doigts entre les mains de Sunny. Le père souleva sa progéniture et la placa sur un chameau. Lui se contentait de tirer les deux autres bêtes qui avaient transportés les héros jusqu'à leur destination. D'un signe de la main, les deux paysans présentèrent leur adieu aux trois élus. La petite fille, dont les cheveux tombaient sur ses épaules, regarda Sunny, qui lui envoya un baiser de la main. Une fois partis, Daniel ne pût s'empêcher de lui demander si la petite fille lui rappellait sa fille.
- Oui, Daniel... C'est le cas.
- Je ne sais pas ce que vous pensez, mais j'ai l'impression que les deux malabars qui surveillent l'entrée du palais n'ont pas l'air très commodes, souligna Bruce.
- On va se montrer gentils avec eux, Bruce. Si ils persistent, tu sais ce qu'il nous reste à faire.
- Non, Dan. Si on les attaquent, on va mal se faire voir ! Quand même !
- Mais non, je ne pensais pas à ça. On procédera avec du chantage.
- Et quel genre de chantage, Dan ? lui demanda Bruce, d'un oeil interrogateur.
- Avec ce que nous a fourni Zasalamel, je pense qu'ils seront certainement mieux payés grâce à nous que par le palais.
- Tu plaisantes, j'espère ? Ca ne marchera pas. Sache une chose : Ils doivent être bien heureux, au palais. Enfin, presque... murmura Bruce qui eu la vague impression d'être observé par l'un des deux gardes.
- Qui tente rien, n'a rien, lanca Daniel, déterminé.

Il avanca promptement en direction des deux gardes. Il toussa, puis, d'un sourire presque hypocrite, se présenta:
- Bonjour, messieurs. Je m'appelle Daniel Williams, et mes amis derrière sont Bruce Parker et Sunny Takahashi. Nous sommes des... des... explorateurs. Nous sommes des amis de la reine Vivi, et nous souhaitons la rencontrer pour présenter nos... condoléances.

Un blanc se fit sentir. Aucun retour de la part des deux gardes. Daniel haussa un sourcil, puis répéta à nouveau. Toujours rien.
- Ah, je vois... Vous vous la jouez "garde londoniens", c'est ça ? Avec moi, ça ne marche pas. Je vais procéder autrement. Dans ma poche se trouve une somme bien plus élevée que ce que vous pouvez toucher ici, au palais. Vous n'allez pas être déçus, mes gaillards.
Il sortit un sachet contenant plusieurs pièces d'or. En voyant cela, les deux gardes se mirent à éclater de rire. Bruce et Sunny, honteux, s'interposèrent entre les gardes et Daniel.
- Messieurs, nous connaissons réellement la reine Vivi, alors s'il vous plaît, s'il vous plaît, laissez nous entrer, supplia Bruce.
- Monsieur. Sa Majesté ne nous a jamais parlé de vous. L'accès est refusé.
- Oh, là ! Vous me faites penser aux deux larbins de l'autre folle avec son cerceau ! Je me rappelle plus leur nom déjà...
- Antonio et Lucius... murmura Sunny, la main sur le front, exaspérée.
- Oui, c'est ça. Enfin, bref. Puisqu'on vous dit qu'on la connaît ! Que faut-il faire pour qu'on puisse passer ? Un spectacle ?
- Madame, Messieurs. Nous ne pouvons vous laisser entrer dans le palais. Rentrez chez vous.
- Non. dit simplement Daniel. Nous resterons ici. On peut attendre même la nuit si vous le voulez.
- Messieurs ! lanca la femme. Nous sommes les élus de la secte du Summum, oui, vous avez oublié de la préciser, cher monsieur Williams, dit-elle en se retournant brièvement vers Daniel, et notre mission est de protéger le peuple égyptien de Soul Edge.
- Peu importe.
- Non mais je crois rêver... pensa Bruce. Bon, annonca t-il, pourriez vous aller voir "son Altesse Vivi Nefertari" et lui annoncer que les trois élus du temple du Summum l'attendent, dehors, comme de pauvres âmes errantes ?
- Non, firent-ils en choeur.

Alors que Daniel craquait ses poings et était retenu par Sunny, une voix siffla les deux gardes de l'entrée du palais. Au balcon de la chambre royale, qui donnait vue sur la porte principale du palais, la reine, affublée d'une robe en or qui dénudait ses épaules pâles, regardait les trois héros d'un air ébahi. Elle ordonna aux gardes de les laisser rentrer, et pria aux élus de la rejoindre dans la grande salle.
- Voilà votre point faible, braves gars : Vivi ! leur dit Daniel en leur jetant un regard noir.
- Nous ne faisons que suivre les ordres de la Reine.

Ils furent immédiatement conduits par deux serviteurs que Vivi avait envoyé. Si Sunny était émerveillée par les magnifiques fontaines, Bruce et Daniel, eux, étaient charmés par la qualité de tout les matériaux qui régnaient dans le palais. Ils grimpèrent des escaliers en marbre blanc tout en contemplant des fresques anciennes. Au fond de la salle, assise les jambes croisées sur son trône, la reine Vivi, rayonnant la pièce avec son air quasi-divin, portait la couronne avec grâce. L'oeil chargé de poudre bleue et dorée, souligné d'un fin trait noir, elle laissa échapper un soupir, et se leva de son trône. Bruce et Sunny s'inclinèrent, contrairement à Daniel, qui échangeait un regard plein de "profondeur" avec Vivi, celle qui, autrefois, l'avait aimée. Il la contemplait de haut en bas. Elle n'était plus une adolescente, mais une femme plantureuse, toujours aussi séduisante. Son visage avait toujours cet aspect juvénile, presque enfantin. De son côté, elle admirait la maturité qu'avait prit Daniel au fil des années. Lui non plus n'avait pas trop changé. Il avait toujours ce charme et ce regard farceur qui n'avait pas laissé la reine indifférente... Après s'être longuement regardés, Daniel finit par s'incliner.
- Chers membres du Summum... C'est un bonheur pour moi que de vous retrouver. Je ne m'attendais pas à votre retour, vraiment. Vous avez donc appris l'atroce nouvelle...
- Oui, Vivi, répondit Bruce. Et c'est pour cela que nous sommes de retour, ici, en Egypte. Nous t'aiderons à éradiquer la présence de cette vermine une bonne fois pour toutes.
- C'est la première fois, en quatorze années de règne, que je me sens aussi affaiblie par son pouvoir néfaste. Mais je ne baisserai pas les bras.
- Nous t'aiderons à surmonter toutes les épreuves que tu as pu enduré dernièrement.
- Je suppose que vous avez appris l'annonce de la mort de Rahotep...
- Et toutes nos condoléances tardives, mais sincères, Vivi, lui dit Sunny.
- La vie est ainsi faite. Je ne vais pas vous mentir, j'ai été profondément troublée par la mort de Rahotep. Mais je ne baisserai pas les bras, ça non, je ne puis me le permettre. Le peuple a besoin de moi.
- Nous avons appris également la mort de nombreux de tes soldats. As-tu encore du renfort ?
- Ne t'inquiètes pas pour cela, Bruce. Si j'ai perdu un grand chiffre de mes plus fidèles guerriers, d'autres sont encore en vie, et bien décidés à sauver le pays, dont un que vous connaissez, je suppose... Mon plus fidèle soldat. Le capitaine de la troupe royale.
- Qui est-il ? demanda Daniel.

La reine exigea à l'homme qui se tenait derrière les trois élus d'avancer jusqu'à elle.
- Membres du Summum... la voix masculine, grave de l'individu fit frémir les héros.
- Primus ?! s'étonna Sunny.
- Et oui, c'est moi. De retour, vous aussi ?
- Primus, nous sommes contents de te revoir, lui dit Bruce. Tu as su gravir les échelons, à ce que je vois...
- Oh, l'armure ne fait pas le guerrier, Bruce. J'ai prouvé ma fidélité pendant quatorze années. Pour cette qualité, j'ai été merveilleusement récompensé, fit-il en regardant la reine d'un air reconnaissant.

L'homme à la crinière châtain claire et à la barbe brune que Sunny avait rencontré jadis avait pris de l'âge. Ses cheveux avaient des reflets grisâtres, et sa barbe avait blanchie. Mais malgré cela, il en imposait toujours autant, notamment grâce à son armure, d'or, qui le rendait presque irrésistible.
- Mon cher Primus, fit la reine d'une voix sucrée, pourquoi n'emmènerais-tu pas notres trois élus sur le terrain d'entraînement ?
- Je n'y vous pas d'inconvénient, ma reine.
- Où se trouve le terrain ? demanda un Bruce visiblement intéréssé.
- Oh, le terrain est à proximité du jardin royal. Vous retrouverez les fidèles soldats que Primus dirige d'une poigne de fer, dit-elle d'une façon presque enjouée.
- Primus... Toujours aussi imposant.
- Oh, je me souviens de toi ! Tu n'es pas la fille qui m'avait massé les pieds après une longue journée ?
- Oh... Oui, c'est moi, Sunny! Il y avait aussi avec nous cette jeune fille, qui s'appelait Ayumi, et son compagnon Maxi.
- Oui, je me souviens d'eux. Ce pauvre gars s'était bien battu... Paix à son âme. Bon, allons-y, ne dérangeons pas la reine encore plus longtemps.

Summum II

Chapitre. 7 : Les anciens alliés (2/2)

Airis, Gatien et Mila étaient face au porteur de la Soul Calibur, Patroklos Alexandra. Son visage avait conservé une certaine fraîcheur, ses cheveux blonds, décoiffés, ondulés, ne semblaient pas non plus avoir changés. Il portait un manteau noir, un pantalon du même ton, et une cape brune. Il avait les mains dans le dos et souriait.

- Patroklos ? demanda Airis, toutefois sûr de sa question.
- Vous êtes toujours aussi rapides, à ce que je vois. Où sont les autres ?
- En Egypte. Tu as entendu parler du retour de notre "ennemie", je suppose ?
- Oui. Mais je suis navré, je ne retournerais plus sur le champ de bataille.
- Patroklos, nous avons besoin de toi. Tu es le porteur de la Soul Calibur.
- Je ne veux plus entendre parler de tout ça. C'est du passé, maintenant. J'ai ma vie, et je ne souhaite pas la gâcher.
- Tu la gâche, là... lui dit Mila, sur un ton insolent.
- Qui est cette demoiselle ? Elle a bien du culot !
- Patroklos. Que tu souhaite vivre ta vie, je le cautionne tout à fait, mais pense aux autres. A ses autres qui sombrent sous les coups et la domination de l'épée maléfique. Rappelle-toi la fois où tu était on ne peut plus déterminé, où tu voulais sauver ta soeur des griffes de l'épée ! l'italien avait insisté sur un point sensible pour essayer de convaincre le grec.
- Pyrrha... Elle est heureuse, maintenant. Elle est mariée, et mère de deux adorables enfants. Moi, je n'ai rien de tout cela. Mais je me contente de mener ma vie librement. Alors, je suis désolé, mais je ne peux accepter.

Gatien s'approcha lentement, et mit la main sur l'épaule de Patroklos.
- Mon ami. Ne déséspère pas, tu trouvera la perle rare un jour ou l'autre, mais je t'en supplie, ne fais pas de bêtises, viens nous en aide. Tu es celui qui a le pouvoir de faire changer les choses. Plus vite tu acceptes, plus vite on en aura fini avec Soul Edge.
- Ah, je me rappelle de toi, l'Arlequin. Tu parlais peu, mais tu étais le plus "intrépide" de tout ce petit clan.
- Patroklos. Réfléchis...
- Bien, il va falloir me passer sur le corps, alors !

Il repoussa Gatien d'une puissance inouïe, et déploya son bouclier et son épée.
- Super. Je sens qu'on va gagner une seconde fois ! s'exclama la fille.
- Je ne vais pas refuser ce combat amical, cher Patroklos. Approche !

(Thème de Patroklos : http://www.youtube.com/watch?v=A_v70KjpTTs )

Le trio était sur la garde. Patroklos courut vers Airis, et croisa le fer avec lui. Mila s'interposa, et tentait de déstabiliser le grec avec ses jeux de jambe étourdissants. Mais Patroklos n'en avait que faire, seul Airis l'intéressait. Il était le "meilleur" pour lui. La fille le poussa à terre, mais elle fut repoussée violemment par le guerrier blond. Gatien agita sa lance dans tout les sens, et Patroklos esquiva l'attaque en optant pour une roulade sur le côté. Il bloqua l'attaque de l'ancien arlequin avec l'aide de son bouclier. Airis était dans son dos, et lui mit la lame sous la gorge. Patroklos ne bougeait plus. Il ne se défendait plus. Il avait cédé aux exigeances des élus.
- J'accepte, dit-il.
- Voilà qui est mieu, répondit l'italien.
- Mais quand vous m'aurez prouvé votre valeur avec plus de force !

Il envoya un coup de coude dans l'abdomen d'Airis, et se lâcha de son emprise. Qu'attendez-vous ?! les nargua t-il. Mila, ne supportant pas la personne de Patroklos, fit un salto avant, et enchaîna de nombreux coups de pieds et de dagues, que le grec para superbement.
- Je n'aime pas beaucoup ton air, lui lanca t-elle, un brin énervée.
- Tu rage car tu n'arrive pas à avoir le dessus ? Ridicule.

Avec son bouclier, il repoussa Mila à l'autre bout du terrain. Gatien envoya sa lance que Patroklos évita en roulant une nouvelle fois.
- Toujours cette technique digne d'un champion olympique ? Nul.

Le grec et l'italien étaient face à face. Airis serrait son sabre, et le pointa vers Patroklos, qui riait.
- Ca va être drôle.

Ils foncèrent l'un sur l'autre, et laissaient leurs lames s'entrechoquer. Après une série de coups interminables, Airis déstabilisa le frère de Pyrrha en donnant un coup de pied dans son bouclier, qui tomba à terre. Mais quelle erreur fit Patroklos en désirant le récupérér, car Gatien profita de la situation pour prendre l'homme par le col pour mieu le jeter contre le mur. Sa lame pointue le menacait.
- Là, oui ! Vous m'avez convaincu.
- Tu as eu ta dose ?
- Oui l'Arlequin.
- Es-tu prêt pour partir avec nous pour l'Egypte ?
- Puisque je n'ai pas le choix... Mais avant de partir pour l'Egypte, je dois aller récupérer des affaires importantes chez moi. Je vous promets de vous accompagner, en échange, promettez-moi d'accepter de venir chez moi.
- Je n'y vois pas de problèmes, mais faisons vite. Ta maison est loin d'ici ? demanda Airis.
- Non. Dans environ vingt minutes ou une demi-heure, nous y sommes.
- J'espère que tu as chez toi quelque rafraîchissement à nous proposer, ton acharnement ridicule m'a donné une de ses soifs, se plaignit Mila.
- Je verrais ce que j'ai à vous proposer. Suivez-moi.

Le quatuor quittait la ville d'Athènes pour rejoindre un petit village des alentours, là où la nature pouvait encore profiter du peu d'"habitations" qui régnait dans le village.

***

Au même moment, dans le même village, un être épiait les moindres gestes d'Airis, de Gatien, de Mila et de Patroklos. A travers les feuillages d'un buisson, son regard aussi noir que sa peau suivait automatiquement les pas du quatuor. Aussi discret qu'un chat qui cherche à chasser une souris, il essayait de ne pas éveiller les soupçons, et nota qu'ils marchaient sur le pont qui allait les mener sur la place du village. Mais en vérité, un seul parmi ses quatre combattants l'intéressait, et ce combattant était le porteur de la Soul Calibur.
- Ahah, alors, où crois-tu aller comme ça ? Que tu le veuilles ou non, je t'aurais, sale chien!

Le quatuor ignorait de son côté qu'une "ombre" les suivaient depuis un bon bout de temps déjà. Mais Airis, Gatien et Mila n'avaient pas vraiment de soucis à se faire pour leur peau, mais pour celle de Patroklos.

Notes de l'auteur :

- Introduction de Patroklos Alexandra.
- Qui est l'étrange individu qui espionne Airis, Gatien, Mila et Patroklos ?

Que du bon dans ce chapitre !

J'ai quand même bien ris quand Daniel a essayé de corrompre les gardes de Vivi ... comme ci ça allait fonctionner ! Et le vent des gardes epic !

Un autre passage qui m'a beaucoup plus aussi c'est la reflexion de Primus: " - Oh, je me souviens de toi ! Tu n'es pas la fille qui m'avait massé les pieds après une longue journée ?" Je sais pas, mais quand on se souvient d'une personne c'est pas pour ça quoi ! Sacré Primus !
Pour l'autre groupe, j'ai de la peine pour Patroklos. Le mec est là tranquille dans sa ville et on a 3 personnes qui l'attaquent à 3 contre 1 et qui l'enlève de force en Egypte et qui s'inscrute chez lui ! Non mais non rebelle-toi blondinet !
Trop mystérieux le personnage qui espionne, je crois avoir deviné qui c'est ... ^^

Superbe chapitre !! De l'humour et de l'émotion ! Bravo Anthony !

J'adore la référence au massage L'un des moments les plus comiques et le plus pathétiques de summum I

Je reconnais la le Patroklos que j'ai toujours connu
Je rêve où il parle comme OScar ? "Tu rage de ..."
En plus... désigner Patroklos de "sale chien" ... me rappelle le costume "Canarchien" ...
J'ai aimé quand Patroklos a prit Airis en traitre

N'empeche que ce patroklos... il dégage une certaine prestance Bine qu'il reste un caniche pour moi