Sympa, flemme de commenter, j'attends la suite. :n

Salut, ta fic est très bien
Je te souhaite bonne chance

Merci.

Rahh , t'en ai au chapitre 15, je m'étais arrêter de lire ta fic au ch.5 par fainiantise de lire je crois. Et c'est pas maintenant que je vais lire mes 10.ch de retard. Mais je suis sur qu'elle est toujours aussi bien.
Quelqu'un de courageux et gentil pourrait me résumer ce qui c'est passer d'important dans ces 10 derniers chapitres.

Je commence à lire.
15 chapitres ? No problemo .
J'ai vu pire ( Koukou Peto )
Trêve de bavardages ! Chut ! Je lis.

~~ Commentaire du Prologue ~~
Relativement court, ce prologue ressemble à beaucoup d'autres.

Mais tu rajoutes un petit plus , tu laisses une zone d'ombre sur ton personnage.

Une ado mal dans sa peau ? On ne peut que supposer .

Une petite faute : *chaque jour.

Tu as un style assez agréable, j'espère que tu dévelloperas mieux les sentiments de l'héroîne dans les prochains chapitres.

Je lirai le chapitre 1 après manger.

D'acc, merci pour ce commentaire ! :3
Et bon appétit bien sûr.

~~ Commentaire Chapitre 1 ~~

Owii ! De l'action !

Le personnage c'est donc toi mais j'aurais aimé que tu te décrives plus ( à la fin tu balances trois mots dans le tas ).
J'ai un peu du mal à t'imagine...

Ce chapitre prépare le terrain comme on dit, mais il manque cruellement d'originalité. Une prophétie vieille de 100 ans c'est pas nouveau

Un peu de fautes par ci par là...

Ce qui est bien c'est qu'on rentre vite dans l'histoire et qu'on a envie de savoir la suite !

Lis la suite, et commente tout d'un coup plutôt.

Chapitre 16

Une claque sur la joue, une sur le ventre. Une autre dans l'oreille, et encore une dans le nez. Cette tempête ne me loupait pas, je sentais cette douleur m'envahir, jusqu'à me tuer. Je n'arrivais plus, je ne pouvais plus. Je ne supportais plus cette douleur. Je hurlais, mais personne ne m'entendait. J'avais beau prier pour que la douleur cesse, elle ne disparaissait pas mais au contraire, s'empirait. Depuis le début Julien était accroché à moi, et subissait les mêmes conséquences que moi, tout en se serrant de toutes ses forces à moi. Je m'étouffais, l'air me manquait, mes poumons étaient vides. Je ne tardai pas à tomber dans les pommes, sans ressentir la moindre émotion, ou douleur. Durant mon coma, je fis un rêve extrêmement bizarre. J'étais dans une salle. Une espèce de chambre, avec des murs noirs, très noirs. Une minuscule lampe était posée sur une petite table de chevet, elle-même disposée à côté du lit, où j'étais assise. Le lit était entièrement blanc, de même pour la petite table de chevet. Je levai la tête, rien, mis à part le plafond, aussi noir que les murs. À gauche ? Une vulgaire fenêtre, qui aurait pu servir d'issue si des barreaux n'y étaient pas. À droite ? Le mur où était collé le lit. Derrière ? Une porte, rouge. Cette porte tremblait légèrement, et changeait parfois de couleur. Je me levai brusquement, et avançai calmement, cette fois, vers la porte. La poignée était ronde, et de couleur or. Je la tournai, puis repoussai la porte. Derrière s'étendait un long couloir aux murs noirs, et au sol blanc. J'avançai, prenant soin de fermer la porte qui changeait de couleur. Des lampes étaient disposées sur le mur tous les cinq mètres, et éclairaient faiblement le couloir. J'avançai dans cet endroit sans en apercevoir la fin. Je marchais sans m'arrêter, puis arrivai enfin devant une porte, cette fois-ci bien plus grande que la première. Elle était marron, et ne changeait pas de couleur. Je l'ouvris, et cette fois-ci, découvris un grand jardin, suivi d'une forêt. Une petite marre à l'eau aussi claire que les yeux de Julien, s'étendait au milieu du jardin. On y entendait les grenouilles coasser. Le ciel était bleu clair, et de grands nuages blancs semblables à de la chantilly y trônaient. L'herbe était verte et humide, pas plus longue que cinq centimètres. Je m'assis sur une souche d'arbre et admirai le magnifique paysage qui était devant mes yeux. La beauté du paysage fut interrompue. L'herbe sécha, et devint jaune. Les fleurs fanèrent, et s'écrasèrent sur le sol. Les coassements des grenouilles sonnaient faux, de même pour le cri des oiseaux. Le ciel s'assombrit, les nuages devinrent noirs, et de la pluie commença à tomber. Des orages apparurent, ils fracassaient, sans pitié. Je courus dans la forêt, pour me réfugier de cette pluie abondante, qui avait déjà trempé mes vêtements. Je m'assis aux pieds d'un grand chêne, qui avait un air majestueux. Je m'assoupis, et pendant ma sieste, j'entendis une voix, qui racontait une histoire. Mon histoire, à peu près : « Tom est mort dans la tempête ! Il s'est noyé ! À cause de TOI, petite imbécile… Il est mort sans même dire qu'il savait qui tu étais… Qu'il n'avait pas perdu la mémoire… Qu'il te détestait… Tu l'as tué, tué, tué, tué… ».

Ce fut à ce moment là que mon rêve se termina, et que je me retrouvai allongée sur une plage. Je voyais l'écume de la mer se déposer à mes pieds, je voyais la mer ramener quelques cochonneries, telles des algues, ou des morceaux de bois. Je voyais un peu plus loin des mouettes voler et piailler. Et juste à côté de moi, je voyais Julien… Il était à ma gauche, allongé sur son côté droit, tourné vers moi. Ses paupières tremblaient légèrement. Ses cheveux étaient mouillés, et emmêlés avec des algues… Son tee shirt était déchiré, même s'il portait toujours sa veste blanche. Ses chaussures avaient disparu. Je fixais son visage si bien sculpté, son torse d'Apollon. Je ne cessai de le regarder des pieds à la tête. Je m'arrêtai net sur ses yeux, grands ouverts. Je le fixais avec étonnement, mais il ne disait rien. Pas un seul mot ne sortait de sa bouche, entrouverte. Je m'approchai de lui, et murmurai « Coucou Julien, tu vas bien ? ». Il ne répondit pas, et fixa un point, au loin. « Hé, oh ? » demandai-je en plissant les yeux. Il ne répondit toujours pas. Je le secouai légèrement, pas de réponse. Je finis par le secouer de plus en plus fort, sans aucun autre résultat. « Julien, tu… tu ne vas tout de même pas me… m'abandonner, ici ? Hein ? » murmurai-je, caressant sa joue. Je n'obtenu aucune réponse. Une larme remplit mon oeil. Peu après elle coula, le long de ma joue. Je reniflai doucement, et appelai, une dernière fois « Julien… Julien ! Réponds-moi imbécile ! Ta blague est pourrie ! ». Une deuxième larme remplit mon oeil, et cette fois n'attendit pas pour couler. Il s'en suivit d'une centaine, d'un millier, d'un million… Rien ne pourrait cesser cette inondation sur mon visage. La personne qui me maintenait en vie venait de disparaître à jamais, sous mes yeux. Son regard, son sourire, son rire, son odeur, ses blagues nulles… Plus jamais ne reverront le monde. Plus jamais je ne pourrais lui dire à quel point je l'aimais. La douleur m'envahissait, aussi horrible que lors de cette tempête en mer. Je me levai, scrutai l'horizon, à la recherche d'un quelconque signe qui pourrait augmenter légèrement mon moral, même si me rendre heureuse serait pire qu'une mission impossible. Ce goût amer du souffre, de tristesse, et d'amour. Cette haine qui stagne au fond de mon corps, cette terrible envie de mourir. Avoir envie de tuer tout le monde pour se venger. Sous cette immense tristesse, mes jambes ne tinrent plus. Je m'écroulai à genoux sur le sable, face à la mer, laissant mes jambes s'enfoncer dans l'eau fraîche, qui avait sans doute tué Julien. J'arrachai le sable pour le jeter loin, très loin à l'horizon. Je jetais mon pied dans le sable, le laissant se propulser à une dizaine de mètres. Je criais de toutes mes forces, sans me soucier que quelqu'un m'entende, car, malheureusement, j'étais seule ici, sur une île totalement perdue, sans nourriture, sans aide.

C'est alors que me vint une assez bonne idée. Contacter le sage par la pensée. C'est Julien qui m'avait appris à le faire, et puis de toute façon, au point où j'en étais, il n'y avait rien d'autre à faire. Je m'assis alors, et pensai fort au sage. J'essayais, sans y parvenir. Je serrais les dents, je serrais les poings. Je plissais les yeux, et forçais sur ma pensée pour qu'elle aille vers le père de Lionel. J'essayais, en vain. Mes efforts ne servirent à rien, et ne serviront jamais à rien. J'étais trop obsédée par la mort de Julien. Elle hantait mes pensées, comme si elle était de ma faute… Oui, tout était de ma faute. Si je n'avais pas supplié Julien de venir avec moi, il serait vivant. Que je regrette, regrette d'être en vie. Je donnerais toute ma vie à Julien, pour qu'il soit ici à ma place.

« Je t'aime, intervint une voix qui ne m'était pas inconnue.
- Qu… quoi ? répliquai-je, la voix brisée.
- C'est moi, Julien… souffla-t-il.
- Mais tu es mort !
- Je sais. J'ai fait une bête prière pour que tu vives, et que je meurs si dieu le décide…
- Quoi !! Mais t'es dégueulasse ! T'as pas pensé à moi ?! À ce que j'allais endurer ?! criai-je à travers la plage.
- Chut, tais-toi. Je reviendrai lorsque tu auras sauvé le monde d'Animal Crossing de l'invasion des monstres.
- C'est vrai ? Oh vite, je dois aller où ?! Et… comment tu fais pour me parler ?
- Je suis mort, mais je fais de la magie. Tu es vivante, mais tu en fais aussi. On peut donc communiquer, expliqua-t-il.
- Ah, c'est super…
- Tu n'as pas l'air heureuse, rétorqua-t-il.
- Si, mais ça doit prendre du temps, de sauver un monde… non ? demandai-je la voix aiguë.
- Peut-être, je ne sais pas. »

Après ces brèves paroles qui m'avaient chamboulée, je me laissai tomber à genoux, tête baissée, les yeux qui fixaient le néant. À présent, je n'avais plus peur de rien, car la chose qui me faisait le plus peur était arrivée ; voir Julien mourir. La peur ne m'atteindra désormais plus jamais, je me battrais pour sauver le monde, et faire revivre Julien. D'un pas décidé, je me levai, et partis vers la jungle qui trônait derrière moi. Lorsque je fus devant, d'étranges bruits m'interrompirent dans ma lancée. Ils ressemblaient à des coassements, mélangés à des piaillements. Enfin, à quoi bon. Plus rien ne me faisait peur, comme j'avais dit. Du moins… presque. Je serrai les poings, et, d'un bon, me jetai la tête haute dans cette jungle, remplie de tout et n'importe quoi. Les bruits me rendaient anxieuse, ainsi que ces petits yeux couleur rubis qui brillaient dans cette obscurité. Le lieu était humide, très humide. De grands palmiers s'élançaient vers le ciel, ainsi que d'autres espèces d'arbres. D'étranges singes se balançaient de branches en branches, faisant un bruit de craquement. Les feuilles, que ce soient celles des arbres, ou celles des buissons, tremblaient, voletaient sous la légère brise qui traversait la jungle. Malgré le froid, l'humidité, le noir et les bruits incessants, je continuais à avancer, pour arriver devant un petit fleuve. L'eau n'était ni transparente, ni bleu, ni autre. Elle était noire, très foncée, et, dans son reflet, on voyait derrière mon visage des milliers de points rouges fluorescents. Ils ressemblaient à des yeux. Je me tournai en sursaut, et aperçus de petites cerises, pas encore mûres. J'en cueillis une dizaine, que je plaçai dans la poche avant droite de mon short. Pour nettoyer ma main, je la passai sous l'eau du fleuve, puis l'essuyai dans mon pantalon. « Ilona ? » retentit une voix. « Pardon ? » demandai-je ébahie. La voix ne répondit pas. J'abandonnai, et partis, laissant mon pied frôler le ruisseau. « Ilona, écoute-moi ! » reprit la mystérieuse voix. Je m'arrêtai, me tournai, et inspectai les lieux ; il n'y avait rien, ni personne. Je répondis, la voix hésitante « Qu… mais qui êtes-vous ? Montrez-vous ! ». La voix inconnue ne répondit toujours pas. Je reculai, prenant garde aux alentours, et tombai sur les fesses, dans le ruisseau. J'étais trempée de partout, et ce fut à ce moment là que la voix reprit.

« Ilona, écoute-moi ! C'est Julien, ého ! cria-t-il.
- Je suis là… Mais tu m'expliques pourquoi dès que je touche l'eau, je t'entends ?
- Ah, tu es là. C'est parce que quand tu touches de l'eau, ou que tu en bois, tu peux m'entendre !
- Sans blague. Et sinon tu voulais me dire quoi ? pouffai-je.
- J'ai localisé l'endroit où se trouvait le sage, si tu le trouves tu pourras sortir de cette île ! s'exclama-t-il.
- Ah, c'est super. Il est où ?
- À… 42 kilomètres d'ici, au sud ouest de l'île.
- J'ai mal compris je crois…
- Arrête ta comédie, tu as bien compris ! Allez, je te donne cette carte et cette boussole pour retrouver ton maître, go !
- Mais… »

Je n'eus pas le temps de finir qu'une boussole s'échoua sur mon front, et une carte à mes pieds. Je passai ma main sur mon front, puis pris la carte. Je la déroulai, puis regardai chaque endroit en détail. Je pris la boussole, et la mis à terre. Le nord se trouvait à ma droite, je vous laisse donc imaginer le reste. Il fallait juste que je fasse demi tour et que je pivote légèrement vers l'ouest. Je m'exécutai, et m'élançai dans ce qu'on pourrait appeler une aventure. Pour l'instant, je n'étais pas vraiment enfoncée dans l'épaisse forêt qui devait faire quelques centaines de kilomètres. Je perdais déjà espoir rien qu'à l'idée de toutes ces épreuves que j'allais devoir affronter. J'avais une « flemme », comme diraient certains, extraordinaire. Je n'avais plus envie de bouger le moindre petit doigt. Je voulais juste rentrer chez moi, reprendre une vie normale… C'était sûr qu'à force de vous le répéter, vous deviez le savoir. Je pris mon courage à deux mains, et me mis à avancer avec confiance. Une légère brise parcourut mon dos, et s'arrêta net lorsque je pénétrai dans les entrailles de la forêt.

Tout se faisait plus sombre, une atmosphère ténébreuse se faisait sentir. Des cris d'animaux inconnus retentissaient, glaçant le sang. Et chaque fois que je retirais mon regard d'un point, que ce soit un buisson, un arbre, de petits yeux rouges s'y incrustaient, scrutant chaque détail de mon corps. On pouvait dire que je ne me sentais absolument pas à l'aise dans cet endroit, avec comme seule défense mes pouvoirs, qui n'en étaient pas vraiment, car je ne connaissais que deux, voire trois sortilèges.
Après deux bonnes heures de marche dans cette horrible forêt, je reposai ma boussole contre terre, afin de voir si je suivais toujours la bonne direction. Super, j'étais à l'opposé de le direction sud ouest, comme si cette forêt avait de multiples directions. Je m'assis au sol, adossée contre un arbre, et bus une gorgée d'eau afin de parler à Julien. Je réussis et parvins à entendre sa voix.

« Ilona ? appela-t-il.
- Julien ! C'est horrible ! Cette forêt est peuplée de monstres aussi terrifiants les uns que les autres ! Depuis tout à l'heure, des petits yeux rouges ronds comme des billes me fixent, j'ai l'impression que quelqu'un me suit. Tu ne peux pas savoir comme c'est affreux, me plaignis-je.
- Cesse de te plaindre et écoute ça ! Je viens d'apprendre que même si tu gardes un cap dans cette forêt, il change. Par exemple, si tu pars au sud ouest, une heure après sur ta boussole indiquera le nord est. Ça s'inverse, c'est compliqué comme truc.
- Je m'en doutais, ça me l'a fait là y'a deux minutes. Tu peux pas boire une potion magique et revenir ? Je suis complètement perdue, expliquai-je.
- Non, désolé. Ah, et aussi, j'ai trouvé des sorts pas mal pour te défendre et attaquer. Defensiva borrire, pour créer une bulle d'eau qui te protègera de toutes les attaques. Par contre, si t'es dedans tu peux pas attaquer, faut l'éclater avec ton doigt et puis là tu attaques, indiqua-t-il.
- Euh, d'accord. Defensiva borrire, tu dis ?
- Ouèp ! Ensuite, pour attaquer, tu pourras lancer des boules de feu avec Lance ignis.
- C'est tout ? Que ça comme sort ?! m'égosillai-je.
- Non, non. Un dernier, Vitality te fera reprendre des forces si tu es épuisée. Ce pouvoir est très spécial car il ne marche que sur les âmes pures, donc tes ennemis ne pourront pas l'utiliser.
- Qui te dit que j'ai une âme pure, hein ? rétorquai-je bêtement.
- Je sais pas, tu testeras. Bref, je te laisse, continue ton avancée, et essaie de partir dans la bonne direction.
- Attends ! appelai-je. Tu n'aurais pas un dernier sort d'attaque ? Parce que avec du feu sérieux je vais pas aller loin… soufflai-je.
- … Bon, on m'a interdit de te le donner car c'est vraiment trop puissant, mais Draco vita et l'attaque la plus puissante que tu puisses avoir. Fais très attention, et ne l'utilise pas trop souvent, ses effets son dévastateurs, et tu ne pourras utiliser ce sort qu'une seule fois dans une journée…
- Ouah c'est cool ! m'écriai-je. Mais moi je veux des petits sorts pour le tuer facilement le monstre, enfin si y'en a un.
- Désolé, j'en ai déjà dit trop. Allez, bonne chance ! résonna la voix de Julien.
- Mais… »

J'étais légèrement déçue de ces pouvoirs, ils étaient bien, mais il n'y avait pas assez d'attaques. Enfin, il était temps de tester ces sortilèges, afin de vérifier s'ils fonctionnent. « Aloooors, si je comprends bien, defensiva borrire créera une bulle protectrice ? Mh, essayons », pensai-je. Je me concentrai sur ce sort, et finis par faire sortir de ma bouche ces mots :
« Defensiva borrire ! »

Une lueur bleue m'entoura, puis se matérialisa en une bulle. On aurait dit une bulle de savon. J'essayai de toucher un arbre avec, elle n'éclata pas. « C'est classe ça ! » pensai-je. Je l'éclatai du bout de mon index, et essayai un nouveau sort. Lance ignis, pour lancer des boules de feu…
« Lance ignis ! » criai-je.

Des flammes se mirent à flamboyer sur la paume de ma main droite, et celle de ma main gauche. Je pointai une direction avec ma main : une boule de feu se propulsa et s'échoua contre le tronc d'un arbre, créant un incendie. Je fis de grands yeux ronds, et paniquai. C'est alors, que d'un manque d'adresse, je me pointai moi-même et m'enflammai la jambe. « Ahhh, non, mince ! Je suis trop nulle ! Vita… vita quoi déjà ? Vitality ! » criai-je. La flamme disparut, mais celle qui était sur l'arbre s'agrandissait. Ne sachant pas quoi faire, je lançai de l'eau provenant de ma gourde dessus. Les flammes disparurent, même s'il restait une marque de cramé aux pieds du végétal. Je pris ma boussole et la posai par terre. Je me souvins alors que je ne devais pas prendre la direction sud ouest, puisqu'elle changeait…
« Hm, tout à l'heure, je suis allée au sud ouest, et je me suis retrouvée au nord est… c'est pas le contraire ça ? murmurai-je. Ahhh, mais oui ! Je dois alors partir vers le nord est ! »
Je me relevai, fière de moi, et partis vers le nord est. Je ne pus continuer ma route très longtemps, car d'horribles monstres me bloquèrent le passage. Je les regardai, de haut en bas, les yeux exorbités, et, par précaution, murmurai « Defensiva borrire » afin de me protéger d'une quelconque attaque. Un monstre très musclé, à la peau verte, avec des pointes aiguisées sur les épaules, s'approcha de moi, et, d'une voix rauque, prononça ces mots :
« La bataille commence. »

À suivre ...

Désolée, ya eu un bug, à chaque fin de dialogue les guillemets se sont effacés. :x

Tu devrais peut-être aérer les trop gros paragraphes Ilona.

"Je hurlais"

Sinon j'adore, l'immersion est présente, et c'est assez réaliste, j'aime.

Ben le problème c'est que sur mon application pour faire mes textes, j'ai pas l'impression que c'est des gros paragraphes...
Ce "je hurlais" justement j'avais mis " j'hurlais " et j'avais hésité, donc voilà.

Hey, un texte n'est jamais parfait, no stress, il est très bien.

OMG, j'avais pas lu le chapitre 15 et je ne m'en étais même pas rendu compte .

Pour la peine, je t'épargne une critique.
Mais tu auras quand même celle du chapitre 16.

(Lulz l'enclume dans un bateau + Bien l'héroïne qui n'arrête pas de changer d'humeur ? ~ ~)

En fat, c'est bien dans l'ensemble, mais quelques phrases me heurtent de temps en temps.

"je sentais cette douleur m'envahir, jusqu'à me tuer" >>> Quand j'ai lu cette phrase, je l'ai prise au pied de la lettre, ça m'a fait peur .

"Depuis le début Julien était accroché à moi, et subissait les mêmes conséquences que moi" >>> Conséquences de quoi ? Ce n'est pas dit clairement. :o
"violences" aurait été plus approprié, par exemple /

"La personne qui me maintenait en vie venait de disparaître à jamais, sous mes yeux. Son regard, son sourire, son rire, son odeur, ses blagues nulles…" >>> T'as gâché tout l'effet avec "ses blagues nulles" !

"Je jetais mon pied dans le sable, le laissant se propulser à une dizaine de mètres" >>> *le propulsant à

Chaud comme elle se remet vite de la mort de Julien

+ Mouais, l'interpellation du lecteur est un peu déplacée à ce stade de l'aventure .

L'explication de l'eau pour Julien aurait pu être un peu développée, quel est le rapport entre l'élément chimique H2O et un magicien ? ~ ~

Et pour finir... le monstre n'est pas assez décrit, c'est limite si elle s'en fout :3 .

En dehors de ça, c'était sympa à lire. Une sweet s'il vous plaît ! :3
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Par la rémige du Pygargue !

Quel monstre ?
Desolee, j'en suis au 22e chap donc je me souviens pas

"Je ne pus continuer ma route très longtemps, car d'horribles monstres me bloquèrent le passage. Je les regardai, de haut en bas, les yeux exorbités, et, par précaution, murmurai « Defensiva borrire » afin de me protéger d'une quelconque attaque. Un monstre très musclé, à la peau verte, avec des pointes aiguisées sur les épaules, s'approcha de moi, et, d'une voix rauque, prononça ces mots :
« La bataille commence. »"

+ Les chapitres d'avance c'est pas toujours cool, surtout si tu oublies de te relire avant de poster le chapitre que les lecteurs attendent .

Rassure-moi, l'héroïne devient moins cyclothymique dans les prochains chapitres ?
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Par la rémige du Pygargue !

Haha, au fil de l'histoire elle va apprendre qu'elle doit arrêter d'être égocentrique.
T'inquiète pas, je relis toujours une ou deux fois mes chapitres avant de les poster, ah ça je peux pas oublier !

200 pots !!

Si j'ai le temps je lira mes 11 ou 12 chapitres de retard mercredi.