Derniers tests de jeux vidéo - page 321

Après Parappa the Rapper, Vib-Ribbon et Mojib Ribbon, le studio Nana-on-sha remet le couvert avec un jeu de trampoline du nom de Vib-Ripple. Celui-ci marque le retour de Vibri, le lapin en fil de fer, héros de Vib-Ribbon. Cette fois-ci sa mission consiste à délivrer de petites créatures piégées dans des photos en sautant dessus. On a donc affaire à un produit typiquement japonais au principe très original, mais s'agit-il pour autant d'un bon jeu ?

En 1993, Konami offrait à la Megadrive de Sega une exclusivité qui allait mettre tout le monde d'accord : il s'agissait de Rocket Knight Adventures, un excellent jeu d'action / plates-formes qui se plaçait d'emblée dans le haut du panier des productions de l'époque. Vu le succès critique et commercial de ce titre, Konami a fort logiquement pris la décision de faire une suite, et c'est ainsi qu'en 1994, Sparkster : Rocket Knight Adventures 2 débarque sur la 16 bits de Sega, mais également sur Super Nintendo, dans une version radicalement différente.

Sorti depuis un petit bout de temps en Allemagne, Panzer Attack arrive furtivement en France. Faisant partie de la grande vague des Simulator UIG avec lesquels il partage les mêmes features, du moins si on en croit le verso de la boîte, le titre s'avère malheureusement d'une qualité similaire à celle de ses petits camarades. Bref, si vous pensiez avoir droit à une véritable simulation de tanks, vous êtes plutôt mal tombé.

Quoi de mieux qu'une petite balade dépaysante dans un monde féerique peuplé de sorciers et de dragons en tout genre ? C'est précisément ce que nous propose The Misadventures Of Flink, titre développé par les anglais de Psygnosis et sorti sur Megadrive en 1994.

Si certains aimaient se la donner sur Street Fighter II ou sur un bon vieux flipper en salle d'arcade, d'autres se rappelleront certainement du mythique Virtua Cop, ce rail-shooter jouable seul ou à deux, muni du fameux pistolet Virtua Gun. Le premier volet avait fait la joie des joueurs et s'était vu adapté sur Sega Saturn seulement une petite année après sa sortie en salle. Virtua Cop 2 suit la même lancée que son grand frère et décroche lui aussi une version consoles après tout juste un an d'existence sur arcade. Après avoir été mise à mal dans le premier épisode, la terrible organisation E.V.I.L donne du nouveau du fil à retordre à nos deux courageux flics : Michael Hardy (Rage) et James Cools (Smarty). Désormais accompagnés d'une nouvelle recrue répondant au nom de Janet Marshall, il est temps pour la belle équipe de faire parler la poudre.

Après un The Elder Scrolls : Arena certes novateur mais qui se présenta plutôt comme un avant-goût du potentiel de la série, Bethesda, son développeur, revient plus motivé que jamais pour nous confectionner un nouvel opus répondant aux attentes des nombreux joueurs conquis par un premier volet annonçant déjà la naissance d'une licence phare et exemplaire du RPG occidental.

Sérieusement ? Ils ont osé créer un jeu avec un nom pareil ? Eh bien oui, ce jeu sorti sur NES en 1991 est adapté de la série animée du même nom. Celle-ci s'inspire elle-même de deux navets cinématographiques : Attack of the Killer Tomatoes et Return of the Killer Tomatoes, dans lesquels la ville de San Zucchini se retrouve envahie par des tomates mutantes. Dans cette version NES, la situation est tout aussi préoccupante et nous avons la lourde tâche d'affronter les tomates et de mettre fin aux plans diaboliques du Dr. Gangreen.

Les japonais débordent d'imagination pour créer des jeux surprenants et innovants. Certains de ces jeux sont d'ailleurs tellement spéciaux que les éditeurs ne prennent pas le risque de les diffuser aux USA et encore moins en Europe. Dans cette catégorie, LSD Dream Emulator mérite sans difficulté sa place dans le top 10, voire même la médaille d'or tant son niveau d'étrangeté frôle l'inconcevable. Certes, en voulant créer un jeu de simulation de rêve, les développeurs avaient déjà placé la barre très haut sur l'échelle du délire mais le résultat dépasse tout ce qu'on aurait pu imaginer.

Capcom n'aura pas mis très longtemps pour offrir une suite à son Street Fighter Alpha, sorti initialement en 1995 sur la borne d'arcade CPS 2. L'éditeur japonais ne mettra en effet que quelques mois pour finaliser sa suite directe, sobrement baptisée Street Fighter Alpha 2. Comme pour l'épisode précédent, des conversions consoles furent rapidement mises en chantier, et c'est fort logiquement que la Saturn de Sega accueille en 1996 le titre dans sa ludothèque.

Sans doute conscient d'avoir frappé un grand coup avec son Street Fighter 2, Capcom prendra un certain temps avant de lui donner une suite digne de ce nom. L'éditeur préférera en effet dans un premier temps faire durer le plaisir et multiplier les différentes versions de cette franchise, que ce soit sur arcade ou sur les consoles 16 bits de l'époque. Ce n'est qu'en 1995 que le renouveau de la licence pointe le bout de son nez. Surprise, ce n'est pas Street Fighter 3 qui débarque, mais Street Fighter Alpha. Intéressons-nous aujourd'hui à la version Saturn de ce titre.

1994. L'immense Peter Molyneux (Populous), dont le talent alors intact n'a pas encore été écorné par une mégalomanie fâcheuse, publie aux côtés des autres trublions de Bullfrog l'inoubliable Theme Park. Le britannique compte bien hisser son bébé au niveau de la marmaille voisine de Will Wright (Sim City, Sim Earth…) tout en le parant de l'humour so British qui caractérise déjà ses productions de l'époque. Inutile de tergiverser : le défi est relevé avec brio.

1994. L'immense Peter Molyneux (Populous), dont le talent alors intact n'a pas encore été écorné par une mégalomanie fâcheuse, publie aux côtés des autres trublions de Bullfrog l'inoubliable Theme Park. Le britannique compte bien hisser son bébé au niveau de la marmaille voisine de Will Wright (Sim City, Sim Earth…) tout en le parant de l'humour so British qui caractérise déjà ses productions de l'époque. Inutile de tergiverser : le défi est relevé avec brio.

Après trois épisodes sur DS, la série Cooking Mama nous invite désormais à cuisiner en 3D stéréoscopique sur la dernière console portable de Nintendo. Pas sûr cependant que le changement de plate-forme parvienne à relancer l'intérêt d'un concept à bout de souffle.

Les samouraïs occidentaux en collants fluorescents sont de retour sur Wii dans un beat'em all des plus navrants. Si, malgré tout, l'idée même d'incarner l'un de ces fringants justiciers des temps modernes vous enthousiasme, découvrez sans plus attendre ce que le jeu vous réserve.

Presque aucun jeu d'envergure ne fait désormais l'impasse sur les DLC. On peut regretter cette évolution lorsqu'il s'agit de nous faire repasser à la caisse pour nous livrer la fin du scénario, mais il faut bien reconnaître que certaines de ces extensions sont loin de constituer de simples pièges à gogo. C'est notamment le cas de L'Ombre de RAAM qui se propose d'explorer un chapitre inédit de l'histoire des Gears.

Episode polémique au succès mitigé, Ace Combat : Assault Horizon revient aujourd'hui en version nomade sur 3DS. Le premier portage de la célèbre série sur cette plate-forme a-t-il une chance de fédérer les fans ?

C'est en 2009 que de nombreux joueurs avaient eu la chance, sans vraiment s'y attendre, de tomber sur le premier Trine. Ils avaient alors découvert un jeu de plates-formes atypique aux allures de conte de fées dans lequel 3 personnages se devaient de faire parler leurs talents respectifs pour sauver leur monde d'un mal mystérieux. Eh bien figurez-vous que Trine 2 reprend à l'identique cette formule magique, mais en y ajoutant toutefois quelques généreuses trouvailles. En résulte un soft d'une rare intelligence qui plongera tous ceux qui s'y essaieront dans un autre monde.

Depuis quelques années, les internautes se prennent d'affection pour le monde rural, et passent de longues heures à cultiver leur jardin directement sur Facebook, avec Farmville. Un petit jeu PC vendu 10 euros tente de surfer sur cette vague verte en instillant cette passion dans les cœurs des plus jeunes comme des plus grands.

Après le succès d'Happy Feet, quoi de plus logique que de retrouver à nouveau Mumble et tous ses amis dans les salles obscures du monde entier ? Bien évidemment, la sortie de la nouvelle production de Warner Bros est accompagnée d'une adaptation vidéoludique qui arrive à point nommé. Cela signifie-t-il pour autant que celle-ci a été réalisée à la va-vite ?

Après le succès d'Happy Feet, quoi de plus logique que de retrouver à nouveau Mumble et tous ses amis dans les salles obscures du monde entier ? Bien évidemment, la sortie de la nouvelle production de Warner Bros est accompagnée d'une adaptation vidéoludique qui arrive à point nommé. Cela signifie-t-il pour autant que celle-ci a été réalisée à la va-vite ?