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Sujet : [Fic] Vous sauver ? Oui, c'est mon but.

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iiona iiona
MP
Niveau 10
28 juin 2012 à 14:34:13

Héhé... :sournois:

Colddplayy Colddplayy
MP
Niveau 10
28 juin 2012 à 14:40:46

J'ai lu :hap:
Alors :
J'ai remarqué quelques fautes
plus grande que la normalité, ça ne se dit pas on dit
plus grande que la normal :(

et quand tu mets un ? par exemple le mot suivant doit commencé par une Majuscule :hap:
C'est tous :noel:
Suiiite :coeur:

iiona iiona
MP
Niveau 10
28 juin 2012 à 14:50:53

Non, Peto il a dit qu'il fallait une maj après un ?. :nah: :hap:
Enfin bref, merciii. :coeur:
Le prochain chapitre est assez émouvant. :-p

-toom -toom
MP
Niveau 5
28 juin 2012 à 15:02:17

Ohh ya mon nom. ^^
J'aime bien pour l'instant. :p)
Suite ? ^^

Peto-sensei Peto-sensei
MP
Niveau 6
28 juin 2012 à 18:28:22

- Que se passe-t-il ? demanda Petaud Lhinne.
Je confirme, il n'y a pas de majuscule après un point d'interrogation/exclamation quand c'est pour une réplique. :hap: /

Bon, tes chapitres sont de mieux en mieux, les problèmes que je te trouve se situent dans des détails maintenant. :hap:

"Par chance, les médecins venaient chez les patients, heureusement, car avec ma jambe, je n'aurais pas réussi à aller jusqu'au cabinet, bien qu'il soit juste à côté" >>> Cette phrase est collée au niveau de "patients" / "heureusement" ! Mais c'est terrible ! Que fait la police ? :( :noel:

" " Tu veux partir ? Alors je vais faire pareil. Je vais partir aussi ! murmurai-je." " >>> Les guillemets de fin se placent juste après la réplique, pas après le verbe introducteur. Il aurait fallu placer le second juste après "aussi !" :oui:

"Je le mis à plat au sol, et déposa" >>> Faute courante... *déposai :hap: /

Joli cliffhanger à la fin, sinon. :noel:

J'ai aussi vu une faute d'inattention, m'enfin, on n'est pas à ça près. :pf:

J'aime bien la façon dont l'héroïne s'emporte, son attitude envers son ami passe de l'attirance à la répulsion, elle se plaît dans son lit puis veut partir, bref... :noel:

Tu n'as toujours pas inscrit ta fiction, sinon ? Tu veux que je me noie dans mes larmes ? :-( :noel:

Sweet. ~ :globe: ~
_______________________

Par la rémige du Pygargue ! :hap:

theflower4 theflower4
MP
Niveau 10
28 juin 2012 à 19:06:26

Si je l'ai inscrite, alors là sisi ! :fou:

theflower4 theflower4
MP
Niveau 10
28 juin 2012 à 19:10:43

Ok, mais je vais appliquer tes conseils à partir du milieu du chapitre 12, car je me suis un peu avancée dans les chapitres... :rouge:

EternalHollyday EternalHollyday
MP
Niveau 10
06 juillet 2012 à 12:50:53

- Que se passe-t-il ? demanda Petaud Lhinne.
Je confirme, il n'y a pas de majuscule après un point d'interrogation/exclamation quand c'est pour une réplique.

Honte à moi, je ne le savais pas. :pf:

iiona iiona
MP
Niveau 10
06 juillet 2012 à 13:27:10

Ça me rappelle que ej dois poster la suite. Elle arrive, elle sort du four. :noel:

iiona iiona
MP
Niveau 10
06 juillet 2012 à 13:38:37

Chapitre 11

Je venais de reconnaître le sage, le père de Lionel, mon maître ! Que ça me faisait plaisir...
" Oh maître ! m'écriai-je en courant vers lui.
- Ilona ! Que fais-tu ici ? Lionel et moi nous faisions du soucis ! Tom est avec toi ? demanda-t-il aux anges.
- Tom, est… Mort… Il n'a pas eu autant de chance que moi, on m'a sauvée de la noyade, enfin, je vous expliquerai. Mais Tom n'est plus de notre monde, et j'en suis si triste… "
Je ne pus retenir mes larmes. Elles commencèrent à couler, couler, couler, toujours couler, sans s'arrêter. Le sage me prit dans ses bras. Il voulait que je lui montre où j'habite. Sur le chemin, j'ai essayé de penser à autre chose que Tom. Nous arrivâmes chez Julien.
" Ne vous inquiétez pas, Julien est un ange, et… Tenez le voilà. Julien, voici mon maître qui m'apprend des sorts ! lui dis-je en souriant. "

Il n'avait pas l'air très heureux, plutôt même en colère. Il avait sans doute découvert le mot… Mais le sage était là, il allait me protéger… hihi ! J'avançai vers l'intérieur, me soutenant sur ma béquille.
" Bonjour Julien. Il va falloir m'expliquer pour la mort de Tom, et toute l'histoire… MAIS ! Ilona, il sait que tu fais de la magie maintenant, et… Nous sommes perdus ! s'inquiéta le sage.
- Mais non ! Il est lui aussi magicien. Au fait, où est Lionel ? demandai-je.
- Ne t'inquiète donc pas pour lui. Oh mon dieu, qu'as-tu fait à ta jambe ?!! s'écria-t-il.
- … C'est l'oeuvre d'un requin, répondis-je. "
J'expliquai au maître que Julien lui raconterait l'histoire, car il racontait mieux que moi. Nous nous assîmes sur le lit, et Julien nous conta l'histoire sans broncher, il ne m'avait pas dit un mot depuis que j'étais là. Le père de Lionel avait les larmes aux yeux devant cette horrible histoire. Ce qui me tracassait, c'était pourquoi après avoir combattu ce monstre, je m'étais retrouvée sur le radeau… Je demandai au maître.
" Le monstre a été plus fort que toi, et vous a assommés, Tom et toi. D'autres monstres, plus intelligents, sont venus vous chercher, et vous on expédiés en mer. Quant à Julien, je ne sais pas pourquoi il est là. J'ai juste réussi à leur échapper, à ses monstres, raconta le sage.
- Ouah, c'est si bizarre, rétorqua Julien.
- Julien, pourquoi tu ne me parles pas depuis tout à l'heure ? demandai-je.
- Et, Tom et Ilona ont vécu ça, tous les deux ? demanda-t-il.
- Oui, répondit mon maître.
- Ils devaient beaucoup s'aimer, alors…
- Hé, oh, Julien ! "
Il ne me répondit pas, et fixa la fenêtre.
Là, s'en était trop. Je me levai d'un bon, et sortis dehors. Julien m'ignorait totalement, je n'y croyais pas. Je marchai, en direction de je ne sais où, sans regarder derrière moi. Julien n'était pas le garçon que j'imaginais. Je voulais revoir Tom, il me manquait tellement. Je donnerais tout pour lui… Je m'assis sur le bord d'un port. Les bateaux tanguaient, on pouvait apercevoir des petits poissons au fond de l'eau. Je mis ma jambe dans l'eau, puis la deuxième. L'eau était bonne, fraîche comme j'aime, et ne piquait pas sur ma plaie. Je pensais au bon vieux temps, avec Tom, qui était encore là. Je m'allongeai, laissant mes jambes pendouiller dans l'eau, plaçai correctement mes mains sous ma tête et fermai les yeux. Je sentis mon corps se réchauffer, comme si du feu s'approchait de moi. Tout chauffait de plus en plus. Ce fut tellement insupportable que j'ouvris les yeux, et me relevai en sursaut. Ce n'était rien de grave, j'étais sur un banc et un barbecue chauffait devant moi.
" Mais, j'ai pas changé de place, là ?! marmonnai-je.
- Benvenuto ! s'écria un jeune homme d'une vingtaine d'année.
- Où suis-je ? demandai-je.
- Tou es ici, à TchityVille ! me répondit le jeune homme avec un accent italien.
- À CityVille, c'est ça ?
- Biènn chourr ! "

Le jeune homme devait être fou. L'endroit ne ressemblait pas à CityVille, et puis, j'étais dans un autre village, avec Julien, et mes autres amis. Je jetai un coup d'oeil à ma jambe, pour voir mon bandage. Comme par magie, il avait disparu… Tout était de plus en plus étrange. Je me levai, et avançai. Au bout d'une dizaine de minutes, j'arrivai dans un endroit que j'avais l'impression de connaître… C'était l'endroit où j'avais poursuivi Lionel, lorsqu'il voulait m'amener à la mairie. Je devenais folle, j'étais là, à CityVille, dans la plus grande des normalités, alors que tout était bizarre. J'essayai d'ouvrir le passage pour aller à Méanville, où je pourrais retrouver le sage, si tout est normal…
" Arff, c'est quoi déjà le sort pour aller à Méanville… Openus passus verus Méanvillus ? dis-je bêtement. "
C'est alors qu'à ma grande surprise, un passage s'ouvrit. C'était le même que d'habitude.
" Oh, et puis de toute façon, je n'ai rien à perdre. C'est parti… pensai-je avant de sauter dans le passage. "
Je me sentais tomber. Tout devint noir, puis j'ouvris les yeux. Tout cela n'était qu'un rêve. Je me trouvais bien allongée sur le sol, les jambes tombantes dans l'eau fraîche. Julien arriva.

" Ilona, où t'étais passée ? Je t'ai cherchée part…
- Laisse moi tranquille ! coupai-je.
- Mais Ilon… balbutia Julien.
- Je t'ai dit de me laisser tranquille ! "
Je l'entendis partir, en trainant les pieds, faisant racler ses chaussures contre le gravier. Je me retournai pour voir où il allait. Il ne se dirigeait pas vers la maison, peut-être voulait-il visiter la ville… Je décidai de le suivre. Je me levai, secouai mon derrière pour retirer les petits morceau de gravier, m'appuyai sur ma béquille et avançai discrètement dans la même direction que Julien. Nous passâmes en décalé sous un pont, très long. Il y faisait très sombre, seules quelques petites torches, hautes perchées sur les murs, éclairaient un minimum l'environnement où nous nous trouvâmes. La poussière y était nombreuse, elle irritait l'intérieur de mon nez, ce qui me força à éternuer.

" Atchu ! fis-je raisonner sous le pont. "
Ni une ni deux, je m'écrasai comme une crêpe au sol. Je me fis plus petite qu'une fourmis pour passer inaperçue.

"Hey, qui est là ?! cria Julien. "
Je ne lui répondis évidemment pas, et le fixai. J'attendis qu'il se tourne pour me relever, et continuer à jouer les espionnes. Julien avait l'air de rester sur ses gardes, il regardait autour de lui. Après un moment d'angoisse, nous sortîmes du tunnel. La lumière éclatante du soleil me piquait les yeux, la bonne humeur des villageois me redonnait le sourire. Un marché se dressait sur la grande place devant la Mairie. Je regardais quelques stands, sans rien acheter, raison du manque d'argent. Je distinguais à peine Julien dans la foule, il jetait de brefs regards sur les stands, sur de la nourriture plus souvent. Les villageois me bloquaient à chaque fois le chemin, je ne me gênais pas et les poussais.

" Oh ! Mademoiselle, auriez vous la politesse de vous excuser ! me gronda un tortue assez âgée.
- Je suis désolée monsieur, mais je dois poursuivre un ami qui a une attitude bizarre, vraiment désolée ! Je dois y aller ! expliquai-je.
- Mais mais mais ! "

Je n'écoutai pas ce que l'habitant désirait me dire et filai à toute vitesse en dehors du marché. Je ne voyais plus Julien, je l'avais perdu de vue… Zut.
" Noooooon ! Il a quand même pas disparu ! Je suis nulle ! me dis-je.
- Alors, demoiselle, qui cherches-tu ? me dit une voix familière.
Je me retournai et aperçus la tortue de tout à l'heure.
- Ah ! Ah ! Ahh ! Euh, désolée, vous m'avez fait peur… m'excusai-je.
- Ce n'est pas grave. Je suis le maire de cette ville, le maire de Olichiwa, pour te servir, demoiselle ! expliqua-t-il.
- Ohh ! Ohh nooon ! Je suis vraiment désolée de vous avoir bousculé tout à l'heure, vous allez me punir, me jeter en pri…
- CHUT ! coupa le maire. Je ne vais ni te jeter en prison, ni quoi que ce soit ! Cela arrive à tout le monde, ne t'inquiète pas. Bon, maintenant, dis moi qui tu as perdu de vue, et qui tu cherches, demanda-t-il.
- Il s'appelle Julien, c'est un grand brun aux yeux bleus, avec une bouille d'ange ! Il a des vêtements sales, déchirés, un tee shirt blanc qui a viré au gris, une veste noir, et un short noir…
- Bien ! Je vais envoyer des gardes caméléons, qui dès qu'ils le trouveront t'enverront un message par talkie walkie ! m'expliqua la vieille tortue en me donnant un talkie walkie noir, avec un bouton jaune au milieu.
- Euh… Merci ?
- Oui, oui, merci, et bien de rien ! "
Le maire s'en alla en courant vers la mairie. Il avait l'air très gentil, et très marrant, aussi. Je me dépêchai de courir vers un endroit, n'importe lequel, pour trouver Julien. Je pris la première route venue : la route sur la falaise, route n°61.
Un petit chemin en gravier nous indiquait où aller, entouré d'une herbe verte, humide, qui contenait quelques fleurs colorées. Des arbres fruitiers étaient à l'occasion, pommiers, pêchers, cerisiers… Ils participaient à la beauté du paysage. Je continuais d'avancer, lorsque je distinguais une ombre, qui ne bougeait pas. J'entendais des paroles sans pour autant distinguer ce qu'elles disaient. Je me penchai pour voir. Ce n'était qu'un agent envoyé par le maire de la ville. il m'avait fait assez peur, je l'avoue… Je continuais de marcher, pour trouver Julien, s'il était là. Je marchais désormais depuis plus de trente minutes, sans arriver au bout de cette route. Je m'assis au sol, pour reprendre quelques peu de forces, et penser à ce que Julien voudrait faire.
Je me relevai, m'étirai et puis repartis dans le sens de la route. Le temps passait, mes jambes s'épuisaient. Je n'arrêtai pas et distinguai une silhouette, au loin, c'était sûrement Julien… Au bord de la falaise ? Mais qu'allait-il faire ?! Je courus comme une folle vers lui. J'étais à plusieurs mètres de mon ami, lui avançait tout au bord de la falaise. J'avais les larmes aux yeux…

" JULIEN ! Ne fais pas ça !! hurlai-je. "
Il se retourna, me fixa droit dans les yeux puis tourna la tête.
" Julien, je t'en supplie, non… ! priai-je.
- À quoi bon vivre pour une personne qui ne nous aime pas, balbutia-t-il, comme s'il pleurait.
- Que veux tu dire ? demandai-je, la voix tremblante.
- Ilona, je t'aime. Et toi, tu ne m'aimes pas. Je veux juste te dire que je vivais rien que pour toi, mais pour toi, je ne suis rien. Je ne suis qu'un garçon ordinaire, sans importance. Je vais mourir, rejoindre Tom, raconta-t-il en pleurant.
- Mais, mais, non, Julien ! Ne fais pas ça pitié… lui répondis-je moi aussi en pleurant et en m'avançant vers lui. "

Il ne répondit pas, retira sa veste, et son tee shirt. Il leva un pied au dessus du vide, serra les poings. Il était prêt à se jeter de la falaise…
" NON JULIEN ! hurlai-je en pleurant.
- C'est trop tard. "
Il se jeta dans le vide. À ce moment là, je crois que j'eus pleuré toutes les larmes de mon corps. C'était aussi horrible que lorsque j'avais appris la mort de Tom. C'était bien pire…
" Non, Julien… murmurai-je, à genoux sur l'herbe mouillée. Je te hais, je vous hais tous… Je hais la vie, je hais la mort, rien ne saura me combler à présent, rien. Je serai aussi dure qu'une pierre, mon coeur aussi, une pierre, qui ne ressentira aucune émotion… Je vais rester ici, prier pour revoir un jour les personne que j'ai aimées, et que je détesterai. "

Sur ces paroles, je contemplai le vide, par dessus la falaise. C'était si haut. J'étais perdue dans mes pensées, assise en tailleur et contemplant le vide, la rivière qui séparait deux falaises. Quelqu'un surgit du vide devant mes yeux, la seule chose que j'arrivais à voir, c'étaient de jolis petits yeux bleus, couleur saphir. Ils brillaient, et étaient un peu rouges dans les coins. Je crus voir que cette personne n'avait pas de tee shirt. Elle avait l'air de sourire, mais j'étais si attristée par l'événement qui s'était produit que je n'osais regarder la personne entière. Tout se refermait à moi, tout. Et ce tout ne se rouvrirait plus jamais, oui, jamais…

À suivre …

PetoIine PetoIine
MP
Niveau 10
06 juillet 2012 à 17:31:10

Tu l'as fait exprès, je vais devoir mettre à jour mon article moi ! :snif: :hap:

Je lis quand je serai revenu chez moi. :cool: :oui:
_______________________

Par la rémige du Pygargue ! :hap:

iiona iiona
MP
Niveau 10
06 juillet 2012 à 17:36:35

Non j'ai pas fait exprès. :noel:
Je devais poster la suite. :hap:
Okay. :cool:

Minipuce06 Minipuce06
MP
Niveau 10
06 juillet 2012 à 17:42:34

J'aime :bave:

iiona iiona
MP
Niveau 10
06 juillet 2012 à 17:49:30

Merci. :noel:

iiona iiona
MP
Niveau 10
11 juillet 2012 à 19:31:05

Chapitre 12

L'inconnu aux yeux saphir me poussait, m'allongeait au sol. Sans m'en apercevoir, je souriais. J'étais allongée au sol, les cheveux étendus autour de mon visage. Je voyais trouble, et n'arrivais plus à distinguer le visage du jeune homme. Il avait l'air d'avoir un grand sourire. Il s'allongea à côté de moi. Je m'endormis. Lorsque je me réveillai, j'étais dans une petite clairière au beau milieu d'une forêt. J'étais allongée sur un matelas de feuille, assez confortable. Au milieu de l'endroit, un feu brûlait, et autour trônaient des rochers, et d'autres un peu plus loin et plus gros, pour s'asseoir. Je me levai, et examinai l'endroit ; je ne le connaissais pas. J'avançai vers le feu de camp, qui brûlait. Ses flammes dessinaient des formes amusantes. Je levai la tête, et regardai autour de moi. Quelqu'un me surpris en me prenant par les épaules.

" Coucou !
- Hein ! criai-je en sursautant. "
Je me retournai et n'eus pas le temps de voir qui m'avait fait cette farce qu'on me fit un énorme câlin. J'étouffai.

"HumhumhumHUM ! Tu m'étouffes ! criai-je.
- Oh pardon… ricana l'inconnu, en me desserrant, baissant la tête.
- Qui es-tu ? demandai-je en plissant les yeux. "

L'inconnu leva la tête. Il avait une bouille d'ange et des yeux bleus couleur saphir. Il était torse nu et cachait ses mains dans son dos. Il me regardait droit dans les yeux, son regard m'hypnotisait. Il esquissa un petit sourire timide, baissa les yeux, les releva et fit un pas vers moi.

" C'est moi, Julien, annonça-t-il en souriant, en prenant ma main gauche dans les siennes.
- Mais mais, tu ne lui ressembles pas… Tu n'es pas Julien !
- Je t'avais dit que j'étais moi aussi magicien ? rigola-t-il.
- Ben, oui… acquiesçai-je.
- Je me suis transformé ! déclara-t-il.
- Quoi ? Non, c'est pas possible ! T'es sûr ?
- À cent pour-cent. "

C'était si bizarre. Julien n'était plus brun, aux yeux bleu turquoise, presque gris, avec un petit sourire timide. Il avait désormais des cheveux en pagaille, ébouriffés, châtains clairs avec des reflets blonds, des yeux bleus saphir, et un large sourire qui redonnait la joie aux malheureux… Je n'arrivais toujours pas à y croire, comment avait-il osé se changer tel. J'avais peur, peur de tout, peur qu'il ne se jette dans le vide encore une fois… D'ailleurs, comment avait-il fait pour ne pas mourir ?

" Julien… chuchotai-je.
- Oui ?
- Comment as-tu fait pour ne pas mourir ? demandai-je.
- Avant de tomber je me suis accroché sous la partie avancée de la falaise, pour entendre ce que tu allais dire, expliqua-t-il. J'ai été heureux de ce que tu as dit, je suis alors revenu…
- Oh, d'accord… murmurai-je en souriant. "
Il commençait à rire, et me donna une petite tape sur l'épaule. Je le grondai et fis mine de bouder en lui tournant le dos. Il me pris par la taille, posa son menton sur mon épaule et s'excusa. Bien sûr, j'acceptai et lui donnai moi aussi une tape sur l'épaule. Il prit par la main et me tira vers un autre endroit. Je me laissais faire, je ne savais pas ce qu'il voulait. Nous avancions au plus profond de la forêt. La lumière faiblissait, les arbres s'assombrissaient, le sol se faisait plus sec et plus piquant. On n'entendait plus aucun animal, plus un son. Je n'entendais que ma respiration, et celle de Julien, qui s'accéléraient. Julien s'arrêta net. Nous étions au beau milieu d'une forêt, avec comme seule lumière la lampe de Julien, pointée entre nos deux visages. Il commença à marmonner quelques mots.

" Ilona, je te hais, annonça-t-il.
- Quoi ?! m'égosillai-je.
- Tu as très bien compris.
- Quoi mais pourquoi tu décides ça d'un coup ? murmurai-je la voix tremblante, les larmes aux yeux.
- Je t'ai toujours haïs, c'était plus fort que moi de rester avec toi. Au fond de moi je te déteste, mais je ne peux m'empêcher de rester avec toi. Je te déteste mais je t'aime. "
Il tenta de m'embrasser, lorsque tout devint noir pendant une fraction de secondes. J'ouvris les yeux, et me redressai en sursaut. J'examinai l'environnement autour de moi. Le sol était fait d'herbe, des arbres fruitiers trônaient, et un petit chemin en gravier menait je ne sais où. En face de moi, c'était le vide. J'étais sur la falaise où Julien s'était donné la mort, la scène précédente n'était donc qu'un rêve. Je me levai, et avançai vers le ravin. Je contemplai le fond en versant une larme. Un autre larme coula, à côté. puis une autre, puis une avalanche de gouttes fit son apparition ; il commençait à pleuvoir. J'admirai le ciel gris, rempli de nuages blancs, gris et noirs. Je baissai la tête pour reprendre ma contemplation du ravin. Je distinguais une fine rivière, de couleur grise, et imaginai Julien qui déferlait dedans, surement mort. Je tournai les talons, puis repartis en direction de la mairie, trempée de la tête aux pieds. Je trainais les pieds au sol, en déposant soigneusement mes cheveux derrière mes oreilles. Je fixais le sol, me rappelant de tous les bons souvenirs avec Tom, ou Julien. On me sorti de mes pensées par un cri bref.

" Hé ! "

Je me retournai lourdement, regardai l'horizon, caché par quelques mèches de mes cheveux plaquées sur mon visage. Je les mis en arrière d'un geste brusque.

" Ouf, ouf ouf… souffla l'inconnu essoufflé. C'est bien vous, ouf, Ilona ?
Je hochai la tête, inexpressive.
- Euh, voici, une lettre pour vous, ouf, vous la lirez et, ouf, verrez qu'elle est très importante, raconta l'homme en se pliant sur lui même. Bye ! "

Il repartit en courant, comme il était arrivé. C'était un cochon, aux yeux bleus. Un homme. Il portait une salopette d'un vert délavé, avec dessus un oiseau comme motif. Je contemplai la lettre, et la glissai dans ma poche. Je pensais la lire lorsque j'aurais repris goût à la vie, c'est à dire jamais. Je continuais ma route, scrutant chaque détail du paysage. On entendait l'unique bruit de la pluie qui frappait sur le sol, avec quelques légers orages. Je quittais la route sur la falaise, pour arriver sur la place de la mairie. Un grand nombre d'objets trainait au sol. Il y avait des fruits, des navets, des motifs, des vêtements… Je ramassai une pomme, pas trop abîmée, et croquai délicatement dedans. Elle était juteuse. Je ne cessais de croquer dans ma pomme tout en marchant vers l'intérieur de la mairie. Lorsque je fus devant, je tournai la poignée jaune de la porte en bois de la mairie, la poussai et entre dans le bâtiment, après avoir jeté ma pomme à terre. Les employés du maire furent choqués de me voir.

"Oh !! Madame, que vous est-il arrivé ?! s'écria un pélican blanc, avec un tablier rose.
- Encore une qui vient d'Ploucville… chuchota un autre pélican, violet, qui n'avait pas l'air sympathique. "
J'essayai d'expliquer à la jeune dame ce qu'il s'était passé, mais une avalanche de larmes déferla sur mes joues. La demoiselle me prit dans ses bras et m'emmena dans une pièce inconnue de la mairie.

" Ici, vous serez bien. Je vous laisse vous réchauffer, et lorsque vous le désirerez, vous pourrez partir, m'expliqua l'oiseau blanc avec un grand sourire aux lèvres.
- Madame… balbutiai-je.
- Oui ?
- Puis-je savoir votre nom ? lui demandai-je, la voix tremblante.
- je m'appelle Opélie. Maintenant reposez-vous. "

Je m'exécutai, et m'assis sur un grand fauteuil rouge, très confortable. J'espionnai chaque recoin de cette salle. Les murs étaient de bois, comme dans un chalet. La cheminée était grande, faite en brique. À l'intérieur brûlait éternellement un feu de bois, rouge vif. Au dessus trainaient de petites babioles, pas très importantes. Entre le fauteuil où je reposai et la cheminée trainait une carpette colorée de marron, de rouge et de noir. Une fenêtre assez petite et couverte par des rideaux bordeaux laissait entrer un peu de lumière, et une grande lampe accrochée au plafond pendait, mais n'était pas enclenchée. J'étais, quant à moi, enrobée dans une couverture en laine, les cheveux à peine secs, et les vêtements encore mouillés. Je ne savais plus quoi faire. Peut-être que si je faisais la même choses que mes deux amis décédés, tout irait bien. Peut-être que si je les oubliais, tout irait mieux… Je repensais à cette lettre, que l'homme cochon m'avait donné. Je la sortis de ma poche. Elle était toute mouillée, la couleur de mon pantalon avait déteint dessus. L'enveloppe n'était plus blanche, mais un peu bleu. Un tampon rouge était imprimé en haut à gauche, où l'on pouvait lire " LETTRE URGENTE. /!\ ". Je ne réfléchis pas, et commençais à déchirer le dessus de l'enveloppe. Je sortis le mot, et le lis, à voix haute. Ce n'était pas évident, l'eau avait un peu effacé les mots.

" Ilo… je t'~~~~ndrai le ma~~i 18 ao~~
à 2~ heures. Je ne t~ dis pas o~, tu n'as
qu'à ~~viner.

Signé -~~~~~~~ "

Je ne comprenais absolument rien. J'essayais de déchiffrer les mots effacés, je ne parvins à déchiffrer que deux mots. Le mardi 18 août, à je ne sais quelle heure. Je me levai, laissai tomber la couverture de laine au sol et examinai le calendrier. Nous étions le 18 août… Bon sang ! Cette lettre me donnait rendez vous aujourd'hui. Mais où ? Si seulement je connaissais la formule magique pour faire apparaître les mots manquants de cette maudite lettre… Je la déposai devant moi, la fixai et pensai fort à faire apparaitre les mots entiers. Les écritures brillèrent d'une lumière aveuglante, dessinant de nouvelles lettres. Ça avait marché. Je ne savais pas comment, mais j'avais réussi. Je m'empressai de prendre la lettre pour la lire.

" Ilona, je t'attendrai le mardi 18 août
à 23 heures. Je ne te dis pas où, tu
n'as qu'à deviner.

Signé -~~~~~~~ "

Le nom de l'auteur restait pour autant barré. Je me moquais de lui, je voulais juste savoir où je devais aller. La falaise n'était pas le bon endroit, trop de choses s'étaient déjà passées là bas, et puis, hors de question d'y retourner. Je réfléchissais, essayais de trouver un message caché, en tournant la feuille dans tous les sens. J'abandonnai, et me dis que je trouverai l'endroit en y allant au hasard. Mes cheveux étaient presque secs, et mes vêtements l'étaient. Je sortis de la pièce en coup de vent. Les employés ne savaient pas ce qu'il me prenait, mais me laissaient faire. Je regardais les panneaux, pour voir quels noms m'inspireraient quelque chose. Il n'était pas encore vingt trois heures, seulement vingt heures, mais je tenais à avoir une idée du lieu.

" Une dizaine de minutes avant vingt trois heures, j'irais au lac du Pyrtois, pensai-je. J'y resterai cinq minutes, et partirai ensuite sur la place Jean Marcus. Il me restera dix minutes, alors en premier j'irai devant la tour Di Meglio, ensuite, devant le port de Ian, et puis… Devant la mairie pour la fin ! prévoyai-je. "

J'étais fière de ce que je voulais faire, ce soir, même si la mort de Julien hantait mes pensées. Je décidai de ne plus y penser pour aujourd'hui, et me dirigeai vers la maison de Julien, pour retrouver mon maître. Le chemin s'éternisait, j'avais l'impression de marcher sur place. Je m'écroulai par terre, devant la bonne maison. Je tournai la poignée, avec le peu de force qu'il me restait, me levai, fis un pas à l'intérieur, relevai mes cheveux, et fonçai sur quelqu'un. Il avait une chemise blanche, ouverte, et un short kaki. Je relevai doucement la tête. Mon coeur cessa de battre pendant quelques centièmes de seconde. J'étais nez à nez avec Julien, oui, Julien, que je croyais mort.

À suivre …

Peto-sensei Peto-sensei
MP
Niveau 6
11 juillet 2012 à 20:59:06

"Il avait l'air d'avoir un grand sourire. Il s'allongea à côté de moi."

Et ensuite ? Et ensuite ? :bave:

"Je m'endormis"

  • tombe à la renverse*

(Je te fais remarquer par là que c'est sacrément brusque la façon dont tu as formulé l'action. :hap: / )

Sinon sinon... tu as quelques problèmes de conjugaison de la troisième personne du singulier. :noel:
"Quelqu'un me surpris" >>> Surprit.
"Il me pris" >>> Prit
"On me sorti" >>> Sortit :oui: /

(*a vu une faute d'inattention mais ne la relève pas car ce n'est pas très important*) :globe:

" " Coucou !
- Hein ! criai-je en sursautant. " "

Attention à la place des guillemets, on les met avant le verbe introducteur ! :oui: :hap:

Pour le scénario... ça manquait un peu de clarté du côté réalité/rêve mais on comprend l'essentiel. :fou:

Veni, vidi, legi ! :globe:
_______________________

Par la rémige du Pygargue ! :hap:

iiona iiona
MP
Niveau 10
11 juillet 2012 à 21:17:26

Ah oui, ces fautes là. :noel:
Je le sais, je me suis relue, mais je les ai pas vues. *se donne une claque*
Ah oui, le placement des guillemets. Enfin, tu les verras bien placés à partir du milieu de 14ème chapitre, car j'ai tout fini et puis flemme de tout refaire, car c'est long. :noel:
Mais je vais essayer quand même. :hap:

iiona iiona
MP
Niveau 10
13 août 2012 à 18:51:22

Chapitre 13

J'étais nez à nez avec Julien, qui était censé être mort. D'abord, j'ouvris grands les yeux. Il devint rouge, me poussa sur le côté et partit en courant. Je ne compris pas immédiatement ce qu'il se passait, sous le choque, puis compris qu'il s'était moqué de moi. Il avait simulé un suicide, je ne savais pas comment. Ni une ni deux, je courus comme une dingue à sa poursuite, essayant de le rattraper. Je priais pour le rattraper, pour me jeter sur lui. J'y pensais tellement fort, que mes pouvoirs m'aidèrent. Une force inconnue me souleva en l'air et me projeta vers lui. Je l'attrapai par le cou, et le plaquai au sol.

" Alors comme ça tu t'es moqué de moi ! Argh, je vais te tuer espèce de… hurlai-je. "
Il se tourna, et mit un doigt sur ma bouche. Il leva la tête vers le ciel, les yeux fermés, repris sa respiration, puis baissa la tête. Il tenta de me faire un câlin, en croyant que j'allais le pardonner.

" Lâche moi ! criai-je en le repoussant, avant de me relever.
- Ilona, je je… bégaya-t-il.
- Tais-toi ! Tu ne te rends pas compte de ce que t'as fait ? Tu ne te rends pas compte que tu m'as énormément fait souffrir ? Tu t'en fiches je parie ! m'égosillai-je.
- Mais, je… je peux tout t'expliquer, laisse moi parler… supplia-t-il.
- Hors de question ! Maintenant va-t-en, je ne veux plus JAMAIS te voir, JAMAIS ! "
Il se leva, me fixa dans les yeux, puis partit en direction de chez lui. Je n'étais absolument pas fière de moi, mais il le méritait tellement… Je n'en revenais pas, pourquoi avait-il trouvé le besoin de faire ça ? Avant de partir, ses yeux étaient rouges, rouges feu, et ses joues étaient trempées de larmes. Tout comme les miennes. La peur envahissait mon corps, je tremblais. Je regrettais de lui avoir hurlé dessus, je l'avais vraiment perdu, et je ne pouvais revenir en arrière, tout était terminé. Une idée me vint en tête. Je suis la déesse du temps, comme disait le maître. Je peux donc retourner en arrière, en arrière… Mais oui ! Je courus à une vitesse folle chercher le maître. Il était devant la maison de Julien.

" Maiiitre ! criai-je en balançant mon bras en l'air.
- Mpf, oui, Ilona ?
- C'est quoi le truc magique là pour revenir en arrière de trente minutes ?! demandai-je.
- Revenus arius. Pourquoi donc ?
- Merci ! "

Je partis un peu plus loin, et prononçai la formule magique.

" Revenus arius… dis-je en doutant. "
Je vis tout défiler en arrière, de plus en plus loin, sans s'arrêter. Je compris que je devais l'arrêter moi même. Le bon moment tomba, et je criai sans réfléchir, un grand " STOP ! ".
À ce moment là, je me jetais sur Julien.

" Alors comme ça tu t'es moqué de moi ! hurlai-je. "
Il se tourna, et mit son doigt sur ma bouche.

" Lâche moi ! Explique-moi pourquoi t'as fait ça ! "
Il y eut un moment de silence. Il baissa la tête, puis me fixa dans les yeux.

" J'en avais marre de t'aimer. J'avais beaucoup trop mal chaque jour, d'imaginer que tu ne m'aimais pas. Lorsque j'ai appris la tristesse que tu avais éprouvé pour Tom, lors de sa mort, je me suis dit que c'est lui que t'aimais. J'ai pas essayé de tenter ma chance, et j'ai réfléchis, j'ai réfléchis pour savoir comment t'oublier et ne plus jamais te voir. Je me suis dit que simuler un suicide était parfait, donc je l'ai fait… Ne me demande pas comment. Je ne pensais pas que tu allais être si triste, et là, j'étais chez moi, pour dire adieu à ton maître et Lionel, leur dire de ne plus jamais te parler de moi. De me rayer de ta vie. "
J'eus les larmes aux yeux lorsque Julien me dit ça. Je pleurais, même.

" Oh Ilona, ne pleure pas. Je vais partir, mon bateau va bientôt s'en aller, au port de Ian. On ne se reverra plus jamais, oublie moi. Je ne vaux rien. "
Je lâchai une tonne de larmes après qu'il m'ait dit ça. Je me jetai dans ses bras, je ne voulais pas qu'il parte.

" Non Julien, je t'en supplie, reste avec moi. Tu es la dernière chose qui m'importe, la seule chose qui me donne envie de vivre, je ne peux pas vivre sans toi… Ne pars pas je t'en supplie… "
Il me serra très fort dans ses bras, lui aussi. Je m'étais rendue compte à quel point il était important à mes yeux, à quel point je tenais à lui. Il se leva, prit ma main, et me leva aussi.

" Je suis désolé Ilona, je dois partir, le bateau m'attend… expliqua-t-il en versant un petite larme.
- Non Julien… Emmène moi avec toi, priai-je en prenant sa main. Je ne peux pas vivre sans toi. Si tu veux me tuer, pars. Mais si tu fais ça, ne reviens jamais, mais vraiment jamais… "
Il soupira, et se mordit les lèvres. Il prit ma main et commença à me tirer quelque part. Je le suivais. Je lui demandai où il m'emmenait, mais il ne répondit pas. Je pensais au rendez vous, à vingt trois heures… Tant pis, que je le rate, je préfère rester avec Julien.

" Ahh ! C'est quoi ça ! hurlai-je.
- Pas de panique, reste calme… me conseilla Julien en me repoussant vers l'arrière. "
Un gigantesque monstre avait fait apparition, je ne savais comment. C'était une sorte de dinosaure, noir, avec des yeux jaunes vifs, tel un chat. D'énormes dents sales et pointues firent apparition dans sa bouche lorsqu'il poussa son cri. Je restais derrière Julien. Il semblait se concentrer, puis hurla des paroles incompréhensibles, en pointant ses mains vers le monstre. Un laser vert en sortit, et percuta le monstre. Le monstre ne sentit rien, et donna un énorme coup queue à Julien, qui s'effondra par terre.

" Non Julien ! criai-je. "
Je me jetai à côté de lui, et regardai s'il allait bien.
" Ilona, je sais que tu peux le faire, tu peux combattre ce monstre, je le sais, je le sens… "
Je pris mon courage à deux mains. Je me levai, face au monstre, et essayai de me souvenir des sorts que Tom m'avait si bien appris. J'hurlai tous les sorts dont je me rappelais ; Malus Capturus, Attacus Tuhus. Le monstre semblait s'énerver, quand il essaya de s'envoler.
" Openus Passus Tempus ! criai-je à temps.
- Grr… Grraaahhhh ! fit le monstre. "
Le passage s'ouvrit. Je prononçai " Renus Monostrus. ", suivit de " Closus passus tempus. ".
Je n'y croyais pas… Le monstre avait disparu. J'avais réussi.

" Ilona ! appela Julien.
- Quoi ? "

À suivre ...

PetoIine PetoIine
MP
Niveau 10
13 août 2012 à 19:19:26

"[...] je courus comme une dingue à sa poursuite, essayant de le rattraper. Je priais pour le rattraper" >>> Vilaine répétition. :-( :hap: /

"j'ai réfléchis" >>> Faute récurrente : *réfléchi

A part ça, bon chapitre, rien à dire de particulier sur le scénario. Il manque peut-être un rappel du décor, simplement. :3

Sweet ! :globe:
_______________________

Par la rémige du Pygargue ! :hap:

iiona iiona
MP
Niveau 10
13 août 2012 à 19:20:50

Merci Peto. :bave:
Justement, j'avais douté sur la faute du j'ai réfléchis. :(
La suite arrivera bientôt, j'ai déjà écrit 3 chapitres en plus. o/

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