J'aime.

J'aime pas

...

J'adore

Ah uf, j'ai eu peur Elodie...

C'est fait pour \ /

Sweet ! \ /

Je vais essayer de m'avancer au plus vite pour quelques chapitres, et je posterai soit demain soit après demain.

J'adore les dialogues vivants et dynamiques que tu nous ponds. T'es une artiste Ilona

Merci Fabounet, si moi je suis une artiste, toi t'es un super artiste !

Chapitre 4

" Apachus Callus. Dit-il en souriant. "

Je me mis au sol en boule, fermai les yeux et priai pour ne pas mourir. Des larmes coulaient seules sur mes joues bouillantes de stress, je ne m'en rendais pas compte… Mes cheveux étaient trempés de sueur, et n'avaient qu'à peine commencé à sécher. Mes narines me piquaient, mes poils s'hérissaient, mon pouls s'accélérait, ma respiration aussi… J'avais la plus grosse peur de ma vie. Allais-je mourir ou survivre ? Cette question hantait mes pensées. Je commençai à pleurer. Je levai la tête haute, devant le monstre, avec mes larmes qui coulaient sur mes joues rouges. J'affrontai ma peur, me levai et le fixai. Ses sourcils épais et noir se froncèrent, son sourire heureux tourna, et se mit à l'envers. J'avais la rage, la rage de vaincre, mais en même temps, j'avais une peur effroyable de ce monstre. Mon espoir me guida. Je fixai son regard, avec tellement de méchanceté qu'il recula d'un pas, même deux. On croirait qu'il avait peur de moi. Je pouffai de rire.

" Tu oses reculer face à moi ? Dis-je tel un monstre.
- N-no… non, je n'ai p… "
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'une corde se ficela autour de lui, attachant ses bras à son corps boueux. J'avais prononcé quelque chose sans m'en rendre compte, car le sage, derrière moi était endormi, et personne ne trainait autour de moi. Les villageois étaient restés chez eux, je ne sais pas pourquoi. Mon instinct m'avait guidé, mais, comment ai-je pu prononcé ce sort sans le connaître ? Encore un énième mystère… Le monstre gluant se débattait dans son cordage, des particules de boue violette s'en détachaient, il hurlait de peine, il ne voulait pas mourir. Je m'approchai de lui, le regardai de haut. Je me demandais ce qu'il ressentait de ne plus être le monstre qui capture, mais celui capturé. Je rigolai. Il leva sa main, en tentant de m'attraper la jambe, mais je l'acheva en lui donnant un coup de pied dessus. Il abandonna son évasion, et se laissa mourir sur le sol.

"Ilona… m'appela-t-il d'une voix sèche.
- Quoi ?! dis-je énervée.
- Écoute moi… Je ne te voulais aucun mal, je t'en supplie… Libère moi…
- Et puis quoi encore ! Vous avez voulu me tuer, moi, et le sage. Et après je dois vous libérer ? criais-je.
- Je ne voulais pas vous tuer ! Je voulais juste voir votre réaction si vous croyiez que quelqu'un allait vous tuer… marmonna-t-il.
- Et pourquoi donc ? dis-je en perdant patience.
- Je voulais la preuve que vous étiez la déesse du temps… Mais, par pitié, libérez moi… supplia-t-il.
- NON ! Vous avez voulu me tuer ici, et c'est MOI, qui vous tuerais ici… "
J'achevai notre discours, le laissai attaché ici et réveillai le sage. Je n'arrivais pas à le réveiller… J'appelai Lionel, une bonne dizaine de fois, il ne répondait pas. Alors, je pris son père par les pieds et le trainai jusqu'à l'intérieur de la mairie, où nous serions plus en sécurité.

" Bonjour madame, dis-je à la secrétaire de la mairie.
- Bonjour ! Que me vaut votre visite ? demanda-t-elle.
- Et bien, moi et mon… ami sommes perdus, reste-t-il une maison pour trois personnes, dans les environs ?
- Bien sûr, bien sûr ! s'exclama-t-elle.
- Où est-elle ?
- Ici, dit l'oiseau en pointant la maison sur la carte.
- Ah, merci beaucoup, au revoir ! "
Je sortis, en trainant le sage par les jambes. Au bout de quelques mètres, il était beaucoup trop lourd, alors, énervée, je lui collai une énorme claque en hurlant des injures. Ça avait fonctionné, il était debout maintenant, mais n'avait rien dit, il devait trouver l'endroit pas très sécurisé pour parler… Je lui dis de me suivre, et il s'exécuta. Au loin, j'aperçus la maison. Elle était petite, faite de bois et de briques, avec un toit rouge. De jolies fleurs colorées ornaient les contours. Des arbres verts entouraient la maison, on aurait dit une forêt. Le sol était en dallage, mes pieds claquaient dessus, ceux du sage aussi. Je m'approchai, tournai la poignée délicatement, poussai la porte et découvris cette… somptueuse demeure. C'était vraiment minuscule, le sol était poussiéreux, des cafards y couraient, les murs en coins étaient décorés de magnifiques toiles d'araignées, les verres des fenêtres étaient cassés, et ne parlons pas des meubles ! Une boîte en carton, avec dessus une bougie pour s'éclairer, et une radio, qui ne captait plus rien. Malgré ça, il y avait un étage au dessus. J'allai y jeter un oeil. BERK ! Encore pire ! Le sol était mille fois plus sale, les murs aussi, il y avait un seul lit simple, qui empestait le moisi, coloré en rouge, et… Oh, miracle, un téléphone ! J'accourus pour téléphoner. Je décrochai l'engin, et essayai de composer le numéro de CityVille. On m'accueilla gentiment…

" Allô ? dis-je excitée.
- Bonjour, que désirez vous ? Changer la date, l'heure, ou… "
La voix n'eut pas finit son discours que je raccrochai. Quelle horrible maison, sale, puante, décolorée… OK, l'entrée en jardin est jolie, mais c'est pour rattraper l'intérieur qui est horrible ! Enfin, on ne pouvait plus partir, il commençait à faire nuit… Je descendis de l'étage, et allai en direction de la fenêtre. Je l'ouvris. Ce soir, le clair de lune était magnifique, on pouvait distinguer des constellations, quelques peu cachées par les nuages noirs et épais. Je me penchai, et regardai la mer au loin. Les vagues s'agitaient calmement, laissant s'échapper un léger bruit de frottement, qui m'apaisait. J'arrivais à distinguer quelques poissons qui sautaient hors de l'eau. Les étoiles juste au dessus brillaient de mille feux, c'était magique… Quelques papillons de nuit voletaient au dessus de ma tête, autour de la lampe qui éclairait les alentours de la maison. Je refermai la fenêtre, et partis voir le sage. Il avait l'air de dormir, alors je renonçai à aller lui parler. Il dormait par terre, bizarre… Je remontai à l'étage pour descendre le lit en bas. Je l'attrapai par le bout, et le tirai vers le rez de chaussée. Je le mis contre le mur, le dépoussiérai un peu et m'assis dessus. J'enlevai mes chaussures pour me mettre à l'aise. Dehors il faisait très sombre, il devait être aux alentours de 22h30. Alors, je soufflai sur la petite bougie qui commençait à s'user et m'allongeai dans le fond de mon lit. J'agrippai la couverture, il faisait très froid… Prête à dormir, et perdue dans mes pensées, j'entendis des bruits étranges à l'extérieur. Ça me faisait peur, alors je ne bougeai pas. Je réfléchis un instant, et me dis que c'était surement Lionel, alors, j'attendis qu'il frappe à la porte. Comme je l'eus crus, il frappa à la porte, je me jeta hors du lit, et courus à la porte. Je tournai la poignée délicatement et ouvris. À ma grande surprise, je ne vis pas Lionel, mais une simple petite lettre au sol. Je la pris et me dépêchai de retourner dans mon lit, j'avais encore plus peur… Avant d'aller dormir, je fermai la porte à clef, car on ne sait jamais si un voleur s'introduit ici. Je posai la lettre par terre, car je n'avais pas de lumière, ni d'allumette pour allumer la bougie, et que sans ça, il serait difficile de lire. Je la lirai demain avec le sage, au grand jour.
Je souris et me remis dans mon lit. Il se faisait de plus en plus tard, et je n'arrivais toujours pas à dormir après quelques heures. Cette sensation me frustrait, la sensation de ne pas pouvoir dormir, alors qu'on se sent plus que fatigué… Passons cette horrible nuit blanche. Je me levai, enfilai mes chaussures et partis directement dehors cueillir des fruits. Je pris un arbre assez près de la maison pour ramener les fruits plus vite. Je secouai deux trois arbres et ramassai les fruits. Je n'avais presque plus de place dans les mains, c'était vraiment lourd…

" Hey jeune fille ! m'aborda un jeune homme plutôt mignon.
- Bonjour… répondis-je timidement.
- Comment t'appelles-tu ? dit il avec un sourire radieux.
- Moi, je m'appelle Ilona ! Et toi ?
- Moi c'est Tom, ravis de te connaître ! Tu veux que je t'aide ? proposa-t-il.
- Oh, oui je veux bien, acceptai-je. "
Je déposai quelques fruits dans ses bras, et lui dis de me suivre. Il me suivit, et nous entrâmes dans la magnifique maison ! … A vrai dire, j'avais un peu honte de cette horrible maison.

" Ah, toi aussi on t'a donné cette horrible maison à la mairie ? dit-il en étouffant un rire.
- Oui, et pour trois personnes…
- Trois personnes ?! Heu, et c'est des amis ? De la famille ? … demanda-t-il gêné.
- Ben, c'est dur à expliquer, en fait, ce sont des amis que je suis forcée de me trimballer, et un n'est toujours pas revenu. Il s'est perdu après un… Heu, désolée mais, je ne peux rien te raconter, je ne sais pas si je peux te faire confiance, car on ne fait que se connaître, répondis-je en rougissant.
- Ah ! T'inquiète pas, je te comprends, on s'est rencontré y'a cinq petites minutes… Et, donc, y'en a un qui s'est perdu, si j'ai compris, on peut aller le chercher dehors si tu veux ? proposa le beau jeune homme.
- Bonne idée ! C'est tellement gentil de ta part, souris-je. "
Je lui fis la description de Lionel ; assez petit de taille, avec des lunettes, une chemise marron, un pelage un peu bleuté, une petite truffe, et voilà… Tom, lui, était grand, avait de beaux yeux bleus en amande, des cheveux bruns mi-longs, un sourire éclatant, et une gentillesse, pour l'instant, extraordinaire ! On se mit à chercher Lionel, on hurlait partout, les habitants nous croyaient fous. On n'arrêtait pas de chercher, mais on ne trouvait pas. J'imaginais le genre d'endroit où il s'était encore fourré, cet imbécile. Je réfléchis un instant, et me rappelai qu'il voulait aller dans un endroit secret, donc… Mais oui ! Il faut chercher dans des endroits vraiment bien cachés ! Je courus chercher Tom, mais lui aussi restait introuvable. Il va pas faire comme Lionel tout de même ! Je cherchais, et, d'un coup, un hurlement retentit.

" AU SECOUUUURS ! "

Cette voix me rappelait quelqu'un, mais, oui… Non, TOM !

À suivre ....

J'ai vu des petites fautes de conjugaison mais j'aime toujours.
Ah oui au fait pour ça :
- Bonne idée ! C'est tellement gentil de ta part, souris-je.

C'est peut-être mieux de dire :
- Bonne idée ! C'est tellement gentil de ta part, dis-je en souriant.

Voilà. Sweet !

Oui, tu as raison, je me suis moi même dis ça, mais j'ai laissé car je voulais tester.
Ben, merci en tout cas.

J'aime pas

...

J'adore pas

...

I Love

Hm ! Tu as atteint les quatre chapitres... et si tu allais immortaliser ton oeuvre sur ce sujet ? https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11372-4284781-1-0-1-0-annuaire-mise-a-jour-du-sujet.htm

Je lirai plus tard, sinon. /
_______________________

Par la rémige du Pygargue !

Chose promise, chose due : je lis. /

"J'me suis fait du soucis. Grondai-je." >>> Qu'ai-je dit au sujet des minuscules pour les verbes introducteurs ?

"Toi seule peut nous sauver de l'invasion des monstres du futur et du passé" >>> Ça donne envie de savoir à quoi ressemblait le monstre qui attaquait le village.
Pourquoi ne l'as-tu pas décrit ?

"Monsieur le sage, s'il vous plait… Pleurnichais-je" >>> Pas d'imparfait pour les verbes introducteurs .

"Ben, y a rien, je vois rien moi. Dit-il avec un sourire de hap." >>> Onche onche.

"Des larmes coulaient seules sur mes joues bouillantes de stress" >>> Seules ? \o/

"On m'accueilla" >>> *m'accueillit, le soulignage en rouge aurait dû te mettre sur la voix.

"Il va pas faire comme Lionel tout de même !" >>> Problème de temps, pourquoi ce présent ?

Quelques fautes d'orthographe, mais je n'approfondirai que si tu me le demandes instamment.

Le scénario crache du feu, c'est prenant.
Autre bon point, la longueur des chapitres. Là-dessus, rien à dire.
Les descriptions sont bien, j'avais eu un problème pour me situer au moment où ils retournent dans le présent, mais globalement c'était cool.

En conclusion... il y a beaucoup de points positifs, et quelques négatifs qu'il va falloir corriger ! Tu progresses vite, je permets donc de demander une sweet ! :rime:
_______________________

Par la rémige du Pygargue !

Merci Peto, pour vous laisser patienter, la suite demain après midi.

Ah, et pour les verbes intro truc, j'avais commencé les chapitres d'avance, quelques uns, donc j'ai pas pu corriger, ou j'avais pas vu.
Et pour le monstre, le héros ne pouvait pas le décrire, elle ne l'avait pas vu.
Du moins, je crois.

Oui, je suis bien TheFlower4, j'ai juste changé de pseudo.

Chapitre 5

Ce hurlement raisonnait dans ma tête, et si Tom était en danger ? Seul moyen d'en être sûr, aller à sa recherche. Je courus dans toute la ville à une vitesse folle pour le retrouver, et, juste devant les portes, je le vis par terre en boule, tel une feuille morte. Que faisait-il ? Rien ne bougeait autour de lui, juste le vent faisait voler ses cheveux bruns éclatant.

" Heu, Tom, tu fais quoi là ? demandai-je.
- AAAAAH ! ENCORE UNE ARAI… Oh, Ilona, tu vas bien ? dit-il gêné, avec un sourire tordu.
- Que s'est-il passé ? Pourquoi t'as hurlé comme ça ! le grondai-je.
- Ben, y'avait des monstres partout, violets avec des yeux verts comme des billes, et j'ai hurlé pour qu'ils s'en aillent et ça a marché. rigola-t-il.
- Menteur ! Moi, j'ai tout vu ! se moqua une voix sortie de nul part.
- Hein !? hurlai-je en choeur avec Tom.
- Vous en faites une tête… C'est moi, Lionel, rigola cet imbécile en louchant.
- QUOI ! Mais tu m'as foutu la plus grosse trouille de ma vie en disparaissant ! T'es bête ! hurlai-je.
- Ben j'ai rien fait… pleurnicha-t-il.
- Ok, bon, et pourquoi tu traites Tom de menteur ? Ces monstres existent, j'en ai combattu un ! criai-je sans réfléchir.
- Haaaan ! hurla Tom ébahi.
- Hum, c'est pas ce que je voulais dire, ma mère en a combattu un… mentis-je.
- Alors telle mère telle fille, comme on dit, rétorqua bêtement Lionel.
- Argh, vous m'énervez ! soufflai-je. "

Tom était totalement ébahi par ce que j'avais dit, je ne devais pas lui en parler sans l'accord du sage…
" Je suis tellement bête, maintenant, je vais peut-être me faire capturer par des monstres, on va m'injecter des produits bizarres, prélever mon sang dans des laboratoires, car s'il le faut, Tom c'est quelqu'un qui fait partie de ces monstres, sa beauté n'est faite que pour m'attirer… Je peux plus retourner en arrière, maintenant… pensai-je. Retourner en arrière ? Bien sûr que si ! Je suis trop forte, ouah ! "
À peine j'eus pensé tout ça que je courus à la maison pour demander le grimoire au sage. Je défonçai la porte, et hurlai sur le père de Lionel.

" MONSIEUR LE SAGE ! hurlai-je.
- Quoi ? Qu'y a-t-il ? demanda-t-il.
- J'ai fait une énorme bêtise et j'ai besoin de votre grimoire à tout prix ! paniquai-je.
- Du calme. D'abord, raconte moi ton énorme bêtise.
- Ben, j'étais partie chercher des fruits tout à l'heure, et j'ai rencontré un garçon nommé Tom. On a fait connaissances, et je lui ai dit que j'avais perdu un ami, on l'a cherché, et j'ai entendu Tom hurler au loin, donc j'ai couru le chercher, et il m'a dit qu'il avait vu plein de monstre violet avec des yeux comme des billes, Lionel est apparu par miracle, et l'a traité de menteur, et moi comme une imbécile j'ai dit que ces monstres existaient et que j'en avais même combattu un !
- Où est le mal ? demanda-t-il.
- Beeeeen, je le connais pas ce Tom, c'est peut-être un méchant déguisé en gentil ! expliquai-je.
- Hm. Bien, montre moi ce jeune homme, veux-tu ?
- Oui, suivez moi ! "
Je courus chercher Tom, il n'était pas loin. Je le montrai au sage, qui éclata de rire.

" HAHAHAHA ! Lui, un méchant ? Mais je le connais ! C'est le fils de mon meilleur ami ! rigola-t-il.
- Ah ! Donc c'est un gentil ? demandai-je.
- Bien sûr ! dit-il en rigolant comme un fou.
- Ah, donc je peux lui dire que j'ai des pouvoirs magiques ! Je peux tout lui raconter !
- Oui oui ! "
Je m'approchai de Tom, et lui dis que je devais lui expliquer plein de choses. Il me suivit. Il avait un regard perturbé, après toutes ces choses bizarres, il devait douter de tout autour de lui. On s'assit sur un rocher au bord de la mer, qui bruitait sous son chant mélodieux.

" Tom, dis-je.
- Oui ?
- Il y a sans doute beaucoup de choses que tu n'as pas comprises, et que je vais t'expliquer maintenant… "
Il ne répondit pas, alors moi, je commençai à tout lui expliquer. D'abord pour mes pouvoirs. Que j'étais la déesse du temps, et que mon devoir était de sauver le monde, pour l'instant… Je vis jaillir une lueur dans ses yeux, comme s'il avait envie de me dévorer, et, sans s'en rendre compte, il s'approchait dangereusement de moi. Je me reculai un peu. La lune sortait de sa cachète peu à peu, en même temps que je lui dévoilais toute l'histoire. Sans que je m'en aperçoive, il s'était encore rapproché plus que dangereusement de moi. Je l'ai fixé, pour voir ce qu'il allait faire, il m'a fait un énorme câlin, et après ça, il a baissé les yeux, et a rougit. Je trouvais ça mignon, mais je ne savais pas trop quoi en penser. Après notre discussion, avec Tom, nous nous levâmes, il me fixa droit dans les yeux, comme s'il voulait me dire quelque chose mais qu'il n'y arrivait pas. C'était peut-être moi qui délirait… Je partis en direction de la maison, suivie de mon ami. Je frappai à la porte, pour que Lionel ou le sage m'ouvre. La porte s'ouvrit et j'entrai. À ma grande surprise, Lionel fourrait déjà son nez dans la lettre que j'avais reçue hier. La lettre, mais oui, j'ai oublié de la lire ! Je me précipitai dessus, l'arrachai des pattes de Lionel, et la lus.

" Chère Ilona,

Si tu lis ces mots, c'est que mon garde a bien fait son travail, et que tu es en danger.
Toi la déesse du temps ne peut faire remarcher le monde comme il le faut,
Même si tu es très puissante, tu ne pourras rien faire face à mes gardes bien plus forts.
Dis adieu au monde, à ta famille, et à celui que tu aimes, au revoir.

/ / / / / / / / / / "

Le nom avait été hachuré, et je ne pouvais rien y lire. Cette lettre décolorée, déchirée et sale me faisait très peur, à ce qu'il y était écrit, j'allais mourir. Prise de chagrin, la lettre tomba avant que j'éclate en sanglots. Lionel et Tom accoururent sur moi pour me demander ce qu'il se passait. Je ne leur répondis pas et continuai de pleurer comme une dingue. Tom, curieux, s'empara de la lettre pour la lire à côté de moi. Il avait l'air en colère. Il chiffonna la lettre et la jeta contre le mur avant d'hurler :

" Je tuerai celui qui t'a envoyé ça, je te le promets, Ilona… "

À suivre …

Bide bide bide !

Post surprise post surprise post surprise !

Chapitre plutôt court, ai-je trouvé...

"La lune sortait de sa cachète" >>> Cachette .

Sinon, l'histoire d'amour me semble plutôt prévisible, m'enfin .
Le scénario est cool, on a pas appris grand-chose mais ça reste agréable à lire.

Je demande une sweet.
_______________________

Par la rémige du Pygargue !

Oui assez court, c'était pour le suspense...
Tu es sûr que c'est une histoire d'amour ?
Méfie-toi, les apparences sont parfois trompeuses. :3